Non Durable Quotes

human relationships simply aren't durable. I think back to the women in my life. they seem non-existent.

Imagine someone from that future could go back in time and talk to you—someone who lives at a time in which mankind only inhabits one planet, who is arguably among the final generations of humans capable of permanently changing the future of human cultures across thousands of planets by creating a durable culture and high-fertility-rate family that carries prosocial values into the future. Why would you tell them you didn’t make an effort to fix things while one person's efforts could still make a difference? 

to have a physical body and to work with it and to work with the forces of nature to mold it into the highest expression of joy, and to keep it always by using it to learn how to overcome disease, impairment and as today’s cutting edge, non-funded, objective, purposeful science says, one day, even death?   What if short-term excitement and intensity created by the overblown desire to win at all cost could be replaced by a more durable excitement in an intensity springing from the heart of the physical athletic experience itself?  It would soon be discovered that sports and physical activities reformed and refurbished with integrity, not buy-offs are the best possible path to personal enlightenment and social transformation for this new millennium.

Persons in their most developed form are conscious, reflexive, embodied, self-transcending centers of subjective experience, durable identity, moral commitment, and social communication who—as the efficient cause of their own responsible actions and interactions—exercise complex capacities for agency and inter-subjectivity in order to sustain their own incommunicable selves in loving relationships with other personal selves and with the non-personal world.

Though the elite have been opened, and have opened themselves to the world, the world has not opened to all. Access is not the same as integration. But what is crucial is that no one is explicitly excluded. The effect is to blame non-elites for their lack of interest. As we have seen, the result of this logic is damning. The distinction between the elites and the rest of us appears to be a choice. It is cosmopolitanism that explains elite status to elites and closed-mindedness that explains those who choose not to participate. What matters are individual attributes and capacities, not durable inequalities. From this point of view, those who are not successful are not necessarily disadvantaged; they are simply those who have failed to seize the opportunities afforded by our new, open society.

Leaders nourish and uphold the culture of an organization. They make choices that inevitably limit the size and scope of activities that the organization undertakes. A good leader will only work in a firm where there is clear and effective governance to protect the culture, philosophy and investment discipline of the firm. The most effective leaders create a non-hierarchical environment in which idea sharing is encouraged, and diligent execution is rewarded. They also establish a solid foundation, a durable framework, and processes for successfully managing an organization that can maintain these qualities. And last, a great investment leader has a zero tolerance policy for breaches of integrity. By integrity, we mean not only honesty and fulfillment of fiduciary obligation, but process integrity.

L'inconvénient majeur de la liaison passagère, du point de vue de l'économie sexuelle, c'est qu'elle ne permet pas une adaptation sensuelle des partenaires aussi complète que la liaison durable, ni par conséquent une satisfaction sexuelle aussi complète. Du point de vue de l'économie sexuelle, c'est là l'objection sérieuse à la liaison passagère et le meilleur argument en faveur de liaison durable. Les champions du mariage pousseront ici un soupir d'aise, croyant pouvoir réintroduire frauduleusement le moralisme monogamique. Mais nous serons obligés de les décevoir à nouveau : quand nous parlons de liaison durable, nous ne fixons pas de limites de temps ; du point de vue de l'économie sexuelle, il se peut que cet liaison dure des semaines, des mois, deux ans ou dix ans ; et nous ne disons pas non plus que cette relation doit ou devrait être monogamique ; car nous ne fixons pas de normes. (p. 193)

La liaison sexuelle permanente contient de nombreux germes de conflit, non moins que toute autre type de relation durable. Ce qui nous occupe ce ne sont pas les difficultés humaines générales, mais les difficultés spécifiquement sexuelles qui s'y ajoutent. La plus importante de celles-ci, c'est le conflit entre l'amortissement (temporaire ou définitif) du désir sensuel et l'accroissement de la tendresse pour le partenaire. Dans toute relation sexuelle en effet, tôt ou tard, souvent ou rarement, apparaissent des périodes de faible attraction sensuelle, ou même d'absence complète de désir. C'est un fait d'expérience sur lequel aucun argument moral n'a de prise ; l'intérêt sexuel ne se commande pas. Mieux les partenaires seront assortis sous le rapport de la sensualité et de la tendresse, moins fréquents et irréversibles seront ces épisodes. Néanmoins toute relation sexuelle est exposée à cet amortissement. Ce fait n'aurait guère d'importance s'il ne s'y ajoutait que : 1. L'affaiblissement peut se produire chez un seul partenaire. 2. La plupart des liaisons sexuelles sont actuellement compliquées de liens économiques (dépendance de la femme et des enfants). 3. Indépendamment de ces difficultés extérieures, il existe une difficulté interne qui rend compliquée la seule solution logique : la séparation et la recherche d'un autre partenaire. (p. 195-196)

Me voici donc prêt à me libérer de mes anciens attachements pour pouvoir me consacrer pleinement à la recherche du bien suprême. Un doute pourtant me retient… Ce choix n’est-il pas dangereux ? Les plaisirs, les richesses et les honneurs ne sont certes pas des biens suprêmes, mais au moins, ils existent… Ce sont des biens certains. Alors que ce bien suprême qui est censé me combler en permanence de joie n’est pour l’instant qu’une supposition de mon esprit… Ne suis-je pas en train de m’engager dans une voie périlleuse ? Non : à la réflexion je vois bien que je ne cours aucun risque en changeant de vie : c’est au contraire en continuant à vivre comme avant que je courrais le plus grand danger. Car l’attachement aux biens relatifs est un mal certain puisque aucun d’eux ne peut m’apporter le bonheur !!! Au contraire, la recherche des moyens du bonheur est un bien certain : elle seule peut m’offrir la possibilité d’être un jour réellement heureux, ou au moins plus heureux… Le simple fait de comprendre cela me détermine à prendre définitivement et fermement la résolution de me détacher immédiatement de la recherche des plaisirs, des richesses et des honneurs, pour me consacrer en priorité à la création de mon bonheur, c’est-à-dire à la culture des joies les plus solides et les plus durables, par la recherche des biens véritables. Au moment même où cette pensée jaillit, je sens apparaître en moi un immense sentiment d’enthousiasme, une sorte de libération de mon esprit. J’éprouve un incroyable soulagement, comme si j’avais attendu ce moment toute ma vie. Une joie toute nouvelle vient de se lever en moi, une joie que je n’avais jamais ressentie auparavant : la joie de la liberté que je viens d’acquérir en décidant de ne vivre désormais que pour créer mon bonheur. J’ai l’impression d’avoir échappé à immense danger… Comme si je me trouvais à présent en sécurité sur le chemin du salut… Car même si je ne suis pas encore sauvé, même si je ne sais pas encore en quoi consistent exactement ces biens absolus, ni même s’il existe réellement un bien suprême, je me sens déjà sauvé d’une vie insensée, privée d’enthousiasme et vouée à une éternelle insatisfaction… J’ai un peu l’impression d’être comme ces malades qui sont proches d’une mort certaine s’ils ne trouvent pas un remède, n’ayant pas d’autre choix que de rassembler leurs forces pour chercher ce remède sauveur. Comme eux je ne suis certes pas certain de le découvrir, mais comme eux, je ne peux pas faire autrement que de placer toute mon espérance dans sa quête. Je l’ai maintenant compris avec une totale clarté, les plaisirs, les richesses et l’opinion d’autrui sont inutiles et même le plus souvent néfastes pour être dans le bonheur. Mieux : je sais à présent que mon détachement à leur égard est ce qu’il y a de plus nécessaire dans ma vie, si je veux pouvoir vivre un jour dans la joie. Du reste, que de maux ces attachements n’ont-ils pas engendré sur la Terre, depuis l’origine de l’humanité ! N’est-ce pas toujours le désir de les posséder qui a dressé les hommes les uns contre les autres, engendrant la violence, la misère et même parfois la mort des hommes qui les recherchaient, comme en témoigne chaque jour encore le triste spectacle de l’humanité ? N’est-ce pas l’impuissance à se détacher de ces faux biens qui explique le malheur qui règne presque partout sur le Terre ? Au contraire, chacun peut voir que les sociétés et les familles vraiment heureuses sont formées d’êtres forts, paisibles et doux qui passent leur vie à construire leur joie et celle des autres sans accorder beaucoup d’importance ni aux plaisirs, ni aux richesses, ni aux honneurs…

J’aime pas l'hiver qui se balade sous les vêtements et qui te crevasse les mains, j'aime pas le printemps qui te baratine en te promettant monts et merveilles, j'aime pas l'été qui déverse des nuées de bestioles et qui brûle les promesses, et j'aime pas non plus l'automne qui repeint le décor avec des belles couleurs pour le supprimer après. J'aime pas les saisons d'ici. Y a jamais rien qui change durablement, rien à espérer que de dérouler une corde que d'autres ont enroulée pour nous, rien qui vaille la peine de se battre. On gagne jamais, on attend que ça se passe." P214

In 2005, when Congress still depended on Communist votes for a majority in Parliament, a National Rural Employment Guarantee Act (NREGA) was passed, assuring any household in the countryside a hundred days labour a year at the legal minimum wage on public works, with at least a third of these jobs for women. It is work for pay, rather than a direct cash transfer scheme as in Brazil, to minimize the danger of money going to those who are not actually the poor, and so ensure it reaches only those willing to do the work. Denounced by all right-thinking opinion as debilitating charity behind a façade of make-work, it was greeted by the middle-class like ‘a wet dog at a glamorous party’, in the words of one of its architects, the Belgian-Indian economist Jean Drèze. Unlike the Bolsa Família in Brazil, the application of NREGA was left to state governments rather than the centre, so its impact has been very uneven and incomplete, wages often paid lower than the legal minimum, for days many fewer than a hundred.75 Works performed are not always durable, and as with all other social programmes in India, funds are liable to local malversation. But in scale NREGA now represents the largest entitlement programme in the world, reaching some 40 million rural households, a quarter of the total in the country. Over half of these dalit or adivasi, and 48 per cent of its beneficiaries are women – double their share of casual labour in the private sector. Such is the demand for employment by NREGA in the countryside that it far outruns supply. A National Survey Sample for 2009–2010 has revealed that 45 per cent of all rural households wanted the work it offers, of whom only 56 per cent got it.76 What NREGA has started to do, in the formulation Drèze has taken from Ambedkar, is break the dictatorship of the private employer in the countryside, helping by its example to raise wages even of non-recipients. Since inception, its annual cost has risen from $2.5 to over $8 billion, a token of its popularity. This remains less than 1 per cent of GDP, and the great majority of rural labourers in the private sector are still not paid the minimum wage due them. Conceived outside the party system, and accepted by Congress only when it had little expectation of winning the elections of 2004, the Act eventually had such popular demand behind it that the Lok Sabha adopted it nem con. Three years later, with typical dishonesty, the Manmohan regime renamed it as ‘Gandhian’ to fool the masses that Congress inspired it.

There is, then, no system in the history of the world which has sought for so long to combine moral and ethical teaching with the practical exercise of civil and criminal jurisprudence. It always had many drawbacks. That was why the Jewish Christians could achieve universalism only by breaking away from it. Eventually, in the Age of Enlightenment, it came to be seen as irredeemably backward, even positively abhorrent by many educated Jews, as well as by non-Jewish society. But it had many remarkable strengths too, and it gave to the Jews a moral and social world-view which is civilized and practical and proved extremely durable.

L’homme est le seul être, dans le monde terrestre, à pouvoir se purifier consciemment des taches de son existence, et c’est pour cela qu’il est dit que « l’homme est le seul animal qui sacrifie » (Shatapatha-Brâhmana, VII, 5) ; en d’autres termes, la vie étant un don du Créateur, les êtres conscients et responsables doivent, afin de réaliser spirituellement le sens de ce don en se référant à sa qualité symbolique, et afin de rendre ce don, par là même, plus prospère et plus durable, sacrifier au Créateur une partie de ce qu’il a donné. Ce sacrifice peut avoir des formes soit sanglantes, soit non sanglantes : ainsi, pour ne citer que ces exemples parmi une multitude d’autres, les Hindous, comme beaucoup de peuples, ne mangent qu’après avoir offert une part aux divinités, de sorte qu’ils ne se nourrissent au fond que de restes sacrificiels ; de même encore, les Musulmans et les Juifs versent tout le sang de la viande destinée à la consommation. Dans un sens analogue, les guerriers de certaines tribus de l’Amérique du Nord sacrifiaient, au moment de leur initiation guerrière, un doigt au « Grand- Esprit » ; il est à retenir que les doigts sont sous un certain rapport ce qu’il y a de plus précieux pour le guerrier, homme d’action, et d’autre part, le fait que l’on possède dix doigts et que l’on en sacrifie un, c’est-à-dire un dixième de ce qui représente notre activité, est fort significatif, d’abord parce que le nombre dix est celui du cycle accompli ou entièrement réalisé, et ensuite à cause de l’analogie qui existe entre le sacrifice dont nous venons de parler et la dîme (décima, dixième). Celle-ci est du reste l’équivalent exact de la zakkât musulmane, l’aumône ordonnée par la Loi qoranique : afin de conserver et d’augmenter les biens, on empêche le cycle de prospérité de se fermer et cela en sacrifiant le dixième, c’est-à-dire la partie qui constituerait précisément l’achèvement et la fin du cycle. Le mot zakkât a le double sens de « purification » et de « croissance », termes dont le rapport étroit apparaît très nettement dans l’exemple de la taille des plantes ; ce mot zakkât vient étymologiquement du verbe zakâ qui veut dire « prospérer » ou « purifier », ou encore, dans une autre acception, « lever » ou « payer » la contribution sacrée, ou encore « augmenter ». Rappelons aussi, dans cet ordre d’idées, l’expression arabe dîn, qui signifie non seulement « tradition », selon l’acception la plus courante, mais aussi « jugement », et, avec une voyellisation un peu différente qui fait que le mot se prononce alors dayn, « dette » ; ici encore, les sens respectifs du mot se tiennent, la tradition étant considérée comme la dette de l’homme vis-à-vis de Dieu ; et le « Jour du Jugement » (Yawm ed-Dîn) — « Jour » dont Allâh est appelé le « Roi » (Mâlik) — n’est autre que le jour du « paiement de la dette » de l’individu envers Celui à qui il doit tout et qui est son ultime raison suffisante.

THE LIVING SKIN Summarising, it should be clear by now that the skin is anything but a mere expanse of leather covering the living body. It is itself a living organ of complex function and extraordinary activity. It has to combine many conflicting characteristics: mechanical strength with pliability and elasticity; durability to wear with a high degree of sensitivity; permeability to wastes being driven from the body and impermeability to poisons or micro-organisms seeking entry; regulation of the body's temperature while itself suffering extremes; absorption of beneficial forms of light and automatic adaptation to excessive amounts. In all these activities, it works best when kept busy, being subjected to all manner of variation and handling difficult situations. It is weakened by pampering, deadened by kindness and poisoned by attempts to “feed” it from without. It likes to meet the elements, in as natural and wholesale a form as possible, but welcomes them even in little civilised packets. When it throws waste out, it prefers to be done with it as completely and promptly as possible; it hates to be kept in a sour, greasy, stale atmosphere, held against it by close- fitting, non- porous clothing. It loves to have its surface scraped, scratched and 24

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the rise of the white liberal philanthropic establishment had lasting political effects that ultimately equaled (and in some ways surpassed) the most immediate repressive outcomes of COINTELPRO and its offspring. It is the paradigm-shaping political influence of the post-1970s white philanthropic renaissance that remains the durable and generally underanalyzed legacy of late 20th-century White Reconstruction.

The faithful living out of the tropos of the incarnate Christ is the challenge that faces us in all these areas, and what it entails (so Bonhoeffer and Przywara alike insist) is the patient embrace of finitude, the refusal of defensive anxiety about the Church’s privilege or influence, the recognition and valuing of the unspectacular, in life and art, as the site where we may expect the paradoxical radiance of the infinite to become visible. Christian ethics is not about dramatic and solitary choices for individual good or evil but the steady building of a culture of durable mutuality and compassion. Christian aesthetics is not about genius-driven or near-magical transmutations of this world into some imagined semblance of divine glory and abundance, but the gift of unlocking in the most ordinary setting or object the ‘grace of sense’ that allows it to be seen with (to use the word again) durable, attentive love. And Christian metaphysics? Przywara’s work clearly understands the role of Christology in developing a schematic and consistent view of analogy, depending on the recognition that whatever comes into intellectual focus in our human understanding is always already implicated in relations that make its life more than a single and containable phenomenon but something opening out on to an unlimited horizon of connection... ...authentic theology shows itself, in self-forgetting and self-dispossessing practice. The theology that we write and discuss has no substance independently of this formal content, this knowledge of how to ‘enact Christ’ in the world. And it is because of this that Przywara resists a reading of St John of the Cross’s spiritual teaching which simply identifies the ‘night of spirit’ with the negation of the creaturely. Put like this, it can suggest yet another form of the competitive ontological model which we struggle to escape from – more world, less God, and vice versa. But St John properly read – giving priority to the poems rather than the commentaries on them – characterizes the night as participation in the act of Christ the Word. The darkness of our prayer is not the result of a straightforward gap between what we can know as creatures and the unknowable depths of God, the infinite dissimilarity between finite and infinite; it is our assimilation into the infinite’s self-unveiling in the dark places of the finite world, in the wordless helplessness of the cross. And because it is in this way an entry deeper and deeper into the centre of God’s activity, it is a journey into the ‘excess’ of divine light, the overflowing of God’s absolute abundance, which is itself nothing else than agape directed towards the life and joy of the other – in the divine life and in the relation of divine to non-divine life.

Of course, “conventional wisdom” at the time held that there could never be a pickup in demand for homes. Instead, most people were convinced that the American dream of home ownership was over; demand for homes would remain depressed forever; and thus the overhang of unsold homes would be absorbed only very slowly. They cited the trend among young people — having been burnt by the collapse of the housing and mortgage bubbles — to rent rather than buy, and as usual they extrapolated it rather than question its durability. As in so many of the examples in this book, for most people, psychology-driven extrapolation took the place of an understanding of and belief in cyclicality. It was clear to me and my Oaktree colleagues, from the graph and from our knowledge of the data behind it, that because the greatest economic crash in almost eighty years had halted additions to the housing supply, home prices could recover strongly if there was any material increase in demand. And, rejecting conventional wisdom, we were convinced that housing demand would prove cyclical as usual, and thus would pick up sometime in the intermediate-term future. This conclusion — supported by other data and analysis — contributed to our decision to invest heavily in non-performing home mortgages and non-performing bank loans secured by land for residential construction, and to purchase North America’s largest private homebuilding company. These investments worked out quite well. (It’s interesting in this context to note what the Wall Street Journal said in a May 12, 2017 article headlined “Generation of Renters Now Buying”: “In all [first-time home buyers] have accounted for 42% of buyers this year, up from 38% in 2015 and 31% at the lowest point during the recent housing cycle in 2011.” So much for extrapolating widespread abandonment of home ownership.)

Addison,” Taylor said quietly. “Has it ever occurred to you that maybe Corbin really cares for you?” “What? Don’t be silly.” I frowned. “I’m just a conquest to him—it’s a feather in his cap to be able to say that a non-glam Auditor is his consort. It’s like… like a mobster showing off his girlfriend who also just happens to be a cop or a judge.” “Maybe not.” Taylor looked thoughtful. “I’ve heard rumors about Corbin.” “Such as?” I raised an eyebrow and made a go on signal with one hand. “Well, he’s not nearly the playboy he makes himself out to be for one thing,” Taylor said. “He’s almost never with anyone—he mostly keeps to himself except to feed occasionally. And he never pays the Crimson Debt or lets anyone else pay it for him.” “Meaning he doesn’t feed on anyone during sex or let them feed on him?” I said. She nodded. “Honestly, I don’t think he has that much sex at all. Not even glam-sex.” “Oh come on, Taylor—he’s a vampire,” I objected. “Sex and blood, that’s what they’re all about—that’s what they do.” “Most of them maybe. But if what I’ve heard is right, Corbin mostly keeps to himself.” “But why?” I asked, frowning. “I mean, it’s not for lack of willing partners, I’m sure.” He got under my skin like a bad rash but there was no denying Corbin was gorgeous. “I don’t know why, exactly.” Taylor shrugged. “They say he had someone once—a human—but he lost her. Now he mostly keeps to himself out of respect for her memory.” I thought of what he’d told me, about having a human female he loved enough to be gentle with once and how she’d “died anyway.” “Why didn’t he just bond her to him?” I asked. Vamps can bond any human they want, which greatly increases the human’s lifespan, sometimes even enough to match the vamp’s. It makes them a little more durable too, though under the law they’re still not supposed to have sex with the vamp that bonds them. “I don’t know.” Taylor shook her head. “But I do know you’re pretty much the only girl he’s shown an interest in. I mean, he does a lot of casual flirting, you know?” “Yeah, I know.” I nodded. Nobody was better at eye-fucking than Corbin. “But none of it amounts to anything. I mean, I’ve never heard of him taking anyone into one of his daylight resting places the way he took you. Not vampire, not human—no one,” Taylor emphasized.

Utiliser son sac avec grace, c'est comme manger avec elegance, marcher avec prestance ou saisir un verre de champagne avec classe. La beaute se definit en general par la sobriete et l'economie des moyens, par l'adaptation des formes a leur fin, des formes simples, pures et primaires. Investir dans un sac de qualite, c'est non seulement se faire plaisir mais aussi se revolter contre la mediocrite et la consommation de masse grandissante qui peu a peu detruisent notre culture, notre civilisation et nos sens. Acheter de la qualite, c'est encourager une autre forme de commerce, respecter ce que nous possedons, vivre avec la lenteur d'un cuir qui se patine et pratiquer la simplicite: ne pas toujours chercher a acquerir plus tout en se contentant de ce que l'on a. Mon conseil est donc celui-ci: ne regardez pas les sacs exposes dans les magasins pour choisir un modele mais ceux portes par les femmes, dans la rue. C'est la meilleure facon de voir comment le cuir se drappe, la forme se bombe, la matiere se patine et s'ils ont, visuellement, une belle architecture une fois portes. L'argent devrait etre utilise pour vivre dans la qualite, y compris la qualite esthetique. Les belles choses apportent une joie durable. Le choix d'un sac pour longtemps ne serait-il pas le besoin d'une certaine forme de stabilite, d'harmonie et de confort dans ses besoins materiels? Affirmer son style, c'est exprimer par ses choix ses gouts et ses valeurs. Les exterioriser ensuite par le bon choix de vetements et de sacs est l'etape suivante. Etre chic, c'est savoir resister a la tentation. Faire des economies ce n'est pas acheter au meilleur prix l'objet convoite, c'est apprendre sereinement a s'en passer. Le voyage est sans doute la meilleure des situations pour apprecier les bienfaits du minimalisme et s'en inspirer pour l'appliquer au quotidien. Le voyage est l'occasion ideale de "refaire son bagage", c'est-a-dire de repenser la facon dont on vit sa vie et de l'ameliorer. On a tout son temps, en voyage, pour penser, reflechir a ce qui fait le "sel de la vie". C'est sur la route qu'on apprend a se passer du superflu: pas de television, de distractions, de consommation et de shopping. La vie est simplifiee au profit de la mobilite. On a egalement plus de temps pour soi-meme et/ou les rencontres. En voyage, on devient, comme le prescrit le zen, prepare a toutes les eventualites de la vie. le voyage est un retour vers l'essentiel. Proverbe tibetain Vivre avec peu est comme une invitation au voyage, a un vol interieur qui libere du reel et du poids de l'existence.