Hui Hai Quotes

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Your Treasure House is in yourself, it contains all you need
Hui Hai (Zen Teaching of Instantaneous Awakening: being the teaching of the Zen Master Hui Hai, known as the Great Pearl)
Your Treasure House is in yourself, it contains all you need
"Your Treasure House is in yourself it contains all you need" Hui Hai
Sages seek from mind, not from the Buddha; fools
Hui Hai (Zen Teaching of Instantaneous Awakening: being the teaching of the Zen Master Hui Hai, known as the Great Pearl)
L’homme d’aujourd’hui, on le fait tenir tranquille, selon le milieu, avec la belote ou avec le bridge. Nous sommes étonnamment bien châtrés. Ainsi sommes-nous enfin libres. On nous a coupé les bras et les jambes, puis on nous a laissés libres de marcher. Mais je hais cette époque où l’homme devient, sous un totalitarisme universel, bétail doux, poli et tranquille. On nous fait prendre ça pour un progrès moral ! Ce que je hais dans le marxisme, c’est le totalitarisme à quoi il conduit. L’homme y est défini comme producteur et consommateur, le problème essentiel est celui de distribution. Ainsi dans les fermes modèles. Ce que je hais dans le nazisme, c’est le totalitarisme à quoi il prétend par son essence même. On fait défiler les ouvriers de la Ruhr devant un Van Gogh, un Cézanne et un chromo. Ils votent naturellement pour le chromo. Voilà la vérité du peuple ! On boucle solidement dans un camp de concentration les candidats Cézanne, les candidats Van Gogh, tous les grands non-conformistes, et l’on alimente en chromos un bétail soumis. Mais où vont les États-Unis et où allons-nous, nous aussi, à cette époque de fonctionnariat universel ? L’homme robot, l’homme termite, l’homme oscillant du travail à la chaîne : système Bedeau, à la belote. L’homme châtré de tout son pouvoir créateur et qui ne sait même plus, du fond de son village, créer une danse ni une chanson. L’homme que l’on alimente en culture de confection, en culture standard comme on alimente les bœufs en foin. C’est cela, l’homme d’aujourd’hui. Et moi, je pense que, il n’y a pas trois cents ans, on pouvait écrire La Princesse de Clèves ou s’enfermer dans un couvent pour la vie à cause d’un amour perdu, tant était brûlant l’amour. Lettre au général « X »
Antoine de Saint-Exupéry
LE SYLLABUS Tout en mangeant d'un air effaré vos oranges, Vous semblez aujourd'hui, mes tremblants petits anges, Me redouter un peu; Pourquoi ? c'est ma bonté qu'il faut toujours attendre, Jeanne, et c'est le devoir de l'aïeul d'être tendre Et du ciel d'être bleu. N'ayez pas peur. C'est vrai, j'ai l'air fâché, je gronde, Non contre vous. Hélas, enfants, dans ce vil monde, Le prêtre hait et ment; Et, voyez-vous, j'entends jusqu'en nos verts asiles Un sombre brouhaha de choses imbéciles Qui passe en ce moment. Les prêtres font de l'ombre. Ah ! je veux m'y soustraire. La plaine resplendit; viens, Jeanne, avec ton frère, Viens, George, avec ta soeur; Un rayon sort du lac, l'aube est dans la chaumière; Ce qui monte de tout vers Dieu, c'est la lumière; Et d'eux, c'est la noirceur. J'aime une petitesse et je déteste l'autre; Je hais leur bégaiement et j'adore le vôtre; Enfants, quand vous parlez, Je me penche, écoutant ce que dit l'âme pure, Et je crois entrevoir une vague ouverture Des grands cieux étoilés. Car vous étiez hier, ô doux parleurs étranges, Les interlocuteurs des astres et des anges; En vous rien n'est mauvais; Vous m'apportez, à moi sur qui gronde la nue, On ne sait quel rayon de l'aurore inconnue; Vous en venez, j'y vais. Ce que vous dites sort du firmament austère; Quelque chose de plus que l'homme et que la terre Est dans vos jeunes yeux; Et votre voix où rien n'insulte, où rien ne blâme, Où rien ne mord, s'ajoute au vaste épithalame Des bois mystérieux. Ce doux balbutiement me plaît, je le préfère; Car j'y sens l'idéal; j'ai l'air de ne rien faire Dans les fauves forêts. Et pourtant Dieu sait bien que tout le jour j'écoute L'eau tomber d'un plafond de rochers goutte à goutte Au fond des antres frais. Ce qu'on appelle mort et ce qu'on nomme vie Parle la même langue à l'âme inassouvie; En bas nous étouffons; Mais rêver, c'est planer dans les apothéoses, C'est comprendre; et les nids disent les mêmes choses Que les tombeaux profonds. Les prêtres vont criant: Anathème ! anathème ! Mais la nature dit de toutes parts: Je t'aime ! Venez, enfants; le jour Est partout, et partout on voit la joie éclore; Et l'infini n'a pas plus d'azur et d'aurore Que l'âme n'a d'amour. J'ai fait la grosse voix contre ces noirs pygmées; Mais ne me craignez pas; les fleurs sont embaumées, Les bois sont triomphants; Le printemps est la fête immense, et nous en sommes; Venez, j'ai quelquefois fait peur aux petits hommes, Non aux petits enfants.
Victor Hugo (L'Art d'être grand-père)
Aaj Jana zaroori hai, Ushko batana zaroori hai, Mulakaate toh hoti rahengi, Ibadat-e-ishq Hui hai, Paigaam-e-mohobbat sunana zaroori hai, Aaj Jana zaroori hai..
Swastika Shikhar
Jaise Jaagi Hui Aankhon Mein Chubhen Kaanch Ke Khwab, Raat Is Tarah Deewanon Ki Basar Hoti Hai’ (The way dreams made out of glass prick wide-awake eyes, that is how some people spend the night).
Vinod Mehta (Meena Kumari)
kabhi itni khushi hui ki apko ronaa aa gaya ho ! Jise pyaar me dard hota hai use pyaar me wo khushi nhi mili jo us insaan ko mili jo khushi me bhi royaa hai
Ashutosh Chaudhary
When mental processes (hsin) arise, then do all dharmas (phenomena) spring forth; and when mental processes cease, then do all dharmas cease likewise.’ The
Hui Hai (Zen Teaching of Instantaneous Awakening: being the teaching of the Zen Master Hui Hai, known as the Great Pearl)
For as long as you direct your search to the forms around you, you will not attain your goal even after aeon upon aeon; whereas, by contemplating your inner awareness, you can achieve Buddhahood in a single flash of thought.
Hui Hai (Zen Teaching of Instantaneous Awakening: being the teaching of the Zen Master Hui Hai, known as the Great Pearl)
By samadhi, you withdraw your minds from their surroundings, thereby making them impervious to the eight winds, that is to say, impervious to gain and loss, calumny and eulogy, praise and blame, sorrow and joy. By
Hui Hai (Zen Teaching of Instantaneous Awakening: being the teaching of the Zen Master Hui Hai, known as the Great Pearl)
Perceptions employed as a base for building up positive concepts are the origin of all ignorance (avidya);[1] perception that there is nothing to perceive — that is nirvana, also known as deliverance.
Hui Hai (Zen Teaching of Instantaneous Awakening: being the teaching of the Zen Master Hui Hai, known as the Great Pearl)
Hazaaron khwahishen aisi ke har khwahish pe dam nikle Bohat niklay mere armaan, lekin phir bhi kam nikle Daray kyon mera qaatil? kya rahega us ki gardan par? Voh khoon, jo chashm-e-tar se umr bhar yoon dam-ba-dam nikle Nikalna khuld se aadam ka soonte aaye hain lekin Bahot be-aabru hokar tere kooche se hum nikle Bharam khul jaaye zaalim! teri qaamat ki daraazi ka Agar is tarahe par pech-o-kham ka pech-o-kham nikle Magar likhvaaye koi usko khat, to hum se likhvaaye Hui subaha, aur ghar se kaan par rakh kar qalam nikle Hui is daur mein mansoob mujh se baada aashaami Phir aaya voh zamaana, jo jahaan mein jaam-e-jaam nikle Hui jin se tavaqqa khastagi ki daad paane ki Voh ham se bhi zyaada khasta e tegh e sitam nikle Mohabbat mein nahin hai farq jeenay aur marnay ka Usi ko dekh kar jeetay hain, jis kaafir pe dam nikle Zara kar jor seene par ki teer-e-pursitam niklejo Wo nikle to dil nikle, jo dil nikle to dam nikle Khuda ke waaste parda na kaabe se uthaa zaalim Kaheen aisa na ho yaan bhi wahi kaafir sanam nikle Kahaan maikhane ka darwaaza Ghalib aur kahaan vaaiz Par itna jaantay hain kal voh jaata tha ke ham nikle Hazaaron khwahishen aisi ke har khwahish pe dam nikle Bohat niklay mere armaan, lekin phir bhi kam nikle...
Asadullah Khan Ghilib
Kabhi araju thi hamari, Ki har koi jane mujhe tere naam se, Araju to puri hui hai hamari, Tere naam se hi pahechan hai hamari, Pr bina tere saath ki jindagi hai hamari
Bharati Waghchaure
Kuch dhundhla sa yaad hai; kuch dhundhla sa he dekhti hun; woh sehmi si andheri raat, woh aik ajeeb si khamoshi aur phankay ki ahista se chalne wali bechain awaaz. Khirki per nazar pri to yun lga jese chand or sitaron ki lapait mein mehfooz hun mein; lekin achanak woh jo aik dastak hui aur dill ki dharakne ki raftar kuch tez maloom hui balkay khassi tez maloom hui ese jese kisi ne mun per hath rakh dya hou; tharthrahat aur ghabrahat k sath awaz halak se nikal rhi hai lekin koi sunne wala nahi ya awaz he nahi thi. woh khamosh si aah-o-pukaar, woh nazron ka gir jana, aur honton ka khushk hojana; woh jo yun mehsoos hua k shayad kisi ki mojoodgi ka najaiz ehsas hua, kisi ka hona na gawaar kya, na zeb lga; khassa haya ka daman chaar hou rha tha, kaheen badboo si mehsoos hui; shayad woh qatal-e-khass ho rha tha, khuda dekh raha tha; uski woh garam sansain aur meri khamosh siskyan; laal joray per kali siyaahi ka rung charh raha tha, woh jora mehaz aik hawa ka jhonka sa mehsoos hua jo tez andhi ki nazar hogya; woh kaheen mehfil-e-khass loot raha tha, mein usi mehfil mein khud ko zinda dargor ker rhi thi; aur kaheen chambeli ka phool murjha gya, baghbaan kahan tha? Koi to dastak thi jiske hone per yun lga, woh jo me mehfooz thi apne he ghar mein woh mehaz aik khayal tha; aik veham-o-ghuman tha; jo kaheen us raat k andhere mein dher hogya.
Sheikh fatyma
Zindagi ki train per sawaar, hawa k woh zor se jhonkon se urne wali zulfon ne kuch rukh badalti hue raston ki yaad dilaye; asman to aik he tha lekin badalte hue rung aur yadain. Woh radio per lgi hui dhun aur train k chalne ki awaz kuch mukhtalif theen lekin unka aik sa he taluq mehsos hua. Kahan zindagi ruk si gyee thi; tham sa gya tha karwan; thehar se gye the kam;chalti rhi hawa; khilte rahe phool. Ehsas hua k zindagi to mukhtasir he rahi hamesha; farq itna hai k masroofiat ne kabhi yeh mehsoos krne ka waqt he nahi dya. Kya waqt ka paheya yun ghooma k dunya ruk si gyi aur zameen-o-asmaan ne sans lena shuru kardya jo shayad kaheen ruk sa gya tha. Kaheen woh taluq aur rabta thehar sa gya; woh zindagi ki tez raftar kaheen halki hote hue mehsoos hone lgi; kuch muktalif sa lgne lga waqt shayad kaheen woh tez hawa jo andhi k manind thi woh ub tham si gyi thi. zindagi ne naya rukh le lya; aur insan heraan hogye.
Sheikh fatyma