Miniature Photo Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Miniature Photo. Here they are! All 5 of them:

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By 2020, the flat panel displays will likely come in a variety of forms. They will be miniaturized to work as wristwatch screens and may be added to eyeglasses or key chains. Eventually, they will become so cheap they will be everywhere: on the backs of airplane seats, in photo albums, in elevators, on notepads, on billboards, on the sides of buses and trains. They may one day be as common as paper.
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Michio Kaku (Visions: How Science Will Revolutionize the 21st Century)
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I was so flattered he asked me to go. I wore a pajama top. I thought it was a real shirt because it had miniature studs on it, but I see the photos and I think: Yeah, I definitely wore a full-blown pajama top to Colin Farrell’s premiere.
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Britney Spears (The Woman in Me)
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She picked through the bits of jewelry, the stud earrings and ruby ring that belonged to their mother, Shirin. There was something almost meditative about this ritual of hers, combing through the photos and small keepsakes, even if she touched on some painful memories. It was as if her fingers were actually tracing the milestones each piece represented. Her hand closed on a smooth, round object, something resembling a marble egg. It was a miniature bar of lotus soap, still in its wrapper, bought on their last trip to the 'hammam'. The public bathhouse had been a favorite spot of theirs, a place the three of them liked to go to on Thursdays, the day before the Iranian weekend. Marjan held the soap to her nose. She took a deep breath, inhaling the downy scent of mornings spent washing and scrubbing with rosewater and lotus products. All at once she heard the laughter once again, the giggles of women making the bathing ritual a party more than anything else. The 'hammam' they had attended those last years in Iran was situated near their apartment in central Tehran. Although not as palatial as the turquoise and golden-domed bathhouse of their childhood, it was still a grand building of hot pools and steamy balconies, a place of gossip and laughter. The women of the neighborhood would gather there weekly to untangle their long hair with tortoiseshell combs and lotus powder, a silky conditioner that left locks gleaming like onyx uncovered. For pocket change, a 'dalak' could be hired by the hour. These bathhouse attendants, matronly and humorous for all their years spent whispering local chatter, would scrub at tired limbs with loofahs and mitts of woven Caspian seaweed. Massages and palm readings accompanied platters of watermelon and hot jasmine tea, the afternoons whiled away with naps and dips in the perfumed aqueducts regulated according to their hot and cold properties.
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Marsha Mehran (Rosewater and Soda Bread (Babylon Café #2))
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Alors voilà. On faisait des mômes, ils chopaient la rougeole, et tombaient de vélo, avaient les genoux au mercurochrome et récitaient des fables et puis ce corps de sumo miniature qu'on avait baigné dans un lavabo venait à disparaître, l'innocence était si tôt passée, et on n'en avait même pas profité tant que ça. Il restait heureusement des photos, cet air surpris de l'autre côté du temps, et un Babyphone au fond d'un tiroir qu'on ne pouvait se résoudre à jeter. Des jours sans lui, des jours avec, l'amour en courant discontinu. Mais le pire était encore à venir. Car il arrivait cela, qu'une petite brute à laquelle vous supposiez des excuses socioéconomiques et des parents à la main leste s'en prenait à votre gamin. La violence venait d'entrer dans sa vie et on se demandait comment s'y prendre. Car après tout, c'était le jeu. Lui aussi devait apprendre à se défendre. C'était en somme le début d'une longue guerre. On cherchait des solutions, lui enseigner l'art de foutre des coups de pied et prendre rendez-vous avec la maîtresse, pour finalement en arriver là : avoir tout simplement envie de casser la gueule à un enfant dont on ne savait rien sinon qu'il était en CE1 et portait des baskets rouges. [...] Certains dimanches soirs, quand Christophe le laissait devant chez sa mère, et le regardait traverser la rue avec son gros sac sur le dos, il pouvait presque sentir l'accélération jusque dans ses os. En un rien de temps, il aurait dix, douze, seize ans, deviendrait un petit con, un ado, il n'écouterait plus les conseils et ne penserait plus qu'à ses potes, il serait amoureux, il en baverait parce que l'école, les notes, le stress déjà, il le tannerait pour avoir un sac Eastpak, une doudoune qui coûte un bras, un putain de scooter pour se tuer, il fumerait des pet, roulerait des pelles, apprendrait le goût des clopes, de la bière et du whisky, se ferait emmerder par des plus costauds, trouverait d'autres gens pour l'écouter et lui prendre la main, il voudrait découcher, passer des vacances sans ses parents, leur demanderait toujours plus de thune et les verrait de moins en moins. Il faudrait aller le chercher au commissariat ou payer ses amendes, lire dans un carnet de correspondance le portrait d'un total étranger, créature capable de peloter des filles ou d'injurier un CPE, à moins qu'il ne soit effacé, souffre-douleur, totalement transparent, on ne savait quelle calamité craindre le plus. Un jour, avec un peu de chance, à l'occasion d'un trajet en bagnole ou dans une cuisine tard le soir, cet enfant lui raconterait un peu de sa vie. Christophe découvrirait alors qu'il ne le connaissait plus. Qu'il avait fait son chemin et qu'il était désormais plus fort que lui, qu'il comprenait mieux les objets et les usages, et il se moquerait gentiment de l'inadéquation de son père avec l'époque. Christophe découvrirait que le petit le débordait maintenant de toute part et ce serait bien la meilleure nouvelle du monde. Simplement, il n'aurait rien vu passer. Gabriel aurait grandi à demi sans lui. Ce temps serait définitivement perdu.
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Nicolas Mathieu (Connemara)
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Grapefruit isn't usually my favorite fruit, even in the citrus family," he said, thoughtful. "But this is something else." He was right. It should have been a simple, maybe even boring dish: grapefruit shaved ice, with thin slices of candied grapefruit and mint leaves on top, all heaped into a frozen grapefruit skin. "I think the word you're looking for is transcendent." Somehow the dish was a thousand times greater than the sum of its parts. Each bite of ice literally melted away in my mouth, transforming into something luscious and concentrated, something that brought me right back to being a little kid in my mom's lap, asking for a spoonful of the grapefruit half she'd sprinkled with sugar. But even better. And it was beautiful, too. I was already imagining the way the miniature shards of ice would glitter in my photo, the way the crystallized grapefruit slices would shine like jewels, how the green shreds of mint would keep it from looking too much like something you'd want to wear around your neck.
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Amanda Elliot (Best Served Hot)