Grand Prix Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Grand Prix. Here they are! All 71 of them:

All you need to know about racing you can learn from Super Mario Kart.
Jenson Button (Life to the Limit: My Autobiography)
In his book titled The Book of Survival, Anthony Greenbank wrote: To live through an impossible situation, you don’t need to have the reflexes of a Grand Prix driver, the muscles of a Hercules, the mind of an Einstein. You simply need to know what to do.
Allan Dib (The 1-Page Marketing Plan: Get New Customers, Make More Money, And Stand out From The Crowd)
L'adversité sans doute est un grand maître, mais il fait payer cher ses leçons, et souvent le profit qu'on en retire ne vaut pas le prix qu'elles ont coûté.
Jean-Jacques Rousseau (rêveries du promeneur solitaire, Les (French Edition))
-Jesper, t'es grand, noir et tu passes pas inaperçu... -En résumé, irrésistible. -Ce qui veut dire que tu dois te montrer deux fois plus prudent. -C'est le prix de la majesté.
Leigh Bardugo (Crooked Kingdom (Six of Crows, #2))
September 3rd, 2017, the Italian Grand Prix on the F1 Ferrari team radio, Alonso asked: "Where's Palmer?" "Retired" the team reply "Karma" said Alonso
Fernando Alonso
Montagu and Cholmondeley took turns lying in the back and trying to sleep, as if that were possible when being driven at high speed by a myopic Grand Prix driver with no headlights.
Ben Macintyre (Operation Mincemeat: How a Dead Man and a Bizarre Plan Fooled the Nazis and Assured an Allied Victory)
The flat was large and airy, sparsely furnished with sleek, modern pieces; no walls separated living spaces, except the bedroom. Vintage posters advertising the 24 Hours of Le Mans and the Grand Prix de Monaco decorated the walls. There was a picture of Steve McQueen, leaning against his famous Ford Mustang, and another of Carroll Shelby, the legendary American automaker going face-to-face with Enzo Ferrari, his even more legendary Italian counterpart.
Christopher Reich (The Take (Simon Riske, #1))
J'avais deux raisons de respecter mon instituteur : il me voulait du bien, il avait l'haleine forte. Les grandes personnes doivent être laides, ridées, incommodes; quand elles me prenaient dans leurs bras, il ne me déplaisait pas d'avoir un léger dégoût à surmonter : c'était la preuve que la vertu n'était pas facile. Il y avait des joies simples, triviales : courir, sauter, manger des gâteaux, embrasser la peau douce et parfumée de ma mère; mais j'attachais plus de prix aux plaisirs studieux et mêlés que j'éprouvais dans la compagnie des hommes mûrs : la répulsion qu'ils m'inspiraient faisait partie de leur prestige ; je confondais le dégoût avec l'esprit de sérieux. J'étais snob.
Jean-Paul Sartre (The Words: The Autobiography of Jean-Paul Sartre)
And if you were to say that meeting sponsors and fans isn’t the best preparation for a Grand Prix, then I’d probably agree with you. But it’s part of what we do. Without sponsors and fans you don’t race, simple as that. Either you suck it up, do your job and enjoy it, or you’re Kimi Räikkönen.
Jenson Button (Life to the Limit: My Autobiography)
eyeballs drifting at the surface and all sorts of cables and tubes feeding what remains. But I don’t want to be kept alive. Because I know what’s next. I’ve seen it on TV. A documentary I saw about Mongolia, of all places. It was the best thing I’ve ever seen on television, other than the 1993 Grand Prix of Europe, of course, the greatest automobile race of all time in which Ayrton Senna proved himself to be a genius in the rain. After the 1993 Grand Prix, the best thing I’ve ever seen on TV is a documentary that explained everything to me, made it all clear, told the whole truth: when a dog
Garth Stein (The Art of Racing in the Rain)
Yet, it could not be denied that the Voorpret band Applausoleum had handily won the twenty-eighth Metagalactic Grand Prix with their darkwave prog-grunge power ballad “I Can’t Get No Liquefaction.” It’s really next to impossible to stay on key with a half-decomposed larynx and a moldering diaphragm, so Voorpret music takes the form of a genetically modified worm, about the size and shape of a dragonfly larva, dispersed into the audience via sprinkler system, trendy vintage beers on tap at the bar, silver platter passed among the paying public by attractive ushers, or T-shirt cannon, depending on how posh the venue.
Catherynne M. Valente (Space Opera (Space Opera, #1))
It's one of the things I love about motorsports - you're always learning, always having to adapt. It's not like tennis, where the rackets might change a bit but everything else stays the same. If you're in motorsport, the formulas are always changing. The regulations, the tyres, the power, the type of engine. It keeps you excited.
Jenson Button
It's one of the things I love about motorsports - you're always learning, always having to adapt and develop. It's not like tennis, where the rackets might change a bit but everything else stays the same. If you're in motorsport, the formulas are always changing. The regulations, the tyres, the power, the type of engine. It keeps you excited.
Jenson Button (Life to the Limit: My Autobiography)
Formula One drivers were like gods to me, growing up.
Jenson Button (Life to the Limit: My Autobiography)
The sound of that V10, a rich growl that reached right into my soul.
Jenson Button (Life to the Limit: My Autobiography)
When Kevin Rudd announced that Australia would bid for a non-permanent seat on the Security Council Tony Abbott announced his immediate opposition. The bid would be abandoned in the event of a Coalition victory at the 2010 election, he pledged. The total cost was then estimated at perhaps $40 million, though ended up at around $25 million.16 For perspective, the Victorian Government spent $56.7 million to subsidise the Grand Prix in 2012 alone.17
Peter Hartcher (The Adolescent Country: A Lowy Institute Paper: Penguin Special)
Sau Grand Prix 1993 thì cái hay nhất tôi từng được xem trên TV là bộ phim tài liệu đó, nó lí giải cho tôi mọi điều, nói rõ tất cả, nói hết sự thật: Khi chó đã mãn kiếp chó của mình, kiếp sau nó sẽ làm người. Tôi vẫn luôn cảm thấy mình gần như người. Tôi vẫn luôn biết rằng ở mình có cái gì đó khác với những con chó khác. Dĩ nhiên, tôi bị nhét vào thân chó, nhưng đó chỉ là cái vỏ. Cái bên trong mới là cái quan trọng. Tâm hồn. Mà tâm hồn tôi thì rất người.
Garth Stein (The Art of Racing in the Rain)
Suis-je donc un Narcisse ? Pas même : trop soucieux de séduire, je m'oublie. Après tout, ça ne m'amuse pas tant de faire des pâtés, des gribouillages, mes besoins naturels : pour leur donner du prix à mes yeux, il faut qu'au moins une grande personne s'extasie sur mes produits.
Jean-Paul Sartre (Les Mots)
N"ayez pas peur du kamikaze. Ce qui l'intéresse dans le risque de mort, ce n'est pas le risque, c'est la mort. Ce qu'il aime dans la guerre, ce n'est pas "vaincre ou mourir" mais mourir et ne surtout pas vaincre. Sa grande affaire, ce n'est pas, comme dit Clausewitz, proportionner des efforts à la force de résistance de l'ennemi, le renverser, le réduire - mais mourir. (ch. 16 Debray, Kojève et le prix du sang)
Bernard-Henri Lévy (War, Evil, and the End of History)
Chaque fois que je vais dans un super-market, ce qui du reste m'arrive rarement, je me crois en Russie. C'est la même nourriture imposée d'en haut, pareille où qu'on aille, imposée par des trusts au lieu de l'être par des organismes d’État. Les États-Unis, en un sens, sont aussi totalitaires que l'URSS, et dans l'un comme dans l'autre pays, et comme partout d'ailleurs, le progrès (c'est-à-dire l'accroissement de l'immédiat bien-être humain) ou même le maintien du présent état de choses dépend de structures de plus en plus complexes et de plus en plus fragiles. Comme l'humanisme un peu béat du bourgeois de 1900, le progrès à jet continu est un rêve d'hier. Il faut réapprendre à aimer la condition humaine telle qu'elle est, accepter ses limitations et ses dangers, se remettre de plain-pied avec les choses, renoncer à nos dogmes de partis, de pays, de classes, de religions, tous intransigeants et donc tous mortels. Quand je pétris la pâte, je pense aux gens qui ont fait pousser le blé, je pense aux profiteurs qui en font monter artificiellement le prix, aux technocrates qui en ont ruiné la qualité - non que les techniques récentes soient nécessairement un mal, mais parce qu'elles se sont mises au service de l'avidité qui en est un, et parce que la plupart ne peuvent s'exercer qu'à l'aide de grandes concentrations de forces, toujours pleines de potentiels périls. Je pense aux gens qui n'ont pas de pain, et à ceux qui en ont trop, je pense à la terre et au soleil qui font pousser les plantes. Je me sens à la fois idéaliste et matérialiste. Le prétendu idéaliste ne voit pas le pain, ni le prix du pain, et le matérialiste, par un curieux paradoxe, ignore ce que signifie cette chose immense et divine que nous appelons "la matière". (p. 242)
Marguerite Yourcenar (Les Yeux ouverts : Entretiens avec Matthieu Galey)
« Écoute, Egor Pétrovitch, lui dit-il. Qu’est ce que tu fais de toi ? Tu te perds seulement avec ton désespoir. Tu n’as ni patience ni courage. Maintenant, dans un accès de tristesse, tu dis que tu n’as pas de talent. Ce n’est pas vrai. Tu as du talent ; je t’assure que tu en as. Je le vois rien qu’à la façon dont tu sens et comprends l’art. Je te le prouverai par toute ta vie. Tu m’as raconté ta vie d’autrefois. À cette époque aussi le désespoirte visitait sans que tu t’en rendisses compte. À cette époque aussi, ton premier maître, cet homme étrange, dont tu m’as tant parlé, a éveillé en toi, pour la première fois, l’amour de l’art et a deviné ton talent. Tu l’as senti alors aussi fortement que maintenant. Mais tu ne savais pas ce qui se passait en toi. Tu ne pouvais pas vivre dans la maison du propriétaire, et tu ne savais toi-même ce que tu désirais. Ton maître est mort trop tôt. Il t’a laissé seulement avec des aspirations vagues et, surtout, il ne t’a pas expliqué toimême. Tu sentais le besoin d’une autre route plus large, tu pressentais que d’autres buts t’étaient destinés, mais tu ne comprenais pas comment tout cela se ferait et, dans ton angoisse, tu as haï tout ce qui t’entourait alors. Tes six années de misère ne sont pas perdues. Tu as travaillé, pensé, tu as reconnu et toi-même et tes forces ; tu comprends maintenant l’art et ta destination. Mon ami, il faut avoir de la patience et du courage. Un sort plus envié que le mien t’est réservé. Tu es cent fois plus artiste que moi, mais que Dieu te donne même la dixième partie de ma patience. Travaille, ne bois pas, comme te le disait ton bonpropriétaire, et, principalement, commence par l’a, b, c. « Qu’est-ce qui te tourmente ? La pauvreté, la misère ? Mais la pauvreté et la misère forment l’artiste. Elles sont inséparables des débuts. Maintenant personne n’a encore besoin de toi ; personne ne veut te connaître. Ainsi va le monde. Attends, ce sera autre chose quand on saura que tu as du talent. L’envie, la malignité, et surtout la bêtise t’opprimeront plus fortement que la misère. Le talent a besoin de sympathie ; il faut qu’on le comprenne. Et toi, tu verras quelles gens t’entoureront quand tu approcheras du but. Ils tâcheront de regarder avec mépris ce qui s’est élaboré en toi au prix d’un pénible travail, des privations, des nuits sans sommeil. Tes futurs camarades ne t’encourageront pas, ne te consoleront pas. Ils ne t’indiqueront pas ce qui en toi est bon et vrai. Avec une joie maligne ils relèveront chacune de tes fautes. Ils te montreront précisément ce qu’il y a de mauvais en toi, ce en quoi tu te trompes, et d’un air calme et méprisant ils fêteront joyeusement chacune de tes erreurs. Toi, tu esorgueilleux et souvent à tort. Il t’arrivera d’offenser une nullité qui a de l’amour-propre, et alors malheur à toi : tu seras seul et ils seront plusieurs. Ils te tueront à coups d’épingles. Moi même, je commence à éprouver tout cela. Prends donc des forces dès maintenant. Tu n’es pas encore si pauvre. Tu peux encore vivre ; ne néglige pas les besognes grossières, fends du bois, comme je l’ai fait un soir chez de pauvres gens. Mais tu es impatient ; l’impatience est ta maladie. Tu n’as pas assez de simplicité ; tu ruses trop, tu réfléchis trop, tu fais trop travailler ta tête. Tu es audacieux en paroles et lâche quand il faut prendra l’archet en main. Tu as beaucoup d’amour-propre et peu de hardiesse. Sois plus hardi, attends, apprends, et si tu ne comptes pas sur tes forces, alors va au hasard ; tu as de la chaleur, du sentiment, peut-être arriveras-tu au but. Sinon, va quand même au hasard. En tout cas tu ne perdras rien, si le gain est trop grand. Vois-tu, aussi, le hasard pour nous est une grande chose. »
Fyodor Dostoevsky (Netochka Nezvanova)
Cristiano Ronaldo scored 400 goals in the top five European leagues with an exquisite reflex. He scored the Catholic title on his chest during goal play. Cristiano Ronaldo scored his first goal in the first half of the Serie A match against Juventus at the Juventus Stadium on Tuesday. On the side, a fellow-shot ball was deflected, and the ball came suddenly into the defensive nerve of the goalkeeper. 저희는 7가지 철칙을 바탕으로 거래를 합니다. 고객들과 지키지못할약속은 하지않습니다 1.정품보장 2.총알배송 3.투명한 가격 4.편한 상담 5.끝내주는 서비스 6.고객님 정보 보호 7.깔끔한 거래 텔레【KC98K】카톡【ACD5】라인【SPR331】 정품구구정 팔팔정 비닉스 센트립 비아그라 시알리스 자이데나 엠빅스 센돔 카마그라젤 레비트라 등 많은 남성제품과 여성제품판매중입니다 위아래 카톡 텔레로 문의주세요 Ronaldo scored 400 goals in only English Premier League, Spanish Primera División and Serie A. Ronaldo is the first player to score 400 goals in five European leagues (English Premier League, Spanish Primera Liga, Serie A, German Bundesliga and French Ligue 1). Ronaldo scored 84 goals in Premier League Manchester United from 2003 to 2009 and Primera División scored 311 goals in 2009 from 2009. He has scored five goals in Serie A Juventus this season and has scored 400 goals. Ronaldo is in first place in the top five European leagues, but the gap with second place is not very large. Lionel Messi (31, Barcelona) of the century has scored 390 goals in Primera División FC Barcelona. Ronaldo is chasing 10 goals. Juventus scored a goal in the second half with Genoa. Juventus had 8 consecutive wins after the opening day, but it was their first draw. Cristiano Ronaldo was a goal-sergeant and turned his body into a distinctive air and painted a letter A, and he made a large Catholic letter on his chest just before.
Cristiano Ronaldo wins first European Grand Prix of '400 goals'
À huit heures et demie du soir, deux tables étaient dressées. La jolie madame des Grassins avait réussi à mettre son fils à côté d’Eugénie. Les acteurs de cette scène pleine d’intérêt, quoique vulgaire en apparence, munis de cartons bariolés, chiffrés, et de jetons en verre bleu, semblaient écouter les plaisanteries du vieux notaire, qui ne tirait pas un numéro sans faire une remarque ; mais tous pensaient aux millions de monsieur Grandet. Le vieux tonnelier contemplait vaniteusement les plumes roses, la toilette fraîche de madame des Grassins, la tête martiale du banquier, celle d’Adolphe, le président, l’abbé, le notaire, et se disait intérieurement : − Ils sont là pour mes écus. Ils viennent s’ennuyer ici pour ma fille. Hé ! ma fille ne sera ni pour les uns ni pour les autres, et tous ces gens-là me servent de harpons pour pêcher ! Cette gaieté de famille, dans ce vieux salon gris, mal éclairé par deux chandelles ; ces rires, accompagnés par le bruit du rouet de la grande Nanon, et qui n’étaient sincères que sur les lèvres d’Eugénie ou de sa mère ; cette petitesse jointe à de si grands intérêts ; cette jeune fille qui, semblable à ces oiseaux victimes du haut prix auquel on les met et qu’ils ignorent, se trouvait traquée, serrée par des preuves d’amitié dont elle était la dupe ; tout contribuait à rendre cette scène tristement comique. N’est-ce pas d’ailleurs une scène de tous les temps et de tous les lieux, mais ramenée à sa plus simple expression ? La figure de Grandet exploitant le faux attachement des deux familles, en tirant d’énormes profits, dominait ce drame et l’éclairait. N’était-ce pas le seul dieu moderne auquel on ait foi, l’Argent dans toute sa puissance, exprimé par une seule physionomie ? Les doux sentiments de la vie n’occupaient là qu’une place secondaire, ils animaient trois cœurs purs, ceux de Nanon, d’Eugénie et sa mère. Encore, combien d’ignorance dans leur naïveté ! Eugénie et sa mère ne savaient rien de la fortune de Grandet, elles n’estimaient les choses de la vie qu’à la lueur de leurs pâles idées, et ne prisaient ni ne méprisaient l’argent, accoutumées qu’elles étaient à s’en passer. Leurs sentiments, froissés à leur insu mais vivaces, le secret de leur existence, en faisaient des exceptions curieuses dans cette réunion de gens dont la vie était purement matérielle. Affreuse condition de l’homme ! il n’y a pas un de ses bonheurs qui ne vienne d’une ignorance quelconque. Au moment où madame Grandet gagnait un lot de seize sous, le plus considérable qui eût jamais été ponté dans cette salle, et que la grande Nanon riait d’aise en voyant madame empochant cette riche somme, un coup de marteau retentit à la porte de la maison, et y fit un si grand tapage que les femmes sautèrent sur leurs chaises.
Honoré de Balzac (Eugénie Grandet)
Montagu and Cholmondeley took turns lying in the back and trying to sleep, as if that were possible when being driven at high speed by a myopic Grand Prix driver with no headlights. This was the closest either came to death in action during the war
Ben Macintyre (Operation Mincemeat: How a Dead Man and a Bizarre Plan Fooled the Nazis and Assured an Allied Victory)
A wing on a Formula One car operates like the wing on an aero-plane except in reverse. So whereas the aircraft wing generates life, the wing on a car does the opposite, pushing the car down to the surface.
Jenson Button (Life to the Limit: My Autobiography)
Anthony Greenbank, who said in The Book of Survival, “To live through an impossible situation, you don’t need the reflexes of a Grand Prix driver, the muscles of a Hercules, the mind of an Einstein. You simply need to know what to do.
Michael E. Gerber (The E-Myth Revisited: Why Most Small Businesses Don't Work and What to Do About It)
D’aucuns s’interrogent sur la passive acceptation de fait de ce flot continu, depuis quarante ans, de nouveaux occupants du territoire qui s’y installent à demeure avec leur famille, y établissent leur descendance, en transforment radicalement l’aspect et celui de nos rues et sont très exactement, en fait, ce que le pays s’est battu pendant quinze siècles pour éviter à tout prix. Ce que l’Algérie indépendante de 1962 n’a pas envisagé un instant d’accepter, la présence sur son sol de dix pour cent de représentants d’une autre culture, d’une autre civilisation, d’autres groupes ethniques, étrangers à sa religion, étrangers à sa langue (dans une certaine mesure, car nombre de Français d’Algérie, appartenant à des familles parfois fixées sur place depuis plus d’un siècle, on l’a rappelé, parlaient arabe), la France, elle, ou en tout cas ses autorités médiatiques et officielles, l’accepte d’un cœur léger, et sous une forme nettement renforcée, même, car les dix pour cent d’hier sont les quinze ou vingt pour cent d’aujourd’hui et les cinquante pour cent de demain, nous venons de le voir, du fait de la pérennité du flux entrant, d’une part, et d’autre part du différentiel des taux de fécondité — bien entendu nié.
Renaud Camus (Le grand remplacement)
Vous savez, Madame, que j’ajoute un grand prix à l’étude des nuances qu’il y a entre le caractère des diférentes nations, et je crois pouvoir démontrer un jour qu’à moins de n’en venirjusque là, jusqu’à développer le caractère de chaque nation, je dirais même de chaque peuplade d’après ses nuances individuelles, on travaillera toujours en vain tant en morale, qu’en politique. On s’occupe beaucoup trop peu de l’homme et beaucoup trop des ouvrages qu’il fait et des institutions qui doivent le diriger, et on néglige surtout de l’étudier dans l’ensemble de son individu. C’est là surtout ce qui rend, ce me semble, la philosophie en France si vague et la poésie pour la plupart aussi froide et peu intéressante. Tout ce qui ne consiste qu’en généralités, tou- jours abstraites, ne saurait all au cœur ni être appliqué avec fruit à la vie sociale. C’est encore là pourquoi le système de la perfectibilité trouve plus d’adversaires en France qu’en nul autre pays. Car ce système, comme vous l’avez si bien démontré, ne se fonde que sur ce que le développe- ment des facultés de l’homme ne connait aucunes bornes que l’homme lui-même pût leur as- signer. On ne peut le combattre qu’en s’attachant aux choses, aux ouvrages qu’il produit. On part de l’idée déterminée et circonscrite qu’on s’est formé de ces ouvrages et il est aisé de dire pour lors qu’il serait impossible d’aller plus loin. Il est si facile de voir les résultats heureux que produit la diférence entre le génie et le caractère des individus comme des nations; on n’a qu’à comparer la littérature français et allemande pour s’en convaincre. Néanmoins on voudrait se priver de ces mêmes avantages et au lieu de cultiver, de développer et de purifier la société des caractères, on voudrait l’annuler, et n’établir partout qu’une même manière de voir, de penser et de s’énoncer. On ne voit donc qu’il doit nécessairement chercher de nouveaux idiomes puisqu’il entrevoit toujours des idées que ceux qu’il connait, n’expriment qu’imparfaitement.
Wilhelm von Humboldt
Horizon - Consommation En toute franchise Regardons sous la banquise Le bien-être consumériste Joue à l'illusionniste Chaque carte de fidélité Invite à payer Les frais du grand délire Qui ne fait même plus rire L'étendu du ravage Est semblable au gavage Intensif des publicitaires Sclérosant notre imaginaire La quête du toujours mieux Est un élixir bien vieux Qui conserve son petit effet De manche, s'il vous plaît Rien qu'une petite pièce Ce n'est rien vu de la liesse La solidarité tient en laisse La convenance en détresse Face à cette mascarade On cherche des camarades Dans les immenses queues Qui ne chantent plus leu leu Chacun attend son tour Vivant au jour le jour De gloire, on n'espère plus Elle chôme à son insu Quant au reliquat de conscience Il tire sa révérence Ne voulant pas rater la promotion Ni la moindre occasion De racheter son omniscience Au prix de quelques références Soigner son curriculum Est le propre de l'homme Car pour la femme Toujours, elle rame Vers l'île de l'égalité Qui est régulièrement déplacée La fuite de l'horizon Fait perdre la raison Du plus fort, à qui perd gagne Faisant fi de la hargne Qui anime l'anonyme lambda Face au rayon de n'importe quoi Même s'il n'en a pas besoin Il en prendra tout de même un Car il le vaut bien
Thierry Moral
You’re chugging champagne like you won a Grand Prix.” I grin. “I heard that’s the first step in becoming an F1 WAG.
Lauren Asher (Terms and Conditions (Dreamland Billionaires, #2))
The sight of the cars climbing the hill opposite the pits during the Grand Prix of Belgium is, to me, breathtaking, incomparable, worth the journey from anywhere.
Robert Daley (CARS AT SPEED - Grand Prix's Golden Age)
To live through an impossible situation, you don’t need to have the reflexes of a Grand Prix driver, the muscles of a Hercules, the mind of an Einstein. You simply need to know what to do.
Allan Dib (The 1-Page Marketing Plan: Get New Customers, Make More Money, And Stand out From The Crowd)
Suffering, though, has always been Musk’s thing. The kids at school tortured him. His father played brutal mind games. Musk then abused himself by working inhumane hours and forever pushing his businesses to the edge. The idea of work-life balance seems meaningless in this context. For Musk, it’s just life, and his wife and kids try to fit into the show where they can. “I’m a pretty good dad,” Musk said. “I have the kids for slightly more than half the week and spend a fair bit of time with them. I also take them with me when I go out of town. Recently, we went to the Monaco Grand Prix and were hanging out with the prince and princess of Monaco. It all seemed quite normal to the kids, and they were blasé about it. They are growing up having a set of experiences that are extremely unusual, but you don’t realize experiences are unusual until you are much older. They’re just your experiences. They have good manners at meals.
Ashlee Vance
Time can be measured in heartbeats, in seconds, or even in moments of pure joy or resounding failure, but in grand prix jumping it is measured in trust and the relationship between horse and rider.
Belle Ami (The One and More (The Only One #2))
Summary For some time the people in charge of Formula 1 have realised that the cars have too much grip on fresh tyres to look exciting and generate too much downforce to permit close racing. That’s why for 2017 they have altered the rules to increase tyre grip and downforce to a huge degree, thereby… OH FOR FUCK’S SAKE, NOT AGAIN.
Sniff Petrol (Sniff Petrol 2017 Grand Prix Guide)
Mais peu importe qu’il y ait ou non des grands desseins extérieurs à moi. Mon seul espoir a été ceci : discerner ce qui pouvait être accompli, croire que c’était possible, et ensuite mettre tout en œuvre pour exécuter, à n’importe quel prix. Et quand une vie s’achève comme la mienne s’achèvera, nul ne peut me persuader que le prix ne valait pas d’être payé en échange de ce que j’ai reçu
Orson Scott Card (A Planet Called Treason)
« Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette de chiffon et m'offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps du mieux que je pourrais. Sans doute je ne dirais pas tout ce que je pense, mais je penserais tout ce que je dirais. Je donnerais du prix aux choses, non pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles représentent. Je dormirais peu, je rêverais plus, sachant qu'en fermant les yeux, à chaque minute nous perdons 60 secondes de lumière. Je marcherais quand les autres s'arrêteraient, je me réveillerais quand les autres dormiraient. Si Dieu me faisait cadeau d'un morceau de vie, je m'habillerai simplement, je me coucherais à plat ventre au soleil, laissant à découvert pas seulement mon corps, mais aussi mon âme. Aux hommes, je montrerais comment ils se trompent, quand ils pensent qu'ils cessent d'être amoureux parce qu'ils vieillissent, sans savoir qu'ils vieillissent quand ils cessent d'être amoureux ! A l'enfant je donnerais des ailes mais je le laisserais apprendre à voler tout seul. Au vieillard je dirais que la mort ne vient pas avec la vieillesse mais seulement avec l'oubli. J'ai appris tant de choses de vous les hommes… J'ai appris que tout le monde veut vivre en haut de la montagne, sans savoir que le vrai bonheur se trouve dans la manière d'y arriver. J'ai appris que lorsqu'un nouveau-né serre pour la première fois, le doigt de son père, avec son petit poing, il le tient pour toujours. J'ai appris qu'un homme doit uniquement baisser le regard pour aider un de ses semblables à se relever. J'ai appris tant de choses de vous, mais à la vérité cela ne me servira pas à grand chose, si cela devait rester en moi, c'est que malheureusement je serais en train de mourir. Dis toujours ce que tu ressens et fais toujours ce que tu penses. Si je savais que c'est peut être aujourd'hui la dernière fois que je te vois dormir, je t'embrasserais très fort et je prierais pour pouvoir être le gardien de ton âme. Si je savais que ce sont les derniers moments où je te vois, je te dirais 'je t'aime' sans stupidement penser que tu le sais déjà. Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne souvent une autre possibilité pour faire les choses bien, mais au cas où elle se tromperait et c'est, si c'est tout ce qui nous reste, je voudrais te dire combien je t'aime, que jamais je ne t'oublierais. Le lendemain n'est sûr pour personne, ni pour les jeunes ni pour les vieux. C'est peut être aujourd'hui que tu vois pour la dernière fois ceux que tu aimes. Pour cela, n'attends pas, ne perds pas de temps, fais-le aujourd'hui, car peut être demain ne viendra jamais, tu regretteras toujours de n'avoir pas pris le temps pour un sourire, une embrassade, un baiser parce que tu étais trop occupé pour accéder à un de leur dernier désir. Garde ceux que tu aimes près de toi, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime les et traite les bien, prends le temps pour leur dire 'je regrette' 'pardonne-moi' 's'il te plait' 'merci' et tous les mots d'amour que tu connais. Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes. Demande la force et la sagesse pour les exprimer. Dis à tes amis et à ceux que tu aimes combien ils sont importants pour toi. Monsieur Márquez a terminé, disant : Envoie cette lettre à tous ceux que tu aimes, si tu ne le fais pas, demain sera comme aujourd'hui. Et si tu ne le fais pas cela n'a pas d'importance. Le moment sera passé. Je vous dis au revoir avec beaucoup de tendresse »
Gabriel García Márquez
Grand Prix racer Jochen Rindt said simply that when he’s racing, “You ignore everything and just concentrate. You forget about the rest of the world and become part of the car and track. It’s a very special feeling. You’re completely out of this world and completely into it. There’s nothing like it.
Ken Robinson (The Element: How Finding Your Passion Changes Everything)
Anquetil won the Grand Prix de Lugano seven times, I think,’ says Brunel. ‘After he’d won it six times, the organiser said to him it would be better if he didn’t come back next year, as he was finding it difficult to get sponsors because Anquetil kept winning. Then, in the winter, he changed his mind and said he could come after all, as he was a star, an important rider, but if he were to let Baldini win, it wouldn’t be a bad thing. “I’ve not got anything against you. It’s for the good of cycling,” the organiser explained. Anquetil said, “OK, but you have to pay me at the start. I don’t want to wait around after to be paid and have to face the journalists. And it’s double the normal rate. If not, I won’t come.” It was all agreed, but when he arrived he went to see Baldini and said, “Listen, don’t say anything to the organisers, but if you want, I’ll let you win today, but you must give me your appearance money.” Baldini agreed and gave him the money up front, so he took all three fees, and he went and won the race. Just for a laugh. It was just a game for him. He got on really well with Baldini. They were very good friends. In fact, Baldini is still a good friend of Jeanine. It wasn’t about the money for Anquetil. It was about having fun. He just wanted to have fun.
Paul Howard (Sex, Lies and Handlebar Tape: The Remarkable Life of Jacques Anquetil, the First Five-Times Winner of the Tour de France)
Every few years, in the world of sport, someone ascends to the most rarefied of all levels—the one at which it becomes news not when they win, but when they lose. It must have been like that in the early Fifties, when a tubby Italian called Alberto Ascari was stitching together nine Grand Prix wins in a row, a record not even Fangio, Clark or Senna could match. Or when the great Real Madrid side of Alfredo Di Stefano and Ferenc Puskas won the first five European Cup finals, between 1956 and 1960. Or when Martina Navratilova dominated Wimbledon's Centre Court, winning nine ladies' singles titles in thirteen years. The current Australian cricket team is in just such a run at present, having just completed nine consecutive victories, putting them four wins away from establishing an all-time record. And then there is Tiger Woods.
Richard Williams
The other message I have to share is this: despite difficult times and setbacks, if you persevere, you might surprise yourself.
Kimberly Gatto (Sandsablaze: Grand Prix Greatness from Harrisburg to the Olympics (Sports))
Mme Merkel s’inquiète sur l’orientation que prend l’UE, plus elle sera réticente à l’idée de perdre la Grande-Bretagne en tant qu’Etat membre. Le Royaume-Uni a été l’un des plus ardents défenseurs de la réduction du déficit et de la libéralisation du marché et, sans lui, le centre de gravité de l’UE se déplacerait davantage vers le sud, plus dirigiste. Mme Merkel a donc encore plus besoin de la Grande-Bretagne maintenant qu’à la fin 2014, et elle est aujourd’hui prête à payer le prix fort pour la garder au sein de l’UE.
Anonymous
ROME AND OURSELVES Rome is a bazaar in full swing, and a picturesque one. There you find every sort of horror (see the four reproductions here given) and the bad taste of the Roman Renaissance. We have to judge this Renaissance by our modern taste, which separates us from it by four great centuries of effort, the 17th, 18th, 19th, and 20th. We reap the benefit of this endeavour; we judge hardly, but with a warrantable severity. These four centuries are lacking at Rome, which fell asleep after Michael Angelo. Setting foot once again in Paris, we recover our ability to judge. The lesson of Rome is for wise men, for those who know and can appreciate, who can resist and can verify. Rome is the damnation of the half-educated. To send architectural students to Rome is to cripple them for life. The Grand Prix de Rome and the Villa Medici are the cancer of French architecture.
Le Corbusier (Towards a New Architecture (Dover Architecture))
Nostradamus avait prédit la fin du monde pour l’été 1999. Comme chacun peut le constater, la terre continue de tourner et le bug du millénaire n’a pas causé trop de ravages. Le 11-Septembre a tout changé ; Saddam a été exécuté par ses compatriotes. En 2006, Liu Xiang a réalisé des miracles et en juillet 2011, Yao Ming a quitté la NBA. L’année du tremblement de terre du Sichuan, Zhang Yimou a conçu le spectacle de la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques au Nid d’Oiseau ; les crises monétaires internationales se sont succédé. Le Printemps arabe a éclaté. La fin du monde en 2012 annoncée par les Mayas ne s’est pas produite. Le grand « tsar » Poutine a annexé la Crimée ; l’État islamique a déclenché l’afflux des réfugiés en Europe. Leonardo DiCaprio a obtenu un oscar ; le prix Nobel de littérature a été attribué à Bob Dylan ; les frères Wachowski – que Ye Xiao adore – se sont d’abord transformés en frère et sœur, pour finalement devenir sœurs. Ce 14 août 2017, il s’est écoulé dix-huit ans depuis le jour où, selon Nostradamus, la fin du monde devait arriver.
Cai Jun (Comme Hier)
C'est le manque de nouvelles sensations qui pousse a consommer plus pour obtenir du plaisir. Tout est question de culture et de gout. Mais accepter de regarder les choses avec les yeux d'une autre culture permet d'enrichir notre propre quotiden. Pour manger beau, bon et sain et en faire un style de vie, il faut enrayer la monotonie et la morosite. Manger beau, bon et sain fait partie des plus grands plaisirs de la vie. La beaute nourrit autant que les vitamines. Les Japonais considerent que la grandeur d'un repas tient a 50% dans sa presentation et a 50% dans son gout. L'esthetique en general et dans chaque detail du quotidien exerce des pouvoirs magiques sur notre moral, notre psychisme, notre bonheur. Il n'est pas necessaire d'avoir beaucoup de moyens, mais d'utiliser ce que l'on possede avec style, elegance et gout. Si les gens etaient davantage entoures de beaute, ils ressentiraient moins le besoin de consommer, de detruire, de gagner de l'argent a tout prix. Selon les Chinois, seul le sauvage et le barbare ne cuisinent pas. Tout Chinois eprouve le besoin de cuisiner pour se sentir vivre et apprivoiser le naturel qui sommeille au coeur de l'Homme. Nul exercice de yoga, nulle meditation dans une chapelle ne vous remontera plus le moral que la simple tache de fabriquer votre propre pain. M.F.K Fisher, The art of eating Le o bento est probablement l'une des formes du zen la plus pratique, populaire et accessible a tous: tout prevoir a l'avance, se prendre en charge sans dependre d'autrui, ne pas gaspiller et soigner sa sante tout en vivant avec art. La lassitude gastronomique conduit a une alimentation malsaine, a la morosite de la vie et a la maladie. Les taches domestiques seront peut-etre revalorisees le jour ou nous comprendrons l'importance qu'elles ont sur notre equilibre physique et psychologique. Il faut etre tres riche pour s'enrichir encore en se depouillant. L'art culinaire est devenu une mode, qui, comme tant d'autres formes de boulimie ( plaisir, bonheur, exotisme, depaysement ), nous susurre constamment: "changez, essayez, achetez". Les habitudes etant une seconde nature, tout ce a quoi nous nous habituons perd de son charme.
Dominique Loreau (L'art de la frugalité et de la volupté)
Singapore Why should I book a live band for my wedding? Merry Bees Merry Bees have serenaded dignitaries at the Istana. Merry bees provide services to their customers like Solo Live Music, Virtual live band, Solo Musician, Solo Wedding Singer, Instrumental live band, Corporate Live Band, wedding livestream etc. their all the services are quite good. Merry bees also performed at TV programmes and other high profile events including APEC, F1 Singapore Grand Prix, Young NTUC Celebrates NDP, DBS, Prudential, Maersk, Singapore Sports Awards, etc. Merry Bees have produced and performed to over 2,000 successful events. When COVID-19 hit us in 2020, Merry Bees was one of the first few events companies in Singapore who adapted quickly to virtual. Merry bees have produced and live streamed to over 250 events and performances by Dec 2020. Apart from that merry bees also provide Content creation, Videography, livestream production, Corporate Videography Merry bees are emotionally attached with their each client. ShiLi & Adi TWO IS BETTER THAN ONE It is no surprise that ShiLi & Adi are a highly sought after duo in the wedding live bands and corporate events circuit due to their fresh piano arrangements and smooth vocal harmony. From duets and their ability to medley any songs dedicated by the audience, their chemistry is unmistakable. John Lye Live Looping Singer Guitarist, Bilingual Emcee & Host, Production & Technical Director John Lye is one of the most versatile performers we know with 12 years of performing experience under his belt. As part of our core team and co-founder of Merry Bees, John wears many hats but his biggest hat would be charming audiences with a wide vocal range and solid guitar live looping skills, as he switches effortlessly from heavy old school rock ballads of Journey and Bon Jovi to classics from Sinatra and Nat King Cole in various languages. Merry bees have many live offers you can book merry bees to make your special day wonderful.
Merry Bees
Même si la joie qui accompagne l’amour est incomparable à toutes les autres et produit le plus grand des bonheurs, elle est fragile et n’empêche pas les souffrances. Aimer n’empêche donc pas de souffrir. Comme la Vierge Marie le disait à Bernadette de Lourdes, « en cette vie je te promets de t’apprendre à aimer mais pas nécessairement d’être heureuse tout le temps ». Naturellement tous les humains recherchent le bonheur. Mais vivre une vie chrétienne authentique ce n’est pas rechercher le bonheur à tout prix. C’est rechercher à aimer, quel qu’en soit le prix à payer.
Abbé Pierre (Mon Dieu... pourquoi ? (Hors Collection) (French Edition))
Mon fils, Avinoam Bezalel, est né à Bucarest en 1945. Il a le nom de mon père–et un grand nombre de ses qualités. Le jour de sa naissance coïncidait exactement avec Yom Kipour et, quand j’arrivai au Temple Coral, un messager m’attendait avec la bonne nouvelle. La tradition voulait que le grand rabbin sur le premier à ouvrir l’Arche sainte le jour de Kippour. Et, tandis qu’apparaissaient devant moi les rouleaux de la Torah, le hazzan entonna le texte liturgique qui se termine avec la supplication. « Je te prie, ô mon Dieu, de donner Ta grâce au fils que Tu m’as donné… ». Chaque année, à Kippour, quand je lis ce verset, je remercie Dieu du don inestimable qu'il nous a fait, à ma femme et à moi, en la personne de notre fils. À lui aussi j’ai enseigné personnellement la Bible, le Talmud et la pensée juive. Il devait manifester très tôt son attachement à Maïmonide, qui fut à la fois rabbin et médecin et qui l'influença certainement dans le choix de ses études. Il résolut en effet de devenir médecin pour pouvoir soulager et aider ceux qui souffrent. Il était encore étudiant quand il reçut un prix de l’université de Genève pour un mémoire sur le thème « Médecine et judaïsme », qui fut publié plus tard sous forme de livre à Tel-Aviv, en hébreu et en anglais, et très bien accueilli en Israël, en Europe et en Amérique. Aujourd’hui, Avinoam Bezalel enseigne la neurologie ophtalmologie à Genève et est reconnu comme un des meilleurs spécialistes européens en ce domaine. Autour d’un grand nombre de publications, il est souvent invité à faire des conférences dans des universités d’Europe, des États-Unis et d’Amérique du Sud. Il a épousé Edith Abensur, qui est médecin et descend d’une très ancienne famille sépharade dont les origines remontent à l’Espagne d’avant l’Inquisition. (p. 280–281)
Alexandre Safran (Un tăciune smuls flăcărilor: Comunitatea evreiască din România, 1939-1947 : memorii (Romanian Edition))
À la grande baleine O notre Dieu, farouche baleine Qu'adviendra-t-il des modes présents ? Ton large dos à la danse entraîne, Ne bouge pas, il est si glissant. Il est glissant, ce dos qui supporte Et nos esprits et tout l'univers. Pour seul présent, vois-tu, je t'apporte Ma pauvre danse et mon cœur amer. Mais cette peur qui me fend l'échine Prends-la, Seigneur, au prix de mes biens. En ta splendeur cruelle et divine Dis que tu n'est ni juif ni chrétien. Fais que ton dos me serve d'asile Pour que mon corps y trouve un étai Pour que mon corps ne batte fébrile Pour qu'en dormant me vienne la paix. Ou, pour toujours, fuis-moi qui t'exhortes Ne flotte plus narquois et léger. Voici déjà des étoiles mortes Et sur mon front leur douce clarté. (p. 98, adaptation de Paul Chaulot)
Endre Ady (Poètes d'aujourd'hui, n°160 : ENDRE ADY)
Mais s'il sait qu'il ne s'appartient pas à lui-même, cela ne le conduit point à faire peu de cas de lui; il agira en tout avec autant de soin et de scrupules qu'un homme intègre et probe conserve un dépôt. Quand il recevra l'ordre de restituer, il ne se plaindra pas de la Fortune, mais il lui dira: "Je te remercie pour tout ce que j'ai possédé et conservé; à vrai dire, c'est avec grand profit que j'ai cultivé tes biens; mais puisque tu le commandes, je te les rends, je te les abondonne d'un coeur reconnaissant et plein de gré. Si tu veux que je garde encore un de tes biens, je le conserverai; si tu en as décidé autrement, je te rends, je te restitue mon argenterie, mes écus, ma maison, mes esclaves." La nature qui, la première nous a ouvert un crédit, peut nous rappeler, et nous lui dirons: "Reçois mon âme, meilleure que tu ne me l'as donnée; je n'hésite pas; je ne recule pas; ce que tu m'as donné sans que j'en aie eu conscience, je le mets à ta disposition, de mon plein gré. Prends. Revenir d'où l'on vient: qu'y a-t-il là de si grave ? Il vivra mal celui qui ne sait pas mourir. C'est pourquoi il faut d'abord enlever son prix à la vie et compter l'existence parmi les choses sans valeur.
Sénèque (De la tranquilite de l 'âme (French Edition))
La jalousie! "Othello n'est pas jaloux, il est confiant", a remarqué Pouchkine, et cette remarque à elle seule témoigne de l'intelligence hors du commun de notre grand poète. Othello a juste l'âme anéantie, tout son univers s'est retourné, parce que son idéal est mort. Mais Othello n'ira pas se cacher, espionner, ou épier: il est confiant. Au contraire, c'est lui qu'il faut mettre sur la piste, pousser, exciter au prix d'efforts extrêmes, pour qu'il commence juste à se douter de la trahison. Tel n'est pas le jaloux véritable. On ne peut même pas s'imaginer la honte et la déchéance morale que le jaloux est capable d'accepter sans le moindre remords de conscience. Et ce n'est pourtant pas que tous les jaloux soient des âmes sales ou viles. Au contraire, en ayant le coeur noble, un amour pur, plein d'esprit et de sacrifice, on peut en même temps se cacher sous les tables, acheter les pires crapules et vivre dans la saleté la plus répugnante en espionnant et en écoutant aux portes. Othello n'aurait jamais pu accepter la trahison - non pardonner, mais accepter le fait - quoique son âme fût incapable de colère et innocente comme celle d'un enfant. Un vrai jaloux, c'est autre chose: on a du mal à imaginer tout ce que à quoi un vrai jaloux peut cohabiter, ce qu'il peut accepter, ce qu'il est capable de pardonner! Ce sont d'ailleurs les jaloux qui pardonnent plus vite que les autres, et toutes les femmes le savent. Le jaloux, très rapidement (après bien sûr, une scène effrayante au début), peut et est capable de pardonner, par exemple, une trahison presque prouvée, des étreintes et des baisers qu'il aura vus lui-même, si, par exemple, au même moment, il aura pu se persuader, d'une façon ou d'une autre, que c'était "pour la dernière fois" et que le rival disparaîtra dorénavant, qu'il partira au bout du monde, ou que, lui-même, il emmènera celle qu'il aime quelque part où le rival ne pourra plus jamais revenir. Il va de soi que la réconciliation ne dure qu'une heure, parce que, quand bien même le rival aurait réellement disparu, lui-même, dès le lendemain, il s'en fabriquera un autre, un nouveau, et il sera jaloux de ce nouveau. Et on pourrait croire que si, dans votre amour, vous avez besoin d'épier, alors, que vaut-il, cet amour, s'il lui faut tant de sentinelles? Mais c'est bien cela que le vrai jaloux ne sera jamais en état de comprendre, et pourtant, je vous jure, il existe des jaloux qui sont des coeurs sublimes...
Fiodor Dostoïevski
Nous connaissions par cœur l'histoire de l'ours Fram [« Fram l'ours polaire » de Cezar Petrescu], Les Souvenirs d'enfance d'Ion Creangă et les merveilleux contes des Mille et Une Nuits. Parfois, le soir, malgré le prix du pétrole, Bunica [grand-mère] nous laissait la lampe quelques précieuses minutes pour que nous continuions notre Tour du monde en quatre-vingts jours. (p. 131)
Florentina Postaru (Heureux qui comme mon aspirateur, a fait un beau voyage)
Le roi Hiang (Xiang Yu n.n.) mena ses soldats du côté de l’est; arrivé à Tong-Tch’en il n’avait plus que vingt- huit cavaliers. Les cavaliers de Han qui le poursuivaient étaient au nombre de plusieurs milliers. Le roi Hiang estima qu’il ne pouvait plus échapper ; il dit à ses cavaliers : « Huit années se sont écoulées depuis le moment où j’ai commencé la guerre jusqu’à maintenant ; j’ai livré en personne plus de soixante-dix batailles ; ceux qui m’ont résisté, je les ai écrasés ; ceux qui m’ont attaqué, je les ai soumis ; je n’ai jamais été battu ; j’ai donc possédé l’empire en m’en faisant le chef. Cependant voici maintenant en définitive à quelle extrémité je suis réduit ; c’est le Ciel qui me perd ; ce n’est point que j’aie commis quelque faute militaire… Alors il divisa ses cavaliers en quatre bandes qu’il disposa sur quatre fronts ; l’armée de Ban le tenait enfermé dans un cercle de plusieurs rangs d’épaisseur ; le roi Hiang dit à ses cavaliers : « Je vais, en votre honneur, m’emparer de ce général que voilà. » Il ordonna à ses cavaliers sur les quatre fronts de descendre’ à fond de train et leur fixa trois lieux de rendez-vous à l'est de la montagne. Puis le roi Hiang descendit au galop en poussant de grands cris ; l’armée de Han se mit en déroute et il coupa aussitôt la tête à un général de Han…. Le roi Hiang lui-même avait reçu plus de dix blessures ; en se retournant, il aperçut Lu Ma-t'ong capitaine des cavaliers de Han et lui dit: « N’êtes- vous pas une de mes anciennes connaissances ? » Ma-t’ong le dévisagea et, le montrant à Wang, il lui dit : « Celui-là est le roi Hiang. » Le roi Hiang dit alors : « J’ai entendu dire que Han avait mis à prix ma tête, (promettant pour elle) un millier d’or et une terre de dix mille foyers ; je vous donne cet avantage. » Â ces mots, il se coupa la gorge et mourut.
Sima Qian (Mémoires historiques - Deuxième Section (French Edition))
Je travaille toujours, mais il faut commencer par mettre en avant un arrangement diplomatique. Ce point obtenu, nous aurions de grandes chances de succès. Pour le moment, le mot d’expédition belge en Chine ne doit être prononcé à aucun prix
Leopold II
Les gens jugent tout à l’apparence ; ce qui n’est pas visible ne compte pour rien. Ne vous laissez jamais noyer dans la foule ni sombrer dans l’oubli. Soyez à tout prix le point de mire, celui que l’on remarque. Faites-vous plus grand, plus chatoyant, plus mystérieux que la masse terne et morne, soyez l’aimant qui attire tous les regards.
Robert Greene (Power, les 48 lois du pouvoir : l'édition condensée (French Edition))
the Grand Prix
Hannah Grace (Icebreaker)
Selv om landene i Kaukasia er med i Melodi Grand Prix og naturen minner om Nordland, er det ikke mye vi nordmenn vet om Kaukasuslandene. Knut Hamsun (I Æventyrland, 1903) erfarte at de snakket verken engelsk eller tysk på vertshuset. «Bare» russisk, mongolsk, georgisk, armensk og persisk.
Atle Grønn (Sjakken eller livet)
Ce fut le début d’un échange inégal et mortel : je payais mon absence et mon éloignement à un prix qui me semblait suffisamment élevé pour racheter mes fautes. Ainsi le matériel prenait peu à peu la place du sentiment. Mais si, en quantité, les poids pouvaient peut-être se comparer, en qualité il n’en était rien. À cette époque pourtant, je m’en rendais encore compte et je me sentais coupable. À mesure que d’autres présences allaient combler, si imparfaitement que ce fût, l’absence de ma famille, je m’en soucierais moins.
Jean-Christophe Rufin (Le Grand Cœur)
Découvre notre boutique Diamond Painting pour tous les fans de broderies diamants. Tu retrouveras beaucoup de toiles diamond painting au meilleur prix. Chaque client de peinture diamant est satisfait dans la boutique diams Painting. Colle des diamants sur une toile, très reposant à faire. Diams Painting N°1 du DIY en France. De la broderie diamants pour les grands comme les petits. Le lien est juste en-dessous, clique dessus maintenant !
Lampes Manga
Dans toute littérature mystique, on rencontre un grand nombre de bahlul-s, de majdhub-s (fous de Dieu), mais leur grand nombre au milieu du XIXe siècle est vraiment frappant, et on trouve certains détails significatifs dans leur biographies. L'un d'eux arrête Muhammad IV, encore prince héritier, alors qu'il s'apprêtait à aller à Oujda, en 1844, et lui dit "Va plutôt à Tetouan."" Un autre prédisait les années de disette et de hausse des prix. Un troisième avait l'habitude d'aller nu dans les rues en parlant un charabia "semblable aux langues européennes" [...]
عبد الله العروي (Les origines sociales et culturelles du nationalisme marocain (1830-1912))
He concentrated on braking, shifting, accelerating. Death could not find him. He was moving too fast for it.
Robert Daley (Cars at Speed: Classic Stories from Grand Prix's Golden Age)
méthodiquement parti de la possibilité d’une polysémie voulue qui, avec l’apparition d’un corps d’interprètes professionnels, c’est-à-dire professionnellement déterminés à trouver du sens et de la nécessité, au prix d’un travail d’interprétation ou de surinterprétation, s’est trouvée inscrite dans le champ même et, par là, dans l’intention créatrice des producteurs. On comprend qu’on ait pu dire de Duchamp qu’il est « le seul peintre à s’être fait une place dans le monde de l’art autant par ce qu’il n’a pas fait que par ce qu’il a fait52 » : le refus de peindre (marqué par la retraite après l’inachèvement du Grand Verre, en 1923) devient ainsi, au titre d’actualisation du refus dada de séparer l’art de la vie, un acte artistique, voire l’acte artistique suprême, semblable dans son ordre au silence contemplatif du berger de l’Être heideggérien.
Pierre Bourdieu (Les Règles de l'art. Genèse et structure du champ littéraire (LIBRE EXAMEN) (French Edition))
You need to take positions big enough that they make you feel legitimately at risk if things go wrong. You need to be able to drive the car fast enough to win the Grand Prix… But not so fast you slam into the wall.
Brent Donnelly (Alpha Trader: The Mindset, Methodology and Mathematics of Professional Trading)
Three years after launching his company, Enzo Ferrari was poised to dominate racing in Europe. His first Grand Prix championships came back to back in 1952 and 1953. Another Le Mans victory came in 1954. Years later Ferrari was asked: Which of his cars was his favorite? He answered, “The car which I have32 not yet created.” And which of his victories meant the most? “The one which I have not yet achieved.
A.J. Baime (Go Like Hell: Ford, Ferrari and their Battle for Speed and Glory at Le Mans)
Depuis qu'elle était devenue femme au foyer à plein temps, Kim Jiyoung réalisait que l'attitude des gens devant le ménage était d'une grande hypocrisie. Tantôt dévalorisé, quand on parle juste de rester à la maison, tantôt sublimé quand on parle de se consacrer à faire croître l'humanité, mais jamais en évaluant ce travail en chiffres réels, en coûts. Sans doute parce qu'à partir du moment où une chose a un prix, quelqu'un doit payer pour ça.
Cho Nam-Joo (Kim Jiyoung, Born 1982)
Often things happen to race cars in the heat of the race. A square-toothed gear in a transmission may break, suddenly leaving the driver without all of his gears. Or perhaps a clutch fails. Brakes go soft from overheating. Suspensions break. When faced with one of these problems, the poor driver crashes. The average driver gives up. The great drivers drive through the problem. They figure out a way to continue racing. Like in the Luxembourg Grand Prix in 1989, when the Irish racer Kevin Finnerty York finished the race victoriously and later revealed that he had driven the final twenty laps of the race with only two gears! To be able to possess a machine in such a way is the ultimate show of determination and awareness. It makes one realize that the physicality of our world is a boundary to us only if our will is weak; a true champion can accomplish things that a normal person would think impossible.
Garth Stein (The Art of Racing in the Rain)
For years he had watched her skate and grow into her potential.  She was a natural and had won several world and national championships in addition to the silver medal from the last Olympics and a bronze in Turin.  For most skaters, that would be enough.  Not for Kerri, though.  She was a fighter who loved competition.  Her coach, Petra Baranski, told him what Kerri was going through and what she wanted when he saw Petra again at the Grand Prix tournament in Oslo two weeks ago.  Jake knew that this was his chance.  He didn’t know if another one with Kerri would come, and he wasn't going to let this one go by.  He was the kind of man who reached for what he wanted and was not the kind who let things just happen in the hopes that it would work out in his favor.  The plain and simple truth was that he wanted Kerri.  He wanted her. After he stepped away from his window, he crossed the hotel suite and sat down on the white, leather sectional sofa located in the sitting room.  Then he leaned back, pulled his legs up onto the chaise sectional, and set his cup of tea on the side table.  Once he picked up his cell phone again, he pressed the button that would connect him to the person he most wanted to talk to now.  The phone rang several times and was eventually answered by one of the servants in his home.  He spoke in rapid Japanese to the woman and then waited patiently at his end.  It didn't take long before the female voice he most wanted to hear came on the line.  Jake grinned broadly as she spoke, and he leaned back on the chaise to listen to her tell him about her day.  His heart lifted with each of her words.  But all too soon the conversation ended, and he switched his phone off and prepared for bed.
Eleanor Webb (The Job Offer)
Jean Behra, the French driver, said: "Only those who do not move, do not die; but are they not already dead?
Robert Daley (CARS AT SPEED - Grand Prix's Golden Age)
In my experience, the best engineers are those who excel at these fundamentals and are able to break down complex problems into very simple ones. As
Richard Ladbrooke (How To Get A Job In Grand Prix Racing: The startline for a career in motorsport)
In my experience, the best engineers are those who excel at these fundamentals and are able to break down complex problems into very simple ones. As the famous quote suggests "Simplicity is the ultimate sophistication" and in F1 this holds very true.
Richard Ladbrooke (How To Get A Job In Grand Prix Racing: The startline for a career in motorsport)
Les lourdes portes de l’immeuble ouvraient sur un vestibule en marbre au fond duquel s’érigeait un grand escalier en colimaçon. L’épaisse moquette rouge étouffait le bruit de mes pas. Je montais lentement pour m’imprégner du moment. Je trouvais tout beau, ici. J’aimais Paris. Je me sentais chez moi dans cette ville que je ne connaissais pas mais qui
Virginia Tangvald (Les enfants du large - Prix Révélation d'automne de la SGDL 2024 (Littérature française) (French Edition))