Nouveau Testament Quotes

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Psaume 128 1Cantique des degrés. Heureux tout homme qui craint l'Eternel, Qui marche dans ses voies! 2Tu jouis alors du travail de tes mains, Tu es heureux, tu prospères. 3Ta femme est comme une vigne féconde Dans l'intérieur de ta maison; Tes fils sont comme des plants d'olivier, Autour de ta table. 4C'est ainsi qu'est béni L'homme qui craint l'Eternel. 5L'Eternel te bénira de Sion, Et tu verras le bonheur de Jérusalem Tous les jours de ta vie; 6Tu verras les fils de tes fils. Que la paix soit sur Israël!
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Anonymous (La Bible (La Sainte Bible - Ancien et Nouveau Testaments, Louis Segond 1910) (French Edition))
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Les Grecs, il est vrai, n’ont jamais fait mystère de leur ascendance asiatique ; ils se disaient disciples des Égyptiens et des Babyloniens ; leur panthéon était arabe ; leurs cosmogonies et théogonies directement inspirées d’Anatolie ou de Canaan. Le père d’Hésiode n’était-il pas d’origine éolienne ? Hérodote s’étonne qu’on distingue l’Europe de l’Asie car il n’y voit, et ses compatriotes avec lui, qu’une seule et même culture. Effectivement la Grèce est née de l’Asie, recueillant par l’intermédiaire de la colonisation phénicienne le fruit de quelque 4000 ans d’efforts menés par l’Égypte et la Babylonie. Son éclosion certes fut tardive puisque 1000 ans avant Homère, alors que les Grecs végétaient encore dans l’obscurité, les sujets de Thoutomosis jouissaient dans la vallée du Nil d’un art d’un confort raffinés. En transmettant à l’Occident sicilien et italique l’héritage asiatique la Grèce devait y introduire les diverses religions arabes et notamment le christianisme puisque c’est en grec que le nouveau Testament parvint en Méditerranée occidentale.
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Pierre Rossi (La cité d'Isis : Histoire vraie des Arabes)
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Testaments: Dieu, qui est immuable, en a fait deux en sa vie ; l’un s’appelle l’ancien et l’autre le nouveau testament. L’église n’adopte le premier que par bénéfice d’inventaire, elle s’en tient au second, en l’arrangeant à sa façon : celui-ci est si précis que jamais il ne s’est élevé de chicanes entre les héritiers appelés à la succession. Dans les siècles d’ignorance, c’est-à-dire de foi vive, les testaments des laïques étaient nuls quand ils ne laissaient point à l’église une portion de leur bien, dont elle eût lieu d’être contente.
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Paul-Henri Thiry (La Théologie portative ou Dictionnaire abrégé de la religion chrétienne)
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Je suis âgé de presque 80 ans, et ma journée va bientôt se terminer. Si je jette un regard sur mon passé, je reconnais que dans ma première jeunesse j'ai pris un mauvais chemin : celui du mal qui m'a conduit à la ruine ; j'ai été influencé par la presse, les spectacles et les mauvais exemples que la plupart des jeunes suivent sans réfléchir, mais je ne m'en souciais pas. J'avais auprès de moi des personnes croyantes et pratiquantes, mais je ne faisais pas attention à elles, aveuglé par une force brutale qui me poussait sur une route mauvaise. À vingt ans j'ai commis un crime passionnel, dont le seul souvenir me fait encore frémir aujourd'hui. Marie Goretti, qui est aujourd'hui une sainte, a été le bon ange que la Providence avait mis devant mes pas. Dans mon cœur j'ai encore l'impression de ses paroles de reproche et de pardon. Elle a prié pour moi, intercédé pour moi, son assassin. Trente ans de prison ont suivi. Si je n'avais pas été mineur, j'aurais été condamné à vie. J'ai accepté la sentence méritée ; j'ai expié ma faute avec résignation. Marie a été vraiment ma lumière, ma protectrice ; avec son aide j'ai acquis un bon comportement et j'ai cherché à vivre de façon honnête lorsque la société m'a accepté à nouveau parmi ses membres. Avec une charité séraphique, les fils de saint François, les Frères mineurs capucins des Marches, m'ont accueilli parmi eux non comme un serviteur, mais comme un frère. C'est avec eux que je vis depuis 1936. Et maintenant j'attends avec sérénité le moment où je serai admis à la vision de Dieu, où j'embrasserai de nouveau ceux qui me sont chers, où je serai près de mon ange gardien et de sa chère maman, Assunta. Puissent ceux qui liront ma lettre en tirer l'heureuse leçon de fuir dès l'enfance le mal et de suivre le bien. Qu'ils pensent que la religion avec ses préceptes n'est pas une chose dont on puisse se passer, mais qu'elle est le vrai réconfort, la seule voie sûre dans toutes les circonstances, même les plus douloureuses de la vie. Paix et bien ! Alessandro Serenelli, testament autographe, 5 mai 1961.
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Charles D. Engel (Alessandro Serenelli: A Story of Forgiveness)
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« Je suis âgé de presque 80 ans, et ma journée va bientôt se terminer. Si je jette un regard sur mon passé, je reconnais que dans ma première jeunesse j'ai pris un mauvais chemin : celui du mal qui m'a conduit à la ruine ; j'ai été influencé par la presse, les spectacles et les mauvais exemples que la plupart des jeunes suivent sans réfléchir, mais je ne m'en souciais pas. J'avais auprès de moi des personnes croyantes et pratiquantes, mais je ne faisais pas attention à elles, aveuglé par une force brutale qui me poussait sur une route mauvaise. À vingt ans j'ai commis un crime passionnel, dont le seul souvenir me fait encore frémir aujourd'hui. Marie Goretti, qui est aujourd'hui une sainte, a été le bon ange que la Providence avait mis devant mes pas. Dans mon cœur j'ai encore l'impression de ses paroles de reproche et de pardon. Elle a prié pour moi, intercédé pour moi, son assassin. Trente ans de prison ont suivi. Si je n'avais pas été mineur, j'aurais été condamné à vie. J'ai accepté la sentence méritée ; j'ai expié ma faute avec résignation. Marie a été vraiment ma lumière, ma protectrice ; avec son aide j'ai acquis un bon comportement et j'ai cherché à vivre de façon honnête lorsque la société m'a accepté à nouveau parmi ses membres. Avec une charité séraphique, les fils de saint François, les Frères mineurs capucins des Marches, m'ont accueilli parmi eux non comme un serviteur, mais comme un frère. C'est avec eux que je vis depuis 1936. Et maintenant j'attends avec sérénité le moment où je serai admis à la vision de Dieu, où j'embrasserai de nouveau ceux qui me sont chers, où je serai près de mon ange gardien et de sa chère maman, Assunta. Puissent ceux qui liront ma lettre en tirer l'heureuse leçon de fuir dès l'enfance le mal et de suivre le bien. Qu'ils pensent que la religion avec ses préceptes n'est pas une chose dont on puisse se passer, mais qu'elle est le vrai réconfort, la seule voie sûre dans toutes les circonstances, même les plus douloureuses de la vie. Paix et bien ! » (Alessandro Serenelli, testament autographe, 5 mai 1961).
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Bret Thoman (St. Maria Goretti: A Journey into Forgiveness and Redemption)