C Oakley Quotes

C'était le plus douloureux, savoir une chose et croire l'autre. Il se disait que ça le tuerait, ce printemps-là, mais il se trompait ; et, quand vint le printemps suivant, puis encore le suivant, il comprit qu'il n'en mourrait pas. Ce n'était plus un malheur qui le frappait, mais un malheur qui l'avait jadis frappé. C'était douloureux d'une autre manière qui ne s'effacerait jamais.

Mais en réalité, c'est seulement aujourd'hui qu'il le comprend, au moment où il en parle, à savoir que, dans un pays où tout n'est que symbole, on n'a besoin que d'un exemplaire de chaque : un château, un roi, un amoureux, un rival, un enfant, un animal, un poisson, un oiseau, une dent, un œil, une coupe, un lit. Tous ne sont que ce qu'ils représentent, et c'est ce qu'ils représentent qui change.

don’t have a chance to finish my thought before the unthinkable happens, and Oakley grabs the back of my neck, slamming his mouth to mine.

I saw Oakley less than an hour ago at practice, but to an addict going through withdrawals from their drug of choice, minutes have a way of feeling like a thousand years.

You love him,” Oakley says, a hint of awe in his voice. “Don’t you?” Leave it to my best friend to see right through me like I’m nothing more than a piece of glass. I bite the inside of my cheek, and before I realize it, I nod. “With every inch of me.

I swear to God, Oakley, who might be the most top guy I’ve ever met, just asked me to— “Fuck me, Quinn.” Yeah, that. Holy mother of shit.

The runner sped past a woman pushing a lime green jogging stroller. Despite his fast pace, the jogger didn’t look winded. Adjusting his white Adidas cap as he turned into the public park, he scanned the area from behind Oakley running glasses. His brown hair could barely be seen peeking out.