J'adore Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to J'adore. Here they are! All 23 of them:

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Your passion is waiting for your courage to catch up
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Isabelle Lafleche
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Est-ce que j'ai seulement envie de quelque chose? J'ai tout. Chaque matin j'ouvre les yeux et je me découvre milliardaire: la vie est là, discrète, bruyante, colorée, petite, immense. [...] Vraiment, j'ai tout. Pourquoi aurais-je envie de quelques chose de plus? Y a-t-il quelque chose de plus que tout? [...] Je ne comprends rien à ce monde. J'adore regarder ce monde auquel je ne comprends rien. Le regarder et l'écouter. [...] Voir, entendre, aimer. La vie est un cadeau dont je défais les ficelles chaque matin, au réveil. La vie est un trésor dont je découvre le plus beau chaque soir, avant de fermer les paupières: Geai assise au pied du lit, souriante.
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Christian Bobin (ابله محله)
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Some say if life hands you lemons, make lemonade. I say if you're dealing with sour grapes, drink lots of wine.
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Isabelle Lafleche (J'Adore Paris)
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Time flies when all you do is work.
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Isabelle Lafleche (J'adore New York: A Novel)
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Françoise Sagan once said, There is a certain age when a woman must be beautiful to be loved, and then there comes a time when she must be loved to be beautiful.
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Isabelle Lafleche (J'adore Paris: A Novel)
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Vous voyez, c'est ça que j'adore chez ces gamins ! s'exclama Ro. Ils ne font pas de menaces en l'air… ils passent tout de suite à l'action.
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Shannon Messenger (Nightfall (Keeper of the Lost Cities, #6))
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Freundschaft, ou quelque chose comme ça. Ta meilleure amie gagne un million au Loto, t'es contente pour elle et, en même temps, tu peux pas t'empêcher de penser avec rage: "Pourquoi pas moi?". J'adore Ariane, mais quand je vois sa vie parfaite, c'est pareil. "Pourquoi pas moi?". J'ai horreur de penser des trucs comme ça.
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Agathe Colombier Hochberg (Ce crétin de prince charmant)
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The problem with the rat race is that even if you win, you’re still a rat.
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Isabelle Lafleche (J'adore New York: A Novel)
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What doesn’t kill you makes you stronger,
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Isabelle Lafleche (J'adore Paris: A Novel)
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The offices are decorated with neon-Louis XVI furniture and are dominated by grey, Mr. Dior’s favourite colour when he opened the famous house on avenue Montaigne back in 1947. The design is even more stunning than I remembered: both chic and understated, with lots of open space –the apex of luxury. The silk curtains dressing the window fall to the floor like ball gowns, delicate silver vases holding pink roses have been artfully placed throughout the room, and grey and white settees and oval-backed chairs provided artful seating areas.
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Isabelle Lafleche (J'Adore Paris)
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Je rêve d'un homme qui aime les vieux groupes de rock que plus personne n'écoute. Qui me laissera dormir avec mon tee-shirt troué que j'adore et mes collants en laine. Qui se réveillera à quatre heures du matin pour arroser l'olivier parce qu'il saura que j'oublie toujours de le faire. Qui autorisera les animaux à boire des cafés. Qui m'achètera des frites. Qui ne s'ennuiera jamais. Qui aura lu Miller, Salinger et Desnos. Et aussi Kateb, Mammeri et Mahfouz. Qui, à l'aube, prendra un train avec moi sans en connaitre la distination. Qui se fichera que les yaourts soient périmés depuis la veille. Qui saura se mettre en colère et rire en même temps. Qui chantera faux. Qui aimera la mer et la campagne et peut-être même la montagne, aussi.
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Kaouther Adimi (Des pierres dans ma poche)
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LE SYLLABUS Tout en mangeant d'un air effaré vos oranges, Vous semblez aujourd'hui, mes tremblants petits anges, Me redouter un peu; Pourquoi ? c'est ma bonté qu'il faut toujours attendre, Jeanne, et c'est le devoir de l'aïeul d'être tendre Et du ciel d'être bleu. N'ayez pas peur. C'est vrai, j'ai l'air fâché, je gronde, Non contre vous. Hélas, enfants, dans ce vil monde, Le prêtre hait et ment; Et, voyez-vous, j'entends jusqu'en nos verts asiles Un sombre brouhaha de choses imbéciles Qui passe en ce moment. Les prêtres font de l'ombre. Ah ! je veux m'y soustraire. La plaine resplendit; viens, Jeanne, avec ton frère, Viens, George, avec ta soeur; Un rayon sort du lac, l'aube est dans la chaumière; Ce qui monte de tout vers Dieu, c'est la lumière; Et d'eux, c'est la noirceur. J'aime une petitesse et je déteste l'autre; Je hais leur bégaiement et j'adore le vôtre; Enfants, quand vous parlez, Je me penche, écoutant ce que dit l'âme pure, Et je crois entrevoir une vague ouverture Des grands cieux étoilés. Car vous étiez hier, ô doux parleurs étranges, Les interlocuteurs des astres et des anges; En vous rien n'est mauvais; Vous m'apportez, à moi sur qui gronde la nue, On ne sait quel rayon de l'aurore inconnue; Vous en venez, j'y vais. Ce que vous dites sort du firmament austère; Quelque chose de plus que l'homme et que la terre Est dans vos jeunes yeux; Et votre voix où rien n'insulte, où rien ne blâme, Où rien ne mord, s'ajoute au vaste épithalame Des bois mystérieux. Ce doux balbutiement me plaît, je le préfère; Car j'y sens l'idéal; j'ai l'air de ne rien faire Dans les fauves forêts. Et pourtant Dieu sait bien que tout le jour j'écoute L'eau tomber d'un plafond de rochers goutte à goutte Au fond des antres frais. Ce qu'on appelle mort et ce qu'on nomme vie Parle la même langue à l'âme inassouvie; En bas nous étouffons; Mais rêver, c'est planer dans les apothéoses, C'est comprendre; et les nids disent les mêmes choses Que les tombeaux profonds. Les prêtres vont criant: Anathème ! anathème ! Mais la nature dit de toutes parts: Je t'aime ! Venez, enfants; le jour Est partout, et partout on voit la joie éclore; Et l'infini n'a pas plus d'azur et d'aurore Que l'âme n'a d'amour. J'ai fait la grosse voix contre ces noirs pygmées; Mais ne me craignez pas; les fleurs sont embaumées, Les bois sont triomphants; Le printemps est la fête immense, et nous en sommes; Venez, j'ai quelquefois fait peur aux petits hommes, Non aux petits enfants.
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Victor Hugo (L'Art d'être grand-père)
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- J'adore ton sens de l'humour! C'est rare pour une jeune femme de ton âge. En général, tes congénères sont de pauvres écervelées qui voient du positif dans tout. Quelle façon horrible d'envisager la vie, vraiment.
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MAIA LOINAZ (La Massothérapeute)
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J’adore servir à table. C’est là qu’on surprend ses maîtres dans toute la saleté, dans toute la bassesse de leur nature intime. Prudents, d’abord, et se surveillant l’un l’autre, ils en arrivent, peu à peu, à se révéler, à s’étaler tels qu’ils sont, sans fard et sans voiles, oubliant qu’il y a autour d’eux quelqu’un qui rôde et qui écoute et qui note leurs tares, leurs bosses morales, les plaies secrètes de leur existence, tout ce que peut contenir d’infamies et de rêves ignobles le cerveau respectable des honnêtes gens. Ramasser ces aveux, les classer, les étiqueter dans notre mémoire, en attendant de s’en faire une arme terrible, au jour des comptes à rendre, c’est une des grandes et fortes joies du métier, et c’est la revanche la plus précieuse de nos humiliations…
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Octave Mirbeau (Le journal d'une femme de chambre)
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Je crois beaucoup à l’équilibre. Il y a des périodes où le design doit prendre le dessus, et le business doit lui laisser la place. À d’autres moments, ce doit être le contraire. Comme sur une table de mixage il faut toujours chercher le juste équilibre entre le son et la balance. C’est sans fin. Tout au long d’une chanson, ça va évoluer de nombreuses fois, et c’est ce que je ressens dans les différents rôles que j’assume. Je suis un chorégraphe qui essaie d’atteindre ce mélange parfait. J’adore ça. J’aime pousser sur ce bouton, éteindre provisoirement celui-là. Pour nous, c’est très naturel.
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Anonymous
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J’insiste beaucoup sur le recours à des collaborations extérieures, les connexions avec des personnes étrangères à l’entreprise, qui permettent de stimuler les incroyables talents dont nous disposons en interne. Notre potentiel vient de notre manière d’utiliser ces talents tout en laissant entrer de nouvelles idées et d’autres points de vue sur ce que nous faisons. J’adore ça.
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Anonymous
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Je rêve d'un homme qui aime les vieux groupes de rock que plus personne n'écoute. Qui me laissera dormir avec mon tee-shirt troué que j'adore et mes collants en laine. Qui se réveillera à quatre heures du matin pour arroser l'olivier parce qu'il saura que j'oublie toujours de le faire. Qui autorisera les animaux à boire des cafés. Qui m'achètera des frites. Qui ne s'ennuiera jamais. Qui aura lu Miller, Salinger et Desnos. Et aussi Kateb, Mammeri et Mahfouz. Qui, à l'aube, prendra un train avec moi sans en connaitre la destination. Qui se fichera que les yaourts soient périmés depuis la veille. Qui saura se mettre en colère et rire en même temps. Qui chantera faux. Qui aimera la mer et la campagne et peut-être même la montagne, aussi.
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Kaouther Adimi (Des pierres dans ma poche)
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« J’adore les mangas violents quand je les lis, pas quand je suis coincé dedans ! »
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Jocelyn Boisvert (Le mangaka et la karatéka (Kung-fu manga, #1))
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Et les mots, pourtant, vous les aimez? - Ah, j'adore les mots, mais ça n'a rien à voir. Les mots, ce sont les belles matières, les ingrédients sacrés. - Alors la métaphore, c'est la cuisine, et vous aimez la cuisine. - Non, monsieur, la métaphore n'est pas la cuisine, la cuisine, c'est la syntaxe. La métaphore, c'est la mauvaise foi; c'est mordre dans une tomate et affirmer que cette tomate a le goût du miel, ensuite manger du miel et affirmer que ce miel a le goût du gingembre, puis conquer du gingembre et affirmer que ce gingembre a le goût de la salsepareille, après quoi...
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Amélie Nothomb (Hygiène de l'assassin)
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IZA (elle regarde les toits).– N'est-ce pas magnifique ? DAN.– Qu'est-ce qui est magnifique ? Baiser ? IZA.–Mais non, obsédé ! Cette nuit d'été. J'adore les nuits d'été. Surtout en ce moment, au mois de juillet. J'adore cette odeur. Cette tranquillité ! On a l'impression que tout va bien dans le monde entier. Comme si chaque chose avait trouvé sa place.
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Peca Stefan (The Sunshine Play)
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« J’adore Noël, c’est vraiment une période géniale. Vous savez cette ambiance si particulière, la course effrénée aux cadeaux, la cohue dans les magasins, les belles vitrines, les illuminations, le sapin à décorer, les couronnes de houx, le chocolat chaud aux épices, les sablés, les films niais, l’excitation des enfants, les repas interminables, les chansons, les heures passées à emballer les cadeaux. »
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Caro M. Leene (Cher père Noël, je voudrais un mec !)
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L’Allemagne que j’abhorre. L’Allemagne que j’adore. Parce que l’Allemagne, c’est aussi tout ce que j’aime […] Je me permets de détester l’Allemagne, comme une Allemande se doit de détester son pays. Je déteste cette culture que j’ai faite mienne. On peut encore cracher sur soi, non?
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Catherine Mavrikakis (Ça va aller)
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Ça a été galère de planter mes copines, j'ai feint une migraine fulgurante. Pas sûre qu'elles m'aient crue mais elles m'ont laissée filer sans trop de questions. Blottie contre lui sur sa Triumph, je suis contente de moi. J'aime bien être capable de suivre quelqu'un comme ça, sur un coup de tête. A ce moment précis, sur cette vieille moto, j'adore ma vie. Je n'ai aucune idée d'où il m'emmène.
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Virginie de Clausade (L'âge des promesses)