Chen Si Quotes

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Un jour il y a plus de quatre milles années de cela, l'empereur Chen Nung voyageait avec son escorte dans une contrée éloignée de son vaste pays. Comme la route était longue et harassante, il demanda à prendre un peu de repos à l'ombre d'arbres qui le protégerait du soleil. Le convoi s'arrêta et l'empereur s'assit en tailleur sous un arbuste inconnu. Il réclama aussitôt un bol d'eau bouillante car il avait grand soif et ne connaissait que ce breuvage pour se désaltérer. On s'empressa de lui apporter. C'est alors qu'une feuille tomba dans le bol de l'empereur. Chen Nung but sans s'en rendre compte et un parfum à la fois doux et amer lui emplit la gorge. Intrigué, il inspecta le fond de son bol et y trouva la feuille au parfum si envoûtant. Le thé venait de naître.
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Maxence Fermine (Opium)
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Tch’en Ché (Chen Sheng n.n.) fut le premier à commencer la révolte ; les braves s’élancèrent comme un essaim d’abeilles et se combattirent les uns les autres en nombre incalculable. Cependant (Hiang) Yu (Xiang Yu n.n.) n’avait ni un pied ni un pouce de terre ; profitant de l’occasion, il s’éleva du milieu des sillons’ ; au bout de trois ans, il commandait à cinq seigneurs’, il avait écrasé Ts’in, il partageait l’empire et nommait des rois et des seigneurs ; l’autorité émanait de (Hiang) Yu ; son titre était « roi suprême ». Quoiqu’il n’ait pas gardé cette dignité jusqu’au bout, cependant depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, il n’y en a jamais eu de si grande. Ensuite (Hiang) Yu viola (le traité relatif aux) passes et regretta (le pays de) Tch’ou ; il chassa l’empereur juste et se donna le pouvoir à lui- même ; il s’irrita de ce que les rois et les seigneurs se révoltaient contre lui ; quelles difficultés (ne s’attirait-il pas !). Il s’enorgueillit de ses exploits guerriers, s’enivra de sa propre sagesse et ne prit pas modèle sur l’antiquité. Sous le prétexte d’agir en roi suprême, il voulait s’imposer par la force et régler à son gré tout l’empire. La cinquième année, il perdit soudain son royaume ; lui-même mourut à Tong-tch'eng mais il ne comprit point encore et ne s’incrimina pas lui-même ; quelle erreur ! En effet, « c’est le Ciel, dit-il, qui me perd et ce n’est point que j’aie commis aucune faute militaire. » N'est-ce pas là de l’aveuglement ?
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Sima Qian (Mémoires historiques - Deuxième Section (French Edition))
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En este mundo nuestro, ocho veces de cada diez las cosas no salen según se había previsto, pero, como reza otro antiguo proverbio, ¿quién sabe si es buena o mala fortuna que el anciano de Sai pierda su caballo?
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Qiu Xiaolong (The Mao Case (Inspector Chen Cao #6))
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siempre había un grupo de gente, no importaba si eran de la misma o de diferente raza, que terminaba por considerarse de una clase superior, ya fuese en nombre de los dioses, de la nación o del «progreso». Dicho grupo escribía las leyes y creaba normas que le permitiesen dominar las vidas de los demás, tanto en cuerpo como en alma.
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Chen Qiufan (Marea tĂłxica (Spanish Edition))
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Si Eul-che (Qin Er Shi n.n.) s’était conduit comme un souverain ordinaire et avait confié les charges aux hommes loyaux et sages, si les sujets et le souverain avaient eu les mêmes sentiments et avaient pris en pitié le malheur du monde, si, quand il était encore vêtu de blanc, (Eul-che) avait réparé les fautes de l’empereur son prédécesseur, s’il avait divisé son territoire et distribué son peuple de façon à donner des fiefs aux descendants des plus méritants entre ses sujets, s'il avait fondé des royaumes et établi des princes de manière à honorer l'empire, s'il avait vidé les prisons et épargné les supplices, relâché ceux qui avaient été condamnés comme parents complices' et ceux qui avaient été condamnés comme calomniateurs, et renvoyé chacun dans son village, s'il avait répandu le contenu de ses greniers et distribué ses richesses afin de secourir les personnes abandonnées et misérables, s'il avait restreint les taxes et diminué les corvées afin d'aider le peuple en détresse, s'il avait adouci les lois et modéré les châtiments afin de sauve- garder l'avenir, il aurait fait que tous les habitants de l'empire auraient pu se corriger, qu'ils auraient redoublé de vertu et auraient réformé leurs actions, que chacun aurait veille sur sa propre conduite, que les espérances de la multitude du peuple auraient été satisfaites; puis, grâce au prestige et à la bienfaisance qu'il aurait exercés sur l'empire, l'empire tout entier se serait rassemblé autour de lui. Alors, à l’intérieur des mers, tous auraient été contents et chacun se serait trouvé heureux de son sort ; on n’aurait eu qu’une crainte, celle d’un changement ; même s’il y avait eu des fourbes dans le peuple, ils n’auraient pu distraire le cœur du souverain ; même s’il y avait eu des ministres déshonnêtes, ils n’auraient pu décevoir son intelligence ; le fléau des cruautés et des troubles aurait donc pris fin. Eul-che ne suivit point cette ligne de conduite, mais aggrava la situation par son manque de raison. Il ruina le temple ancestral aux yeux du peuple ; il recommença à construire le palais Ngo-pang; il multiplia les châtiments et aggrava les supplices ; ses officiers gouvernèrent avec la dernière rigueur ; les récompenses et les punitions furent injustes; les taxes et les impôts furent immodérés ; l'empire fut accablé de corvée; les officiers ne purent maintenir l'ordre ; les cent familles se trouvèrent à toute extrémité et le souverain ne les recueillit pas et n'eut pas pitié d'elles. A la suite de cela, la perversité surgit de toutes parts et l’empereur et ses sujets se trompèrent mutuellement. Ceux qui avaient encouru des condamnations étaient en foule ; ceux qui avaient été mutilés et suppliciés s’apercevaient de loin les uns les autres sur les routes, et l’empire en souffrait. Depuis, les princes et les hauts dignitaires jus- qu'au commun peuple, tous étaient tourmentés de l’idée de leur propre danger et se trouvaient personnellement dans une situation très pénible. Aucun d’eux ne se sentait à l’aise dans la place qu’il occupait ; aussi était-il facile de les ébranler. C’est pourquoi Tch’en Ché (Chen Sheng n.n.) sans avoir besoin d’être sage comme T’ang et Ou' (Wu n.n.), sans être au préalable élevé en dignité comme les ducs ou les marquis, n’eut qu’à agiter, le bras à Ta-tsé pour que l’empire entier lui répondit comme l’écho, car son peu-pie était en danger.
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Sima Qian (Mémoires historiques - Deuxième Section (French Edition))
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Erano gente comune, lui e Peiqin, grandi lavoratori che si accontentavano di poco. Una gena di granchi come quelli della serata passata li poteva rendere felici, eccitati, le piccole cose duravano a lungo per loro: un film nel fine settimana, una visita al Parco delle Meraviglie, la canzone di una nuova cassetta, o una felpa con Topolino per Qinqin. A volte lui si lamentava come tutti gli altri, ma in veritĂ  si considerava un tipo fortunato. Una moglie meravigliosa, uno splendido figlio. Cos'altro c'era di importante sulla faccia della terra?
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Qiu Xiaolong (Death of a Red Heroine (Inspector Chen Cao #1))
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Las escalonadas ramas verdes del antiguo cipresal, cual si de un cortafuegos se tratara, nos separan del ruido y el polvo del mundo secular. No obstante, mi vida diaria no es ni de lejos aburrida: barrer, trabajar, salmodiar, debatir y copiar. Libre de posesiones materiales, he estado durmiendo sin problemas por primera vez en años, y ya no vivo con el continuo terror a la repentina vibración de mi móvil; aunque, de tanto en tanto, mi cuádriceps derecho aún sufre el síndrome de la vibración fantasma. Sin embargo, mi mentor me asegura que si, día tras día, recito tantos mantras como cuentas tiene mi mala —sin saltarme ni una de las mil ochocientas— durante ciento ochenta días, quedaré curado por completo. Yo creo que es porque queremos demasiadas cosas, más de las que nuestro cuerpo y mente están preparados para soportar.
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Chen Qiufan (Broken Stars: Contemporary Chinese Science Fiction in Translation)
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– Me permettez-vous de vous donner un conseil ? – Certainement, dit Viviane, tout en se demandant combien de temps sa visiteuse allait rester. – Vous êtes nouvelle venue en Malaisie et vous n'êtes naturellement pas au courant de nos usages et de notre étiquette assez compliquée... Les gens ont tôt fait de mal interpréter les erreurs les plus innocentes, surtout dans une petite ville comme Mauping. Je dis toujours que les ragots sont à l'origine de la moitié de nos ennuis. Elle posa sur la jeune fille un regard méditatif. – Si vous en venions au fait ? dit Viviane, brutalement. Mme Carshalton en fut un instant déconcertée. Elle détestait qu'on la pressât. – Eh bien... je vous ai aperçue par hasard, l'autre jour, en ville. Vous étiez en trisha, avec votre amah, et j'en ai été contrariée. Franchement, ma chère enfant, les Européens ne circulent pas en trisha. Elle posa sa tasse et s'essuya la bouche avec un mouchoir de dentelle. – Encore, si vous aviez retenu un autre trisha pour votre servante... Il leur vient des idées de grandeur, quand on se montre trop familier avec ces gens-là. – Je vous remercie, dit Viviane en agitant la petite clochette de cuivre. Mais laissez-moi vous dire une chose, Madame Carshalton. Je ne partage pas ces idées étroites et je n'ai pas la moindre intention de me conformer à vos règles de conduite. Si j'ai besoin de conseils, je prendrai l'avis de Chen, qui était lié d'une étoite amitié avec mon parrain. Une chose encore : si vous avez l'obligeance d'informer vos amis de mon attitude, cela m'épargnera d'autres entretiens comme celui-ci.
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Anne Weale (The House of Seven Fountains)
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Si le damos la vuelta al nido ni un solo huevo quedará intacto, aunque puede que las grietas no sean visibles.
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Qiu Xiaolong (Red Mandarin Dress (Inspector Chen Cao #5))