Je T'aime Mon Amour Quotes

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Je t'aime tant, je ne peux pas trouver la fin de mon amour pour toi (I love you so thar I can't find the end of my love for you)
Válgame (Poemas y canciones para el mal de amores Volumen1)
Inspirée sans doute par les forces obscures, ma mère dit une parole où d'aucuns verraient de la cruauté, mais qui joua un rôle capital dans la suite de mon existence : - Si tu veux que je t'aime encore plus, séduis-moi. Cette phrase m'indigna. Je rugis : - Non ! Tu est ma mère ! Je ne dois pas te séduire ! Tu dois m'aimer ! - Ça n'existe pas, ça. Personne ne doit aimer personne. L'amour, ça se mérite.
Amélie Nothomb (Biographie de la faim)
Je voulais te le dire. Je voulais te dire que cette nuit, mon cœur est plein d'amour, il va exploser. Partout on me dit que je t'aime trop ; moi, je ne sais pas ce que ça veut dire aimer trop, je ne sais pas ce que ça veut dire être loin de toi, je ne sais pas ce que ça veut dire quand tu n'es plus là. Je devrais réapprendre à vivre sans toi.
Wajdi Mouawad (Incendies)
Je voulais te dire que cette nuit, mon coeur est plein d'amour, il va exploser. Partout on me dit que je t'aime trop; moi je ne sais pas ce que ça veut dire aimer trop.
Wajdi Mouawad (Incendies)
Que ce soit dimanche ou lundi Soir ou matin minuit midi Dans l'enfer ou le paradis Les amours aux amours ressemblent C'était hier que je t'ai dit Nous dormirons ensemble C'était hier et c'est demain Je n'ai plus que toi de chemin J'ai mis mon cœur entre tes mains Avec le tien comme il va l'amble Tout ce qu'il a de temps humain Nous dormirons ensemble Mon amour ce qui fut sera Le ciel est sur nous comme un drap J'ai refermé sur toi mes bras Et tant je t'aime que j'en tremble Aussi longtemps que tu voudras Nous dormirons ensemble.
Louis Aragon (Le fou d'Elsa)
Il y a quelqu'un que je n'ai encore jamais eu envie de tuer. C'est toi. Tu peux marcher dans les rues, tu peux boire et marcher dans les rues, je ne te tuerai pas. N'aie pas peur. La ville est sans danger. Le seul danger dans la ville, c'est moi. Je marche, je marche dans les rues, je tue. Mais toi, tu n'as rien à craindre. Si je te suis, c'est parce que j'aime le rythme de tes pas. Tu titubes. C'est beau. On pourrait dire que tu boites. Et que tu es bossu. Tu ne l'es pas vraiment. De temps en temps tu te redresses, et tu marches droit. Mais moi, je t'aime dans les heures avancées de la nuit, quand tu es faible, quand tu trébuches, quand tu te voûtes. Je te suis, tu trembles. De froid ou de peur. Il fait chaud pourtant. Jamais, presque jamais, peut-être jamais il n'avait fait si chaud dans notre ville. Et de quoi pourrais-tu avoir peur? De moi? Je ne suis pas ton ennemi. Je t'aime. Et personne d'autre ne pourrait te faire du mal. N'aie pas peur. je suis là. Je te protège. Pourtant, je souffre aussi. Mes larmes - grosses gouttes de pluie - me coulent sur le visage. La nuit me voile. La lune m'éclaire. Les nuages me cachent. Le vent me déchire. J'ai une sorte de tendresse pour toi. Cela m'arrive parfois. Tres rarement. Pourquoi pour toi? Je n'en sais rien. Je veux te suivre très loin, partout, longtemps. Je veux te voir souffrir encore plus. Je veux que tu en aies assez de tout le reste. Je veux que tu viennes me supplier de te prendre. Je veux que tu me désires. Que tu aies envie de moi, que tu m'aimes, que tu m'appelles. Alors, je te prendrai dans mes bras, je te serrerai sur mon coeur, tu seras mon enfant, mon amant, mon amour. Je t'emporterai. Tu avais peur de naître, et maintenant tu as peur de mourir. Tu as peur de tout. Il ne faut pas avoir peur. Il y a simplement une grande roue qui tourne. Elle s'appelle Éternité. C'est moi qui fais tourner la grande roue. Tu ne dois pas avoir peur de moi. Ni de la grande roue. La seule chose qui puisse faire peur, qui puisse faire mal, c'est la vie, et tu la connais déjà.
Ágota Kristóf
Cette finesse-là a été trouvée dès le paradis terrestre. Mes amis, l’invention est vieille, mais elle est toute neuve. Profitez-en. Soyez Daphnis et Chloé en attendant que vous soyiez Philémon et Baucis. Faites en sorte que, quand vous êtes l’un avec l’autre, rien ne vous manque, et que Cosette soit le soleil pour Marius, et que Marius soit l’univers pour Cosette. Cosette, que le beau temps, ce soit le sourire de votre mari ; Marius, que la pluie, ce soit les larmes de ta femme. Et qu’il ne pleuve jamais dans votre ménage. Vous avez chipé à la loterie le bon numéro, l’amour dans le sacrement ; vous avez le gros lot, gardez-le bien, mettez-le sous clef, ne le gaspillez pas, adorez-vous, et fichez-vous du reste. Croyez ce que je dis là. C’est du bon sens. Bon sens ne peut mentir. Soyez-vous l’un pour l’autre une religion. Chacun a sa façon d’adorer Dieu. Saperlotte ! la meilleure manière d’adorer Dieu, c’est d’aimer sa femme. Je t’aime ! voilà mon catéchisme. Quiconque aime est orthodoxe.
Victor Hugo (Les Misérables)
C’est magnifique entre nous. Tu es mon coeur, mon amour. Je t’aime,
Anonymous
« Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette de chiffon et m'offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps du mieux que je pourrais. Sans doute je ne dirais pas tout ce que je pense, mais je penserais tout ce que je dirais. Je donnerais du prix aux choses, non pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles représentent. Je dormirais peu, je rêverais plus, sachant qu'en fermant les yeux, à chaque minute nous perdons 60 secondes de lumière. Je marcherais quand les autres s'arrêteraient, je me réveillerais quand les autres dormiraient. Si Dieu me faisait cadeau d'un morceau de vie, je m'habillerai simplement, je me coucherais à plat ventre au soleil, laissant à découvert pas seulement mon corps, mais aussi mon âme. Aux hommes, je montrerais comment ils se trompent, quand ils pensent qu'ils cessent d'être amoureux parce qu'ils vieillissent, sans savoir qu'ils vieillissent quand ils cessent d'être amoureux ! A l'enfant je donnerais des ailes mais je le laisserais apprendre à voler tout seul. Au vieillard je dirais que la mort ne vient pas avec la vieillesse mais seulement avec l'oubli. J'ai appris tant de choses de vous les hommes… J'ai appris que tout le monde veut vivre en haut de la montagne, sans savoir que le vrai bonheur se trouve dans la manière d'y arriver. J'ai appris que lorsqu'un nouveau-né serre pour la première fois, le doigt de son père, avec son petit poing, il le tient pour toujours. J'ai appris qu'un homme doit uniquement baisser le regard pour aider un de ses semblables à se relever. J'ai appris tant de choses de vous, mais à la vérité cela ne me servira pas à grand chose, si cela devait rester en moi, c'est que malheureusement je serais en train de mourir. Dis toujours ce que tu ressens et fais toujours ce que tu penses. Si je savais que c'est peut être aujourd'hui la dernière fois que je te vois dormir, je t'embrasserais très fort et je prierais pour pouvoir être le gardien de ton âme. Si je savais que ce sont les derniers moments où je te vois, je te dirais 'je t'aime' sans stupidement penser que tu le sais déjà. Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne souvent une autre possibilité pour faire les choses bien, mais au cas où elle se tromperait et c'est, si c'est tout ce qui nous reste, je voudrais te dire combien je t'aime, que jamais je ne t'oublierais. Le lendemain n'est sûr pour personne, ni pour les jeunes ni pour les vieux. C'est peut être aujourd'hui que tu vois pour la dernière fois ceux que tu aimes. Pour cela, n'attends pas, ne perds pas de temps, fais-le aujourd'hui, car peut être demain ne viendra jamais, tu regretteras toujours de n'avoir pas pris le temps pour un sourire, une embrassade, un baiser parce que tu étais trop occupé pour accéder à un de leur dernier désir. Garde ceux que tu aimes près de toi, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime les et traite les bien, prends le temps pour leur dire 'je regrette' 'pardonne-moi' 's'il te plait' 'merci' et tous les mots d'amour que tu connais. Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes. Demande la force et la sagesse pour les exprimer. Dis à tes amis et à ceux que tu aimes combien ils sont importants pour toi. Monsieur Márquez a terminé, disant : Envoie cette lettre à tous ceux que tu aimes, si tu ne le fais pas, demain sera comme aujourd'hui. Et si tu ne le fais pas cela n'a pas d'importance. Le moment sera passé. Je vous dis au revoir avec beaucoup de tendresse »
Gabriel García Márquez
Il m'appelait par mon prénom, disait : « Moi aussi » quand je lui disais : « J'aime faire l'amour avec toi ». Il a fallu que le goût de savoir, c'est-à-dire celui de la destruction, survienne comme un vieux démon, je lui dis : « Ya tebya lioubliou. » [Je t'aime.] Il me répond en russe, je ne comprends pas, lui fais répéter : « Seulement Macha ? – Oui. » Alors je réponds : « C'est pourquoi je te quitterai. Mais tu n'auras pas de chagrin, parce que tu es fort. » Il répond encore : « Oui. » C'était le moment du départ. Ces paroles que d'autres ne viennent pas recouvrir – sauf « Je t'appellerai la semaine prochaine, tu es là ? » – me détruisent.
Annie Ernaux (Se perdre (French Edition))
Je ne comprenais pas mes émotions à l’époque, mais je les comprends maintenant. Je t’aime, Lia. Je t’ai toujours aimée. Pas d’un amour doux ou tendre. Il n’a rien de noble ou de délicat. Mon amour est égoïste et méchant. Mon amour me conduit à tuer des gens pour te protéger et à en faire disparaître d’autres pour te venger. Mon amour est possessif, obsessionnel et ne connaît aucune limite. Il n’en connaissait pas quand je t’ai rencontrée, et il n’en connaît certainement pas maintenant.
Rina Kent (Consumed by Deception (Deception Trilogy, #3))
Je ne te laisserai plus jamais tomber. Je veux être présente pour toi chaque seconde et je veux que chaque seconde passée ensemble compte. Je veux me gorger de tes rires et essuyer tes larmes. [...] Je ne pourrais plus vivre sans toi : tu es mon soleil et mon espoir, ma principale raison de me battre. Un fait ne changera jamais... L'amour absolu que j'éprouve pour toi. Je t'aime, Aube. C'est la seule chose immortelle chez moi. Personne ne me l'enlèvera, pas même la Mort.
Anna Triss (La Guilde des ombres, Tome 3 : La Guerre céleste, Partie 1)
Ma science c'est toi, mon art c'est toi, Le matin de mon esprit, c'est toi. Ma maison toi, mon paradis toi, La vérité de ma vie, c'est toi.
Abhijit Naskar (Himalayan Sonneteer: 100 Sonnets of Unsubmission)
Ton amour est comme la lune, il me déprive d'oxygène à chaque fois je pense à toi. Tu es partout mon chéri. Dans mes pensées, mes écritures et mes peintures. Je t'aime, et je n'oserai jamais à aimer une autre personne de telle façon que je t'aime.
Johaina Hachad