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Vu d'ici, on se rend bien compte que l'humanité n'a rien d'indispensable au fonctionnement de cette planète. Nous sommes éphémères, la végétation est persistante. On peut brûler l'herbe qui pousse sous nos pieds, elle repoussera toujours derrière nous. Nous sommes les touristes de luxe de l'évolution, les simples passagers d'une époque. Nous avons visité la Terre, nous l'avons magnifiée et dévastée, nous allons repartir. (p. 257)
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