Ou Motivational Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Ou Motivational. Here they are! All 25 of them:

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I am Not, but the Universe is my Self.
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Shih-t'ou
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Self-worth is about who you are, not about the number of likes or followers you've got.
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Anoir Ou-chad
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Tous les hommes politiques d'aujourd'hui, selon Pontevin, sont un peu danseurs, et tous les danseurs se mĂȘlent de politique, ce qui, toutefois, ne devrait pas nous amener Ă  les confondre. Le danseur se distingue de l'homme politique ordinaire en ceci qu'il ne dĂ©sire pas le pouvoir mais la gloire ; il ne dĂ©sire pas imposer au monde telle ou telle organisation sociale (il s'en soucie comme d'une guigne) mais occuper la scĂšne pour faire rayonner son moi.
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Milan Kundera (Slowness)
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Motivo Eu canto porque o instante existe e a minha vida estĂĄ completa. NĂŁo sou alegre nem sou triste: sou poeta. IrmĂŁo das coisas fugidias, nĂŁo sinto gozo nem tormento. Atravesso noites e dias no vento. Se desmorono ou se edifico, se permaneço ou me desfaço, — nĂŁo sei, nĂŁo sei. NĂŁo sei se fico ou passo. Sei que canto. E a canção Ă© tudo. Tem sangue eterno a asa ritmada. E um dia sei que estarei mudo: — mais nada.” — CecĂ­lia Meireles
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CecĂ­lia Meireles (Flor de poemas)
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No matter how ravaging loneliness might be, I will keep doing what I do—alone; for there is a voice deep inside my being that tells me, ‘You are on course.
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Anoir Ou-chad
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Claiming to be a victim gives people perverse authority. Subjective experience becomes key: 'I am a sexual abuse victim. I am allowed to speak on this. You are not because you have never experienced what it is like to be...'. Victim status can buy special privileges and gives the green light to brand opposing views or even mild criticisms as tantamount to hate speech. So councils, who have become chief cheerleaders for policing subjective complaints, define hate speech as including 'any behavior, verbal abuse or insults, offensive leaflets, posters, gestures as perceived by the victim or any other person as being motivated by hostility, prejudice or hatred'. This effectively incites 'victims' to shout offense and expect a clamp-down. Equally chilling, if a victim aggressively accuses you of offense, it is dangerous to argue back, or even to request that they should stop being so hostile, should you be accused of 'tone policing', a new rule that dictates: '[Y]ou can never question the efficacy of anger ... when voiced by a person from a marginalized background'. No wonder people are queueing up to self-identify into any number of victim camps: you can get your voice heard loudly, close down debate and threaten critics.
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Claire Fox (‘I Find That Offensive!’)
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L'humanité a connu trois vexations. La premiÚre c'est Nicolas Copernic qui a déduit de ses observations du ciel que la Terre n'était pas au centre de l'univers. La deuxiÚme c'est Charles Darwin qui a conclu que l'homme descendait d'un primate et était donc un animal comme les autres. La troisiÚme c'est Sigmund Freud qui a signalé que la motivation réelle de la plupart de nos actes politiques ou artistiques était la sexualité.
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Bernard Werber
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En ce qui concerne les impasses de la thĂ©ologie — auxquelles les incroyants ont le droit d'ĂȘtre sensibles — nous devons avoir recours Ă  la mĂ©taphysique afin d'Ă©lucider le fond du problĂšme. Les apparentes "absurditĂ©s" qu'impliquent certaines formulations s'expliquent avant tout par la tendance volontariste et simplificatrice inhĂ©rente Ă  la piĂ©tĂ© monothĂ©iste, d'oĂč a priori la rĂ©duction des mystĂšres suprĂȘmes — relevant du Principe divin suprapersonnel — au Principe divin personnel. C'est la distinction entre le Sur-Être et l'Être, ou entre la « DivinitĂ© » et « Dieu » (Gottheit et Cott) en termes eckhartiens ; ou encore, en termes vĂ©dantins : entre le Brahma « suprĂȘme » (Para-Brahtm) et le Brahnia « non-suprĂȘme » (Apara-Brahma). Or en thĂ©ologie sĂ©mitique monothĂ©iste, le Dieu personnel n'est pas conçu comme la projection du pur Absolu ; au contraire, le pur Absolu est considĂ©rĂ© — dans la mesure oĂč on le pressent — comme l'Essence de cet Absolu dĂ©jĂ  relatif qu'est le Dieu personnel ; c'est toujours celui-ci qui est mis en relief et qui est au centre et au sommet. Il en rĂ©sulte des difficultĂ©s graves au point de vue de la logique des choses, mais « inaperçues » au point de vue de la crainte et de l'amour de Dieu : ainsi, la Toute-PossibilitĂ© et la Toute-Puissance appartiennent en rĂ©alitĂ© au Sur-Être ; elles n'appartiennent Ă  l'Être que par participation et d'une façon relative et unilatĂ©rale, ce qui dĂ©charge le Principe-Être d'une certaine « responsabilitĂ© » cosmologique. En parlant, plus haut, d'apparentes « absurditĂ©s », nous avions en vue surtout l'idĂ©e d'un Dieu Ă  la fois infiniment puissant et infiniment bon qui crĂ©e un monde rempli d'imperfections et de calamitĂ©s, y compris un Enfer Ă©ternel ; seule la mĂ©taphysique peut rĂ©soudre ces Ă©nigmes que la foi impose au croyant, et qu'il accepte parce qu'il accepte Dieu ; non par naĂŻvetĂ©, mais grĂące Ă  un certain instinct de l'essentiel et du surnaturel. C'est prĂ©cisĂ©ment la perte de cet instinct qui a permis au rationalisme d'Ă©clore et de se rĂ©pandre ; la piĂ©tĂ© s'affaiblissant, l'impiĂ©tĂ© pouvait s'affirmer. Et si d'une part le monde de la foi comporte incontestablement de la naĂŻvetĂ©, d'autre part le monde de la raison manque totalement d'intuition intellectuelle et spirituelle, ce qui est autrement grave ; c'est la perte du sacrĂ© et la mort de l'esprit. Au lieu de discuter vainement sur ce que Dieu « veut » ou ne « veut pas », les thĂ©ologiens rĂ©pondent volontiers, et avec raison, par une fin de non-recevoir : qui es-tu, homme, pour vouloir sonder les motivations de ton CrĂ©ateur ? Dieu est incomprĂ©hensible, et incomprĂ©hensibles sont ses volontĂ©s ; ce qui, au point de vue de la mĂąyĂą terrestre, est la stricte vĂ©ritĂ©, et la seule vĂ©ritĂ© que l'humanitĂ© Ă  laquelle le Message religieux s'adresse, soit capable d'assimiler avec fruit. Assimilation plus morale qu'intellectuelle ; on ne prĂȘche pas le platonisme aux pĂ©cheurs en danger de perdition, pour lesquels la rĂ©alitĂ©, c'est le monde « tel qu'il est ».
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Frithjof Schuon (The Transfiguration of Man)
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notes, et saisit sa mĂ©daille pour parler de ses travaux. Que se passe-t-il Ă  l’intĂ©rieur d’un Ă©chantillon de cet objet, si une de ses extrĂ©mitĂ©s est chauffĂ©e et l’autre mise dans la glace d’un seau Ă  champagne ? La rĂ©ponse n’est toujours pas connue, mais elle illustre l’une des motivations de cet Ă©ternel chercheur, toujours trĂšs actif. Comment expliquer les effets macroscopiques de la matiĂšre Ă  partir de ces composants microscopiques ? Comment dĂ©crire les systĂšmes qui ne sont pas Ă  l’équilibre thermodynamique ? Ou, dans le cas prĂ©sent, peut-on dĂ©duire l’équation de propagation de la chaleur, connue depuis Fourier au XIXe siĂšcle, d’aprĂšs le comportement des particules Ă©lĂ©mentaires Ă  l’intĂ©rieur de l’échantillon ?
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Anonymous
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There's no such thing as lack of confidence. It is the lack of experience that dominates your thoughts.
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Anoir Ou-chad
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Pour Proust, l'univers intĂ©rieur d'un homme constituait un Ă©tonnant miracle, un infini vertigineux. Ce n'est pas ce qui Ă©tonne Kafka. Il ne se demande pas quelles sont les motivations intĂ©rieures qui dĂ©terminent le comportement de l'homme. Il pose une question radicalement diffĂ©rente : quelles sont encore les possibilitĂ©s de l'homme dans un monde oĂč les dĂ©terminations extĂ©rieures sont devenues si Ă©crasantes que les mobiles intĂ©rieurs ne pĂšsent plus rien ? En effet, qu'est-ce que cela aurait pu changer au destin de K s'il avait eu des pulsions homosexuelles ou un complexe d'Oedipe ? Rien, tandis que pour un personnage de Proust, ça changerait tout. Autoportrait en lecteur, page 62
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Marcel Cohen
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Your worth lies in your soul. You radiate what you have within.
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Anoir Ou-chad
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Looking to the future for happiness is but a mirage—Life is happening now.
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Anoir Ou-chad
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When a road is closed. Don't panic! Look around... you'll find a new road layout ahead
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Anoir Ou-chad
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Mais il faut le voir Ă  table comme il la regarde quand elle brille, ses yeux d'animal subjuguĂ©. D'oĂč vient-elle donc cette crĂ©ature ? Pr les mots dans sa bouche, ces idĂ©es qui lui passent par la cervelle, son insatisfaction tout le temps, son intraitable enthousiasme, ce dĂ©sir d'aller voir ailleurs, de marquer les distances, cet Ă©lan qui frise l'injure parfois? Ou va-t-elle chercher tout ça ? Alors, quand leur fille a besoin de sous pour un voyage de classe ou acheter des livres, Mireille et Jean ne rechignent pas. Ils raquent. Ils font ce qu'il faut. C'est leur terrible mĂ©tier de parents, donner Ă  cette gamine les moyens de son Ă©vasion. On a si peu de raison de se rĂ©jouir dans ces endroits qui n’ont ni la mĂšre ni la Tour Eiffel, ou dieu est mort comme partout oĂč la soirĂ©e s’achĂšvent Ă  20 heures en semaine et dans les talus le week-end Car elle et Jeannot savent qu'ils ne peuvent plus grand-chose pour elle. Ils font comme si, mais ils ne sont plus en mesure de faire des choix Ă  sa place. Ils en sont rĂ©duits ça, faire confiance, croiser les doigts, espĂ©rer quils l'ont Ă©levĂ©e comme il faut et que ça suffira. L'adolescence est un assassinat prĂ©mĂ©ditĂ© de longue date et le cadavre de leur famille telle qu'elle fut git dĂ©jĂ  sur le bord du chemin. Il faut dĂ©sormais rĂ©inventer des rĂŽles, admettre des distances nouvelles, composer avec les monstruositĂ©s et les ruades. Le corps est encore chaud. Il tressaille. Mais ce qui existait, l'enfance et ses tendresses Ă©videntes, le rĂšgne indiscutĂ© des adultes et la gamine pile au centre, le cocon et la ouate, les vacances Ă  La Grande-Motte et les dimanches entre soi, tout cela vient de crever. On n'y reviendra plus. Et puis il aimait bien aller Ă  l'hĂŽtel, dont elle rĂ©glait toujours la note. Il apprĂ©ciait la simplicitĂ© des surfaces, le souci ergonome partout, la distance minime entre le lit et la douche, l'extrĂȘme propretĂ© des serviettes de bain, le sol neutre et le tĂ©lĂ©viseur suspendu, les gobelets sous plastique, le cliquetis prĂ©cis de l'huisserie quand la porte se refermait lourdement sur eux, le code wifi prĂ©cisĂ© sur un petit carton Ă  cĂŽtĂ© de la bouilloire, tout ce confort limitĂ© mais invariable. À ses yeux, ces chambres interchangeables n'avaient rien d'anonyme. Il y retrouvait au contraire un territoire ami, elle se disait ouais, les mecs de son espĂšce n'ont pas de rĂ©pit, soumis au travail, paumĂ©s dans leurs familles recomposĂ©es, sans mĂȘme assez de thune pour se faire plaisir, devenus les cons du monde entier, avec leur goĂ»t du foot, des grosses bagnoles et des gros culs. AprĂšs des siĂšcles de rĂšgne relatif, ces pauvres types semblaient bien gĂȘnĂ©s aux entournures tout Ă  coup dans ce monde qu'ils avaient jadis cru taillĂ© Ă  leur mesure. Leur nombre ne faisait rien Ă  l'affaire. Ils se sentaient acculĂ©s, passĂ©s de mode, fonciĂšrement inadĂ©quats, insultĂ©s par l'Ă©poque. Des hommes Ă©levĂ©s comme des hommes, basiques et fĂȘlĂ©s, une survivance au fond. Toute la journĂ©e il dirigeait 20 personnes, gĂ©rait des centaines de milliers d'euros, alors quand il fallait rentrer Ă  la maison et demander cent fois Ă  Mouche de ranger ses chaussettes, il se sentait un peu sous employĂ©. Effectivement. Ils burent un pinot noir d'Alsace qui les dĂ©rida et, dans la chaleur temporaire d'une veille d'enterrement, se retrouvĂšrent. - T'aurais pu venir plus tĂŽt, dit GĂ©rard, aprĂšs avoir mis les assiettes dans le lave-vaisselle. Julien, qui avait un peu trop bu, se contenta d'un mouvement vague, sa tĂȘte dodelinant d'une Ă©paule Ă  l'autre. C'Ă©tait une concession bien suffisante et le pĂšre ne poussa pas plus loin son avantage. Pour motiver son petit frĂšre, Julien a l'idĂ©e d'un entraĂźnement spĂ©cial, qui dĂ©bute par un lavage de cerveau en rĂšgle. Au programme, Rocky, Les Chariots de feu, KaratĂ© Kid, et La Castagne, tout y passe. À chaque fois, c'est plus ou moins la mĂȘme chose : des acteurs torse nu et des sĂ©quences d'entraĂźnement qui transforment de parfaits losers en machines Ă  gagner.
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Nicolas Mathieu (Connemara)
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La difficultĂ© (en particulier pour les Ă©lĂšves allophones dont al situation bien spĂ©cifique produit finalement un effet de loupe sur celle que vivent tous les Ă©lĂšves) est de comprendre Ă  qui s ’adresse l’enseignant pour orienter son attention. À travers ces quelques exemples, on conçoit l’habiletĂ© que doivent dĂ©velopper les Ă©lĂšves pour prendre des repĂšres dans un dĂ©luge de parole. On comprend aussi la fatigue des enseignants pour maintenir l’attention de tous vers le bon objet, attention qui change tout au long ed la journĂ©e Ă  un rythme soutenu. On ne dialogue donc pas vraiment avec une entitĂ© classe, mais Ă  un instant t avec certains Ă©lĂšves de la classe. Pendant quel ’un intervient, les autres ont le choix d’observer la mise en scĂšne du tĂȘte Ă  tĂȘte, d’y participer, ou de se retirer de l’échange avec plus ou moins de discrĂ©tion. Si tout le monde a bien conscience que l’attention des Ă©lĂšves est limitĂ©e et que la variation des dispositifs didactiques maintient un certain niveau de motivation, on ne dit pas assez que le cours dialoguĂ© reste le format didactique le plus difficile Ă  tenir, Ă  moins d’endormir sa classe d’ennui, ou de la qlacer par la terreur. Pourtant le temps dialoguĂ©/magistral parfois s’étire. PonctuĂ© d’exercices individuels, il s’allonge jusqu’à l’engourdissement ou l’agitation auxquels il faudra mettre un terme, en ajoutant encore des paroles Ă  un discours dĂ©jĂ  trop long. Les migraines professionnelles sont indiscutablement liĂ©es au bruit d’un groupe d’enfants et d’adolescents partageant un espace clos et restreint. Une partie non nĂ©gligeable de ces migraines est due Ă  son propre flot de paroles, Ă  tous ces monts mis bout Ă  bout, toutes ces demandes insatisfaites. Il y a beaucoup de pistes Ă  inventer pour limites ces bĂ©nĂ©fices nĂ©gatifs. Toutes ont la mĂȘme racine : il faudra nĂ©cessairement abandonner l’illusion de l’exhaustivitĂ© et du contrĂŽle des comportements. Ce qui conduit Ă  trop parler tient Ă  une croyance selon laquelle ce que l’on dit est entendu et retenu ! Toutes les recherches sur les processus de comprĂ©hension et de mĂ©morisation montrent qu’il n’en est rien. MĂȘme silencieux, l’élĂšve n’est pas nĂ©cessairement attentif, encore moins en train d’apprendre. Pour cela il faut autre chose, incontrĂŽlable de l’extĂ©rieur, on ne peut que la susciter : une intention ! (p. 21-22)
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Nathalie Francols (Profs et élÚves, apprendre ensemble - Situations quotidiennes à comprendre et à dénouer)
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Sur le sable, des parents organisaient des jeux de plage pour leurs enfants. Je les observai un instant, et fus surpris de les entendre pousser leur progĂ©niture dans la compĂ©tition avec les autres. Il ne suffisait pas qu'ils rĂ©ussissent leurs activitĂ©s, il fallait qu'ils battent leurs petits camarades, qu'ils soient meilleurs qu'eux. Que pouvaient croire ces parents ? Qu'on n'a de la valeur que lorsque l'on dĂ©passe les autres ? Qu'un rĂ©sultat n'est valable que s'il est meilleur que celui du voisin ? J'avais plutĂŽt le sentiment que la seule compĂ©tition valable Ă©tait celle que l'on avait avec soi-mĂȘme. Se surpasser plutĂŽt que dĂ©passer. Le sage m'avait dit qu'on ne pouvait juger une croyance, seulement s'intĂ©resser Ă  ses effets. Quels pouvaient-ils ĂȘtre dans un cas pareil ? Une stimulation ? Certainement. Une motivation Ă  progresser. Mais quels effets sur la relation aux autres ? Peut-on vivre une amitiĂ©, un amour, quand on a l'habitude de se comparer Ă  l'autre ? Et que ressent-on en prĂ©sence des gens ? Oscille-t-on entre sentiments de supĂ©rioritĂ© et d'infĂ©rioritĂ© ? IndiffĂ©rence et dĂ©fĂ©rence ? ou pitiĂ© et jalousie ? Ces parents Ă©taient loin de se douter de ce qu'ils induisaient chez leurs enfants, et qui allait durablement conditionner leur vie en sociĂ©tĂ©. Leurs motivations, leurs comportements, leurs Ă©motions seraient ainsi marquĂ©s par quelques croyances inculquĂ©es Ă  l'Ăąge oĂč l'on absorbe les modĂšles proposĂ©s par l'extĂ©rieur.
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Laurent Gounelle (L'homme qui voulait ĂȘtre heureux)
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Y ou already have the abundance of life in you, and each day you must decide to live abundantly by choosing not to live in the past, by never taking counsel of your fear, and most importantly by seeing the greatness within you and embracing it.
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Mensah Oteh (Unlocking Life's Treasure Chest: Wisdom keys to keep you inspired, encouraged, motivated and focused)
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Ne vous contentez jamais de ce qui saute aux yeux . Cherchez à comprendre ce qui se cache derriÚre, intégrez-le et continuez à creuser . Demandez-vous toujours pourquoi telle ou telle chose s'est passée, quelles sont les motivations des différentes personnes concernées, qui est véritablement aux commandes, et à qui tel événement profite.
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50 Cent (The 50th Law)
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PlutÎt que de laisser aux autres le pouvoir de décider de nos échecs ou de nos succÚs, préoccupons-nous plutÎt de chaque décision que l'on prendra pour impacter des vies en étant responsable de la nÎtre!
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Diogo Fino
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La terre, la terre, intelligente qu'elle est! Elle ne mĂ©prise rien, elle ne sous-estime personne. Elle se contente de nous accueillir au mĂȘme dĂ©nominateur tels que nous sommes; les grands et les petits, les riches et les pauvres, les instruits et les ignorants, les gĂ©nĂ©reux et les avares. Pas par pitiĂ© mais parce qu'elle profite de nos conglomĂ©rats d'atomes pour s'enrichir! Apprenons d'elle de ne pas mĂ©priser ou sous-estimer les autres, chacun est utile Ă  l'autre.
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Bruce Mbanzabugabo (The Inspirer, Book of Quotes)
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If your thoughts are filled with fear of the past, or worries about the future, it is certain that you cannot be in touch with what is deep inside you. You're not acting according to your real needs. It is fear that decides for you.
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Anoir Ou-chad (The Alien)
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Tout d'abord ces aliments contiennent de nombreuses toxines que le corps peut difficilement ou mĂȘme pas du tout Ă©liminer.
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Frédéric Deltour (SANTE, BIEN-ETRE ET REUSSITE... LES 7 ETAPES INDISPENSABLES: Guide Pratique pour le Corps et l'Esprit, Forme et Détente, SuccÚs et Motivation, Alimentation ... Psychologie. t. 1) (French Edition))
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Comment se sentir bien dans sa peau quand notre corps est lourd, fatigué ou malade ?
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Frédéric Deltour (SANTE, BIEN-ETRE ET REUSSITE... LES 7 ETAPES INDISPENSABLES: Guide Pratique pour le Corps et l'Esprit, Forme et Détente, SuccÚs et Motivation, Alimentation ... Psychologie. t. 1) (French Edition))
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La premiÚre que je considÚre primordiale est de réduire ou de supprimer complÚtement la viande et le poisson de ton alimentation.
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Frédéric Deltour (SANTE, BIEN-ETRE ET REUSSITE... LES 7 ETAPES INDISPENSABLES: Guide Pratique pour le Corps et l'Esprit, Forme et Détente, SuccÚs et Motivation, Alimentation ... Psychologie. t. 1) (French Edition))