Louis Du Lac Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Louis Du Lac. Here they are! All 14 of them:

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What would Christ need have done to make me follow him like Matthew or Peter? Dress well, to begin with. And have a luxurious head of pampered yellow hair
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Anne Rice
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I had to have him, had to. Just the way I had to have everything I wanted; or had to do everything I'd ever wanted to do.
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Anne Rice (The Queen of the Damned (The Vampire Chronicles, #3))
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We live forever; but they don't come back.
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Anne Rice (The Queen of the Damned (The Vampire Chronicles, #3))
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I think to be this happy is to be miserable, to feel this much satisfaction is to burn.
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Anne Rice
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Lestat: I despise you! I ought to destroy you-finish what I started when I made you. Turn you into ashes and sift them through my hands. You know that I could do it! Like that! Like the snap of mortal fingers, I could do it. Burn you as I burnt your little house. And nothing could save you, nothing at all.
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Anne Rice
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Don't be afraid. Just start the tape.
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Anne Rice
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Lestat: You're very anxious to be out of these rooms, aren't you? Why don't we simply get into bed together? I don't understand. David: You're serious? Lestat: Of course David: You do realize, that this is an absolutely magnificent body, don't you? I mean you aren't insensible to the fact that you've been deposited in a...a most impressive piece of young male flesh. Lestat: I looked it over well before the switch, remember? Why is it you don't want to.. David: You've been with a woman, haven't you? Lestat: I wish you hadn't read my mind. It's rude. Besides, what does that matter to you? David: A woman you loved. Lestat: I have always loved both men and women. David: That's a slightly different use of the word 'love.
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Anne Rice
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What would Christ need have done to make me follow Him like Matthew or Peter? Dress well, to begin with, And have a luxurious head of pampered yellow hair.
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Anne Rice (Interview with the Vampire (The Vampire Chronicles, #1))
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Her gaze was steady but never anything but soft. “Louis de Pointe du Lac would see a ghost now,” she said, musing, “as if his suffering isn’t enough.
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Anne Rice (Merrick (The Vampire Chronicles, #7))
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Daniel himself had no use for the world, and had come to me hungering for our Dark Blood, his brain swimming with macabre, grotesque tales which Louis de Pointe du Lac had told him.
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Anne Rice (The Vampire Armand (The Vampire Chronicles, #6))
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I did not love those decadent and cynical French mummers. Those I had loved, and those who I could love, were, save for Louis de Pointe du Lac, utterly beyond my grasp. I must have Louis, that was my injunction. I knew no other. So I did not interfere when Louis incinerated the Coven, and the infamous theatre, striking at the risk of his own life, with flame and scythe at the very hour of dawn.
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Anne Rice (The Vampire Armand (The Vampire Chronicles, #6))
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Enquanto Stoker via seus vampiros como manifestações do proibido e do profano, Rice explorou-os como formas de lidar com sua realidade, com conflitos que lhes eram particulares; ela, que sempre se viu refletida na figura do outsider, sentiu-se confortável ao lidar com figuras que tentavam encontrar um significado para si fora da normatividade. Louis e Lestat, tão diferentes, carregam em si um pouco do fantasma da culpa católica e do desejo por ruptura e liberdade – sentimentos conflituosos, mas presentes simultaneamente em Rice.
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Thiago Sardenberg (O Vampiro Ă  Sombra do Mal: A Fluidez do Lugar da Figura MĂ­tica na Literatura)
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La pâte des nuages se modelait comme une cire au gré des courants, poussant une série continuelle d'ébauches et de maquettes, de vagues tentatives vers un ordre et une harmonie jamais atteints. Une espèce de chaos élémentaire, où toutes les formes existaient encore en puissance et cherchaient désespérément à se réaliser. Ainsi le plus petit nuage tâchait de devenir dragon. Et vite, il commençait de pousser une queue et des pattes admirablement crochues... (C'était merveille de voir comme tout cela "faisait" dragon...) Mais, quand il en venait à la tête, cette maudite queue se détachait sans crier gare. Alors il décidait d'être cheval... non, bateau, aéronef, Iles Britannique, Louis XIV... n'importe quoi, quelque chose enfin! Las! A peine suggérées, les formes fuyaient le regard comme des nymphes et s'anéantissaient l'une l'autre. L'enchanteur invisible qui présidait à la fête sortait une locomotive d'un œuf avec une aisance déconcertante, puis, fendant du haut en bas, d'un coup de baguette magique, le rideau des brumes, entrebâillait pour nous seuls d'éblouissantes perspective pleines de décors à trompe-l'œil et de mirages. D'insidieuses invitations au voyage retentissaient à nos oreilles parmi les molles steppes de l'espace, les Arcadies triomphales semées de colonnades, de palais et de dômes, tous construits par le Bramante. Puis ces mondes atteignaient une perfection inquiétante et commençaient à chanceler. Les glorieuses coupoles s'effondraient sur elles-mêmes avec langueur, accumulaient des décombres informes d'où naissaient à leur tour les portiques et minarets d'une Bagdad fabuleuse... Sur quoi les brumes exécutaient, pour clore la parade, un fondu d'apothéose. Un dernier nuage s'entrouvrit enfin sur quelque chose de fixe, de dur, de réel. Une longue digue cimentée de neige s'allongea tout d'un coup cent mètres plus bas, entre deux lacs de brumes houleuses, joignant d'un bord à l'autre les escarpements du fjord. Et vers le milieu de cette digue, un peu en contrebas sur le versant ouest, tour à tour émergée ou noyée d'écume, il y avait une boite carrée, miroitante, espèce de piège à rats qu'Alain nous désigna de son piolet tendu: "La cabane, dit-il. Col du Miage...
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Samivel (L'amateur d'abîmes)
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De plaisir, elle aspira longuement tandis qu’au même moment un nommé Louis Bovard, ouvrier âgé de soixante-dix ans, dépourvu de piano et même de tapis persan, trop âgé pour trouver de l’embauche et seul au monde, se jetait dans le lac de Genève, sans même en admirer les teintes délicates et les subtiles harmonies. Car les pauvres sont vulgaires, ne s’intéressent pas à la beauté, à ce qui élève l’âme, bien différents en vérité de la reine Marie de Roumanie qui dans ses mémoires a béni la faculté que Dieu, paraît-il, lui a donné « de ressentir profondément la beauté des choses et de s’en réjouir ». Délicate attention de l’Éternel.
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Albert Cohen (Belle du Seigneur)