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Le vent se frayait un chemin parmi les feuilles et ressortait des arbres tout chargé d'odeurs de bourgeons et de fleurs. Les gens marchaient un peu plus haut et respiraient plus fort car il y a avait de l'air en abondance. Le soleil dépliait lentement ses rayons et les hasardait avec précaution dans des endroits où il ne pouvait atteindre directement, les recourbant à angles arrondis et onctueux, mais se heurtait à des choses très noires et les retirait vite, d'un mouvement nerveux et précis de poulpe doré. Son immense carcasse brûlante se rapporcha peu à peu puis se mit, immobile, à vaporiser les eaux continentales et les horloges sonnèrent trois coups. (p. 175)
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