Luis Serra Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Luis Serra. Here they are! All 14 of them:

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- Je te croyais morte. La voix d'Edwin avait été un murmure, le premier souffle hésitant d'un espoir qui renaissait. Ellana laissa son regard dériver vers le corps ensanglanté d'Essindra. Une flambée de haine embrasa son cœur et, durant un bref instant, elle souhaita que la mercenaire soit encore vivante pour pouvoir la tuer à nouveau. Puis Essindra disparut de son esprit et elle embrassa Edwin. Un baiser brûlant à l'improbable parfum de miracle. Un baiser douceur tout en promesses d'éternité. Un baiser aveu. Peur, ténèbres et solitude. Passées. Edwin la serra contre lui, enfouit le visage dans son cou, se perdit dans son parfum et les cheveux fous derrière sa nuque. Sentir son corps, percevoir les battements de son cœur... Il revint doucement à la vie. - Je t'aime. Ils avaient chuchoté ensemble. Tressaillirent ensemble en entendant l'autre énoncer ce qui état l'origine, le centre et l'avenir du monde. - Je t'aime. Autour d'eux l'univers avait pâli devant cette évidence. - Je t'aime. - Ne meurs plus jamais. S'il-te-plaît. Plus jamais. - Je ne peux pas mourir, je t'aime. Leur étreinte devint plus pressante, leurs lèvres se cherchèrent pour un nouveau baiser, plus intense, plus sensuel, plus... Destan, coincé entre son père et sa mère, émit un petit cri de protestation. Sans que leurs âmes ne se détachent, Ellana et Edwin s'écartèrent pour contempler leur fils. Peut-on mourir de bonheur ? La question avait déjà été posé. Si les larmes qui embuaient les yeux d'Ellana et celles qui roulaient sur le visage d'Edwin avaient su parler, elles auraient sans doute répondu.
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Pierre Bottero (Ellana, la Prophétie (Le Pacte des MarchOmbres, #3))
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« C’est la misère, puisque je ne peux pas t’offrir une grande fortune ! » Elle n’avait plus que trente mille livres de rente, sans compter l’hôtel, qui en valait de dix-huit à vingt, peut-être. Bien que ce fût de l’opulence pour Frédéric, il n’en ressentait pas moins une déception. Adieu ses rêves, et toute la grande vie qu’il aurait menée ! L’honneur le forçait à épouser Mme Dambreuse. Il réfléchit une minute ; puis, d’un air tendre : « J’aurai toujours ta personne ! » Elle se jeta dans ses bras ; et il la serra contre sa poitrine, avec un attendrissement où il y avait un peu d’admiration pour lui-même. Mme
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Gustave Flaubert (Sentimental Education)
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Il serra ses mains en poings et se força à marcher à pas lents et mesurés vers la tombe et commença à haleter. Bon sang, il ne pouvait pas s’écrouler. Il voulait le faire, il avait besoin de le faire, besoin de voir ce qu’il pourrait retirer de ce rappel physique de sa propre mortalité éphémère. Peut-être que cela lui donnerait envie de vivre à nouveau. Il lut les dates de décès marquées sur les pierres tombales, en faisant attention à ne pas marcher sur les tombes des autres pauvres enfants morts, d’année en année, jusqu’à ce qu’il voit son nom. JULIETTE ANNE MARTIN 14 août 1991-9 octobre 2008 Fille bien-aimée. Il n’y avait pas d’ours, de plaques ou même d’anges comme il en avait vu sur les autres pierres tombales, alors qu’il cherchait la sienne. Elle était gris foncé, en marbre et très élégante. Ses jambes se dérobèrent sous lui quand il réalisa que son amie, sa Juliette, gisait à ses pieds, et il atterrit sur la terre molle à côté d’elle. Les fleurs oubliées tombèrent au sol et des sanglots secs ravagèrent son corps. Il ne pleurerait pas, il le savait. Il était incapable de pleurer depuis cette nuit-là. Tout comme il ne supportait plus d’être touché, il ne pouvait éprouver le plus petit soulagement que les pleurs lui auraient accordé.
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JP Barnaby (Aaron: Histoire d'un survivant #1 (French Edition))
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Les trois hommes avaient laissé leurs arcs pour empoigner des sabres et ils étaient vêtus de cuir souple. Comme des marchombres. Comme des marchombres, ils se déplaçaient avec précision et souplesse. Comme des marchombres, ils se séparèrent pour mieux l'encercler, tenant compte du moindre relief, du moindre détail, ne lui laissant aucune chance de s'enfuir. Comme des marchombres. Mais ce n'étaient pas des marchombres. Malgré la fluidité de leurs mouvements, la justesse de leurs positions, ils ne dégageaient aucune harmonie. Parfaites machines à tuer, ils étaient hideux. Une laideur que seul un marchombre pouvait percevoir. Et Ellana était une marchombre. "Ils possèdent les mêmes pouvoirs que nous, mais les utilisent à des fins diamétralement opposées. Ils sont impitoyables, totalement immoraux et rêvent d'assujettir les Alaviriens à leur soif de puissance. Pour cela, ils se regroupent au sein d'une guilde qui place au rang de vertus la haine, la violence et le meurtre. Une guilde qui, depuis des années, s'oppose à la nôtre..." Jilano lui avait parlé d'eux. L'avait mise en garde contre eux. Ellana serra les mâchoires. Mercenaires du Chaos.
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Pierre Bottero (Ellana (Le Pacte des MarchOmbres, #1))
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Ha la bocca piuttosto piccola, un sorriso particolare, luminoso ma sensuale, candido eppure non del tutto indifeso e con una vaga, lievissima traccia di cupezza, o di malinconia. Quel sorriso si è marchiato a fuoco nel cuore di diversi giovani là all'ovest, in Canada, vi è rimasto impresso ed è diventato un rimpianto, che per qualcuno durerà tutta la vita. Ma lei avanza sulla riva con quel sorriso e raggiunge Oddur, indossa un vestito straniero, ha i capelli castano chiaro, pettinati all'indietro come per mettere in evidenza la fronte alta e ben formata, cammina verso di lui, che l'aspetta e non può far altro che serrare i pugni. Lei se ne accorge, si scalda tutta dentro, e il calore fluisce fino allo sguardo. Allora Oddur deve stringere i pugni ancora di più, impotente, vinto, li serra entrambi, è la sua dichiarazione d'amore, lei sa che in quel modo le compone la sua dichiarazione d'amore.
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Jón Kalman Stefánsson (Fiskarnir hafa enga fætur)
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En furie, l'énorme loup noir claquait des mâchoires, tentant de mordre la lance qui le piquait à travers les barreaux de sa cage. Leyna laissa flotter son regard sur les gradins autour de la fosse. Ces derniers grouillaient de monde. Même la Première Caste était présente. De l'autre côté de l'arène, sous le dais vert et rouge, couleurs de Nicée, le nouveau Commodore et son épouse étaient venus assister à la mise à mort. Cela faisait si longtemps qu'aucune exécution de ce genre n'avait eu lieu. Leyna serra les poings. Elle aurait préféré se trouver à des kilomètres de là, mais elle avait un devoir d'éducation à assurer. Un de voir vital. La foule criait des insultes à la condamnée, qui portait un sac en toile sur la tête et dont les mains étaient liées dans le dos. Soudain, la cage fut ouverte à distance à l'aide d'une corde. L'animal écumant bondit vers la prisonnière. Le loup referma ses mâchoires d'abord sur sa jambe, lui arrachant un hurlement, puis sur son épaule. Entraînée au sol, la femme agonisait sous les morsures féroces. Leyna obligea sa fille de huit ans, qui gémissait d'horreur en cachant son visage contre sa poitrine, à se tourner à nouveau vers le sanguinolent spectacle. - Regarde! chuchota-t-elle d'une voix dure, tout près de son oreille, afin qu'il n'y ait aucun risque que quelqu'un d'autre entende. Regarde bien, et souviens toi! N'oublie jamais ce qui nous attend si quiconque découvre ce nous sommes. Jamais.
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Bettina Nordet (Alliance forcée (Sangs Maudits, #1))
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April serra les feuillets contre elle, encore remuée par ce qui lui était arrivé au cours des sept dernières minutes et par tout ce qui risquait de se passer de l’autre côté de la Manche. Elle secoua la tête pour s’éclaircir les idées.
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Michelle Gable (L'appartement oublié)
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Some 310,000 Indians lived within the boundaries of the present state in 1769. Approximately 60,000 lived in the coastal region between San Diego and San Francisco where Serra hoped to establish a series of missions.84 The Luiseño and then the Acjachemen resided to the immediate north of the Kumeyaay. The Gabrielino occupied the coastal plain of Los Angeles, the Chumash inhabited an expanse from Malibu to San Luis Obispo, the Yokuts lived in the Central Valley, and the Salinan and Ohlone settled the central coast between Santa Barbara and the Golden Gate. The Pomo, Coast Miwok, Wappo, Patwin, and Eastern Miwok lived in the regions immediately north and east of the San Francisco Bay Area.85 Although Alta California successfully supported a large human population, it was hardly disease-free. Even before the Spaniards arrived, a wide variety of infections were common, all of which led to high mortality
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Steven W. Hackel (Junipero Serra: California's Founding Father)
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In mezzo a questo serra serra, non possiam lasciar di fermarci un momento a fare una riflessione. Renzo, che strepitava di notte in casa altrui, che vi s'era introdotto di soppiatto, e teneva il padrone stesso assediato in una stanza, ha tutta l'apparenza d'un oppressore; eppure, alla fin de' fatti, era l'oppresso. Don Abbondio, sorpreso, messo in fuga, spaventato, mentre attendeva tranquillamente a' fatti suoi, parrebbe la vittima; eppure, in realtà, era lui che faceva un sopruso. Così va spesso il mondo... voglio dire, così andava nel secolo decimo settimo.
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Alessandro Manzoni (I promessi sposi)
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«Hai mai pensato, Maione, a quante cose si possono vedere, da una finestra? Si può vedere la vita. Si può vedere la morte. Si può solo vedere, senza intervenire. E allora, chi è l’uomo che guarda? Lo sai chi è?» Maione stava a sentire. Sapeva che la risposta non toccava a lui. «L’uomo che guarda, è quello che non vive. Può solo veder scorrere la vita degli altri e vivere attraverso di loro. Chi guarda, non ce la fa, a vivere». Maione lo ascoltava. E capì che Ricciardi non stava più parlando della Calise, di Garzo, di Iodice o di Serra di Arpaja, ma di se stesso.
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Maurizio de Giovanni
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A AMLO le encanta argumentar que él sí está atendiendo las causas de nuestros problemas. Tristemente no es cierto. La suya es una política económica que, como Luis Rubio ha argumentado, se ocupa más de los síntomas, la pobreza, por ejemplo, que de las causas de nuestros bajos niveles de ingreso. Su política social no está diseñada para propiciar el crecimiento ni para darles a los hijos de los más pobres una educación de calidad y una posibilidad de mayor bienestar futuro.2 Lo suyo es repartir dinero.
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Carlos Elizondo Mayer-Serra (Y mi palabra es la ley (Spanish Edition))
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Tras la entrada en vigor del TLCAN, el impulso reformista se estancó. Como ha dicho Luis Rubio, para México parecía que el TLCAN era el punto de llegada. No el de partida, como en Canadá, donde se hicieron innumerables reformas para poder aprovechar más integralmente el acceso al mercado de Estados Unidos y darles apoyos a quienes fueran afectados por los productos de América del Norte que ahora entrarían sin aranceles.
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Carlos Elizondo Mayer-Serra (Y mi palabra es la ley (Spanish Edition))
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los documentos que permitían confirmar que la muerte del presidente de la Cervecería Cuauhtémoc y líder empresarial del llamado Grupo Monterrey, ocurrido el 17 de septiembre de 1973 tras un frustrado intento de secuestro por una célula guerrillera, había sido una acción consentida, conocida previamente y realizada con el visto bueno del gobierno en turno, que encabezaba Luis Echeverría. En el documento de la DFS [Dirección Federal de Seguridad] desclasificado y marcado con el expediente 11-219-972, en el legajo dos, hojas 46 y 47, se puede leer un detallado informe enviado por el representante de la DFS en Nuevo León, Ricardo Condelle Gómez, titulado “Planes de secuestro de los industriales Eugenio Garza Sada y Alejandro Garza Lagüera”. El documento está fechado el 22 de febrero de 1972, un año y medio antes de los hechos.
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Carlos Elizondo Mayer-Serra (Y mi palabra es la ley (Spanish Edition))
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A dieci anni riempivo l'annaffiatoio per mio padre, e la facilità con la quale lui maneggiava con una sola mano quei dieci litri d'acqua che io gli porgevo con fatica e impaccio mi pareva il traguardo della mia infanzia. Ora che maneggio con la stessa destrezza quei dieci litri, e sono dunque adulto, mi rendo conto che nessuno mi porge l'annaffiatoio. Una catena è spezzata - ne sono l'ultimo anello. Non c'è dubbio. Sono l'ultimo anello.
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Michele Serra (Gli sdraiati)