Non Partisan Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Non Partisan. Here they are! All 25 of them:

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Non poteva piĂč vivere senza sapere e, soprattutto, non poteva morire senza sapere, in un'epoca in cui i ragazzi come lui erano chiamati piĂč a morire che a vivere. Avrebbe rinunciato a tutto per quella veritĂ , tra quella veritĂ  e l'intelligenza del creato avrebbe optato per la prima.
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Beppe Fenoglio (Una questione privata)
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A study by the non-partisan wealth research firm New World Wealth found that 56.2 percent of the 13.1 million millionaires in the world were Christian, while 6.5 percent were Muslim, 3.9 percent were Hindu, and 1.7 percent were Jewish. In the U.S., 48 percent of Hindus have a yearly household income of $100,000 or more, and 70 percent have at least $75,000, which makes them the highest-earning ethnic group. But
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David Baddiel (Jews Don't Count)
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Era un gioco molto bello, questo della guerra. Io avevo diciott'anni e mi ci sono divertito assai. Era divertente mettersi lo Sten a tracolla e le bombe a mano alla cintola. E ancora piĂč divertente sparare. Ma, vedete, non era un gioco la guerra. Ci siamo sbagliati. Guardate i miei occhi vitrei, la bava sanguigna che mi esce dalla bocca, e quest'orribile colore giallo sparso per tutto il mio corpo! Credevamo di giocare, ed era invece una cosa terribile, spaventosa! Smettete, ragazzi, voi che siete in tempo!
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Carlo Cassola (Fausto e Anna)
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The underlying principles, accidental and incoherent though their evolution may have been, have been exported around the globe for good reason: the presumption of innocence and burden of proof, the right to a fair trial, the right to independent legal representation, equality of arms, an independent judiciary, non-partisan tribunals of fact and the other fiercely debated, non-exhaustive aspects of the rule of law on which our present settlement is premised, all stand as self-evidently necessary to our instinctual conceptions of justice.
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The Secret Barrister (The Secret Barrister: Stories of the Law and How It's Broken)
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Ground Zero by Stewart Stafford At the rim of the abyss, Among the malignant smoking rubble, And the plane and body parts, The traumatised rediscovered their purpose. In a moonscape of fallen pride, identity, and ambition, The anonymous saved something of the unsalvageable, Searchers with sandwiches and coffee in the toxic dust, Manna from Good Samaritans with unconditional gratitude. As the lungs struggled to take in air, The hearts of each participant enlarged, And found shelter in non-partisan synergy, Becoming a family of former strangers. The lesson of the lost was to stay loving and open-hearted, Not turn away and isolate from life and others, Even when the scars became unbearable, Their stolen affection remained a towering beacon from the ruins. © Stewart Stafford, 2021. All rights reserved.
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Stewart Stafford
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Cette qualitĂ© de la joie n’est-elle pas le fruit le plus prĂ©cieux de la civilisation qui est nĂŽtre ? Une tyrannie totalitaire pourrait nous satisfaire, elle aussi, dans nos besoins matĂ©riels. Mais nous ne sommes pas un bĂ©tail Ă  l’engrais. La prospĂ©ritĂ© et le confort ne sauraient suffire Ă  nous combler. Pour nous qui fĂ»mes Ă©levĂ©s dans le culte du respect de l’homme, pĂšsent lourd les simples rencontres qui se changent parfois en fĂȘtes merveilleuses
 Respect de l’homme ! Respect de l’homme !
 LĂ  est la pierre de touche ! Quand le Naziste respecte exclusivement qui lui ressemble, il ne respecte rien que soi-mĂȘme ; il refuse les contradictions crĂ©atrices, ruine tout espoir d’ascension, et fonde pour mille ans, en place d’un homme, le robot d’une termitiĂšre. L’ordre pour l’ordre chĂątre l’homme de son pouvoir essentiel, qui est de transformer et le monde et soi-mĂȘme. La vie crĂ©e l’ordre, mais l’ordre ne crĂ©e pas la vie. Il nous semble, Ă  nous, bien au contraire, que notre ascension n’est pas achevĂ©e, que la vĂ©ritĂ© de demain se nourrit de l’erreur d’hier, et que les contradictions Ă  surmonter sont le terreau mĂȘme de notre croissance. Nous reconnaissons comme nĂŽtres ceux mĂȘmes qui diffĂšrent de nous. Mais quelle Ă©trange parenté ! elle se fonde sur l’avenir, non sur le passĂ©. Sur le but, non sur l’origine. Nous sommes l’un pour l’autre des pĂšlerins qui, le long de chemins divers, peinons vers le mĂȘme rendez-vous. Mais voici qu’aujourd’hui le respect de l’homme, condition de notre ascension, est en pĂ©ril. Les craquements du monde moderne nous ont engagĂ©s dans les tĂ©nĂšbres. Les problĂšmes sont incohĂ©rents, les solutions contradictoires. La vĂ©ritĂ© d’hier est morte, celle de demain est encore Ă  bĂątir. Aucune synthĂšse valable n’est entrevue, et chacun d’entre nous ne dĂ©tient qu’une parcelle de la vĂ©ritĂ©. Faute d’évidence qui les impose, les religions politiques font appel Ă  la violence. Et voici qu’à nous diviser sur les mĂ©thodes, nous risquons de ne plus reconnaĂźtre que nous nous hĂątons vers le mĂȘme but. Le voyageur qui franchit sa montagne dans la direction d’une Ă©toile, s’il se laisse trop absorber par ses problĂšmes d’escalade, risque d’oublier quelle Ă©toile le guide. S’il n’agit plus que pour agir, il n’ira nulle part. La chaisiĂšre de cathĂ©drale, Ă  se prĂ©occuper trop Ăąprement de la location de ses chaises, risque d’oublier qu’elle sert un dieu. Ainsi, Ă  m’enfermer dans quelque passion partisane, je risque d’oublier qu’une politique n’a de sens qu’à condition d’ĂȘtre au service d’une Ă©vidence spirituelle. Nous avons goĂ»tĂ©, aux heures de miracle, une certaine qualitĂ© des relations humaines : lĂ  est pour nous la vĂ©ritĂ©. Quelle que soit l’urgence de l’action, il nous est interdit d’oublier, faute de quoi cette action demeurera stĂ©rile, la vocation qui doit la commander. Nous voulons fonder le respect de l’homme. Pourquoi nous haĂŻrions-nous Ă  l’intĂ©rieur d’un mĂȘme camp ? Aucun d’entre nous ne dĂ©tient le monopole de la puretĂ© d’intention. Je puis combattre, au nom de ma route, telle route qu’un autre a choisie. Je puis critiquer les dĂ©marches de sa raison. Les dĂ©marches de la raison sont incertaines. Mais je dois respecter cet homme, sur le plan de l’Esprit, s’il peine vers la mĂȘme Ă©toile. Respect de l’Homme ! Respect de l’Homme !
 Si le respect de l’homme est fondĂ© dans le cƓur des hommes, les hommes finiront bien par fonder en retour le systĂšme social, politique ou Ă©conomique qui consacrera ce respect. Une civilisation se fonde d’abord dans la substance. Elle est d’abord, dans l’homme, dĂ©sir aveugle d’une certaine chaleur. L’homme ensuite, d’erreur en erreur, trouve le chemin qui conduit au feu.
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Antoine de Saint-Exupéry (Lettre à un otage)
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WE ARE THE ONLY TRUE MEDIUMS We the carriers of memory We the conductors and receivers We the stars and suns on earth We the databases of consciousness We the un-system, we the rhythm We the message We the book that’s being written Read spoken and translated Connected across generations with everything living Like planets and seashells in an infinite spiral Where you can’t isolate nothing Where the text is an experience Where borders can’t even be drawn Where lines can’t be drawn because the spiral lasts forever Where the concepts of borders, scripts, divisions, mine, yours The isolation of orthodox science fails Falls We are the true countries We the quantum ur-power stations of nature We the most perfect, most developed technology on Earth Before taxes and birth certificates of fictions This text are the bodies of your ∞ being This text is your body We the transmitters We the books of life The living song Transferrable Open Non-privatizable We the hearts of the earth We the pulse and beat and the harmony of bodies Against the cogs of antediluvian wheels We the trans-national We the divided We the displaced The self-deported and driven further Erased but devious Pagans deported on sunlight and wind Unrealized partisans Wet from the struggle and the fear of lies Of revolutions Whose rotation’s Currency is blood The wealth of nations we are The treasures The brokers of sources of inexhaustible energies Unbuyable Non-privatizable Immortal Because alive We the transmitters We the books of life The living song Transmittable Open Non-privatizable
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Tibor Hrs Pandur (UnutraĆĄnji poslovi)
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Comme l'impĂŽt est obligatoire pour tous, qu'ils votent ou non, une large proportion de ceux qui votent le font sans aucun doute pour Ă©viter que leur propre argent ne soit utilisĂ© contre eux; alors que, en fait, ils se fussent volontiers abstenus de voter, si par lĂ  ils avaient pu Ă©chapper ne serait-ce qu'Ă  l'impĂŽt, sans parler de toutes les autres usurpations et tyrannies du gouvernement. Prendre le bien d'un homme sans son accord, puis conclure Ă  son consentement parce qu'il tente, en votant, d'empĂȘcher que son bien ne soit utilisĂ© pour lui faire tort, voilĂ  une preuve bien insuffisante de son consentement Ă  soutenir la Constitution. Ce n'est en rĂ©alitĂ© aucunement une preuve. Puisque tous les hommes qui soutiennent la Constitution en votant (pour autant qu'il existe de tels hommes) le font secrĂštement (par scrutin secret), et de maniĂšre Ă  Ă©viter toute responsabilitĂ© personnelle pour l'action de leurs agents ou reprĂ©sentants, on ne saurait dire en droit ou en raison qu'il existe un seul homme qui soutienne la Constitution en votant. Puisque tout vote est secret (par scrutin secret), et puisque tout gouvernement secret est par nĂ©cessitĂ© une association secrĂšte de voleurs, tyrans et assassins, le fait gĂ©nĂ©ral que notre gouvernement, dans la pratique, opĂšre par le moyen d'un tel vote prouve seulement qu'il y a parmi nous une association secrĂšte de voleurs, tyrans et assassins, dont le but est de voler, asservir et -- s'il le faut pour accomplir leurs desseins -- assassiner le reste de la population. Le simple fait qu'une telle association existe ne prouve en rien que "le peuple des Etats-Unis", ni aucun individu parmi ce peuple, soutienne volontairement la Constitution. Les partisans visibles de la Constitution, comme les partisans visibles de la plupart des autres gouvernements, se rangent dans trois catĂ©gories, Ă  savoir: 1. Les scĂ©lĂ©rats, classe nombreuse et active; le gouvernement est pour eux un instrument qu'ils utiliseront pour s'agrandir ou s'enrichir; 2. Les dupes -- vaste catĂ©gorie, sans nul doute, dont chaque membre, parce qu'on lui attribue une voix sur des millions pour dĂ©cider ce qu'il peut faire de sa personne et de ses biens, et parce qu'on l'autorise Ă  avoir, pour voler, asservir et assassiner autrui, cette mĂȘme voix que d'autres ont pour le voler, l'asservir et l'assassiner, est assez sot pour imaginer qu'il est "un homme libre", un "souverain"; assez sot pour imaginer que ce gouvernement est "un gouvernement libre", "un gouvernement de l'Ă©galitĂ© des droits", "le meilleur gouvernement qu'il y ait sur terre", et autres absurditĂ©s de ce genre; 3. Une catĂ©gorie qui a quelque intelligence des vices du gouvernement, mais qui ou bien ne sait comment s'en dĂ©barrasser, ou bien ne choisit pas de sacrifier ses intĂ©rĂȘts privĂ©s au point de se dĂ©vouer sĂ©rieusement et gravement Ă  la tĂąche de promouvoir un changement. Le fait est que le gouvernement, comme un bandit de grand chemin, dit Ă  un individu: "La bourse ou la vie." QuantitĂ© de taxes, ou mĂȘme la plupart, sont payĂ©es sous la contrainte d'une telle menace.
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Lysander Spooner (Outrage À Chefs D'Ă©tat ;Suivi De Le Droit Naturel)
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Tea Party Patriots, Inc., as an organization, believes in Fiscal Responsibility, Constitutionally Limited Government, and Free Markets. Tea Party Patriots, Inc. is a non-partisan grassroots organization of individuals united by our core values, which derive from the Declaration of Independence, the Constitution of the United States of America, and the Bill of Rights as explained in The Federalist Papers. We recognize and support the strength of a grassroots organization powered by activism and civic responsibility at a local level. We hold that the United States is a republic conceived by its architects as a nation whose people were granted “unalienable rights” by our Creator. Chief among these are the rights to “life, liberty and the pursuit of happiness.” The Tea Party Patriots stand with our Founders, as heirs to the Republic, to claim our rights and duties which preserve their legacy and our own. We hold, as did the Founders, that there exists an inherent benefit to our country when private property and prosperity are secured by natural law and the rights of the individual. As an organization we do not take stances on social issues. We urge members to engage fully on the social issues they consider important and aligned with their beliefs.
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Mark Meckler (Tea Party Patriots: The Second American Revolution)
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The problem with creating a political party is that, by the time you finish creating it, you forget why you created it in the first place. Then slogans replace action and manifestos replace motion. So, forget parties and take action to solve the issues of your society. Come together for a common cause, seek out a leader of merit and character, then act together. And when enough regions of a nation have enough non-partisan, acting leaders of merit and character, the entire democracy of that nation is bound to turn meritocratic. Then only will we witness the rise of true democracy - a democracy free from political authoritarianism - a democracy of the people, by the people, for the people.
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Abhijit Naskar (When Humans Unite: Making A World Without Borders)
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Come together for a common cause, seek out a leader of merit and character, then act together. And when enough regions of a nation have enough non-partisan, acting leaders of merit and character, the entire democracy of that nation is bound to turn meritocratic.
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Abhijit Naskar (When Humans Unite: Making A World Without Borders)
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By the century's end, the balance of white Republicans and Democrats in the South mirrored the long-standing pattern in the non-South. In the past, each region perceived the parties in different terms. Southerners associated the Republican Party with the forces of Reconstruction, and non-Southerners associated it with business, farmers, and Protestantism. In the South, the Democratic Party was the party of states' rights and segregation, and in the non-South ii was the party of cities, labor and immigrants. For a variety of reasons—economic integration, migration, mass communication, the extension of federal power—the non-South's conception of the parties gradually spread southward.
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Donald P. Green (Partisan Hearts and Minds)
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Over the following decades, other identity markers became politicized. Religion was next. In an effort to secure the support of evangelical leaders and their increasingly mobilized flock, Republican elites staked out more and more pro-life positions. People like Jerry Falwell, Sr., the leader of the Moral Majority, a political organization associated with the Christian right, grew increasingly powerful. Democrats, seeing a chance to win over more atheists, agnostics, and culturally liberal voters, came out more and more in favor of women’s rights and access to abortion. By the early twenty-first century, if you were Christian or evangelical, you had little choice but to vote Republican. Early partisan divides on abortion were followed by increasingly polarized positions on gay rights and eventually transgender rights. Wealthy Republicans used these issues to capture the white working-class vote, and they largely succeeded, even though voting Republican was often not in workers’ economic interest. Moral imperatives and cultural identities were now, more than ever, driving voting patterns. White evangelicals now represent two-thirds of the Republican Party. By contrast, non-Christians—including agnostics, Jews, and Muslims—represent half of the Democratic Party.
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Barbara F. Walter (How Civil Wars Start: And How to Stop Them)
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L’idĂ©e de fonder en quelque sorte une science sur la rĂ©pĂ©tition trahit encore une autre illusion d’ordre quantitatif, celle qui consiste Ă  croire que la seule accumulation d’un grand nombre de faits peut servir de « preuve » Ă  une thĂ©orie ; il est pourtant Ă©vident, pour peu qu’on y rĂ©flĂ©chisse, que les faits d’un mĂȘme genre sont toujours en multitude indĂ©finie, de sorte qu’on ne peut jamais les constater tous, sans compter que les mĂȘmes faits s’accordent gĂ©nĂ©ralement tout aussi bien avec plusieurs thĂ©ories diffĂ©rentes. On dira que la constatation d’un plus grand nombre de faits donne tout au moins plus de « probabilitĂ© » Ă  la thĂ©orie ; mais c’est lĂ  reconnaĂźtre qu’on ne peut jamais arriver de cette façon Ă  une certitude quelconque, donc que les conclusions qu’on Ă©nonce n’ont jamais rien d’« exact » ; et c’est aussi avouer le caractĂšre tout « empirique » de la science moderne, dont les partisans, par une Ă©trange ironie, se plaisent pourtant Ă  taxer d’« empirisme » les connaissances des anciens alors que c’est prĂ©cisĂ©ment tout le contraire qui est vrai car ces connaissances, dont ils ignorent totalement la vĂ©ritable nature, partaient des principes et non point des constatations expĂ©rimentales, si bien qu’on pourrait dire que la science profane est construite exactement au rebours de la science traditionnelle. Encore, si insuffisant que soit l’« empirisme » en lui-mĂȘme, celui de cette science moderne est-il bien loin d’ĂȘtre intĂ©gral, puisqu’elle nĂ©glige ou Ă©carte une partie considĂ©rable des donnĂ©es de l’expĂ©rience, toutes celles en somme qui prĂ©sentent un caractĂšre proprement qualitatif ; l’expĂ©rience sensible, pas plus que tout autre genre d’expĂ©rience, ne peut jamais porter sur la quantitĂ© pure, et plus on s’approche de celle-ci, plus on s’éloigne par lĂ  mĂȘme de la rĂ©alitĂ© qu’on prĂ©tend constater et expliquer ;
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René Guénon (The Reign of Quantity & the Signs of the Times)
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Tu es de gauche ? Dis-moi, tu m’avais dit que tu es de gauche, c’est quoi au fait ? Ah, tu es contre le systĂšme, je vois. Tu es contre l’islamisme, c’est ça, oui, radicalement contre. TrĂšs bien et pour le progrĂšs, un ardent dĂ©fenseur du progrĂšs, cela va de soi. Et aprĂšs, contre le despotisme, Ă©videmment. Mais tout ça ne nourrit pas son bonhomme, je veux dire ça ne trace pas de chemin, je suis encore perdu avec toi, mĂȘme pas un brin d’horizon. Certes, tu es un fervent partisan du changement, j’en suis convaincu. TrĂšs bien, mais changer quoi ? Ta sociĂ©tĂ©, qu’est-ce ce que je suis bĂȘte, j’aurai dĂ» deviner ! Mais au fait tu la connais cette sociĂ©tĂ© ? Sa structure, ses classes sociales, ses mentalitĂ©s, ses aspirations, ses dĂ©sirs, ses douleurs ? Sais-tu son rapport au religieux ? As-tu une idĂ©e jusqu’à quel point elle est sensible Ă  tes idĂ©es, Ă  ton projet ? Évidemment non, puisque tu n’as pas d’idĂ©es, pas de projet. Alors au lieu de t’époumoner Ă  crier des slogans, va travailler mon garçon! Ton col Mao ne suffit pas Ă  lui seul Ă  convaincre. [facebook, 25 Octobre 2016]
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Mohammed Ennaji
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George Marshall, Senior, was a locally prominent Democrat, a Bryan man still, despite President McKinley’s election, not one to give or expect a dollop of non-partisan patronage.
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Ed Cray (General of the Army: George C. Marshall, Soldier and Statesman)
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remedy. The issue of Europe, he suggested, should be taken out of the hands of governments and parties, and put directly to the people in a referendum. Such a vote would be constitutionally new, but then so was signing away power to a European body. It could be justified on the grounds that the issue affected the rights of every citizen. From Labour’s point of view, there was the advantage that it would make it possible for non-partisan front-benchers to avoid any outright personal commitment, or contradiction of earlier positions – without loss of face.
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Ben Pimlott (Harold Wilson)
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...crime is an issue that should be 100% non partisan." George Pratt Schultz
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Kamala Harris (Smart on Crime: A Career Prosecutor's Plan to Make Us Safer)
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Democracy means non-sectarianism - democracy means non-partisanism - democracy means nonracism. In short, democracy is another name for unity.
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Abhijit Naskar (Martyr Meets World: To Solve The Hard Problem of Inhumanity)
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If you live in one of the 26 states in which direct democracy is an option, you can throw your support behind non-partisan ballot measures to adopt top five primaries and ranked choice voting and general elections as soon as the next election cycle. If you live in one of the other 24 states, you can organize a coalition and lobbying effort using collective citizen power to demand that officials pass these reforms legislatively.
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Katherine M. Gehl (The Politics Industry: How Political Innovation Can Break Partisan Gridlock and Save Our Democracy)
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The health of our environment should be a non partisan issue. If we remain divided, it will not be effectively addressed.
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Eileen Anglin
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Recently, evidence of non-compact districts has been stressed in claims of partisan gerrymandering. A notable example was Pennyslvania-7, the ignominious Goofy kicking Donald Duck district as shown in figure 4.2, which at one point narrowed to the width of a restaurant.
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Charles S. Bullock III (Redistricting: The Most Political Activity in America)
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À cĂŽtĂ© de ces hommes religieux, j'en dĂ©couvre d'autres dont les regards sont tournĂ©s vers la terre plutĂŽt que vers le ciel; partisans de la libertĂ©, non seulement parce qu'ils voient en elle l'origine des plus nobles vertus, mais surtout parce qu'ils la considĂšrent comme la source des plus grands biens, ils dĂ©sirent sincĂšrement assurer son empire et faire goĂ»ter aux hommes ses bienfaits: je comprends que ceux-lĂ  vont se hĂąter d'appeler la religion Ă  leur aide, car ils doivent savoir qu'on ne peut Ă©tablir le rĂšgne de la libertĂ© sans celui des mƓurs, ni fonder les mƓurs sans les croyances; mais ils ont aperçu la religion dans les rangs de leurs adversaires, c'en est assez pour eux: les uns l'attaquent, et les autres n'osent la dĂ©fendre.
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Alexis de Tocqueville (De La DĂ©mocratie En AmĂ©rique (INCLUANT TOUS LES TOMES, ANNOTÉ D’UNE BIOGRAPHIE))
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India—the land of Buddha, Mahavir, Ashoka and Gandhi—imagines itself to be a civilization rooted in non-violence. But the fact that these great apostles of peace belong to India only accentuates the terror that has blighted this land for centuries. Unfortunately, the history, geography, composition and reality of Indian society make terrorist violence almost inevitable. This would be true of any society with similar characteristics—a hugely diverse population that is riven with divisions and inequities. And it is our misfortune that we have rarely been blessed with a strong, non-partisan, non-sectarian leadership that can keep turbulence in check.
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Barkha Dutt (This Unquiet Land: Stories from India's Fault Lines)
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L'administration mise sur pied par le protectorat était coiffée par un gouvernement nationaliste , mais on n'y décernait guÚre une volonté de "nationalisme" , linguistique ou autre : Avec le renforcement de la lutte partisane on constatait plutÎt le début d'un processus de GALLICISATION encore plus prononcé que dans la période précédente. La tradition discutée, la langue nationale encore dévalorisée , des frontiÚres non affirmées , l'histoire récente oubliée, on était loin du climat nationaliste classique : La défense d'un territoire, la prépondérance d'une langue et d'une culture , la résurrection d'une tradition. Alors , de quoi s'agissait-il ? " Page 12
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Űčۚۯ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Ű§Ù„ŰčŰ±ÙˆÙŠ (Les origines sociales et culturelles du nationalisme marocain (1830-1912))