Tort Related Quotes

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Plus tard, un jeune professeur de philosophie, rompu Ă  l'analyse logique, fit, sans le vouloir peut-ĂȘtre, la thĂ©orie de cette pratique politique (*). Il la dĂ©voila avec la plus grande clartĂ©, prĂ©cisĂ©ment parce que, Ă©tant un pur logicien et de bonne foi, il Ă©tait aveugle aux leçons de l'histoire (2). Au lieu de mettre cette pratique au compte d'une Ă©poque, d'un pays, d'une structure social ou d'un homme, il la mit directement en relation avec les prĂ©ceptes de la religion. Il alla jusqu'Ă  faire l'apologie de la 'ubudiyya (servitude) islamique, opposĂ© au concept de muwatana (citoyennetĂ©) hellĂ©nique. Ce professeur ignorait sans doute que le procĂšs de la modernitĂ© et de la dĂ©mocratie Ă©tait courant au 19e siĂšcle, mĂȘme en Angleterre, patrie du libĂ©ralisme politique. Il n'avait qu'Ă  revenir Ă  l'autobiographie du cardinal Newman, qui retrace les Ă©tapes de sa conversion au catholicisme romain, pour retrouver l'essentiel de son argumentation. Ce qu'on peut lui reprocher, c'est qu'il se souciait peu des mobiles de sa pensĂ©e ; il s'attribuait une logique qui Ă©tait celle des faits, non celle des concepts qu'il s'acharnait Ă  redĂ©finir ; il ne voyait pas qu'elle soutenait une politique Ă©ducative, poursuivie par diffĂ©rents moyens depuis plus d'une gĂ©nĂ©ration. Qu'un philosophe se dĂ©cide, Ă  une certaine Ă©tape de sa carriĂšre, de s'affilier Ă  l'un des ordres les plus fermĂ©s Ă  l'influence du monde moderne, qu'il arrive par la seule force de ses dĂ©ductions - c'est du moins ce que je prĂ©sume, peut-ĂȘtre Ă  tort - Ă  justifier une totale dĂ©mission de l'esprit, Ă  refuser l'idĂ©e de citoyennetĂ©, Ă  accepter d'investir un homme, chef d'Etat ou dirigeant de confrĂ©rie, d'une pouvoir absolu, prouve Ă  quel point cette politique avait rĂ©ussi et combien l'individu est mallĂ©able. (*)crĂ©er, ou de recrĂ©er un type d'homme qui fut spontanĂ©ment en phase Ă  la fois avec son environement moderne et son hĂ©ritage politique et social." (2) (Hawla Tajdid Taqyim A-turath) chapitre XI, pp 133-134
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Űčۚۯ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Ű§Ù„ŰčŰ±ÙˆÙŠ (Le Maroc et Hassan II : Un tĂ©moignage)
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Voici les renseignements que je viens de recevoir au sujet de ce que vous m’aviez demandĂ© sur les relations prĂ©colombiennes avec l’AmĂ©rique : les moines celtiques d’Irlande seraient allĂ©s Ă©vangĂ©liser le Nord-Ouest du Canada, et de lĂ  ils seraient descendus peut-ĂȘtre jusqu’au PĂ©rou, oĂč l’on retrouve trace d’un Ă©vangĂ©lisateur blanc qu’on a identifiĂ© bien Ă  tort avec l’apĂŽtre Saint-Thomas. Quant aux Templiers, c’est au Mexique qu’ils auraient eu des possessions. Tout cela se trouve dans les travaux d’EugĂšne Beauvois, dont les tirages Ă  part sont Ă  la bibliothĂšque Nationale oĂč on peut facilement les consulter. D’autre part, j’ai vu qu’il a paru rĂ©cemment un livre intitulĂ© “Vers les Terres fortunĂ©es, 780-1490” par Mornand (Éditions de la Nouvelle France, 1946) qui, d’aprĂšs le compte rendu qui en Ă©tait donnĂ©, se rapporte Ă©galement Ă  l’histoire des moines irlandais en AmĂ©rique ; la date de 780 serait, si j’ai bien compris, celle de la fondation de leurs premiers Ă©tablissements qui seraient ainsi antĂ©rieurs aux expĂ©ditions normandes. Croyez, je vous prie, Monsieur, Ă  mes trĂšs distinguĂ©s sentiments. Correspondance avec ThĂ©odore Monod, Le Caire, le 24 aoĂ»t 1947
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René Guénon
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« jusqu'Ă  ce qu'elle ait payĂ© la derniĂšre obole. » C'est ainsi qu'il pervertit cette allĂ©gorie tout entiĂšre du Seigneur, quoique l'interprĂ©tation en soit lumineuse, et que d'abord il eĂ»t dĂ» l'entendre dans son sens naturel. Car le paĂŻen est un ennemi, marchant avec nous dans la carriĂšre commune de la vie; |74 d'ailleurs « il nous faudrait sortir de ce monde, » s'il ne nous Ă©tait pas permis de converser avec eux. Il veut donc que nous lui communiquions les biens de l'Ăąme. « Aimez vos ennemis, dit-il, et priez pour ceux qui vous maudissent, » de peur que, provoquĂ© Ă  tort par quelque relation d'affaires, il ne vous traĂźne devant son juge, et que jetĂ© en prison, vous n'y soyez dĂ©tenu jusqu'Ă  l'acquittement de toute votre dette. Veux-tu que la mention de cet ennemi s'applique au dĂ©mon, parce qu'il est dit qu'il nous observe? Tu es encore averti de garder avec lui cet accord qui est fondĂ© sur les engagements de la foi. N'as-tu pas promis de renoncer Ă  Satan, Ă  ses pompes et Ă  ses anges? Tel est le traitĂ© signĂ© entre vous. L'amitiĂ©, par suite de la fidĂ©litĂ© aux engagements, consistera pour toi Ă  ne rien reprendre dĂ©sormais de ce que tu as rĂ©pudiĂ©, de ce que tu lui as rendu, de peur qu'il ne te livre aux jugements de Dieu comme un fourbe, comme un violateur du pacte, de mĂȘme que nous le voyons ailleurs, « accuser les saints, et se faire leur dĂ©lateur, ainsi que l'indique son nom; » de peur enfin que ton juge ne te livre au ministre de ses « vengeances, et que tu ne sois envoyĂ© dans une prison, d'oĂč tu ne sortiras qu'aprĂšs avoir acquittĂ© les fautes les plus lĂ©gĂšres » dans l'intervalle de la rĂ©surrection. Quoi de plus naturel que ces sens? Quoi de plus vrai que ces interprĂ©tations?
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Tertullian (De Anima)