Franz Marc Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Franz Marc. Here they are! All 7 of them:

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Art is nothing but the expression of our dream; the more we surrender to it the closer we get to the inner truth of things, our dream-life, the true life that scorns questions and does not see them.
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Franz Marc
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I did four pastel drawings from the permanent collection - a Chagall, a Franz Marc, and two Picassos. I picked those because I could tell the paintings were looking at me as hard as I was looking at them.
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Jandy Nelson (I'll Give You the Sun)
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But, as Sir Herbert Read remarks in his Concise History of Modern Art, metaphysical anxiety is no longer only Germanic and northern; it now characterizes the whole of the modern world. Read quotes Klee, who wrote in his Diary at the beginning of 1915: “The more horrifying this world becomes (as it is in these days) the more art becomes abstract; while a world at peace produces realistic art.” To Franz Marc, abstraction offered a refuge from the evil and ugliness in this world. “Very early in life I felt that man was ugly. The animals seemed to be more lovely and pure, yet even among them I discovered so much that was revolting and hideous that my painting became more and more schematic and abstract.
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C.G. Jung (Man and His Symbols)
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- Oh ! Franz, ce que tu peux être poule mouillée parois ! Tu n’as donc pas envie de participer à ce grand bouleversement qui se prépare, de sortir de ta cage, de prendre ton envol ? Rappelle-toi que tu es le fils d’un Aigle ! Où sont tes ailes ? - Je ne suis pas le fils d’un Aigle, mais d’un vautour, qui pendant vingt ans s’est nourri de cadavres. Du moins c’est ainsi qu’on me le présente ici.
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Jean-Marc Ligny (La Dame Blanche)
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- Oh ! Franz, ce que tu peux être poule mouillée parfois ! Tu n’as donc pas envie de participer à ce grand bouleversement qui se prépare, de sortir de ta cage, de prendre ton envol ? Rappelle-toi que tu es le fils d’un Aigle ! Où sont tes ailes ? - Je ne suis pas le fils d’un Aigle, mais d’un vautour, qui pendant vingt ans s’est nourri de cadavres. Du moins c’est ainsi qu’on me le présente ici.
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Jean-Marc Ligny (La Dame Blanche)
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A Schönbrunn, les fêtes se suivent et se ressemblent, indifférentes au temps qui passe, au monde qui change, aux moeurs qui évoluent. Elégantes, poudrées, chamarrées, brillant des mille éclats des diamants, des cristaux, de l’argenterie ; évoluant aux pays glissés des valses, menuets et quadrilles ; bruissant de robes de soie, cliquetant de médailles, bourdonnant d’intrigues de cour ; si charmantes, si convenables, si ennuyeuses … Pendant que l’on se pavane, selon un protocole immuable, dans les salons rococo et les jardins au cordeau, les premières locomotives à vapeur ahanent sur les premiers kilomètres de rails, d’énormes machines de fonte et d’acier remplacent des contingents d’ouvriers dans les usines, l’éclairage au gaz arrive dans les théâtres et bientôt dans les rues, on parvient à produire et stocker de l’électricité, Niepce et Daguerre impressionnent les premières plaques photographiques … Des idées nouvelles issues de la Révolution, sur la liberté, l’égalité, les droits de l’homme, s’échafaudent en systèmes et s’enracinent dans les coeurs, un esprit de révolte fermente au centre des villes, au fond des campagnes, au sein des armées, partout le poids écrasant de cette monarchie obsolète devient insupportable… Franz sait tout cela qui, du haut de ses onze printemps, regarde pavoiser ce beau monde. Boulimique de savoir et d’informations, François lui raconte raconte toutes ses visions dès qu’ils ont l’occasion d’être seuls ; les sociétés qu’il lui décrit sont bien loin de l’atmosphère empesée de Schönbrunn, les gens dont il lui parle sont bien plus vivants que ces momies figées dans leurs convenances. Aussi le petit duc pose-t’il sur cette fête - sa fête, pourtant - le regard blasé, impatient et las de celui qui sait qu’il assiste à la lente agonie d’un système sclérosé, mais sans pouvoir y changer quoi que ce soit, ni avancer ni retarder l’échéance.
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Jean-Marc Ligny (La Dame Blanche)
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During the period when Schoenberg actually hoped to earn an income from the works, forty of his paintings were shown in a small one-man exhibit in Vienna in 1910. Later some of his work was exhibited alongside that of painters such as Franz Marc, Wassily Kandinsky, Henri Rousseau, and Egon Schiele. Gustav Mahler anonymously purchased some of these paintings to help support the painter/composer. In
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Allen Shawn (Arnold Schoenberg's Journey)