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Il est ensuite apparu que toutes les théories de la traduction élaborées à l’époque romantique et classique en Allemagne constituent le sol des principaux courants de la traduction moderne occidentale, qu’il s’agisse de la traduction « poétique », telle qu’elle se manifeste chez un Nerval, un Baudelaire, un Mallarmé, un S. George ou un W. Benjamin, dont l’origine est manifestement à chercher dans l’« Athenäum », ou des grandes re-traductions effectuées en Allemagne au XXe siècle, qui peuvent se réclamer de Humboldt ou de Schleiermacher.
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