Halo Ce Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Halo Ce. Here they are! All 9 of them:

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Our house was inside a black halo, thin as a soap bubble. Everything was squeezing in on us and everything was about to burst.
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C.E. Medford (Magic America)
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Les travaux d’Alexander Todorov sont loin d’être les seuls à avoir mis en évidence une influence déterminante de l’apparence physique. D’autres études se sont, par exemple, concentrées directement sur l’impact qu’a la beauté sur les relations sociales. Là aussi, les résultats sont frappants. De nombreuses expériences ont montré que les individus considérés comme « beaux » sont aussi perçus globalement comme plus sociaux, plus puissants et plus compétents. Ils reçoivent plus facilement de l’aide lorsqu’ils en ont besoin. S’ils sont confrontés à la justice, ils ont tendance à être moins facilement jugés coupables et, quand ils sont condamnés, écopent d’une sentence moins sévère. Enfin, pour ce qui nous intéresse directement : une étude a montré que les personnes jugées belles emportent plus facilement la conviction de leurs interlocuteurs. Cet impact massif de la beauté sur les interactions sociales est une application directe de l’effet de halo. Il a été synthétisé en une formule cruelle, mais éloquente : « Ce qui est beau nous paraît bon10. »
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Clément Viktorovitch (Le Pouvoir rhétorique: Apprendre à convaincre et à décrypter les discours)
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Sur un fond de ciel bleu azur, les rayons jaune orangé d'un soleil couchant peuvent, à certains mo-ments privilégiés, nous régaler d'un instant d'une telle beauté, que nous en restons momentanément ébahis, le regard fixe. La splendeur de ce moment nous éblouit tellement que nos esprits habituel-lement si bavards marquent un temps et ne nous entraînent pas mentalement ailleurs que dans l'ici-maintenant. Baignant dans un halo de lumière, nous voyons s'ouvrir en nous une porte donnant sur une autre réalité. Une réalité qui est toujours là mais dont nous sommes rarement les témoins.
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Eckhart Tolle (The Art of Presence)
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— Je suis un demi-dieu, une divinité mineure, un archange… Choisis le terme que tu préfères. Tu peux t’adresser à moi en m’appelant « maître », car tu n’as pas le droit de connaître mon nom. (Il se laissa tomber en position assise.) J’ai choisi cette forme parce qu’elle m’amuse et ne t’effraie pas. Wallie ne fut pas impressionné. — Pourquoi jouer avec moi ? J’aurais pu croire en toi beaucoup plus tôt si tu t’étais présenté sous un aspect plus divin – ou même avec un simple halo… Il avait dépassé les bornes. Les joues de l’enfant se gonflèrent sous le coup de la colère. — Très bien, puisque c’est ton souhait. Voici un petit aperçu. Wallie cria et se couvrit les yeux, mais trop tard. La caverne était déjà brillante, mais elle s’enflamma soudain d’un éclat magnificent aussi aveuglant que celui d’un soleil. L’enfant était demeuré un enfant, mais une infime partie de sa divinité flamboya un bref instant – et ce fut assez pour plonger un simple mortel dans une terreur sans nom. Dans ce fragment de majesté, Wallie vit que l’âge de cet être dépassait l’imagination – il existait bien avant la formation des galaxies et perdurerait bien après la disparition de feux d’artifice aussi éphémères ; son quotient intellectuel se mesurait en trillions et il était capable de connaître chaque pensée de chaque créature dans l’univers ; sa puissance aurait pu détruire une planète aussi facilement qu’on se cure les ongles ; comparés à sa noblesse et à sa pureté, les êtres humains ressemblaient à des bêtes infâmes et inutiles ; rien n’était capable de résister à ses objectifs froids et inébranlables ; sa compassion dépassait l’entendement humain et connaissait la souffrance des mortels ainsi que leurs raisons d’être, mais il ne pouvait pas la supprimer sans supprimer l’essence mortelle à la base de cette douleur. Wallie sentit aussi quelque chose de plus profond et de plus terrible encore, une présence que nul mot ne pouvait décrire, mais qu’un mortel aurait apparentée à l’ennui ou à la résignation. Il y avait des côtés négatifs à l’immortalité : le fardeau de l’omniscience et l’absence de futur limité, plus la moindre surprise, plus de fin même après la fin des temps, à jamais et à jamais… Wallie réalisa qu’il était à plat
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Dave Duncan (Le Guerrier de la déesse (La septième épée, #1))
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À Sulina arrivent maintenant tous les débris que le Danube transporte. Dans son roman Europolis, qui date de 1933, Jean Bart, alias Eugen P. Botez, voit les destinées humaines elles-mêmes aborder à Sulina comme les épaves d'un naufrage ; la ville, comme le dit le nom qu'il lui a inventé, vit encore dans un halo d'opulence et de splendeur, c'est un port situé sur de grandes routes, un endroit où se rencontrent des gens venus de pays lointains et où on rêve, en on entrevoit, on manie mais surtout on perd la richesse. Dans ce roman la colonie grecque, avec ses cafés, est le décor de cette splendeur à son déclin, à laquelle la Commission du Danube confère une dignité politico-diplomatique, ou du moins un semblant. Le livre, toutefois, est une histoire d'illusion, de décadence, de tromperie et de solitude, de malheur et de mort ; une symphonie de la fin, dans laquelle cette ville qui se donne des allures de petite capitale européenne devient bas-fond, rade abandonnée. (p. 533)
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Claudio Magris (Danube: A Sentimental Journey from the Source to the Black Sea)
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Vers dix heures, un soir de février, la neige cessa de tomber sur Moscou, un gel doux revêtit toutes choses de cristaux diamantés. Les branches mortes des arbres et des buissons, dans les jardins, en furent féeriquement recouvertes. Une floraison de cristaux recelant de secrètes lumières naquit sur les pierres, recouvrit les façades, habilla les monuments. On marchait sur un poudre d'étoiles, à travers une ville stellaire: des myriades de cristaux flottaient dans le halo des lanternes. Sur le tard, la nuit devient d'une pureté inouïe. La moindre lumière s'y prolongeait vers le ciel en épée. Ce fut un fête de gel. Le silence semblait scintiller.
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Victor Serge (The Case of Comrade Tulayev)
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[The curve of your eyes] La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d’une couvée d’aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l’innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards. *** The curve of your eyes goes around my heart, A round of dance and sweetness, Halo of time, nocturnal and safe cradle, And if I don’t know any more all that I’ve lived through It’s because I haven’t always been seen by you. Leaves of day and scum of dew, Reeds of the wind, perfumed smiles, Wings covering the world with light, Ships filled with the sky and the sea, Hunters of noises and sources of colours, Perfumes bloomed from a brood of dawns That always lies on the straw of the stars, As the day depends on innocence The whole world depends on your pure eyes And all my blood flows in their looks. Paul Éluard , L’Amour la poésie (1929) Translated by Anne-Charlotte Husson
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Paul Éluard
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Même si le marché Jean-Talon est un bazar fantôme à cette heure, je tombe sur un distributeur automatique à poèmes. Incroyable. Je ne savais même pas que ça existait. Cadeau du ciel. Éclairé par un halo de lune, je peine à lire ce qu'il m'offre : poèmes pour un enterrement de vie de garçon, poèmes pour un décès, poèmes pour l'indépendance d'une nation, poèmes trois fois par jour, poèmes en poudre, poèmes pour la résolution du conflit israélo-palestinien, etc. Alléluia : poèmes pour reconquérir une femme.
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Francis Juteau (Montréal insomniaque)
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Debout sur le pas de la porte se tient Connor Dimpleshitz - ouais, son nom de famille est malheureux, mais son QI le compense. J'ai flashé sur lui depuis notre cours de sociologie, le semestre dernier. Les rayons du soleil qui brillent à travers la fenêtre le nimbent d'un halo doré. Il est ce qui arriverait si Albert Einstein et Henry Cavill avaient un enfant. - Un génie sexy... une licorne, murmuré-je pour moi-même.
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Ilsa Madden-Mills (I Bet You (Waylon University, #2))