Je Ne Regrette Rien Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Je Ne Regrette Rien. Here they are! All 23 of them:

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Je ne regrette rien!
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Édith Piaf
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Non, je ne regrette rien
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Édith Piaf
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Je ne vois pas la raison. Je ne regrette rien. Je m'en fous.
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Nicolas Barreau (The Ingredients of Love)
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Non, je ne regrette rien!
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Simone Berteaut
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Whenever I hear Edith Piaf sing “Non, je ne regrette rien”—which is more often than I’d like, now that I’m at university—I can’t help thinking, What the hell is she talking about? I regret pretty much everything.
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David Nicholls (A Question of Attraction)
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Non, je ne regrette rien. Because you just can't regret the things you learn from.
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Alyson Noel (Faking 19)
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I loathed being sixty-four, and I will hate being sixty-five. I don’t let on about such things in person; in person, I am cheerful and Pollyannaish. But the honest truth is that it’s sad to be over sixty. The long shadows are everywhere—friends dying and battling illness. A miasma of melancholy hangs there, forcing you to deal with the fact that your life, however happy and successful, has been full of disappointments and mistakes, little ones and big ones. There are dreams that are never quite going to come true, ambitions that will never quite be realized. There are, in short, regrets. Edith Piaf was famous for singing a song called “Non, je ne regrette rien.” It’s a good song. I know what she meant. I can get into it; I can make a case that I regret nothing. After all, most of my mistakes turned out to be things I survived, or turned into funny stories, or, on occasion, even made money from. But
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Nora Ephron (I Feel Bad About My Neck)
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Je ne regrette rien,” I say, lifting my glass of water and sipping it. “That’s the spirit,” Evelyn says. “Although that song is more about not regretting because you don’t live in the past. What I mean is that I’d still make a lot of the same decisions today. To be clear, there are things I regret. It’s just . . . it’s not really the sordid things. I don’t regret many of the lies I told or the people I hurt. I’m OK with the fact that sometimes doing the right thing gets ugly. And also, I have compassion for myself. I trust myself. Take, for instance, when I snapped at you earlier, back at the apartment, when you said what you did about my confessing sins. It wasn’t a nice thing to do, and I’m not sure you deserved it. But I don’t regret it. Because I know I had my reasons, and I did the best I could with every thought and feeling that led up to it.
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Taylor Jenkins Reid (The Seven Husbands of Evelyn Hugo)
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I tap my pen against the Edith Piaf record, thinking of how to express my future sentiments when my journey comes to an end. Either in the arms of the girl I love, or buried in a box of memories, this note will be the last. 'Ma femme, Je ne regrette rien, because I found everything. I love you.
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Ashley Pullo (Intermission (The Bridge, #2))
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Je ne regrette rien,
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Taylor Jenkins Reid (The Seven Husbands of Evelyn Hugo)
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Je ne regrette rien," she says softly. "I regret nothing. It's a stupid phrase." "It is?" "If you're an even remotely empathetic or flawed person, you should feel regret. If you behave badly, you should look at it, and learn from it, and go on to treat people better.
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Caroline O'Donoghue (All Our Hidden Gifts (All Our Hidden Gifts, #1))
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Elle dit: je ne regrette rien. Bien sûr, il n’y aurait pas eu les années d’opprobre, il n’y aurait pas aujourd’hui cette souffrance, mais il n’u aurait pas eu non plus le bonheur, le temps inégalable du bonheur. Cette phrase-là agit sur moi comme un révélation. D’évidence, c’est seulement en souvenir du bonheur qu’on peut finir par accepter son malheur présent, vivre avec lui plutôt que mourir. Et alors, dans le silence, reviennent les rires sonores, les corps qui se jettent sur les lits, les regards complices, les baisers lents, les fatigues apaisées, les promesses non dites mais entendues, les lumières violentes d’un été triomphant. Oui: le bonheur. Nous n’avons pas eu le temps d’être malheureux ensemble.
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Philippe Besson (In the Absence of Men)
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d’aussi purs poètes, tout entiers dévoués au lyrisme, seront-ils encore possibles dans notre époque de turbulence et de désordre universel ? N’est-ce pas une lignée disparue que je regrette en eux avec amour, une lignée sans postérité immédiate dans nos jours traversés par tous les ouragans du destin ? Ces poètes ne convoitaient rien de la vie extérieure, ni l’assentiment des masses, ni les distinctions honorifiques, ni les dignités, ni le profit
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Stefan Zweig (Le Monde d'hier)
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And I didn’t say I was confessing any sins. To say that what I have to tell is a sin is misleading and hurtful. I don’t feel regret for the things I’ve done—at least, not the things you might expect—despite how hard they may have been or how repugnant they may seem in the cold light of day.” “Je ne regrette rien,” I say, lifting my glass of water and sipping it. “That’s the spirit,” Evelyn says. “Although that song is more about not regretting because you don’t live in the past. What I mean is that I’d still make a lot of the same decisions today. To be clear, there are things I regret. It’s just . . . it’s not really the sordid things. I don’t regret many of the lies I told or the people I hurt. I’m OK with the fact that sometimes doing the right thing gets ugly. And also, I have compassion for myself. I trust myself. Take, for instance, when I snapped at you earlier, back at the apartment, when you said what you did about my confessing sins. It wasn’t a nice thing to do, and I’m not sure you deserved it. But I don’t regret it. Because I know I had my reasons, and I did the best I could with every thought and feeling that led up to it.
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Taylor Jenkins Reid (The Seven Husbands of Evelyn Hugo)
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Les deux femmes, vêtues de noir, remirent le corps dans le lit de ma sœur, elles jetèrent dessus des fleurs et de l’eau bénite, puis, lorsque le soleil eut fini de jeter dans l’appartement sa lueur rougeâtre et terne comme le regard d’un cadavre, quand le jour eut disparu de dessus les vitres, elles allumèrent deux petites bougies qui étaient sur la table de nuit, s’agenouillèrent et me dirent de prier comme elles. Je priai, oh ! bien fort, le plus qu’il m’était possible ! mais rien… Lélia ne remuait pas ! Je fus longtemps ainsi agenouillé, la tête sur les draps du lit froids et humides, je pleurais, mais bas et sans angoisses ; il me semblait qu’en pensant, en pleurant, en me déchirant l’âme avec des prières et des vœux, j’obtiendrais un souffle, un regard, un geste de ce corps aux formes indécises et dont on ne distinguait rien si ce n’est, à une place, une forme ronde qui devait être La tête, et plus bas une autre qui semblait être les pieds. Je croyais, moi, pauvre naïf enfant, je croyais que la prière pouvait rendre la vie à un cadavre, tant j’avais de foi et de candeur ! Oh ! on ne sait ce qu’a d’amer et de sombre une nuit ainsi passée à prier sur un cadavre, à pleurer, à vouloir faire renaître le néant ! On ne sait tout ce qu’il y a de hideux et d’horrible dans une nuit de larmes et de sanglots, à la lueur de deux cierges mortuaires, entouré de deux femmes aux chants monotones, aux larmes vénales, aux grotesques psalmodies ! On ne sait enfin tout ce que cette scène de désespoir et de deuil vous remplit le cœur : enfant, de tristesse et d’amertume ; jeune homme, de scepticisme ; vieillard, de désespoir ! Le jour arriva. Mais quand le jour commença à paraître, lorsque les deux cierges mortuaires commençaient à mourir aussi, alors ces deux femmes partirent et me laissèrent seul. Je courus après elles, et me traînant à leurs pieds, m’attachant à leurs vêtements : — Ma sœur ! leur dis-je, eh bien, ma sœur ! oui, Lélia ! où est-elle ? Elles me regardèrent étonnées. — Ma sœur ! vous m’avez dit de prier, j’ai prié pour qu’elle revienne, vous m’avez trompé ! — Mais c’était pour son âme ! Son âme ? Qu’est-ce que cela signifiait ? On m’avait souvent parlé de Dieu, jamais de l’âme. Dieu, je comprenais cela au moins, car si l’on m’eût demandé ce qu’il était, eh bien, j’aurais pris La linotte de Lélia, et, lui brisant la tête entre mes mains, j’aurais dit : « Et moi aussi, je suis Dieu ! » Mais l’âme ? l’âme ? qu’est-ce cela ? J’eus la hardiesse de le leur demander, mais elles s’en allèrent sans me répondre. Son âme ! eh bien, elles m’ont trompé, ces femmes. Pour moi, ce que je voulais, c’était Lélia, Lélia qui jouait avec moi sur le gazon, dans les bois, qui se couchait sur la mousse, qui cueillait des fleurs et puis qui les jetait au vent ; c’était Lelia, ma belle petite sœur aux grands yeux bleus, Lélia qui m’embrassait le soir après sa poupée, après son mouton chéri, après sa linotte. Pauvre sœur ! c’était toi que je demandais à grands cris, en pleurant, et ces gens barbares et inhumains me répondaient : « Non, tu ne la reverras pas, tu as prié non pour elle, mais tu as prié pour son âme ! quelque chose d’inconnu, de vague comme un mot d’une langue étrangère ; tu as prié pour un souffle, pour un mot, pour le néant, pour son âme enfin ! » Son âme, son âme, je la méprise, son âme, je la regrette, je n’y pense plus. Qu’est-ce que ça me fait à moi, son âme ? savez-vous ce que c’est que son âme ? Mais c’est son corps que je veux ! c’est son regard, sa vie, c’est elle enfin ! et vous ne m’avez rien rendu de tout cela. Ces femmes m’ont trompé, eh bien, je les ai maudites. Cette malédiction est retombée sur moi, philosophe imbécile qui ne sais pas comprendre un mot sans L’épeler, croire à une âme sans la sentir, et craindre un Dieu dont, semblable au Prométhée d’Eschyle, je brave les coups et que je méprise trop pour blasphémer.
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Gustave Flaubert (La dernière heure : Conte philosophique inachevé)
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C’est cette histoire que, moi aussi, j’ai obéi au désir de te conter, alors que je te connaissais à peine, toi qui ne peux plus te souvenir, mais qui ayant, comme par hasard, eu connaissance du début de ce livre, es intervenue si opportunément, si violemment et si efficacement auprès de moi sans doute pour me rappeler que je le voulais « battant comme une porte » et que par cette porte je ne verrais sans doute jamais entrer que toi. Entrer et sortir que toi. Toi qui de tout ce qu’ici j’ai dit n’auras reçu qu’un peu de pluie sur ta main levée vers « LES AUBES ». Toi qui me fais tant regretter d’avoir écrit cette phrase absurde et irrétractable sur l’amour, le seul amour, tel qu’il ne peut être qu’à toute épreuve. Toi qui, pour tous ceux qui m’écoutent, ne dois pas être une entité mais une femme, toi qui n’es rien tant qu’une femme, malgré tout ce qui m’en a imposé et m’en impose en toi pour que tu sois la Chimère. Toi qui fais admirablement tout ce que tu fais et dont les raisons splendides, sans confiner pour moi à la déraison, rayonnent et tombent mortellement comme le tonnerre. Toi la créature la plus vivante, qui ne parais avoir été mise sur mon chemin que pour que j’éprouve dans toute sa rigueur la force de ce qui n’est pas éprouvé en toi. Toi qui ne connais le mal que par ouï-dire. Toi, bien sûr, idéalement belle. Toi que tout ramène au point du jour et que par cela même je ne reverrai peut-être plus…
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André Breton
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Je ne regrette rien de ce que j’ai fait dans la vie, aucun de mes choix. Mais je regrette les choses que je n’ai pas faites, ce que je n’ai pas choisi, pas dit. Nous passons tant de temps à avoir peur de l’échec, du rejet. Le regret est ce dont nous devrions avoir le plus peur. L’échec est une réponse. Le rejet aussi. Le regret est une question éternelle à laquelle vous ne trouverez jamais de réponse. « Et si… »  « Si seulement… » « Je me demande ce qui se serait passé si… » Vous ne le saurez jamais, jamais, et ça vous hantera pour le restant de vos jours.
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Noah Trevor
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La maison de mon coeur est prĂŞte Et ne s'ouvre qu'Ă  l'avenir. Puisqu'il n'est rien que je regrette, Mon bel Ă©poux, tu peux venir.
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André Breton (Nadja)
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Sans doute n'y a-t-il qu'une chance sur un million pour que tu lises cette lettre, mais ça ne m'empêche pas de l'écrire avec le fol espoir que tu finisses par la recevoir .. Alors voilà : Je voulais seulement te dire .. Te dire que ma vie est toujours pleine de toi et que mille fois par jour, je t'envoie mes pensées dans l'espoir qu'elles t'atteignent. Te dire que sans toi je meurs à petit feu, parce que tu es mon véritable point d'ancrage. Te dire que j'ai tout gardé de nous : nos chassés-croisés, nos souffles qui s'emmêlent, nos abandons, notre lumière, et que tout reste en moi et me contamine comme une infection dont je refuse de guérir.Te dire que j'ai essayé de te fuir, mais que tout me ramène à toi et si je devais ne jamais te revoir, j'aimerais que tu saches que je ne regrettes rien. Que les morsures cruelles de la douleur pèsent de peu de poids face à la parenthèse de notre amour.
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Guillaume Musso (Je reviens te chercher)
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Moi, je n’ai aucune histoire à inventer. C’est pour ça que je parle autant. Vova savait se taire. Personne ne savait aussi bien se taire que lui. (Pause.) Si j’avais plus d’imagination… C’est comme ça, maintenant ça sert à rien… Est-elle enceinte ou n’est-elle pas enceinte ? (Pause.) Moi, je ne peux pas inventer ni quand je m’anesthésie ni quand je me réveille. Mais je le regrette… Tout le monde invente. Surtout quand on se réveille. Manu aussi, je crois qu’il invente. Rose, c’est sûr, elle invente. Il suffit de la regarder. Toutes les femmes enceintes inventent un enfant ou même plusieurs. C’est douloureux, mais peut être que c’est mieux d’inventer. (traduit du roumain par Fanny Chartres)
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Vlad Zografi (America Ĺźi acustica)
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UNA MULLALLY: Any further points? ANN LOUISE GILLIGAN: Je ne regrette rien.
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Una Mullally (In the Name of Love: The Movement for Marriage Equality in Ireland. An Oral History)
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Milking cows in the stable by the wild boys is a study.
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Petra Hermans (Voor een betere wereld)
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— Ô Lune Noire, sache que je t’ai attendue. Non, mon attente n’a pas été pieuse et bercée d’une félicitée béate. Mes espoirs, je les ai conservés contre moi en affrontant les tempêtes de la nature. Mes craintes, je les ai endossées avec peine et, souvent, elles m’ont valu d’épouvantables souffrances. Quant à mes croyances, elles chancèlent chaque jour, avançant fébrilement sur la crête d’une montagne acérée. Non, belle Lune Noire, je n’ai pas été le dévot infaillible. J’ai encaissé les douleurs et j’en ai souvent questionné la cause, me demandant si les dieux veillaient vraiment sur l’indigent que je suis... J’ai interrogé l’Océan Céleste, j’ai invoqué le Grand Pêcheur dans les moments de détresse, et j’ai remercié les Constellations Silencieuses lorsque le sort m’était propice. Mais jamais, jamais je n’ai obtenu de réponse. Pas un signe. Pas une faveur, pas une mise en garde. Rien ! Alors j’ai continué à croire et j’ai contemplé chacun de tes croissants. J’ai chéri chaque pas sous l’éclat argenté de ta lumière. Mais, peu à peu, je suis forcé d’admettre que mon regard est tombé et que j’ai plus souvent observé mes pieds que ta robe. Nuit après nuit, ma foi s’est faite ténue… Et je regrette, aujourd’hui, d’avoir parfois pensé que l’interposition ne viendrait pas. Que l’éclipse n’était qu’une fable, qu’un rêve mal placé dans mon esprit puéril. Un rêve idiot qui avait induit les sages en erreur… Comme je regrette ! Comme je suis confus et contrit de découvrir, à présent, que le tort s’était saisi de moi… La puissance de ton ombre est manifeste : Fe’Rah Grundt ne peut que s’incliner ! Quant à ton aura… Quelle… Quelle splendeur ! J’ai devant mes yeux la plus magnifique fantasmagorie qu’il m’ait été donné de voir. C’est tellement plus grandiose que dans mon rêve. Et, plus sublime encore que dans mes tentatives d’imagination éveillée ! L’éclipse… L’éclipse est assurément le tournant de mon existence, j’en suis convaincu. Car même si tu me répudies, même si tu m’ignores, même si tu te contraries de mes paroles et choisis de m’en punir, je serai – Ô superbe Lune Noire – à jamais changé, en mon être tout entier, de t’avoir pu observer. Sur ces paroles fiévreuses et enflammées d’un amour sincère dont il s’ignorait capable, Welihann se tait puis pose un genou à terre. Les yeux brillants, il plonge dans la noirceur du cercle magique et cligne le moins possible des paupières, bien décidé à ne pas en perdre la moindre miette. Le spectacle, d’une beauté enivrante, le transporte et ranime toute sa foi. Il se sent transpercé de légendes, envahi de gloire, porté en avant par les chants des Ancêtres, pénétré par les mille générations l’ayant précédé, ayant foulé ces steppes, ayant grimpé ces concrétions, s’étant faufilés entre les prédécesseurs de ces arbres… Il est Welihann, il est les Anciens, il est le Passé et l’Avenir de son peuple. Il convoie en son être la culture d’une tribu et voyage à dos de rêves sur les épaules du monde. Il n’est plus qu’un avec la Nature et devient, loin, au fond de lui, le messager des Mük’Atah. Le pourvoyeur de Vie, façonné d’Amour et disposé à embrasser la Mort. Il est Welihann, l’enfant au destin différent, l’enfant libre et sans chemin tracé, capable d’ouvrir sous chacun de ses pas, les pages de chapitres interdits, inconnus, impossibles ou désirés. Il est Welihann, l’enfant-homme, l’enfant-frère, le frère-homme que personne n’attend et que tout le monde espère, le prophète malvenu, le maudit habité par la fortune. Il est Welihann et il sait, à présent, combien son destin compte, combien l’éclipse importe. Il est Welihann et il sait que son nom promet et devine que son sort ne sera rien de moins qu’exceptionnel.
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Alexandre Jarry (Sous les constellations silencieuses (Les Apothéoses))