Hardy Amies Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Hardy Amies. Here they are! All 12 of them:

“
I love your independence, I love that you don't swoon, I love that you'll fight me with your last breath if you think I'm wrong, and if I ever have to catch you, I swear I'll make sure you're standing on your feet as quickly as you can manage it.
”
”
Dianna Hardy (The Sands Of Time (The Witching Pen Novellas, #2))
“
He pulled out a dagger from ... she wasn't sure where. Did he have that in his loin cloth? What else does he have in there? (Amy's thoughts, The Witching Pen)
”
”
Dianna Hardy (The Witching Pen (The Witching Pen series, #1))
“
If you're waiting for me to declare my undying love for you, I can't do that yet, blood-bond or no blood-bond. If you think I'm the swoony type of heroine you find in romance novels, who'll fall into your arms just because you saved me from an alternate reality or whatever, get ready to leave empty handed, because I don't want to be caught.
”
”
Dianna Hardy (The Sands Of Time (The Witching Pen Novellas, #2))
“
Do you remember what we just did? Please tell me you remember what we just did." She briefly toyed with the idea of lying and saying no, just to see the look on his face, but she'd had enough of having her brain played with – it wouldn't be too sporting to do the same to him. "Yes, I remember, and don't you think for one minute that just because you had me on my back screaming I was 'yours'," she waved four fingers in quotation marks in front of his face, "that it gives you any kind of ownership over me, because it doesn't." He looked annoyed, then relieved, then he laughed. "Yeah, whatever, baby.
”
”
Dianna Hardy (The Sands Of Time (The Witching Pen series, #2))
“
The thought of talking about it made Pueblo's gut ache, but then he thought of everything that Amy had been through – not that she'd told him her version yet. She had balls of steel, he thought with a smile. And what did he have? Three pairs of loin cloths going crisp on the radiator.
”
”
Dianna Hardy (The Sands Of Time (The Witching Pen series, #2))
“
It is totally impossible to be well dressed in cheap shoes.
”
”
Hardy Amies
“
«Credevo, Angel, che tu mi amassi... amassi me, per quello che sono. Se sono io che tu ami, come puoi guardarmi e parlare così? Tutto ciò mi fa paura! Ho cominciato ad amarti e ti amo, ti amerò per sempre... qualsiasi disgrazia dovesse accadere, qualsiasi cambiamento, perché tu sei proprio tu; non chiedo altro. E allora tu, che sei mio marito, come puoi cessare d'amarmi?»
”
”
Thomas Hardy (Tess of the D’Urbervilles)
“
« Écoute, Egor Pétrovitch, lui dit-il. Qu’est ce que tu fais de toi ? Tu te perds seulement avec ton désespoir. Tu n’as ni patience ni courage. Maintenant, dans un accès de tristesse, tu dis que tu n’as pas de talent. Ce n’est pas vrai. Tu as du talent ; je t’assure que tu en as. Je le vois rien qu’à la façon dont tu sens et comprends l’art. Je te le prouverai par toute ta vie. Tu m’as raconté ta vie d’autrefois. À cette époque aussi le désespoirte visitait sans que tu t’en rendisses compte. À cette époque aussi, ton premier maître, cet homme étrange, dont tu m’as tant parlé, a éveillé en toi, pour la première fois, l’amour de l’art et a deviné ton talent. Tu l’as senti alors aussi fortement que maintenant. Mais tu ne savais pas ce qui se passait en toi. Tu ne pouvais pas vivre dans la maison du propriétaire, et tu ne savais toi-même ce que tu désirais. Ton maître est mort trop tôt. Il t’a laissé seulement avec des aspirations vagues et, surtout, il ne t’a pas expliqué toimême. Tu sentais le besoin d’une autre route plus large, tu pressentais que d’autres buts t’étaient destinés, mais tu ne comprenais pas comment tout cela se ferait et, dans ton angoisse, tu as haï tout ce qui t’entourait alors. Tes six années de misère ne sont pas perdues. Tu as travaillé, pensé, tu as reconnu et toi-même et tes forces ; tu comprends maintenant l’art et ta destination. Mon ami, il faut avoir de la patience et du courage. Un sort plus envié que le mien t’est réservé. Tu es cent fois plus artiste que moi, mais que Dieu te donne même la dixième partie de ma patience. Travaille, ne bois pas, comme te le disait ton bonpropriétaire, et, principalement, commence par l’a, b, c. « Qu’est-ce qui te tourmente ? La pauvreté, la misère ? Mais la pauvreté et la misère forment l’artiste. Elles sont inséparables des débuts. Maintenant personne n’a encore besoin de toi ; personne ne veut te connaître. Ainsi va le monde. Attends, ce sera autre chose quand on saura que tu as du talent. L’envie, la malignité, et surtout la bêtise t’opprimeront plus fortement que la misère. Le talent a besoin de sympathie ; il faut qu’on le comprenne. Et toi, tu verras quelles gens t’entoureront quand tu approcheras du but. Ils tâcheront de regarder avec mépris ce qui s’est élaboré en toi au prix d’un pénible travail, des privations, des nuits sans sommeil. Tes futurs camarades ne t’encourageront pas, ne te consoleront pas. Ils ne t’indiqueront pas ce qui en toi est bon et vrai. Avec une joie maligne ils relèveront chacune de tes fautes. Ils te montreront précisément ce qu’il y a de mauvais en toi, ce en quoi tu te trompes, et d’un air calme et méprisant ils fêteront joyeusement chacune de tes erreurs. Toi, tu esorgueilleux et souvent à tort. Il t’arrivera d’offenser une nullité qui a de l’amour-propre, et alors malheur à toi : tu seras seul et ils seront plusieurs. Ils te tueront à coups d’épingles. Moi même, je commence à éprouver tout cela. Prends donc des forces dès maintenant. Tu n’es pas encore si pauvre. Tu peux encore vivre ; ne néglige pas les besognes grossières, fends du bois, comme je l’ai fait un soir chez de pauvres gens. Mais tu es impatient ; l’impatience est ta maladie. Tu n’as pas assez de simplicité ; tu ruses trop, tu réfléchis trop, tu fais trop travailler ta tête. Tu es audacieux en paroles et lâche quand il faut prendra l’archet en main. Tu as beaucoup d’amour-propre et peu de hardiesse. Sois plus hardi, attends, apprends, et si tu ne comptes pas sur tes forces, alors va au hasard ; tu as de la chaleur, du sentiment, peut-être arriveras-tu au but. Sinon, va quand même au hasard. En tout cas tu ne perdras rien, si le gain est trop grand. Vois-tu, aussi, le hasard pour nous est une grande chose. »
”
”
Fyodor Dostoevsky (Netochka Nezvanova)
“
Lyall felt he could not say which of two things was harder to put up with, the Abbot's conversational style, with its bland coherence and assumption of severely limited cogitative powers in the hearer, or his recurrent look of pleased surprise as each fresh piece of evidence of his wisdom or moral worth turned up, but between them they were likely to implant in certain minds a hardy seed of revolt.
”
”
Kingsley Amis (The Alteration)
“
A man should look as if he had bought his clothes with intelligence, put them on with care, and then forgotten all about them.
”
”
Hardy Amies
“
To achieve the nonchalance, which is absolutely necessary for a man, one article at least must not match.
”
”
Hardy Amies
“
No, thank you. Now,” Douglas continued, reading the top sheet of paper in front of him, “as of this quarter you have four quite healthy sons, four quite healthy daughters. Poor little Daniel died during the winter. Amy’s fall doesn’t appear to have had lasting injury to her leg. Is this up-to-date?” “I will have another baby making his appearance in August. The mother appears hardy and healthy.
”
”
Catherine Coulter (The Sherbrooke Bride (Brides, #1))