Style Font Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Style Font. Here they are! All 12 of them:

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A text appears in old-style, green fonts: YOU’RE ‘STILL’ WELCOME!
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Misba (The Oldest Dance (Wisdom Revolution, #2))
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... a text appears in old-style, green fonts: YOU’RE ‘STILL’ WELCOME! The Monk takes the key and inserts it into the lock carefully, hoping neither the key nor the lock will break. Of course, he does the methodical twists and turns with mechanical precision, winning through the rust until he opens the almost broken door like the gentle monk he is. The door shrieks.
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Misba (The Oldest Dance (Wisdom Revolution, #2))
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Beaucoup d'hommes distinguĂ©s sont douĂ©s du talent d'observer, sans possĂ©der celui de donner une forme vivante Ă  leur pensĂ©es ; comme d'autres Ă©crivains ont Ă©tĂ© douĂ©s d'un style merveilleux, sans ĂȘtre guidĂ©s par ce gĂ©nie sagace et curieux qui voit et enregistre toute chose. De ces deux dispositions intellectuelles rĂ©sultent, en quelque sorte, une vue et un toucher littĂ©raires. À tel homme, le faire ; Ă  tel autre, la conception ; celui-ci joue avec une lyre sans produire une seule de ces harmonies sublimes qui font pleurer ou penser ; celui-lĂ  compose des poĂšmes pour lui seul, faute d'instrument.
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Honoré de Balzac
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pourquoi il n’y aurait pas de monde aprĂšs le lycĂ©e ? – Parce que derriĂšre les grilles du bahut, y a aucun destin fabuleux, style tĂ©lĂ©film Ă  la con, qui nous attend. Juste cette salope de rĂ©alitĂ©, avec sa gueule d’acier qui va nous broyer. Mais j’irai pas manifester pour autant, et tu sais pourquoi ? Ils me font gerber, les pantins qui le font. DĂ©filer bourrĂ© dans la rue, ça dĂ©range les gens qui tra- vaillent, pas le gouvernement. Si ces imbĂ©ciles voulaient vraiment faire bouger les choses, ils retireraient leur fric de la banque, ils rendraient les clĂ©s de leur 60 m2 – qu’ils sont bien contents, d’ailleurs, de remplir de merdes Ikea – et ils iraient marcher sur l’ÉlysĂ©e flingue Ă  la main.
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Joanne Richoux (Les Collisions)
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Laissons aux critiques le soin de maltraiter Ă  volontĂ© les effusions de fantaisie et, chaque fois que parait un nouveau roman, le loisir d'aligner des formules rebattues sur les insanitĂ©s qui font se lamenter la presse actuellement. (...) Par orgueil, ignorance ou snobisme, nos ennemis sont presque aussi nombreux que nos lecteurs. L'habiletĂ© du neuf-centiĂšme compilateur de l'Histoire d'Angleterre ou de quiconque rassemble et publie douze lignes de Milton, Pope et Prior en mĂȘme temps qu'un article du Spectator et un chapitre de Sterne est encensĂ© par un millier de plumes, tandis qu'il semble y avoir un consensus quasi gĂ©nĂ©ral pour dĂ©crier le talent et sous-estimer le travail du romancier, et pour dĂ©nigrer des oeuvres que peuvent recommander seulement le gĂ©nie, le style et le bon goĂ»t.
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Jane Austen (Northanger Abbey)
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(...) la fonction du MusĂ©e, comme celle de la BibliothĂšque, n'est pas uniquement bienfaisante. Il nous donne bien le moyen de voir ensemble, comme moments d'un seul effort, des productions qui gisaient Ă  travers le monde, enlisĂ©es dans les cultes ou dans les civilisations dont elles voulaient ĂȘtre l'ornement, en ce sens il fonde notre conscience de la peinture comme peinture. Mais elle est d'abord dans chaque peintre qui travaille, et elle y est Ă  l'Ă©tat pur, tandis que le MusĂ©e la compromet avec les sombres plaisirs de la rĂ©trospection. Il faudrait aller au MusĂ©e comme les peintres y vont, dans la joie sobre [78] du travail, et non pas comme nous y allons, avec une rĂ©vĂ©rence qui n'est pas tout Ă  fait de bon aloi. Le MusĂ©e nous donne une conscience de voleurs. L'idĂ©e nous vient de temps Ă  autre que ces Ɠuvres n'ont tout de mĂȘme pas Ă©tĂ© faites pour finir entre ces murs moroses, pour le plaisir des promeneurs du dimanche ou des « intellectuels » du lundi. Nous sentons bien qu'il y a dĂ©perdition et que ce recueillement de nĂ©cropole n'est pas le milieu vrai de l'art, que tant de joies et de peines, tant de colĂšres, tant de travaux n'Ă©taient pas destinĂ©s Ă  reflĂ©ter un jour la lumiĂšre triste du MusĂ©e. Le MusĂ©e, transformant des tentatives en « Ɠuvres », rend possible une histoire de la peinture. Mais peut-ĂȘtre est-il essentiel aux hommes de n'atteindre Ă  la grandeur dans leurs ouvrages que quand ils ne la cherchent pas trop, peut-ĂȘtre n'est-il pas mauvais que le peintre et l'Ă©crivain ne sachent pas trop qu'ils sont en train de fonder l'humanitĂ©, peut-ĂȘtre enfin ont-ils, de l'histoire de l'art, un sentiment plus vrai et plus vivant quand ils la continuent dans leur travail que quand ils se font « amateurs » pour la contempler au MusĂ©e. Le MusĂ©e ajoute un faux prestige Ă  la vraie valeur des ouvrages en les dĂ©tachant des hasards au milieu desquels ils sont nĂ©s et en nous faisant croire que des fatalitĂ©s guidaient la main des artistes depuis toujours. Alors que le style en chaque peintre vivait comme la pulsation de son cƓur et le rendait justement capable de reconnaĂźtre tout autre effort que le sien, - le MusĂ©e convertit cette historicitĂ© secrĂšte, pudique, non dĂ©libĂ©rĂ©e, involontaire, vivante enfin, en histoire officielle et pompeuse. L'imminence d'une rĂ©gression donne Ă  notre amitiĂ© pour tel peintre une nuance pathĂ©tique qui lui Ă©tait bien Ă©trangĂšre. Pour lui, il a travaillĂ© toute une vie d'homme, - et nous, nous voyons son Ɠuvre comme des fleurs au bord d'un prĂ©cipice. Le MusĂ©e rend les peintres aussi mystĂ©rieux pour nous que les pieuvres ou les langoustes. Ces Ɠuvres qui sont nĂ©es dans la chaleur d'une vie, il les transforme en prodiges d'un autre monde, et le souffle qui les portait n'est plus, dans l'atmosphĂšre pensive du MusĂ©e et sous ses glaces protectrices, qu'une faible palpitation Ă  leur surface. Le MusĂ©e tue la vĂ©hĂ©mence de la peinture comme la bibliothĂšque, [79] disait Sartre, transforme en « messages » des Ă©crits qui ont Ă©tĂ© d'abord les gestes d'un homme. Il est l'historicitĂ© de mort. Et il y a une historicitĂ© de vie, dont il n'offre que l'image dĂ©chue : celle qui habite le peintre au travail, quand il noue d'un seul geste la tradition qu'il reprend et la tradition qu'il fonde, celle qui le rejoint d'un coup Ă  tout ce qui s'est jamais peint dans le monde, sans qu’il ait Ă  quitter sa place, son temps, son travail bĂ©ni et maudit, et qui rĂ©concilie les peintures en tant que chacune exprime l'existence entiĂšre, en tant qu'elles sont toutes rĂ©ussies, - au lieu de les rĂ©concilier en tant qu'elles sont toutes finies et comme autant de gestes vains.
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Merlau-Ponty
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Chapter 5.2: Generic Fonts - Sans -Serif Setting font properties will be among the most common uses of style sheets. Unfortunately, there exists no well-defined and universally accepted taxonomy for
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Anonymous
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HomĂšre donne Ă  un simple artisan le nom de sage, c'est ainsi qu'il s'exprime sur un certain Margites : « Les dieux n'en firent ni un cultivateur ou fossoyeur, ni un sage en quoi que ce soit ; il ne rĂ©ussit en aucun art. » HĂ©siode, aprĂšs avoir dit que Linus le joueur de harpe Ă©tait versĂ© dans toutes sortes de sagesses, ne craint pas de nommer sage un matelot. Il ne montre, Ă©crit-il, aucune sagesse dans la navigation. Que dit le prophĂšte Daniel : « Les sages, les mages, les devins et les augures ne peuvent dĂ©couvrir au roi le secret dont il s'inquiĂšte; mais il est un Dieu dans le ciel qui rĂ©vĂšle les mystĂšres. » Ainsi Daniel salue du nom de sages les savants de Babylone. Ce qui prouve clairement que l'Écri- 17 ture enveloppe sous la mĂȘme dĂ©nomination de sagesse toute science ou tout art profane, enfin tout ce que l'esprit de l'homme a pu concevoir et imaginer, et que toute invention d'art ou de science vient de Dieu ; ajoutons les paroles suivantes, elles ne laisseront aucun doute : « Et le Seigneur parla Ă  MoĂŻse en ces termes : VoilĂ  que j'ai appelĂ© BĂ©sĂ©lĂ©el, fils d'Uri, fils de Hur, de la tribu de Juda, et je l'ai rempli d'un divin esprit de sagesse, d'intelligence et de science, pour inventer et exĂ©cuter toutes sortes d'ouvrages, pour travailler l'or et l'argent, et l'airain, et l'hyacinthe, et le porphyre, et le bois de l'arbre qui donne l'Ă©carlate, et pour exĂ©cuter tous les travaux qui concernent l'architecte et le lapidaire, et pour travailler les bois, etc. » Dieu poursuit de la sorte jusqu'Ă  ces mots : « Et tous les ouvrages. » Puis il se sert d'une expression gĂ©nĂ©rale pour rĂ©sumer ce qu'il vient de dire : « Et j'ai mis l'intelligence dans le cƓur de tous les ouvriers intelligents; » c'est-Ă -dire, dans le cƓur de tous ceux qui peuvent la recevoir par le travail et par l'exercice. Il est encore Ă©crit d'une maniĂšre formelle, au nom du Seigneur : « Et toi, parle Ă  tous ceux qui ont la sagesse de la pensĂ©e, et que j'ai remplis d'un esprit d'intelligence. » Ceux-lĂ  possĂšdent des avantages naturels tout particuliers; pour ceux qui font preuve d'une grande aptitude, ils ont reçu une double mesure, je dirai presque un double esprit d'intelligence. Ceux mĂȘme qui s'appliquent Ă  des arts grossiers, vulgaires, jouissent de sens excellents. L'organe de l'ouĂŻe excelle dans le musicien, celui du tact dans le sculpteur, de la voix dans le chanteur, de l'odorat dans le parfumeur, de la vue dans celui qui sait graver des figures sur des cachets. Mais ceux qui se livrent aux sciences ont un sentiment spĂ©cial par lequel le poĂšte a la perception du mĂštre; le rhĂ©teur, du style; le dialecticien, du raisonnement ; le philosophe, de la contemplation qui lui est propre. Car, c'est Ă  la faveur de ce sentiment ou instinct qu'on trouve et qu'on invente, puisque c'est lui seul qui peut dĂ©terminer l'application de notre esprit. Cette application s'accroit Ă  raison de l'exercice continu. L'apĂŽtre a 18 donc eu raison de dire que « la sagesse de Dieu revĂȘt mille formes diverses, » puisque que pour notre bien elle nous rĂ©vĂšle sa puissance en diverses occasions et de diverses maniĂšres, par les arts, par la science, par la foi, par la prophĂ©tie. Toute sagesse vient donc du Seigneur, et elle est avec lui pendant tous les siĂšcles, comme le dit l'auteur du livre de la sagesse : « Si tu invoques Ă  grands cris l'intelligence et la science, si tu la cherches comme un trĂ©sor cachĂ©, et que tu fasses avec joie les plus grands efforts pour la trouver, tu comprendras le culte qu'il faut rendre au Seigneur, et tu dĂ©couvriras la science de Dieu. »
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Clement of Alexandria (Miscellanies (Stromata))
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properties will be among the most common uses of style sheets. Unfortunately, there exists no well-defined and universally accepted taxonomy for classifying fonts, and terms that apply to one font family may not be appropriate for others. E.g., 'italic' is commonly used to label slanted text, but slanted text may also be labeled as being Oblique, Slanted, Incline, Cursive or Kursiv. Therefore it is not a simple problem to map typical font
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Anonymous
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La science moderne se prĂ©sente dans le monde comme le principal ou le seul facteur de vĂ©ritĂ© ; selon ce style de certitude, connaĂźtre Charlemagne, c’est savoir combien a pesĂ© son crĂąne et quelle a Ă©tĂ© sa taille. Au point de vue de la vĂ©ritĂ© totale — redisons-le une fois de plus — il vaut mille fois mieux croire que Dieu a crĂ©Ă© le monde en six jours et que l’au-delĂ  se situe sous le disque terrestre ou dans le ciel tournant, que de connaĂźtre la distance d’une nĂ©buleuse Ă  une autre tout en ignorant que les phĂ©nomĂšnes ne font que manifester une RĂ©alitĂ© transcendante qui nous dĂ©termine de toutes parts et qui donne Ă  notre condition humaine tout son sens et tout son contenu ; aussi les grandes traditions, conscientes de ce qu’un savoir promĂ©thĂ©en mĂšnerait Ă  la perte de la vĂ©ritĂ© essentielle et salvatrice, n’ont-elles jamais prescrit ni encouragĂ© cette accumulation de connaissances tout extĂ©rieures et, en fait, mortelles pour l’homme. On affirme couramment que telle ou telle prouesse scientifique « fait honneur au genre humain », et autres niaiseries de ce genre, comme si l’homme faisait honneur Ă  sa nature autrement qu’en se dĂ©passant, et comme s’il se dĂ©passait ailleurs que dans la conscience d’absolu et dans la saintetĂ©.
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Frithjof Schuon (Light on the Ancient Worlds: A New Translation with Selected Letters (Library of Perennial Philosophy))
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a journal of scenes now the word is naked perched on stone naked the door is naked the oncoming figure naked stored in space naked meant to contain the naked i try to pry open your silence naked and caught within the last magnitude of a noise so naked conceived an outlier naked with an exact measurement that is distant from a scene so fair and naked once again uttered when ripe a meaning naked with the body of an hourglass naked whose residence is naked and an impedance of a futurity made naked by a lit indigo sky naked there are no skies naked only clothed by a closed sheen when provoked turns naked you are naked in this performance from beginning, midway, and then finality naked in a cavity meant for one as a womb you once were in naked in your fetal, your styled font obscured how the body contorts naked
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Windsor I Guadalupe Jr
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Anonymous