Monte Maria Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Monte Maria. Here they are! All 6 of them:

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El mexicano es, quizá, el único pueblo del mundo al que le gusta comer con dolor. Sí: dolor, porque, aun cuando nuestro gusto adquirido hace que, benévolamente, lo llamemos acrimonia, sazón o picorcito, lo que sentimos es dolor.
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MarĂ­a del Pilar Montes de Oca Sicilia (Del plato a la boca. Disertaciones sobre la comida (Algarabia / Rejoicing) (Spanish Edition))
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Tous mes adieux sont faits. Tant de départs m’ont lentement formé dès mon enfance. Mais je reviens encor, je recommence, ce franc retour libère mon regard. Ce qui me reste, c’est de le remplir, et ma joie toujours impénitente d’avoir aimé des choses ressemblantes à ces absences qui nous font agir.
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Rainer Maria Rilke (Vergers, et autres poèmes français)
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Quienes hemos pasado más de tres días en el extranjero conocemos una verdad fundamental y, tristemente, poco estudiada: el correcto funcionamiento del organismo del mexicano depende del suministro, suficiente y de buena calidad, del complejo T. Este conjunto de aminoácidos esenciales, presente en los alimentos que comienzan con esa grafía -tacos, tortas, tamales, tostadas, tlacoyos, tlayudas, totopos- y en otros tantos con una inicial distinta -chalupas, chilaquiles, enchiladas, enfrijoladas, garnachas, gorditas, huaraches, memelas, molletes, pambazos, quesadillas, sopes, etcétera-, parece ser el gran catalizador y desencadenador de nuestras descargas de endorfinas, a cuyo encanto estamos tan habituados que, cuando la distancia -o la dieta- nos privan de él, nos embarga una tristeza profunda, una sensación como de orfandad, de vacío en el alma... y en la tripa.
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MarĂ­a del Pilar Montes de Oca Sicilia (Del plato a la boca. Disertaciones sobre la comida (Algarabia / Rejoicing) (Spanish Edition))
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L’esperienza di Dio che Mosè vive ai piedi del monte Oreb, davanti a un roveto che ardeva nel fuoco senza consumarsi, e dal quale udì provenire la voce del Signore che gli parlava, ci rimanda al simbolismo classico delle manifestazioni di Dio, il fuoco, rappresentazione della vicinanza e della trascendenza divina. Fiamma che non può essere afferrata e trattenuta, eppure che ci attraversa col suo calore e col suo splendore. Il suo carattere «inestinguibile» evoca l’eternità perfetta e l’immutabilità suprema di Dio. Questa epifania di Yhwh avviene nella cornice di un luogo santo, in cui Mosè è entrato inconsapevolmente. Ce lo rivela il gesto, di ammissione e di purificazione, che è invitato a fare: togliere i calzari, come segno di umiliazione e di spogliazione delle impurità rituali. La connessione tra la scena dell’Oreb e Maria di Nazaret è, ovviamente, allegorica, metaforica, libera e creativa. Il roveto arde in mille pagine mariane, della tradizione e dei Padri della Chiesa, come segno della verginità di Maria, della sua maternità divina. Ecco come Gregorio di Nissa, grande padre della Cappadocia (Turchia), vissuto nel IV secolo, in un’omelia natalizia sviluppa questo tema: «Ciò che era prefigurato nella fiamma e nel roveto, fu apertamente manifestato nel mistero della Vergine. Come sul monte il roveto ardeva ma non si consumava, così la Vergine partorì la luce ma non si corruppe. Né ti sembri sconveniente la similitudine del roveto, che prefigura il corpo della vergine, la quale ha partorito Dio». Durante una omelia del 428-429, Proclo, futuro patriarca di Costantinopoli, parla della
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Gianfranco Ravasi (Un mese con Maria (Italian Edition))
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All your technical prowess will evaporate if your mind and emotional landscape aren’t solid. My return from Monte Carlo has made one thing clear: I need to recharge.
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Maria Konnikova (The Biggest Bluff: How I Learned to Pay Attention, Take Control and Win)
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« Je suis âgé de presque 80 ans, et ma journée va bientôt se terminer. Si je jette un regard sur mon passé, je reconnais que dans ma première jeunesse j'ai pris un mauvais chemin : celui du mal qui m'a conduit à la ruine ; j'ai été influencé par la presse, les spectacles et les mauvais exemples que la plupart des jeunes suivent sans réfléchir, mais je ne m'en souciais pas. J'avais auprès de moi des personnes croyantes et pratiquantes, mais je ne faisais pas attention à elles, aveuglé par une force brutale qui me poussait sur une route mauvaise. À vingt ans j'ai commis un crime passionnel, dont le seul souvenir me fait encore frémir aujourd'hui. Marie Goretti, qui est aujourd'hui une sainte, a été le bon ange que la Providence avait mis devant mes pas. Dans mon cœur j'ai encore l'impression de ses paroles de reproche et de pardon. Elle a prié pour moi, intercédé pour moi, son assassin. Trente ans de prison ont suivi. Si je n'avais pas été mineur, j'aurais été condamné à vie. J'ai accepté la sentence méritée ; j'ai expié ma faute avec résignation. Marie a été vraiment ma lumière, ma protectrice ; avec son aide j'ai acquis un bon comportement et j'ai cherché à vivre de façon honnête lorsque la société m'a accepté à nouveau parmi ses membres. Avec une charité séraphique, les fils de saint François, les Frères mineurs capucins des Marches, m'ont accueilli parmi eux non comme un serviteur, mais comme un frère. C'est avec eux que je vis depuis 1936. Et maintenant j'attends avec sérénité le moment où je serai admis à la vision de Dieu, où j'embrasserai de nouveau ceux qui me sont chers, où je serai près de mon ange gardien et de sa chère maman, Assunta. Puissent ceux qui liront ma lettre en tirer l'heureuse leçon de fuir dès l'enfance le mal et de suivre le bien. Qu'ils pensent que la religion avec ses préceptes n'est pas une chose dont on puisse se passer, mais qu'elle est le vrai réconfort, la seule voie sûre dans toutes les circonstances, même les plus douloureuses de la vie. Paix et bien ! » (Alessandro Serenelli, testament autographe, 5 mai 1961).
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Bret Thoman (St. Maria Goretti: A Journey into Forgiveness and Redemption)