Les Mains Sales Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Les Mains Sales. Here they are! All 19 of them:

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I met your father last week. Are you still interested in hearing how he is doing? Hugo: No. Karsky: It is very probable that you will be responsible for his death. Hugo: It is virtually certain that he is responsible for my life. We are even.
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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It is the good children, Madame, who make the most terrible revolutionaries. They say nothing, they do not hide under the table, they eat only one sweet at a time, but later on, they make Society pay dearly for it!
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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You cling so tightly to your purity, my lad! How terrified you are of sullying your hands. Well, go ahead then, stay pure! What good will it do, and why even bother coming here among us? Purity is a concept of fakirs and friars. But you, the intellectuals, the bourgeois anarchists, you invoke purity as your rationalization for doing nothing. Do nothing, don’t move, wrap your arms tight around your body, put on your gloves. As for myself, my hands are dirty. I have plunged my arms up to the elbows in excrement and blood. And what else should one do? Do you suppose that it is possible to govern innocently?
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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I shall have to get used all over again to speaking to people without touching them.
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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You didn't succeed. Well, what of that? There's nothing to prove, you know, and the revolution's not a question of virtue but of effectiveness. There is no heaven. There's work to be done, that's all. And you must do what you're cut out for; all the better if it comes easy to you. The best work is not the work that takes the most sacrifice. It's the work in which you can best succeed.
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Jean-Paul Sartre (No Exit and Three Other Plays)
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Des fois, je donnerais ma main Ă  couper pour devenir tout de suite un homme et d'autres fois il me semble que je ne voudrais pas survivre Ă  ma jeunesse.
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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Eres un mocoso a quien le cuesta pasar a la edad adulta, pero serás un hombre muy aceptable si alguien te facilita el paso.
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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Et que faudrait-il faire ? Chercher un protecteur puissant, prendre un patron, Et comme un lierre obscur qui circonvient un tronc Et s'en fait un tuteur en lui léchant l'écorce, Grimper par ruse au lieu de s'élever par force ? Non, merci ! Dédier, comme tous ils le font, Des vers aux financiers ? se changer en bouffon Dans l'espoir vil de voir, aux lèvres d'un ministre, Naître un sourire, enfin, qui ne soit pas sinistre ? Non, merci ! Déjeuner, chaque jour, d'un crapaud ? Avoir un ventre usé par la marche ? une peau Qui plus vite, à l'endroit des genoux, devient sale ? Exécuter des tours de souplesse dorsale ?... Non, merci ! D'une main flatter la chèvre au cou Cependant que, de l'autre, on arrose le chou, Et donneur de séné par désir de rhubarbe, Avoir son encensoir, toujours, dans quelque barbe ? Non, merci ! Se pousser de giron en giron, Devenir un petit grand homme dans un rond, Et naviguer, avec des madrigaux pour rames, Et dans ses voiles des soupirs de vieilles dames ? Non, merci ! Chez le bon éditeur de Sercy Faire éditer ses vers en payant ? Non, merci ! S'aller faire nommer pape par les conciles Que dans des cabarets tiennent des imbéciles ? Non, merci ! Travailler à se construire un nom Sur un sonnet, au lieu d'en faire d'autres ? Non, Merci ! Ne découvrir du talent qu'aux mazettes ? Être terrorisé par de vagues gazettes, Et se dire sans cesse : "Oh ! pourvu que je sois Dans les petits papiers du Mercure François" ?... Non, merci ! Calculer, avoir peur, être blême, Préférer faire une visite qu'un poème, Rédiger des placets, se faire présenter ? Non, merci ! non, merci ! non, merci ! Mais... chanter, Rêver, rire, passer, être seul, être libre, Avoir l'œil qui regarde bien, la voix qui vibre, Mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers, Pour un oui, pour un non, se battre, - ou faire un vers ! Travailler sans souci de gloire ou de fortune, À tel voyage, auquel on pense, dans la lune ! N'écrire jamais rien qui de soi ne sortît, Et modeste d'ailleurs, se dire : mon petit, Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles, Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles ! Puis, s'il advient d'un peu triompher, par hasard, Ne pas être obligé d'en rien rendre à César, Vis-à-vis de soi-même en garder le mérite, Bref, dédaignant d'être le lierre parasite, Lors même qu'on n'est pas le chêne ou le tilleul, Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul !
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Edmond Rostand (Cyrano de Bergerac)
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Je suis encore un homme jeune, et pourtant, quand je songe à ma vie, c’est comme une bouteille dans laquelle on aurait voulu faire entrer plus qu’elle ne peut contenir. Est-ce le cas pour toute vie humaine, ou suis-je né dans une époque qui repousse toute limite et qui bat les existences comme les cartes d’un grand jeu de hasard ? Moi, je ne demandais pas grand-chose. J'aurais aimé ne jamais quitter le village. Les montagnes, les bois, nos rivières, tout cela m’aurait suffi. J’aurais aimé être tenu loin de la rumeur du monde, mais autour de moi bien des peuples se sont entretués. Bien des pays sont morts et ne sont plus que des noms dans les livres d’Histoire. Certains en ont dévoré d’autres, les ont éventrés, violés, souillés. Et ce qui est juste n’a pas toujours triomphé de ce qui est sale. Pourquoi ai-je dû, comme des milliers d’autres hommes, porter une croix que je n’avais pas choisie, endurer un calvaire qui n’était pas fait pour mes épaules et qui ne me concernait pas? Qui a donc décidé de venir fouiller mon obscure existence, de déterrer ma maigre tranquillité, mon anonymat gris, pour me lancer comme une boule folle et minuscule dans un immense jeu de quilles? Dieu? Mais alors, s’Il existe, s’Il existe vraiment, qu’Il se cache. Qu’Il pose Ses deux mains sur Sa tête, et qu’Il la courbe. Peut-être, comme nous l'apprenait jadis Peiper, que beaucoup d’hommes ne sont pas dignes de Lui, mais aujourd’hui je sais aussi qu’Il n'est pas digne de la plupart d’entre nous, et que si la créature a pu engendrer l’horreur c’est uniquement parce que son Créateur lui en a soufflé la recette.
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Philippe Claudel (Brodeck)
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Oh ! aimer une femme ! être prêtre ! être haï ! l’aimer de toutes les fureurs de son âme, sentir qu’on donnerait pour le moindre de ses sourires son sang, ses entrailles, sa renommée, son salut, l’immortalité et l’éternité, cette vie et l’autre ; regretter de ne pas être roi, génie, empereur, archange, dieu, pour lui mettre un plus grand esclave sous les pieds ; l’étreindre nuit et jour de ses rêves et de ses pensées ; et la voir amoureuse d’une livrée de soldat ! et n’avoir à lui offrir qu’une sale soutane de prêtre dont elle aura peur et dégoût ! Être présent, avec sa jalousie et sa rage, tandis qu’elle prodigue à un misérable fanfaron imbécile des trésors d’amour et de beauté ! Voir ce corps dont la forme vous brûle, ce sein qui a tant de douceur, cette chair palpiter et rougir sous les baisers d’un autre ! Ô ciel ! aimer son pied, son bras, son épaule, songer à ses veines bleues, à sa peau brune, jusqu’à s’en tordre des nuits entières sur le pavé de sa cellule, et voir toutes les caresses qu’on a rêvées pour elle aboutir à la torture ! N’avoir réussi qu’à la coucher sur le lit de cuir ! Oh ! ce sont là les véritables tenailles rougies au feu de l’enfer ! Oh ! bienheureux celui qu’on scie entre deux planches, et qu’on écartèle à quatre chevaux ! — Sais-tu ce que c’est que ce supplice que vous font subir, durant les longues nuits, vos artères qui bouillonnent, votre cœur qui crève, votre tête qui rompt, vos dents qui mordent vos mains ; tourmenteurs acharnés qui vous retournent sans relâche, comme sur un gril ardent, sur une pensée d’amour, de jalousie et de désespoir ! Jeune fille, grâce ! trêve un moment ! un peu de cendre sur cette braise ! Essuie, je t’en conjure, la sueur qui ruisselle à grosses gouttes de mon front ! Enfant ! torture-moi d’une main, mais caresse-moi de l’autre ! Aie pitié, jeune fille ! aie pitié de moi !
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Victor Hugo (Notre-Dame de Paris (French Edition))
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Te voilà bien fier, hein ? Oui, je sers un fou, Mais toi, qui sers-tu ? La vertu ? je vais te dire ce que j'en pense. Je suis né esclave. Alors, l'air de la vertu, honnête homme, je l'ai d'abord dansé sous le fouet. Caïus, lui, ne m'a pas fait de discours. Il m'a affranchi et pris dans son palais. C'est ainsi que j'ai pu vous regarder, vous les vertueux. Et j'ai vit que vous aviez sale mine et pauvre odeur, l'odeur fade de ceux qui n'ont jamais rien souffert ni risqué. J'ai vu les dra-pés nobles, mais l'usure au coeur, le visage avare, la main fuyante. Vous, des juges ? Vous qui tenez boutique de vertu, qui rêvez de sécurité comme la jeune fille rêve d'amour, quiallez pourtant mourir dans l'effroi sans même savoir que vous avez menti toute votre vie, vous vous mêleriez de juger celui qui a souffert sans compter, et qui saigne tous les jours de mille nouvelles blessures ? Vous me frapperez avant, sois-en sûr ! Méprise l'esclave, Cherea ! Il est au-dessus de ta vertu puisqu'il peut encore aimer ce maître mi-sérable qu'il défendra contre vos nobles mensonges, vos bouches parjures...
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Albert Camus (Caligula)
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Hoerder : Et moi je les aime pour ce qu'ils sont. Avec toutes leurs saloperies et tous leurs vices. J'aime leurs voix et leurs mains chaudes qui prennent et leur peau, la plus nue de toutes les peaux, et leurs regards inquiet et la lutte désespérée qu'ils mènent chacun à son tour contre la mort et contre l'angoisse. Pour moi, ça compte un homme de plus ou de moins dans le monde. C'est précieux. Toi, je te connais bien, mon petit, tu es un destructeur. Les hommes ut les détestes parce que tu te détestes toi-même ; ta pureté ressemble à la mort et la Révolution dont tu rêves n'est pas la nôtre : tu ne veux pas changer le monde, tu veux le faire sauter. — Les mains sales (1948)
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Jean-Paul Sartre
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Il saignait comme un cochon, il s'essuyait la joue en souriant, il disait : "Ce n'est rien." Ils ont du courage. Ce sont les plus grands fils de putain de la terre et ils ont du courage, juste ce qu'il faut pour t'empêcher de les mépriser jusqu'au bout. C'est un casse-tête. Les vertus et les vices ne sont pas équitablement répartis.
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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Pour moi, ça compte un homme de plus ou de moins dans le monde. C'est précieux.
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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Quelle rage avez-vous tous de jouer aux tueurs? Ce sont des types sans imagination : ça leur est égal de donner la mort parce qu'ils n'ont aucune idée de ce que c'est que la vie. Je préfère les gens qui ont peur de la mort aux autres : c'est la preuve qu'ils savent vivre.
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Jean-Paul Sartre (Les Mains sales)
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HOQUET Et j'ai beau avaler sept gorgées d'eau trois à quatre fois par vingt-quatre heures me revient mon enfance dans un hoquet secouant mon instinct tel le flic le voyou Désastre parlez- moi du désastre parlez-m'en Ma mère voulant un fils très bonnes manières à table Les mains sur la table le pain ne se coupe pas le pain se rompt le pain ne se gaspille pas le pain de Dieu le pain de la sueur du front de votre Père le pain du pain Un os se mange avec mesure et discrétion un estomac doit être sociable et tout estomac sociable se passe de rots une fourchette n'est pas un cure-dent défense de se moucher au su et au vu de tout le monde et puis tenez-vous droit un nez bien élevé ne balaye pas l'assiette Et puis et puis Et puis au nom du Père du fils du Saint-Esprit à la fin de chaque repas Et puis et puis et puis désastre parlez-moi du désastre parlez-m'en Ma mère voulant d'un fils memorandum Si votre leçon d'histoire n'est pas sue vous n'irez pas à la messe dimanche avec vos effets du dimanche Cet enfant sera la honte de notre nom cet enfant sera notre nom de Dieu Taisez-vous Vous ai-je dit ou non qu'il vous fallait parler français le français de France le français du français le français français Désastre parlez-moi du désastre parlez-m'en Ma mère voulant d'un fils fils de sa mère Vous n'avez pas salué la voisine encore vos chaussures sales et que je vous y reprenne dans la rue sur l'herbe ou la Savane à l'ombre du Monument aux Morts à jouer à vous ébattre avec Untel avec Untel qui n'a pas reçu le baptême Ma mère voulant un fils très do très ré très mi très fa très sol très la très si très do ré-mi-fa sol-la-si do Il m'est revenu que vous n'étiez encore pas à votre leçon de vi-o-lon Un banjo vous dites un banjo comment dites-vous un banjo Non monsieur Vous saurez qu'on ne souffre chez nous ni ban ni jo ni gui ni tare les mulâtres ne font pas ça laissez donc ça aux nègres
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LĂ©on-Gontran Damas (PIGMENTS-NEVRALGIES)
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Un matin où j’étais à l’école, un incident a eu lieu sur notre parcelle en présence de Papa. Une violente dispute avait éclaté entre Prothé et Innocent. Je ne sais pas de quoi il s’agissait, mais Innocent a levé la main sur Prothé. Papa a immédiatement licencié Innocent, qui ne voulait pas présenter ses excuses et qui menaçait tout le monde. La tension permanente rendait les gens nerveux. Ils devenaient sensibles au moindre bruit, étaient sur leurs gardes dans la rue, regardaient dans leur rétroviseur pour être sûrs de n’être pas suivi. Chacun était aux aguets. Un jour, en plein cours de géographie, un pneu a éclaté derrière la clôture, sur le boulevard de l’Indépendance, et toute la classe, y compris le professeur, s’est jeté à plat ventre sous les tables. À l’école, les relations entre les élèves burundais avaient changé. C’était subtil, mais je m’en rendais compte. Il y avait beaucoup d’allusions mystérieuses, de propos implicites. Lorsqu’il fallait créer des groupes, en sport ou pour préparer des exposés, on décelait rapidement une gêne. Je n’arrivais pas à m’expliquer ce changement brutal, cet embarras palpable. Jusqu’à ce jour, à la récréation, où deux garçons burundais se sont battus derrière le grand préau, à l’abri du regard des profs et des surveillants. Les autres élèves burundais, échaudés par l’altercation, se sont rapidement séparés en deux groupes, chacun soutenant un garçon. « Sales Hutu », disaient les uns, « sales Tutsi » répliquaient les autres. Cet après-midi-là, pour la première fois de ma vie, je suis entré dans la réalité profonde de ce pays. J’ai découvert l’antagonisme hutu et tutsi, infranchissable ligne de démarcation qui obligeait chacun à être d’un camp ou d’un autre. Ce camp, tel un prénom qu’on attribue à un enfant, on naissait avec, et il nous poursuivait à jamais. Hutu ou tutsi. C’était soit l’un soit l’autre. Pile ou face. Comme un aveugle qui recouvre la vue, j’ai alors commencé à comprendre les gestes et les regards, les non-dits et les manières qui m’échappaient depuis toujours. La guerre, sans qu’on lui demande, se charge toujours de nous trouver un ennemi. Moi qui souhaitais rester neutre, je n’ai pas pu. J’étais né avec cette histoire. Elle coulait en moi. Je lui appartenais.
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Gaël Faye (Petit pays)
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On a tous besoin d’une main pour sortir de l’obscurité à un moment ou l’autre.
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Lilian Monroe (Sale petite crise de la quarantaine: Une comédie romantique à un âge plus avancé (Les canons de Heart’s Cove t. 1) (French Edition))
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Quand ils sont arrivés à la maison, ils étaient tous les deux sales et fatigués. La femme à tout faire était partie et leur avait laissé la marmite sur la gazinière. La soupe s’était figée en refroidissant. Il n’a plus eu envie de manger, il s’est allongé sur le lit et ses pensées tournaient dans sa tête exactement comme la roue de la voiture dans la fange. Il a revu la chambre dans laquelle il dormait et il apprenait durant son enfance et soudain elle lui sembla terriblement petite. Son père entra brusquement par la porte. – As-tu appris qui m’a balancé ? Il ne s’attendait pas à cette question. Il souleva le devant de son corps prenant appui sur ses coudes et le regarda clignant des yeux. La figure du père se constitua lentement devant lui. – Il portait le nom de code l’Ours, lui a-t-il dit. – D’accord, soit, mais as-tu appris quel est son véritable nom ? – Il y avait plusieurs noms là-bas. Petroviceanu, je crois. – Mouais, lui répondit le père en se dirigeant vers la porte. Tu es sûr de ne pas vouloir de la soupe ? – Non. Ou bien Petroveanu. Quelque chose dans ce genre. Son père s’arrêta de marcher et se retourna le visage vers lui. – Petroveanu était un type qui travaillait aux serres et c’était mon patient tandis qu’avec Petroviceanu j’ai été camarade au lycée. Il se rendit alors compte qu’il ne savait plus et précisément ce dont il craignait ne l’avait pas épargné. – Je ne sais plus, maintenant. J’ai lu des dizaines de pages hier et il y a n’a eu beaucoup qui ont donné des notes informatives sur toi et sur maman. Son père fronça les sourcils. – De toute façon, tu disais que cela ne t’intéresse guère. – Cela ne m’intéresse guère. Je t’ai juste demandé si tu as appris son nom. J’ai voulu vérifier si tu sais de qui tu dois te méfier. Ils se sont tu, tous les deux, pendant un instant, décontenancés. – Je vais me méfier de tous les deux, lui a répondu le fils. – Très bien, lui a répondu le père. Moi je vais me réchauffer une portion. Cette femme cuisine à merveille. Il lui a semblé qu’à ce moment-là il était devenu un peu plus joyeux. – Tu en es où avec le rhume ? lui a demandé le fils. – Toujours pareil, a répondu le père balayant de sa main en signe de lassitude. (fin de la nouvelle « Le Refroidissement », traduite du roumain par Gabrielle Danoux)
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Augustin Cupşa (Marile bucurii și marile tristeți)