Mes Soeurs Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Mes Soeurs. Here they are! All 6 of them:

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Le langage a toujours été une chasse gardée. Qui possède le langage possèdera le pouvoir.
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Chloé Delaume (Mes bien chères soeurs)
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Le Métèque Avec ma gueule de métèque, de juif errant, de pâtre grec Et mes cheveux aux quatre vents Avec mes yeux tout délavés, qui me donnent l'air de rêver Moi qui ne rêve plus souvent. Avec mes mains de maraudeur, de musicien et de rôdeur Qui ont pillé tant de jardins Avec ma bouche qui a bu, qui a embrassé et mordu Sans jamais assouvir sa faim Avec ma gueule de métèque, de juif errant, de pâtre grec De voleur et de vagabond Avec ma peau qui s'est frottée au soleil de tous les étés Et tout ce qui portait jupon Avec mon coeur qui a su faire souffrir autant qu'il a souffert Sans pour cela faire d'histoire Avec mon âme qui n'a plus la moindre chance de salut Pour éviter le purgatoire. Avec ma gueule de métèque, de juif errant, de pâtre grec Et mes cheveux aux quatre vents Je viendrai ma douce captive, mon âme soeur, ma source vive Je viendrai boire tes vingt ans Et je serai prince de sang, rêveur, ou bien adolescent Comme il te plaira de choisir Et nous ferons de chaque jour, toute une éternité d'amour Que nous vivrons à en mourir. Et nous ferons de chaque jour, toute une éternité d'amour Que nous vivrons à en mourir.
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Georges Moustaki
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Ma soeur a mis le feu à sa chambre en lisant la nuit avec une lampe de poche sous son duvet pour que mon père ne voie pas de lumière passer sous la porte. Mais elle l'a éteint toute seule, en battant l'édredon contre le mur, et en ouvrant la fenêtre pour évacuer la fumée. Quand ma mère entre le matin dans sa chambre, elle trouve tout cramé. Mes parents n'ont plus la force de rosser ma soeur, elle résiste trop dignement à leurs coups.
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Hervé Guibert (My Parents (Masks))
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LE SYLLABUS Tout en mangeant d'un air effaré vos oranges, Vous semblez aujourd'hui, mes tremblants petits anges, Me redouter un peu; Pourquoi ? c'est ma bonté qu'il faut toujours attendre, Jeanne, et c'est le devoir de l'aïeul d'être tendre Et du ciel d'être bleu. N'ayez pas peur. C'est vrai, j'ai l'air fâché, je gronde, Non contre vous. Hélas, enfants, dans ce vil monde, Le prêtre hait et ment; Et, voyez-vous, j'entends jusqu'en nos verts asiles Un sombre brouhaha de choses imbéciles Qui passe en ce moment. Les prêtres font de l'ombre. Ah ! je veux m'y soustraire. La plaine resplendit; viens, Jeanne, avec ton frère, Viens, George, avec ta soeur; Un rayon sort du lac, l'aube est dans la chaumière; Ce qui monte de tout vers Dieu, c'est la lumière; Et d'eux, c'est la noirceur. J'aime une petitesse et je déteste l'autre; Je hais leur bégaiement et j'adore le vôtre; Enfants, quand vous parlez, Je me penche, écoutant ce que dit l'âme pure, Et je crois entrevoir une vague ouverture Des grands cieux étoilés. Car vous étiez hier, ô doux parleurs étranges, Les interlocuteurs des astres et des anges; En vous rien n'est mauvais; Vous m'apportez, à moi sur qui gronde la nue, On ne sait quel rayon de l'aurore inconnue; Vous en venez, j'y vais. Ce que vous dites sort du firmament austère; Quelque chose de plus que l'homme et que la terre Est dans vos jeunes yeux; Et votre voix où rien n'insulte, où rien ne blâme, Où rien ne mord, s'ajoute au vaste épithalame Des bois mystérieux. Ce doux balbutiement me plaît, je le préfère; Car j'y sens l'idéal; j'ai l'air de ne rien faire Dans les fauves forêts. Et pourtant Dieu sait bien que tout le jour j'écoute L'eau tomber d'un plafond de rochers goutte à goutte Au fond des antres frais. Ce qu'on appelle mort et ce qu'on nomme vie Parle la même langue à l'âme inassouvie; En bas nous étouffons; Mais rêver, c'est planer dans les apothéoses, C'est comprendre; et les nids disent les mêmes choses Que les tombeaux profonds. Les prêtres vont criant: Anathème ! anathème ! Mais la nature dit de toutes parts: Je t'aime ! Venez, enfants; le jour Est partout, et partout on voit la joie éclore; Et l'infini n'a pas plus d'azur et d'aurore Que l'âme n'a d'amour. J'ai fait la grosse voix contre ces noirs pygmées; Mais ne me craignez pas; les fleurs sont embaumées, Les bois sont triomphants; Le printemps est la fête immense, et nous en sommes; Venez, j'ai quelquefois fait peur aux petits hommes, Non aux petits enfants.
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Victor Hugo (L'Art d'être grand-père)
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Je m'appelle Pauline et je vais avoir 30 ans. J’aime écrire pour me libérer de toutes sortes d’émotions, tantôt positives tantôt négatives. Je peux passer des heures à écrire sur un sujet que je tiens énormément comme la rencontre, l’amour ou encore le voyage. Concernant ma vie privée, je suis une personne très épanouie en amour. Et c’est pour cette raison que j’ai créé Le French Kiss avec mon partenaire. C’est à travers cette plateforme que je partage mes astuces pour rencontrer l’âme-soeur. Je tiens à préciser que je ne suis pas “un docteur Love” et encore moins un coach de rencontre. En revanche, j’ai décidé de venir en aide aux célibataires qui cherchent un amoureux(se), car tout le monde mérite de trouver le grand amour.
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Le French Kiss
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Je ne reconnais plus Mes soeurs les vents
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Josephine Bacon