Et Stock Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Et Stock. Here they are! All 17 of them:

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Tecum habita, et noris quam sit tibi curta suppellex. Retire within thyself, and thou will discover how small a stock is there.
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Persius (The Satires Of Persius)
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[I] threw open the door to find Rob sit­ting on the low stool in front of my book­case, sur­round­ed by card­board box­es. He was seal­ing the last one up with tape and string. There were eight box­es - eight box­es of my books bound up and ready for the base­ment! "He looked up and said, 'Hel­lo, dar­ling. Don't mind the mess, the care­tak­er said he'd help me car­ry these down to the base­ment.' He nod­ded to­wards my book­shelves and said, 'Don't they look won­der­ful?' "Well, there were no words! I was too ap­palled to speak. Sid­ney, ev­ery sin­gle shelf - where my books had stood - was filled with ath­let­ic tro­phies: sil­ver cups, gold cups, blue rosettes, red rib­bons. There were awards for ev­ery game that could pos­si­bly be played with a wood­en ob­ject: crick­et bats, squash rac­quets, ten­nis rac­quets, oars, golf clubs, ping-​pong bats, bows and ar­rows, snook­er cues, lacrosse sticks, hock­ey sticks and po­lo mal­lets. There were stat­ues for ev­ery­thing a man could jump over, ei­ther by him­self or on a horse. Next came the framed cer­tificates - for shoot­ing the most birds on such and such a date, for First Place in run­ning races, for Last Man Stand­ing in some filthy tug of war against Scot­land. "All I could do was scream, 'How dare you! What have you DONE?! Put my books back!' "Well, that's how it start­ed. Even­tu­al­ly, I said some­thing to the ef­fect that I could nev­er mar­ry a man whose idea of bliss was to strike out at lit­tle balls and lit­tle birds. Rob coun­tered with re­marks about damned blue­stock­ings and shrews. And it all de­gen­er­at­ed from there - the on­ly thought we prob­ably had in com­mon was, What the hell have we talked about for the last four months? What, in­deed? He huffed and puffed and snort­ed and left. And I un­packed my books.
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Annie Barrows (The Guernsey Literary and Potato Peel Pie Society)
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L’agonie de notre temps gĂźt lĂ . Le siĂšcle ne s’effondre pas faute de soutien matĂ©riel. Jamais l’univers ne fut si riche, comblĂ© de tant de confort, aidĂ© par une industrialisation Ă  ce point productrice. Jamais il n’y eut tant de ressources ni de biens offerts. C’est le cƓur de l’homme, et lui seul, qui est en Ă©tat de faillite. C’est faute d’aimer, c’est faute de croire et de se donner, que le monde s’accable lui-mĂȘme des coups qui l’assassinent. Le siĂšcle a voulu n’ĂȘtre plus que le siĂšcle des appĂ©tits. Son orgueil l’a perdu. Il a cru aux machines, aux stocks, aux lingots, sur lesquels il rĂ©gnerait en maĂźtre. Il a cru, tout autant, Ă  la victoire des passions charnelles projetĂ©es au delĂ  de toutes les limites, Ă  la libĂ©ration des formes les plus diverses des jouissances, sans cesse multipliĂ©es, toujours plus avilies et plus avilissantes, dotĂ©es d’une « technique » qui n’est, en somme, gĂ©nĂ©ralement, qu’une accumulation, sans grande imagination, d’assez pauvres vices, d’ĂȘtres vidĂ©s.
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Leon Degrelle (Almas ardiendo: notas de paz, de guerra y de exilio)
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There is ample evidence that confirmation bias permeates throughout investors' decisions. For example, once an investor likes a stock, he is likely to seek out information that validates that stock. In a 2010 study, researchers showed that investors used message boards to seek out information that validated rather than challenged, stocks they owned (Park et al. 2010). If we own a stock, we tend to look for anything that validates our decision to buy it, and to reinforce why we should keep holding it.
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Peter Mallouk (The 5 Mistakes Every Investor Makes and How to Avoid Them: Getting Investing Right)
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Certains clients ne comprennent pas pourquoi, le jour de Noël, le jouet le plus vendu du moment est en rupture de stock et font un scandale en trente-six exemplaires.
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Anna Sam (Les tribulations d'une caissiĂšre (Essais - Documents) (French Edition))
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Dans le domaine de la justice criminelle, la matiĂšre premiĂšre n’est autre que les prisonniers eux-mĂȘmes, et l’industrie fera toujours ce qu’il faut pour s’en garantir un approvisionnement constant. Pour que ce stock de prisonniers augmente, les politiques de justice criminelle doivent fabriquer un nombre suffisant de prisonniers, quelle que soit l’augmentation ou la diminution de la criminalitĂ© et la nĂ©cessitĂ© rĂ©elle de la dĂ©tention.
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Angela Y. Davis (Are Prisons Obsolete?)
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– Bah alors, c’est ce que je dis, avec la dotation qu’on a, ajouta Făneață puis il se leva pour prendre le livre le plus Ă©pais de la pile la plus proche. Il se trouva que c’était La Montagne magique. – Ça fera l’affaire, dit-il le travailleur en se rasseyant Ă  table. Il a suffisamment de pages pour que personne ne remarque que nous en avons dĂ©chirĂ© quelques-unes. – Mon frĂšre, t’es vraiment mortel. Laisse donc ce livre en paix, nom de Dieu
 Nicu s’opposa pour la derniĂšre fois, l’image de son camarade en cerbĂšre le fit Ă©clater de rire. Une considĂ©ration de folie. – Tiens, avant de le dĂ©plumer, lis au moins ce qu’il y a d’écrit, qu’on entende nous aussi. Făneață fourra son doigt Ă©pais au cƓur du livre et lut lĂ  oĂč ses yeux se posĂšrent : – Qu’est-ce que le corps ! Ă©clata-t-il avec une impĂ©tositĂ© soudaine. Qu’est-ce que la chair ! Qu’est-ce que le corps humain ! De quoi est-il constitué ! Monsieur le conchilier aulique, dites-le nous tout de suite, cet aprĂšs-midi mĂȘme. Dites-le-nous une fois pour tourtes et le plus Ă©chactement, pour que nous le sachions. ÉcƓurĂ© par la lecture, il s’arrĂȘta, et ne cacha pas son Ă©tonnement : certains sont prĂȘts Ă  jeter leur argent par les fenĂȘtres pour n’importe quoi. – Mon petit Nicu, c’est ainsi quand l’homme a trop de temps libre, qu’il ne travaille mĂȘme pas. Il est lĂ  Ă  se faire des idĂ©es, et ceux qui se font passer pour cultivĂ©s font la file d’attente pour acheter quelque livre comme celui-lĂ . Chiche qu’on va montrer Ă  m’sieur l’écrivain – il fit une pause pour lire le nom de celui-ci sur la couverture – ce que c’est-ce que la viande, car je vois que l’honorable dit ne pas le savoir. Passe-moi les saucisses, va ! Puis il arracha soigneusement quelques pages sur lesquelles il dĂ©posa fromage et lĂ©gumes en se vantant auprĂšs de Nicu que lui Ă©tait un garçon de salon et que l’on n’aurait dĂ©chirĂ© des feuilles que de lĂ -bas, de l’introduction, partie que personne ne lit. – De la critique.
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Călin Torsan (Brocs en stock (French Edition))
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Le premier point Ă  prendre en compte est le fait que la production globale actuelle est quantitativement suffisante pour assurer l'alimentation de l'ensemble de la population mondiale. La disponibilitĂ© alimentaire mondiale est de 2 790 calories par jour et par personne (donnĂ©es de 2001-2003), ce qui pourrait ĂȘtre suffisant. La sous-alimentation qui affecte aujourd'hui un milliard d'individus pourrait ĂȘtre Ă©radiquĂ©e par ure rĂ©organisation de la production, notamment avec une rĂ©orientation vers la multiplicitĂ© des cultures vivriĂšres et par un rĂ©Ă©quilibrage du stock calorique, fort mal distribuĂ© (3 490 calories par jour et par personne dans les pays dĂ©veloppĂ©s, contre 2 254 en Afrique subsaharienne). Quant Ă  la malnutrition (carences en vitamines et minĂ©raux) et Ă  son envers, l'obĂ©sitĂ© et le surpoids (provoquĂ©s essentiellement par la diffusion des habitudes alimentaires promues par le secteur agroalimentaire et la grande distribution), qui affectent chacune un milliard d'individus, ils pourraient ĂȘtre rĂ©sorbĂ©s, sans augmentation quantitative globale, par une rĂ©orientation vers une agriculture paysanne dĂ©veloppant des pratiques agro-Ă©cologiques. Si l'agriculture industrielle actuelle fait valoir de maniĂšre tronquĂ©e sa supĂ©rioritĂ©, notamment en termes de productivitĂ© par hectare, une Ă©valuation plus globale, incluant l'ensemble des coĂ»ts directs et indirects (notamment Ă©cologiques), invite Ă  faire pencher la balance de l'efficacitĂ© du cĂŽtĂ© de l'agriculture paysanne. De fait, l'agriculture industrialisĂ©e est entraĂźnĂ©e dans un cercle vicieux, marquĂ© notamment par l'Ă©puisement et la salinisation des sols, la multiplication des insectes rĂ©sistant aux pesticides, la hausse des pathologies du bĂ©tail ; en outre, elle provoque une baisse du pouvoir nutritif des produits, notamment des fruits et lĂ©gumes Ă  croissance rapide. Enfin, il faut indiquer que les surfaces agricoles consacrĂ©es Ă  des cultures non alimentaires (agrocarburants notamment) doivent ĂȘtre restituĂ©es Ă  leur vocation initiale, ce qui offre une marge de manƓuvre importante pour assurer Ă  l'ensemble de l'humanitĂ© une alimentation quantitativement et qualitativement satisfaisante. On dispose Ă©galement de deux leviers importants pour atteindre et maintenir cet impĂ©ratif Ă©lĂ©mentaire : d'une part, une limitation de l'Ă©levage, particuliĂšrement glouton en Ă©nergie et en surfaces (40 % des grains actuellement produits sont destinĂ©s Ă  l'alimentation animale) et Ă©cologiquement dangereux (importantes Ă©missions de gaz Ă  effet de serre) ; d'autre part, une Ă©limination du gĂąchis alimentaire (Ă©valuĂ© Ă  30 % au moins dans le systĂšme alimentaire industriel mondial, et Ă  100 milliards de dollars par an uniquement aux États-Unis). (p. 190-192)
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JĂ©rĂŽme Baschet (AdiĂłs al Capitalismo: AutonomĂ­a, sociedad del buen vivir y multiplicidad de mundos)
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Dans son rapport inaugural, le Forum, Ă  propos de la mondialisation qu'il a symbolisĂ©e sous ses formes les plus conquĂ©rantes et sĂ»res d'elles-mĂȘmes, Ă©voque avec un sens exquis de l'euphĂ©misme "un risque de dĂ©sillusion". Mais dans les conversations, c'est autre chose. DĂ©sillusion ? Crise ? InĂ©galitĂ©s ? D'accord, si vous y tenez, mais enfin, comme nous le dit le trĂšs cordial et chaleureux PDG de la banque amĂ©ricaine Western Union, soyons clairs : si on ne paie pas les leaders comme ils le mĂ©ritent, ils s'en iront voir ailleurs. Et puis, capitalisme, ça veut dire quoi ? Si vous avez 100 dollars d'Ă©conomies et que vous les mettez Ă  la banque en espĂ©rant en avoir bientĂŽt 105, vous ĂȘtes un capitaliste, ni plus ni moins que moi. Et plus ces capitalistes comme vous et moi (il a rĂ©ellement dit "comme vous et moi", et mĂȘme si nous gagnons fort dĂ©cemment notre vie, mĂȘme si nous ne connaissons pas le salaire exact du PDG de la Western Union, pour ne rien dire de ses stock-options, ce "comme vous et moi" mĂ©rite Ă  notre sens le pompon de la "brĂšve de comptoir" version Davos), plus ces capitalistes comme vous et moi, donc, gagneront d'argent, plus ils en auront Ă  donner, pardon Ă  redistribuer, aux pauvres. L'idĂ©e ne semble pas effleurer cet homme enthousiaste, et Ă  sa façon, gĂ©nĂ©reux, que ce ne serait pas plus mal si les pauvres Ă©taient en mesure d'en gagner eux-mĂȘms et ne dĂ©pendaient pas des bonnes dispositions des riches. Faire le maximum d'argent, et ensuite le maximum de bien, ou pour les plus sophistiquĂ©s faire le maximum de bien en faisant le maximum d'argent, c'est le mantra du Forum, oĂč on n'est pas grand-chose si on n'a pas sa fondation caritative, et c'est mieux que rien, sans doute "(vous voudriez quoi ? Le communisme ?"). Ce qui est moins bien que rien, en revanche, beaucoup moins bien, c'est l'effarante langue de bois dans laquelle ce mantra se dĂ©cline. Ces mots dont tout le monde se gargarise : prĂ©occupation sociĂ©tale, dimension humaine, conscience globale, changement de paradigme
 De mĂȘme que l'imagerie marxiste se reprĂ©sentait autrefois les capitalistes ventrus, en chapeau haut de forme et suçant avec voluptĂ© le sang du prolĂ©tariat, on a tendance Ă  se reprĂ©senter les super-riches et super-puissants rĂ©unis Ă  Davos comme des cyniques, Ă  l'image de ces traders de Chicago qui, en rĂ©ponse Ă  Occupy Wall Street, ont dĂ©ployĂ© au dernier Ă©tage de leur tour une banderole proclamant : "Nous sommes les 1%". Mais ces petits cyniques-lĂ  Ă©taient des naĂŻfs, alors que les grands fauves qu'on cĂŽtoie Ă  Davos ne semblent, eux, pas cyniques du tout. Ils semblent sincĂšrement convaincus des bienfaits qu'ils apportent au monde, sincĂšrement convaincus que leur ingĂ©nierie financiĂšre et philanthropique (Ă  les entendre, c'est pareil) est la seule façon de nĂ©gocier en douceur le fameux changement de paradigme qui est l'autre nom de l'entrĂ©e dans l'Ăąge d'or. Ça nous a Ă©tonnĂ©s dĂšs le premier jour, le parfum de new age qui baigne ce jamboree de mĂąles dominants en costumes gris. Au second, il devient entĂȘtant, et au troisiĂšme on n'en peut plus, on suffoque dans ce nuage de discours et de slogans tout droit sortis de manuels de dĂ©veloppement personnel et de positive thinking. Alors, bien sĂ»r, on n'avait pas besoin de venir jusqu'ici pour se douter que l'optimisme est d'une pratique plus aisĂ©e aux heureux du monde qu'Ă  ses gueux, mais son inflation, sa dĂ©connexion de toute expĂ©rience ordinaire sont ici tels que l'observateur le plus modĂ©rĂ© se retrouve Ă  osciller entre, sur le versant idĂ©aliste, une indignation rĂ©volutionnaire, et, sur le versant misanthrope, le sarcasme le plus noir. (p. 439-441)
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Emmanuel CarrĂšre (Il est avantageux d'avoir oĂč aller)
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Chambers et al. conclude that Keynes had no skill as a market timer. By then, however, the man who had started out as a top-down speculator relying upon his “superior knowledge” to forecast the macroeconomic climate, was behaving more like a bottom-up, fundamental investor who sought solid, dividend-paying stocks with good long-term prospects. His gains came from taking large positions in those securities that had financial statement sheets he could understand, and sold products or services he believed he could assess objectively.
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Allen C. Benello (Concentrated Investing: Strategies of the World's Greatest Concentrated Value Investors)
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By this time NDTV had become part and parcel of Lutyens’ cozy club cutting across party lines. Congress and BJP heavyweights were at the disposal of NDTV. Left parties too were silent and complicit on NDTV’s illegalities in wielding power as Prannoy Roy’s wife Radhika Roy was the full blood real sister of Communist Party of India – Marxist (CPI-M) Politburo member Brinda Karat (wife of Prakash Karat, General Secretary of CPI-M). Till 2009, the CPI-M General Secretary Prakash Karat and wife Brinda Karat lived with Prannoy Roy and Radhika Roy. NDTV was basking in the aura of the political and intellectual who’s who in the luxurious Lutyens’ Delhi. By this time, it had many nephews, nieces, daughters, sons, daughters in law, sons in law, et al, of powers that be/people at key places on its rolls masquerading as journalists or in other positions within NDTV to curry favours with the obliged and gratified uncles and fathers in law.
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Sree Iyer (NDTV Frauds V2.0 - The Real Culprit: A completely revamped version that shows the extent to which NDTV and a Cabal will stoop to hide a saga of Money Laundering, Tax Evasion and Stock Manipulation.)
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From his headquarters in Los Angeles, Bob Lorsch had entered the prepaid calling card space and built SmarTalk into a success. I was a VP at Salomon at the time and had heard stories about how crazy and fascinating Lorsch was, so I agreed to work with my colleague Mark Davis on a SmarTalk equity offering a year or so after the company’s IPO. We met at their Los Angeles offices at lunchtime. Lorsch burst into the room like a bad caricature of Danny DeVito, and even though I’d been warned that he was an unconventional CEO, I still wasn’t prepared for the encounter. We had put together the standard detailed presentation that analyzed the state of the public equity markets, how the SmarTalk stock had been performing, who owned it, et cetera. A young Salomon analyst who had been pulling all-nighters to assemble the books sat in a chair near the door. Mark and I passed around the presentation books. “So we’ve prepared a—” I started. “Just tell me,” Lorsch interjected. “Do we have Grubman or not?” Jack Grubman, Salomon’s famed equity analyst, had previously endorsed the SmarTalk IPO with a buy rating. “Yes,” Mark said. “We have Jack. We talked to him prior to the meeting and confirmed that he’ll continue to cover the company and support the offering.” “Then you’re hired,” Lorsch said with a smile, pushing his unopened book to the center of the table. “Let’s eat.” It seemed reckless to have made his decision on so little information, and I could only imagine how the analyst kid near the door felt, sleep-deprived and probably proud of his hard work, only to see the book tossed aside without so much as a cracking of the spine. While we ate the catered lunch that was delivered to the conference room, Mark mentioned that I was in the midst of planning my wedding for that summer. “Don’t get married!” Lorsch advised me. “Terrible, terrible idea.” He described a few of his own ill-fated unions, dropping in crude one-liners to punctuate the stories: “Why buy when you can rent? . . . If it flies, floats, or fucks, don’t buy it! . . .” Despite
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Christopher Varelas (How Money Became Dangerous: The Inside Story of Our Turbulent Relationship with Modern Finance)
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Les Orientaux ont pour philosophie que le plus important dans la peinture ce sont les espaces vides que le peintre a décidé de ne pas remplir, et le plus important de la poésie c'est le non-dit. Les mots écrits ne sont que des mots. Il faut regarder sous l'encre, ou au-dessus. Trouver l'invisible, le caché, qui est l'ùme du poÚme. Un vase n'est qu'un si on ne sait pas comment le regarder. Et cette fille, pour quiconque dans l'aéroport, n'était qu'une jeune fille à la peau foncée, totalement absorbée par son monde. Pour quiconque, sauf pour Pau. Cela n'avait rien d'étrange. Pau savait comment regarder les choses. - Qu'est-ce que vous racontez, aujourd'hui ? - Rien, j'ai épuisé mon stock. Et il riait.
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Alberto Torres-Blandina (Le Japon n'existe pas)
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Even for one who possesses a natural facility for acquiring foreign tongues, the learning of Russian is by no means an easy task. Though it is essentially an Aryan language like our own, and contains only a slight intermixture of Tartar words,—such as bashlyk (a hood), kalpak (a night-cap), arbuz (a water-melon), etc.—it has certain sounds unknown to West-European ears, and difficult for West-European tongues, and its roots, though in great part derived from the same original stock as those of the Graeco-Latin and Teutonic languages, are generally not at all easily recognised. As an illustration of this, take the Russian word otets. Strange as it may at first sight appear, this word is merely another form of our word father, of the German vater, and of the French pere. The syllable ets is the ordinary Russian termination denoting the agent, corresponding to the English and German ending er, as we see in such words as—kup-ets (a buyer), plov-ets (a swimmer), and many others. The root ot is a mutilated form of vot, as we see in the word otchina (a paternal inheritance), which is frequently written votchina. Now vot is evidently the same root as the German vat in Vater, and the English fath in father. Quod erat demonstrandum.
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Donald Mackenzie Wallace (Russia)
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Il détestait les surprises, et espérait vivement que l'univers n'en eût plus trop en stock. De son cÎté, l'univers ricana.
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NaĂ«l Legrand (L'Âme au poing: Les Chroniques d'Arawin)
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L’astuce idĂ©ale pour rĂ©parer vos smartphones dĂ©faillants Il est frĂ©quent de rencontrer, surtout quand on ne s’y attend pas, des pannes liĂ©es au fonctionnement de nos smartphones et tablettes. Pourtant, la nĂ©cessitĂ© d’utiliser ces appareils est d’autant plus incontestable qu’il nous paraĂźt presque impossible de s’en passer de nos jours. De ce fait, lorsque notre smartphone connaĂźt des dysfonctionnements et ne s’allume plus, on fera tout pour qu’il remarche comme au premier jour. Autant de problĂšmes trĂšs frĂ©quents que nous rencontrons dans la vie de tous les jours, que ce soit l’écran de notre iPhone cassĂ©, ou la batterie de notre Samsung qui perd en autonomie ou le chargeur de smartphone qui ne fonctionne plus. Quand on rencontre ce genre de problĂšmes, comment les rĂ©soudre sans se ruiner ? Rendez-vous tout simplement sur Pieces2Mobile.com pour trouver tous les accessoires et toutes les piĂšces dĂ©tachĂ©es de smartphones et tablettes. QualitĂ© et disponibilitĂ© des piĂšces dĂ©tachĂ©es de tĂ©lĂ©phones portables et tablettes Piece2Mobile est reconnu au niveau europĂ©en pour la qualitĂ© de ses diffĂ©rentes piĂšces dĂ©tachĂ©es de smartphones et tablettes proposĂ©es ainsi que, pour ses accessoires Ă  des prix satisfaisants. Trouvez des piĂšces dĂ©tachĂ©es de mobiles pas chĂšres sans compromis sur la qualitĂ© n’est possible que sur Pieces2Mobile.com. Vous n’avez donc rien Ă  craindre concernant la qualitĂ© des produits et la satisfaction de vos besoins. Pieces2Mobile vous permet d’obtenir exactement ce que vous dĂ©sirez grĂące Ă  un catalogue bien vaste et diversifiĂ©, comprenant de nombreuses marques de smartphones et autres appareils populaires sur le marchĂ©. Ce qui est aussi intĂ©ressant chez Piece2Mobile.com c’est cette possibilitĂ© de personnaliser vos smartphones, redonnez une nouvelle vie et une nouvelle apparence Ă  votre appareil grĂące aux diffĂ©rentes piĂšces dĂ©tachĂ©es de portables mises Ă  votre disposition. Livraison express de piĂšces dĂ©tachĂ©es de smartphones et tablettes en France GrĂące Ă  un choix qualitatif des piĂšces dĂ©tachĂ©es qui sont principalement d’origine ou de qualitĂ© Ă©quivalente, Pieces2Mobile se place en leader du marchĂ©. Mais les avantages de commander ses piĂšces de rechange de smartphones et tablettes chez Pieces2Mobile ne rĂ©sident pas seulement dans la qualitĂ© des piĂšces dĂ©tachĂ©es de tĂ©lĂ©phones mobiles et tablettes proposĂ©es Ă  la vente sur sa plateforme. Pieces2Mobile est une entreprise française, son service client et l’intĂ©gralitĂ© de son stock de piĂšces dĂ©tachĂ©es de tĂ©lĂ©phones portables et tablettes se situent en France, ce qui permet des livraisons rapides et garantit une prise en charge rapide en cas de problĂšme. Un plus pour les professionnels de la rĂ©paration de smartphones et tablettes Pieces2Mobile c’est aussi un showroom Ă  Aubervilliers pour les professionnels de la rĂ©paration des smartphones et tablettes afin de leur montrer de plus prĂšs les piĂšces dĂ©tachĂ©es et accessoires qu’ils s’apprĂȘtent Ă  acheter sur Pieces2Mobile. Pieces2Mobile Ă©toffe sans cesse son catalogue afin de rĂ©pondre Ă  tous les moindres besoins de ses clients professionnels et particuliers. Ainsi toutes les derniĂšres nouveautĂ©s s’y trouvent, aussi bien les Ă©crans des derniers modĂšles d’iPhone ou de Samsung Galaxy que les batteries Samsung Galaxy, Ă©crans iPhone et autres piĂšces dĂ©tachĂ©es.
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Pieces2Mobile
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To illustrate the losses from market impact, suppose XYZ stock has a “true” price of $50 a share. Assuming for simplicity that it trades in 10-cent increments, between trades there will be buyers bidding for various amounts at $49.90, $49.80, $49.70, and so forth. Similarly, sellers will be asking $50.10, $50.20, et cetera. Someone who places an order to buy at whatever price is available in the market, called a market order and one of the most common types, will pay $50.10, a little above the true price. This 10-cent difference between the price paid and the “true” price is called market impact. Market impact increases with order size since, to continue our example, a large market order may clean out not only the offering at $50.10 but also stock offered for sale at higher prices, resulting in an average purchase price above $50.10 and a market impact greater than 10 cents per share. When Steve Mizusawa and I operated Ridgeline Partners, we reduced these costs by dividing large orders into smaller ones of $20,000 to $100,000, and waiting a few minutes between transactions to allow the market price to recover. We know the “true” price is somewhere at or between the highest bid price (the Bid) and the lowest asking price (the Offer), but not exactly where. On average, it is about halfway between the two. To see that market impact is a real cost, suppose in our example that just after buying stock at $50.10 the buyer wants to sell it at market. He gets $49.90, for an immediate loss of 20 cents or about 0.4 percent.
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Edward O. Thorp (A Man for All Markets: From Las Vegas to Wall Street, How I Beat the Dealer and the Market)