Cygne Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Cygne. Here they are! All 15 of them:

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Les cygnes chantent avant de mourir. Certaines personnes feraient bien de mourir avant de chanter.
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Comte de Lautréamont (Les Chants de Maldoror)
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TraĂźne pas trop sous la pluie C'est pas Bogota c'est Paris Il y avait du cygne blanc dans cette fille-lĂ  et puis du cygne noir
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Richard Bohringer (TraĂźne pas trop sous la pluie)
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The expression 'to lose one's faith', as one might a purse or a ring of keys, has always seemed to me rather foolish. It must be one of those sayings of bourgeois piety, a legacy of those wretched priests of the eighteenth century who talked so much. Faith is not a thing which one 'loses', we merely cease to shape our lives by it. That is why old-fashioned confessors are not far wrong in showing a certain amount of scepticism when dealing with 'intellectual crises', doubtless far more rare than people imagine. An educated man may come by degrees to tuck away his faith in some back corner of his brain, where he can find it again on reflection, by an effort of memory: yet even if he feels a tender regret for what no longer exists and might have been, the term 'faith' would nevertheless be inapplicable to such an abstraction, no more like real faith, to use a very well-worn simile, than the constellation of Cygne is like a swan.
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Georges Bernanos (The Diary of a Country Priest)
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About the nobles—not just de Cygne, all of them. They don’t care. Just remember that. Do what you have to do with them, because they have the power. I don’t know if they’ll always have it, but they do now, and they’ll have it as long as you live, my son. So don’t ever go against them. But just remember, no matter what they say, don’t ever trust them. Because they don’t care about you, and they never will, because you’re not one of them.” He
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Edward Rutherfurd (Paris)
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Être ultra, c'est aller au delĂ . C'est attaquer le sceptre au nom du trĂŽne et la mitre au nom de l'autel; c'est malmener la chose qu'on traĂźne; c'est ruer dans l'attelage; c'est chicaner le bĂ»cher sur le degrĂ© de cuisson des hĂ©rĂ©tiques; c'est reprocher Ă  l'idole son peu d'idolĂątrie; c'est insulter par excĂšs de respect; c'est trouver dans le pape pas assez de papisme, dans le roi pas assez de royautĂ©, et trop de lumiĂšre Ă  la nuit; c'est ĂȘtre mĂ©content de l'albĂątre, de la neige, du cygne et du lys au nom de la blancheur; c'est ĂȘtre partisan des choses au point d'en devenir l'ennemi; c'est ĂȘtre si fort pour, qu'on est contre.
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Victor Hugo (Les Misérables)
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Vous etes comme tout le monde, vous prenez ces braves gens pour une tribu de syndics et de marchands, comptant leurs ecus avec leur cances de vie eternelle, et dont le seul lyrisme consiste a prendre parfois, couverts de larges chapeaux, des lecons d'anatomie? Vous vous trompez. Ils marchent pres de nous, il est vrai, et pourtant, voyez ou se trouvent leurs tetes: dans cette brume de neon, de genievre et de mente qui descend des enseignes rouges et vertes. La Hollande est un songe, monsieur, un songe d'or e te fumee, plus fumeux le jour, plus dore la nuit, et nuit et jour ce songe es peuple de Lohengrin comme ceux-ci, filant reveusement sur leurs noires bicyclettes a hauts guidons, cygnes funebres qui tournent sans treve, dans tout le pays, autour des mers, le long des canaux. Ils revent, la tete dans leur nuees cuivrees, ils roulent en rond, ils prient, somnambules, dans l'encens dore de la brume, ils ne sont plus la.
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Albert Camus (The Fall)
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Mais les signes de ce qui m'attendait rĂ©ellement, je les ai tous nĂ©gligĂ©s. Je travaille mon diplĂŽme sur le surrĂ©alisme Ă  la bibliothĂšque de Rouen, je sors, je traverse le square Verdrel, il fait doux, les cygnes du bassin ont reparu, et d'un seul coup j'ai conscience que je suis en train de vivre peut-ĂȘtre mes derniĂšres semaines de fille seule, libre d'aller oĂč je veux, de ne pas manger ce midi, de travailler dans ma chambre sans ĂȘtre dĂ©rangĂ©e. Je vais perdre dĂ©finitivement la solitude. Peut-on s'isoler facilement dans un petit meublĂ©, Ă  deux. Et il voudra manger ses deux repas par jour. Toutes sortes d'images me traversent. Une vie pas drĂŽle finalement. Mais je refoule, j'ai honte, ce sont des idĂ©es de fille unique, Ă©gocentrique, soucieuse de sa petite personne, mal Ă©levĂ©e au fond. Un jour, il a du travail, il est fatiguĂ©, si on mangeait dans la chambre au lieu d'aller au restau. Six heures du soir cours Victor-Hugo, des femmes se prĂ©cipitent aux Docks, en face du Montaigne, prennent ci et ça sans hĂ©sitation, comme si elles avaient dans la tĂȘte toute la programmation du repas de ce soir, de demain peut-ĂȘtre, pour quatre personnes ou plus aux goĂ»ts diffĂ©rents. Comment font-elles ? [...] Je n'y arriverai jamais. Je n'en veux pas de cette vie rythmĂ©e par les achats, la cuisine. Pourquoi n'est-il pas venu avec moi au supermarchĂ©. J'ai fini par acheter des quiches lorraines, du fromage, des poires. Il Ă©tait en train d'Ă©couter de la musique. Il a tout dĂ©ballĂ© avec un plaisir de gamin. Les poires Ă©taient blettes au coeur, "tu t'es fait entuber". Je le hais. Je ne me marierai pas. Le lendemain, nous sommes retournĂ©s au restau universitaire, j'ai oubliĂ©. Toutes les craintes, les pressentiments, je les ai Ă©touffĂ©s. SublimĂ©s. D'accord, quand on vivra ensemble, je n'aurai plus autant de libertĂ©, de loisirs, il y aura des courses, de la cuisine, du mĂ©nage, un peu. Et alors, tu renĂącles petit cheval tu n'es pas courageuse, des tas de filles rĂ©ussissent Ă  tout "concilier", sourire aux lĂšvres, n'en font pas un drame comme toi. Au contraire, elles existent vraiment. Je me persuade qu'en me mariant je serai libĂ©rĂ©e de ce moi qui tourne en rond, se pose des questions, un moi inutile. Que j'atteindrai l'Ă©quilibre. L'homme, l'Ă©paule solide, anti-mĂ©taphysique, dissipateur d'idĂ©es tourmentantes, qu'elle se marie donc ça la calmera, tes boutons mĂȘme disparaĂźtront, je ris forcĂ©ment, obscurĂ©ment j'y crois. Mariage, "accomplissement", je marche. Quelquefois je songe qu'il est Ă©goĂŻste et qu'il ne s'intĂ©resse guĂšre Ă  ce que je fais, moi je lis ses livres de sociologie, jamais il n'ouvre les miens, Breton ou Aragon. Alors la sagesse des femmes vient Ă  mon secours : "Tous les hommes sont Ă©goĂŻstes." Mais aussi les principes moraux : "Accepter l'autre dans son altĂ©ritĂ©", tous les langages peuvent se rejoindre quand on veut.
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Annie Ernaux (A Frozen Woman)
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Quand j'avais quatre ans, un jour oĂč je regardais les flocons tomber, j'avais demandĂ© Ă  mon pĂšre pourquoi la neige Ă©tait blanche. Il m'avait rĂ©pondu que c'Ă©taient les cygnes qui survolaient le ciel et qui, en se heurtant aux nuages, perdaient un peu de leur duvet. À cette Ă©poque, mon pĂšre incarnait pour moi le savoir absolu et, pendant longtemps, cette image s'est imposĂ©e Ă  moi dĂšs que je me trouvais face Ă  un paysage enneigĂ© : je songeais Ă  ces milliers de cygnes qui avaient sacrifiĂ© une partie de leurs plumes pour le bonheur de mes yeux.
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Aurelia Demarlier (Le garçon bleu)
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Je sais aussi que quand votre fils de cinq mois se rĂ©veille Ă  deux heures du matin et pleure avec persistance sans raison apparente vous ne l'aimez pas beaucoup Ă  ce moment-lĂ . Soyez tranquille, il a une raison pour pleurer, mĂȘme si vous ne la dĂ©couvrez pas immĂ©diatement. Si vous ĂȘtes irritĂ©, tĂąchez de ne pas le montrer. La voix d'un homme est plus terrifiante pour un enfant que celle d'une femme et vous ne savez pas quelle peur permanente vous pouvez laisser s'infiltrer dans un bĂ©bĂ© un criant trĂšs fort au mauvais moment. "Ne prenez pas le bĂ©bĂ© dans votre lit", dit le manuel d'instructions aux parents. Oubliez-le. Donnez Ă  votre bĂ©bĂ© autant de baisers et de caresses que vous pouvez. Ne vous servez pas de vos enfants pour vous enorgueillir. Soyez aussi prudent pour louer que pour blĂąmer. C'est mauvais de chanter les louanges d'un enfant en sa prĂ©sence. Oui, bien sĂ»r, Mary travaille trĂšs bien. PremiĂšre de sa classe ce mois-ci. C'est une enfant intelligente. Non pas que vous ne devez pas faire d'Ă©loges Ă  votre enfant. Il est bon de dire Ă  votre fils : "C'est un bien joli cerf-volant que tu as fait lĂ ", mais les Ă©loges au service des autres sont inutiles. Les jeunes oies dressent le cou aussi bien que les cygnes quand on les admire. Par contre, si votre enfant ne rĂ©ussit pas ce qu'il fait, n'enfoncez pas le couteau dans la plaie. MĂȘme si le carnet de notes n'est pas bon, ne dites rien. Et si Billy rentre en pleurant parce qu'il a Ă©tĂ© vaincu dans une bataille avec les copains, ne lui dites pas qu'il est une mauviette. Si jamais vous dites "Quand j'avais ton Ăąge
" vous faites une grande erreur. En somme, acceptez votre enfant tel qu'il est et retenez-vous d'essayer de le faire vous ressembler. Ma devise pour la maison, en toute circonstance, c'est Pour l'amour du ciel, laissez les gens vivre leur vie. C'est une attitude qui sied Ă  toutes les situations. C'est la seule attitude qui encourage la tolĂ©rance. On apprend aux enfants Ă  ĂȘtre tolĂ©rants en leur montrant de la tolĂ©rance. (p. 168-169)
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A.S. Neill (Summerhill: A Radical Approach to Child Rearing)
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Ce qu'il dit, c'est que c'est une chose Ă©trange, quand on y pense, que des gens normaux, intelligents, puissent croire Ă  un truc aussi insensĂ© que la religion chrĂ©tienne, un truc exactement du mĂȘme genre que la mythologie grecque ou les contes de fĂ©es. Dans les temps anciens, admettons : les gens Ă©taient crĂ©dules, la science n'existait pas. Mais aujourd'hui ! Un type qui aujourd'hui croirait Ă  des histoires de dieux qui se transforment en cygnes pour sĂ©duire des mortelles, ou Ă  des princesses qui embrassent des crapauds et quand elles les embrassent ils deviennent des princes charmants, tout le monde dirait : il est fou. Or, un tas de gens croient une histoire tout aussi dĂ©lirante et ces gens ne passent pas pour des fous. MĂȘme sans partager leur croyance, on les prend au sĂ©rieux. Ils ont un rĂŽle social, moins important que par le passĂ©, mais respectĂ© et dans l'ensemble plutĂŽt positif. Leur lubie cohabite avec des activitĂ©s tout Ă  fait sensĂ©es. Les prĂ©sidents de la RĂ©publique rendent visite Ă  leur chef avec dĂ©fĂ©rence. C'est quand mĂȘme bizarre, non ? (p. 15)
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Emmanuel CarrĂšre (Le Royaume)
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Le Chant du Cygne et du Corbeau Ils se disaient poĂštes, Ils Ă©taient d'excellents grammairiens, Ils parlaient trĂšs bien avec la bouche, Mais, Ils ne parlaient pas avec le cƓur, Et la princesse Cherchait l'Étoile Alpine, Par le Nord, par le Sud, Par l'Est et par l'Ouest, Mais ils ne l'ont pas trouvĂ©e, Des terres oĂč les hommes, Ont oubliĂ© leur Amour pour la Guerre, Et ont appris Ă  aimer l'or davantage, Plus que l'Amour lui-mĂȘme, Maintenant, ils perdent des guerres et gagnent des AumĂŽnes, Et vendent leur beautĂ© nordique et mĂ©diterranĂ©enne, Pour ĂȘtre aimĂ©s Ă  l'Autel d'Aphrodite, Mais, Aphrodite, Aimait la Guerre et a Ă©pousĂ© le Forgeron boiteux, Qui lui donnait des aumĂŽnes (d'affection) Et de la Rose volĂ©e, De la Fille du Roi de PhĂ©nicie, EmmenĂ©e aux Tropiques, Des Fils de CĂ©sar, Vers les Terres Tropicales, Naquit une ProgĂ©niture d'HadĂšs, Qui abritait l'obscuritĂ© en lui, Mais gardait aussi un amour infini, Et il Regardait tout cela, Et contemplait tant de fois, Le Visage de MĂ©duse, Que son regard transformait en Pierre, Tout ce qu'il ne pouvait pas voir, Et ce qui est restĂ© immobile, A tout dĂ©mĂ©nagĂ©, A dĂ©placĂ© Georgios, Qui Ă©coutait la douce musique, Des Satyres en Carnaval, Et blasphĂ©mait, Se moquait et lançait des pierres sur ceux, Les Bacchantes, Car le vin n'enivrait plus, Il est devenu jus, La musique, comme l'Eau, Doit couler, Car Bacchus de cette terre, En a fait sa Demeure, Et a banni les autres Dieux, Et a dit que dans l'Éden terrestre, Il n'y aurait que l'ivresse et l'indolence, Et tout le monde Ă©tait heureux, Mais, ils ont dĂ©couvert que, MĂȘme dans les Terres Bacchiques, On entend le Triste souffrir, Car dans les FĂȘtes, Il n'y avait pas de joie, C'Ă©taient des bals masquĂ©s, OĂč tout le monde pleurait, Mais les masques montraient de la joie, Et des Miroirs Ă©taient placĂ©s sur les murs, Narcisse, cependant, Refusait de voir son image, Il savait que se noyer de nouveau, Dans sa propre vanitĂ©, RamĂšnerait la Pomme, La pomme d'or, Et les DĂ©esses, Guerroieraient, Et il n'y aurait plus de paix, Dans cette Guerre Constante, Et nous avons Ă©tĂ© faits captifs, De l'ivresse, SurveillĂ©s et pourchassĂ©s, Car, Le Visage du Roi a Ă©tĂ© GardĂ©, GuĂ©ri de la LĂšpre, Mais, Sa maladie Ă©tait l'Amour, L'amour pour ces chrĂ©tiens, Qui ne croyaient plus en Dieu, Des prĂȘtres qui ont perdu la Foi, Des Filles d'Ève qui se sont Ă©touffĂ©es, Avec la pomme, Et des fils d'Adam, Qui dans la caverne la plus profonde d'ÉrĂšbe, Furent liĂ©s, Et voyant l'ombre des lumiĂšres lointaines, Furent aveuglĂ©s, Et mĂȘme si, Comme Argos, Ils avaient cent yeux, Ils n'auraient rien vu, Au-delĂ  de ce que leurs maigres esprits, Et leurs maigres cƓurs, Étaient incapables de ConnaĂźtre.
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Geverson Ampolini
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Il ne connaissait, il est vrai, que mon talent de salon, les esquisses de la vie quotidienne, les caricatures que l'on faisait circuler avec amusement Ă  l'heure du thĂ©, du temps oĂč nous recevions encore des hĂŽtes, et pas les Ă©tudes travaillĂ©es avec passion que je rĂ©alisais pour moi seul dans ma chambre: les exercices de prĂ©cision comme les dĂ©bordements de mon imagination que je ne montrais Ă  personne, pas mĂȘme Ă  Tania, et qui me donnaient l'espoir que j'arriverais un jour Ă  fixer sur la toile des Ă©tats psychiques, tel un sorcier. Dans sa bontĂ©, mon pĂšre ne pouvait pas savoir — et dans son amour exclusif, presque maniaque pour Tania, il Ă©tait trop indiffĂ©rent Ă  mon Ă©gard pour le deviner — que c'Ă©tait prĂ©cisĂ©ment lui qui stimulait le plus fortement mon talent, son existence de faux-bourdon qui me poussait Ă  prouver Ă  la matriarche de notre maison, sa belle-mĂšre intolĂ©rante et toute sa suite fĂ©minine, que les hommes Ă©taient encore capables de faire autre chose que simplement jouer avec biensĂ©ance, discrĂ©tion et Ă©lĂ©gance, le rĂŽle d'effeuilleur de mĂšres possessives.
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Gregor von Rezzori (Le Cygne)
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Puis il y eut ce soir d’avril, Ă  l’opĂ©ra de GenĂšve, oĂč je me rendis seul Ă  une reprĂ©sentation du Lac des Cygnes. VoilĂ  que pendant l’entracte, sortant fumer une cigarette, je tombai sur elle. Nous Ă©changeĂąmes quelques mots puis, comme on sonnait dĂ©jĂ  le rappel des spectateurs, elle me proposa d’aller boire un verre aprĂšs le ballet. Nous nous retrouvĂąmes au Remor, un cafĂ© Ă  quelques pas de lĂ . C’est ainsi que Sloane entra dans ma vie.
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Joël Dicker (L'Enigme de la chambre 622 (French Edition))
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have had to pay for a visit to the discreet mansion near the OpĂ©ra—into a fund. And tonight they were going to draw lots to discover which of them was to take the money and visit La Belle HĂ©lĂšne. But before the lottery took place, they would drink champagne and enjoy the show at the Moulin Rouge. Roland de Cygne had never been to the Moulin Rouge before. He’d often meant to go. But as a regular patron of the rival Folies-BergĂšre, which was nearer the center of town and whose first-rate comedy and modern dance had always satisfied him, he’d somehow never got around to the Moulin Rouge with its saucier fare. Needless to say, as soon as his companions had discovered this fact, he’d had to endure some teasing, which he did with good humor. His brother officers liked Roland. He’d shown a fine aptitude for a military career right from the start. When he’d attended the military academy of Saint-Cyr, he’d come out nearly top of his class. Perhaps even more important to his aristocratic companions, he’d shown such prowess at the Cavalry Academy at Saumur that he’d almost made the elite Cadre Noir equestrian team. He was a good regimental soldier, respected by his men, a loyal friend with a kindly sense of humor. He could also be trusted to tell the truth. And he certainly looked the part of the cavalryman. He
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Edward Rutherfurd (Paris)
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Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre Ce lac dur oublié que hante sous le givre Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui !
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Stéphane Mallarmé (Poésies)