Zone Blanche Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Zone Blanche. Here they are! All 5 of them:

“
Lady Isabeau was tall for a woman, nearly as tall as Molly, but slender where Molly was stout, with a smooth immobile face that looked as if it had been carved from ivory, pale and serene. Hob stared at her: glossy black hair bound about the brows with a broad white linen fillet and partly concealed by a veil that draped down her neck; dark eyes beneath dark brows plucked thin; unsmiling lips, full and well-shaped. There was so little expression on her face, and its beauty was so unworldly, that Hob had a moment when he thought her an apparition, or a graven figure. “Blanche comme la neige,” came to his mind, a song Molly had taught him, “belle comme le jour.” The thinnest of scars ran from her hairline down her forehead, divided her left eyebrow, and curved along her cheek to the corner of her mouth, and seemed at once to augment her beauty and to reinforce its carven stillness, as if some wright's chisel had slipped in the course of fashioning her visage. A linen band of the sort known as a barbette ran down from the fillet at her temples and passed under her chin, framing her face, and rendering her features all the more austere. Her gown was a muted purple; heavy embroidery of red and blue circled its neckline, and it was gathered by a zone of gray silk, sewn with pearls, that circled her hips. From this belt depended a silver ring, as wide around as a big man's fist. On the ring was a bunch of black iron keys, of varying sizes: the symbol and reality of her standing as administrator of the household. As she spoke, she fiddled with the keys as though they were prayer beads; they gave off a continual muted clink, just barely audible to Hob above the rumble of voices, the thuds and thumps of plank tabletops settling onto their trestles.
”
”
Douglas Nicholas
“
The rules are: your house is a safe zone. School is a safe zone, but not the parking lot. Once you step out the door, it’s all fair game. You’re out if you get hit with a two-hand touch. And if you renege on your wish, your life is forfeit. Genevieve comes up with that last part and it gives me shivers. Trevor Pike shudders and says, “Girls are scary.” “No, girls in their family are scary,” Peter says, gesturing at Chris and Genevieve. They both smile, and in those smiles I see the family resemblance. Casting a sidelong glance at me, Peter says hopefully, “You’re not scary, though. You’re sweet, right?” Suddenly I remember something Stormy said to me. Don’t ever let him get too sure of you. Peter is very sure of me. As sure as a person could be. “I can be scary too,” I quietly say back, and he blanches. Then, to everyone else, I say, “Let’s just have fun with it.” “Oh, it’ll be fun,” John assures me. He puts his Orioles cap on his head and pulls the brim down. “Game on.” He catches my eye. “If you thought I was good at Model UN, wait till you see my Zero Dark Thirty skills.
”
”
Jenny Han (P.S. I Still Love You (To All the Boys I've Loved Before, #2))
“
Usually, when I came home by myself at night, I would get to the corner or Rue Coustou and suddenly feel like I was leaving the present and sliding into a zone where time had stopped. And I was terrified of never being able to cross back, to return to Place Blanche, where life was being lived. I though I would remain forever a prisoner of that little street and that room, like Sleeping Beauty.
”
”
Patrick Modiano (La Petite Bijou (Collection Folio))
“
De la partie la plus noire de mon âme, à travers la zone hachurée me monte ce désir d'être tout à coup blanc. Je ne veux pas être reconnu comme Noir, mais comme Blanc. Or [...] qui peut la faire, sinon la Blanche? En m'aimant, elle me prouve que je suis digne d'un amour blanc.
”
”
Frantz Fanon (Peau noire, masques blancs (French Edition) by Franz Fanon(2010-08-24))
“
opération. Et nous ne voulons pas de casse, ni chez vos hommes, ni pour nous, d’autant que Tel Aviv niera son implication si ça tourne mal. Mais, il y a moins de cinq ans, j’ai moi-même égorgé un responsable du Esbollah qui faisait partie de la liste de l’opération Colère de Dieu. Au passage, j’ai tué quatre de ses gardes du corps à l’arme blanche. Je vous rappelle, que nous sommes sous mandat direct de la Knesset, et qu’il s’agit justement d’une prolongation de Colère de Dieu. Les ordres donnés aux terroristes arabes à Munich en 72 l’ont été depuis ici. Donc, je viens. Je suis garante des compétences d’Eve, quant au jeune blanc bec derrière vous, Ezra, c’est notre meilleur homme de terrain. - Il nous faut une personne en support logistique, quoiqu’il arrive, conclut le militaire vexé. Donc, démerdez-vous comme vous voulez, à la courte paille si ça vous amuse. Mais, j’en emmène deux sur les trois. Pas les trois. - Au fait, ça vous sera probablement utile dit Eve, en tendant les plans et compte-rendu de Menouha. C’est assez parcellaire comme informations, mais, elle a quand même fait un bon boulot. 29 Août 1990 – Rio de Janeiro – Brésil Sarah préparait Thomas dans la salle de bain. - Il est où papa ? - Il est parti jouer au golf avec le monsieur qui nous a aidés à guérir ta sœur. - Il rentre quand ? - Ce soir. Nous, on va aller à la plage avec Chloé. Le petit garçon échappa aux mains de sa mère qui venait de lui enfiler son t-shirt et courut dans le salon. - Isabella, tu viens avec nous à la plage ? - Je ne sais pas mon grand, répondit la jeune infirmière. Maman veut peut-être rester seule avec ses deux bambins. - Non. Isabella, vous pouvez venir avec nous. Cela fera plaisir aux enfants, répondit Sarah depuis la salle de bain. Le temps était magnifique. Thomas courait devant, son ballon à la main, dans le sable blanc de la plage d’Ipanema. Sarah et Isabella portèrent Chloé qui arrivait maintenant à marcher sur des sols durs, mais pas encore dans le sable. Les deux jeunes femmes s’installèrent non loin de l’eau dans une zone surveillée par un maitre-nageur. Thomas s’était arrêté devant un petit groupe de brésiliens à peine plus vieux que lui qui jouait au football sur un terrain improvisé. Il aurait voulu jouer avec eux mais, il n’osait pas demander. Isabella s’approcha des enfants et en quelques mots leur fit comprendre qu’avec un joueur de plus, ils seraient en nombre pair, ce qui rendrait leur partie intéressante. - Mais, non… chuchota Thomas à l’oreille de la jeune infirmière. Regarde comme ils jouent bien. Ils vont se moquer de moi. - Je suis certaine que non. Et, puis, si c’est le cas et que ça ne te convient pas, tu auras toujours la possibilité de revenir nous voir sous le parasol. Mais, si tu n’essaies pas, si tu ne te confrontes pas à eux, tu ne sauras jamais s’ils étaient vraiment meilleurs que toi, s’il s’agit d’enfants moqueurs ou de futurs copains. Tu comprends petit Thomas. Il faut tenter. Prendre des risques, sinon, on n’apprend rien. Allez, va. Ils t’attendent...
”
”
Eric TERRIEN (Mein Grand-Père: Roman d espionnage historique (French Edition))