C Baudelaire Quotes

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C'est l'Ennui! —l'Ɠil chargĂ© d'un pleur involontaire, Il rĂȘve d'Ă©chafauds en fumant son houka. Tu le connais, lecteur, ce monstre dĂ©licat, —Hypocrite lecteur,—mon semblable,—mon frĂšre!
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Charles Baudelaire (Les Fleurs du Mal)
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Faire souffrir c'est posséder et créer tout autant que détruire.
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Jean-Paul Sartre (Baudelaire)
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ENIVREZ-VOUS Il faut ĂȘtre toujours ivre, tout est lĂ  ; c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos Ă©paules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trĂȘve. Mais de quoi? De vin, de poĂ©sie, ou de vertu Ă  votre guise, mais enivrez-vous! Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossĂ©, vous vous rĂ©veillez, l'ivresse dĂ©jĂ  diminuĂ©e ou disparue, demandez au vent, Ă  la vague, Ă  l'Ă©toile, Ă  l'oiseau, Ă  l'horloge; Ă  tout ce qui fuit, Ă  tout ce qui gĂ©mit, Ă  tout ce qui roule, Ă  tout ce qui chante, Ă  tout ce qui parle, demandez quelle heure il est. Et le vent, la vague, l'Ă©toile, l'oiseau, l'horloge, vous rĂ©pondront, il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas ĂȘtre les esclaves martyrisĂ©s du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poĂ©sie, de vertu, Ă  votre guise. (in Le Spleen de Paris)
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Charles Baudelaire (Paris Spleen)
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Je le sais dĂ©sormais, en tant que lecteur, il faut faire confiance Ă  l'auteur, au poĂšte. Ils savent comment s'y prendre pour nous extirper de notre vie ordinaire et nous envoyer tanguer dans un autre monde dont nous n'avions mĂȘme pas soupçonnĂ© l'existence. C'est ce que font les auteurs de talent. C'est ce que me fit M. Baudelaire.
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Tatiana de Rosnay (The House I Loved)
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Ce qu'il y a d'ennuyeux dans l'amour, c'est que c'est un crime oĂč l'on ne peut pas se passer d'un complice.
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Charles Baudelaire
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Nu disprețuiți sensibilitatea nimănui. Sensibilitatea fiecăruia e geniul lui.
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Charles Baudelaire (Journaux Intimes: Fusées, Mon C ur Mis à Nu (Classic Reprint) (French Edition))
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E se talvolta, sui gradini di un palazzo, sull’erba verde di un fosso, nella tetra solitudine della vostra stanza, vi risvegliate perchĂ© l’ebbrezza Ăš diminuita o scomparsa, chiedete al vento, alle stelle, agli uccelli, all'orologio, a tutto ciĂČ che fugge, a tutto ciĂČ che geme, a tutto ciĂČ che scorre, a tutto ciĂČ che canta, a tutto ciĂČ che parla, chiedete che ora Ăš; e il vento, le onde, le stelle, gli uccelli, l'orologio, vi risponderanno: "E' ora di ubriacarsi! Per non essere gli schiavi martirizzati del Tempo, ubriacatevi, ubriacatevi sempre! Di vino, di poesia o di virtĂč , come vi pare
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Charles Baudelaire
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Que reste-t-il ? C'est affreux, ĂŽ mon Ăąme ! Rien qu'un dessin fort pĂąle, aux trois crayons,
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Charles Baudelaire (les Fleurs du Mal (French Edition))
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 Manier savamment une langue, c’est pratiquer une espĂšce de sorcellerie Ă©vocatoire »
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Charles Baudelaire (Curiosités esthétiques)
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C'est par le malentendu universel que tout le monde s'accorde.
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Charles Baudelaire
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La poésie est ce qui existe de plus réel, c'est ce qui est complÚtement vrai dans un autre monde.
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Charles Baudelaire
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Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie, N'ont pas encore brodé de leurs plaisants dessins Le canevas banal de nos piteux destins, C'est que notre ùme, hélas ! n'est pas assez hardie.
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Charles Baudelaire (The Flowers of Evil)
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Il n'y a de gouvernement raisonnable et assurĂ© que l'aristocratique. Monarchie ou rĂ©publique, basĂ©es sur la dĂ©mocratie, sont Ă©galement absurdes et faibles. ----------------- Il n'existe que trois ĂȘtres respectables: Le prĂȘtre, le guerrier, le poĂšte. Savoir, tuer et crĂ©er. Les autres hommes sont taillables et corvĂ©ables, faits pour l'Ă©curie, c'est-Ă -dire pour exercer ce qu'on appelle des professions.
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Charles Baudelaire (Mon cƓur mis à nu)
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Must one suffer eternally, or eternally ïŹ‚ee from beauty? Nature, pitiless enchantress, always victorious rival, let me be! Tempt no longer my desires and my pride! The study of beauty is a duel in which the artist screams with fear before being vanquished.
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Charles Baudelaire
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La ThĂ©ologie. Qu'est-ce que la chute ? Si c'est l'unitĂ© devenue dualitĂ©, c'est Dieu qui a chutĂ©. Au moins aurait-il pu deviner dans cette localisation une malice ou une satire de la providence contre l’amour, et, dans le mode de la gĂ©nĂ©ration, un signe du pĂ©chĂ© originel. De fait, nous ne pouvons faire l’amour qu’avec des organes excrĂ©mentiels. En d'autres termes, la crĂ©ation ne serait-elle pas la chute de Dieu ?
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Charles Baudelaire (My Heart Laid Bare)
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Chateaubriand a chantĂ© la gloire douloureuse de la mĂ©lancolie et de l’ennui. Victor Hugo, grand, terrible immense comme une crĂ©ation mythique cyclopĂ©en, pour ainsi dire, reprĂ©sente les forces de la nature et leur lutte harmonieuse. Balzac, grand, terrible, complexe aussi, figure le monstre d’une civilisation, et toutes ces luttes, ses ambitions et ses fureur. Gautier, c’est l’amour exclusif du beau, avec toutes ces subdivision, exprimer dans le langage le mieux approprié 
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Charles Baudelaire (Curiosités esthétiques)
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L'Horloge Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit: "Souviens-toi! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi Se planteront bientĂŽt comme dans une cible; Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ; Chaque instant te dĂ©vore un morceau du dĂ©lice A chaque homme accordĂ© pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote: Souviens-toi! - Rapide, avec sa voix D'insecte, Maintenant dit: Je suis Autrefois, Et j'ai pompĂ© ta vie avec ma trompe immonde! Remember! Souviens-toi, prodigue! Esto memor! (Mon gosier de mĂ©tal parle toutes les langues.) Les minutes, mortel folĂątre, sont des gangues Qu'il ne faut pas lĂącher sans en extraire l'or! Souviens-toi que le Temps est un joueur avide Qui gagne sans tricher, Ă  tout coup! c'est la loi. Le jour dĂ©croĂźt; la nuit augmente; souviens-toi! Le gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide. TantĂŽt sonnera l'heure oĂč le divin Hasard, OĂč l'auguste Vertu, ton Ă©pouse encor vierge, OĂč le repentir mĂȘme (oh! la derniĂšre auberge!), OĂč tout te dira: Meurs, vieux lĂąche! il est trop tard!
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Charles Baudelaire (Les Fleurs du Mal)
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The deaths of writers aren’t special deaths; they just happen to be described deaths. I think of Flaubert lying on his sofa, struck down – who can tell at this distance? – by epilepsy, apoplexy or syphilis, or perhaps some malign axis of the three. Yet Zola called it une belle mort – to be crushed like an insect beneath a giant finger. I think of Bouilhet in his final delirium, feverishly composing a new play in his head and declaring that it must be read to Gustave. I think of the slow decline of Jules de Goncourt: first stumbling over his consonants, the c’s turning to t’s in his mouth; then being unable to remember the titles of his own books; then the haggard mask of imbecility (his brother’s phrase) slipping over his face; then the deathbed visions and panics, and all night long the rasping breaths that sounded (his brother’s words again) like a saw cutting through wet wood. I think of Maupassant slowly disintegrating from the same disease, transported in a strait-jacket to the Passy sanatorium of Dr Blanche, who kept the Paris salons entertained with news of his celebrated client; Baudelaire dying just as inexorably, deprived of speech, arguing with Nadar about the existence of God by pointing mutely at the sunset; Rimbaud, his right leg amputated, slowly losing all feeling in the limbs that remained, and repudiating, amputating his own genius –‘Merde pour la poĂ©sie’; Daudet ‘vaulting from forty-five to sixty-five’, his joints collapsing, able to become bright and witty for an evening by giving himself five morphine injections in a row, tempted by suicide –But one doesn’t have the right.
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Julian Barnes (Flaubert's Parrot)
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De fait, la relation entre l’amour et la nuit n’est pas seulement un thĂšme bien connu de la poĂ©sie romantique. Elle a aussi un soubassement existentiel diversement attestĂ©. Universellement, c’est surtout la nuit qu’hommes et femmes s’unissent sexuellement. MĂȘme lorsqu’il s’agit d'une simple aventure, la formule typique et la promesse seront toujours une « nuit d'amour » — dans ce contexte une « matinĂ©e d’amour » ferait l'effet d une fausse note. [...] Et si souvent les femmes — certaines femmes — dĂ©sirent encore maintenant cette condition, c’est parce qu’agit en elles, plus que la pudeur, un lointain reflet instinctif du phĂ©nomĂšne servant de fondement aux dispositions ou usages rituels dont on a parlĂ© et leur confĂ©rant une signification qui n’a rien de saugrenu. Hathor, dĂ©esse Ă©gyptienne de l’amour, eut aussi le nom de «MaĂźtresse de la Nuit», et l’on peut peut-ĂȘtre saisir un lointain Ă©cho de tout cela dans ce vers de Baudelaire : «Tu charmes comme le soir — Nymphe tĂ©nĂ©breuse et chaude».
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Julius Evola (Eros and the Mysteries of Love: The Metaphysics of Sex)
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J’ai essayĂ© plus d’une fois, comme tous mes amis, de m’enfermer dans un systĂšme pour y prĂȘcher Ă  mon aise. Mais un systĂšme est une espĂšce de damnation qui nous pousse Ă  une abjuration perpĂ©tuelle ; il en faut toujours inventer un autre, et cette fatigue est un cruel chĂątiment. Et toujours mon systĂšme Ă©tait beau, vaste, spacieux, commode, propre et lisse surtout ; du moins il me paraissait tel. Et toujours un produit spontanĂ©, inattendu, de la vitalitĂ© universelle venait donner un dĂ©menti Ă  ma science enfantine et vieillotte, fille dĂ©plorable de l’utopie. J’avais beau dĂ©placer ou Ă©tendre le criterium, il Ă©tait toujours en retard sur l’homme universel, et courait sans cesse aprĂšs le beau multiforme et versicolore, qui se meut dans les spirales infinies de la vie. CondamnĂ© sans cesse Ă  l’humiliation d’une conversion nouvelle, j’ai pris un grand parti. Pour Ă©chapper Ă  l’horreur de ces apostasies philosophiques, je me suis orgueilleusement rĂ©signĂ© Ă  la modestie : je me suis contentĂ© de sentir ; je suis revenu chercher un asile dans l’impeccable naĂŻvetĂ©. J’en demande humblement pardon aux esprits acadĂ©miques de tout genre qui habitent les diffĂ©rents ateliers de notre fabrique artistique. C’est lĂ  que ma conscience philosophique a trouvĂ© le repos ; et, au moins, je puis affirmer, autant qu’un homme peut rĂ©pondre de ses vertus, que mon esprit jouit maintenant d’une plus abondante impartialitĂ©.
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Charles Baudelaire (Curiosités Esthétiques: Salon 1845-1859 (French Edition))
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AU LECTEUR La sottise, l’erreur, le pĂ©chĂ©, la lĂ©sine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos pĂ©chĂ©s sont tĂȘtus, nos repentirs sont lĂąches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan TrismĂ©giste Qui berce longuement notre esprit enchantĂ©, Et le riche mĂ©tal de notre volontĂ© Est tout vaporisĂ© par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets rĂ©pugnants nous trouvons des appas ; Chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas, Sans horreur, Ă  travers des tĂ©nĂšbres qui puent. Ainsi qu’un dĂ©bauchĂ© pauvre qui baise et mange Le sein martyrisĂ© d’une antique catin, Nous volons au passage un plaisir clandestin Que nous pressons bien fort comme une vieille orange. SerrĂ©, fourmillant, comme un million d’helminthes, Dans nos cerveaux ribote un peuple de DĂ©mons, Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes. Si le viol, le poison, le poignard, l’incendie, N’ont pas encor brodĂ© de leurs plaisants dessins Le canevas banal de nos piteux destins, C’est que notre Ăąme, hĂ©las ! n’est pas assez hardie. Mais parmi les chacals, les panthĂšres, les lices, Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents, Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, Dans la mĂ©nagerie infĂąme de nos vices, II en est un plus laid, plus mĂ©chant, plus immonde ! Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait volontiers de la terre un dĂ©bris Et dans un bĂąillement avalerait le monde ; C’est l’Ennui ! L’œil chargĂ© d’un pleur involontaire, II rĂȘve dÂ’Ă©chafauds en fumant son houka. Tu le connais, lecteur, ce monstre dĂ©licat, - Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frĂšre !
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Charles Baudelaire (Les fleurs du mal)
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La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas."   ("The devil's finest trick is to persuade you that he does not exist.")   - Charles Baudelaire, Paris Spleen
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C.J. Berry (Trust Me Not Part One)
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DĂšs l'adolescence, son incandescente adolescence Ă  Iași, en Roumanie, Benjamin Fondane Ă©tait un expert baudelairien — l'un des premiers au monde. Il n'avait pas encore vingt ans lorsqu'il publiait une vĂ©ritable contribution de spĂ©cialiste, intitulĂ© « Les Ă©ditions de Baudelaire », reprise en tĂȘte du recueil « Images et livres de France ». Il n'avait pas encore dĂ©couvert LĂ©on Chestov, mais il avait lu Ă  fond, comme fascinĂ©, Baudelaire ; de tout prĂšs, « lentement ». Car il aimait citer, jusqu'en faire sa devise, cette phrase du « Journal » de Gide : « Je lis comme je voudrais qu'on me lise : c'est-Ă -dire trĂšs lentement ». (p. 129)
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Lucian Raicu (O suta de scrisori din Paris)
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If there’s any poet with whom I would pair Whitman, it would be Baudelaire: both of them redefined the elemental project of poetry, and both, to a great extent, indicated the direction, the opportunities, and the parameters of what we now call the modern. The similarities between them are striking: they were born two years apart and incredibly enough were doing their best work during precisely the same period, publishing their seminal books within two years of each other, Leaves of Grass in 1855, Les Fleurs du Mal in 1857.
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C.K. Williams (On Whitman (Writers on Writers Book 8))
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Vous ĂȘtes rĂ©actionnaire, c’est bien. Tous les grands Ă©crivains sont rĂ©actionnaires. Balzac, Flaubert, Baudelaire, DostoĂŻevski : que des rĂ©actionnaires.
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Michel Houellebecq (The Elementary Particles)
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Tout en acceptant ces descriptions, il faut rĂ©cuser l’idĂ©e, qu’elles risquent de suggĂ©rer, d’une dĂ©termination directe par les conditions Ă©conomiques et politiques : c’est Ă  partir de la position bien particuliĂšre qu’ils occupent dans le microcosme littĂ©raire que les Flaubert, Baudelaire, Renan, Leconte de Lisle ou Goncourt apprĂ©hendent une conjoncture politique qui, saisie Ă  travers les catĂ©gories de perception inhĂ©rentes Ă  leurs dispositions, licite et sollicite leur inclination Ă  l’indĂ©pendance (que d’autres conditions historiques auraient pu rĂ©primer ou neutraliser, par exemple en renforçant, comme Ă  la veille et au lendemain de 1848, les positions dominĂ©es dans le champ littĂ©raire et dans le champ social).
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Pierre Bourdieu (Les RÚgles de l'art. GenÚse et structure du champ littéraire (LIBRE EXAMEN) (French Edition))
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C’est sans doute parce qu’il a vĂ©cu, avec la luciditĂ© des commencements, toutes les contradictions, Ă©prouvĂ©es comme autant de double binds, qui sont inhĂ©rentes au champ littĂ©raire en voie de constitution, que personne n’a vu mieux que Baudelaire le lien entre les transformations de l’économie et de la sociĂ©tĂ© et les transformations de la vie artistique et littĂ©raire qui placent les prĂ©tendants au statut d’écrivains ou d’artistes en face de l’alternative de la dĂ©gradation, avec la fameuse « vie de bohĂšme », faite de misĂšre matĂ©rielle et morale, de stĂ©rilitĂ© et de ressentiment, ou de la soumission tout aussi dĂ©gradante aux goĂ»ts des dominants, Ă  travers le journalisme, le feuilleton ou le thĂ©Ăątre de boulevard. Critique
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Pierre Bourdieu (Les RÚgles de l'art. GenÚse et structure du champ littéraire (LIBRE EXAMEN) (French Edition))
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proches de ceux qu’employait Baudelaire, Zola rappelle en effet que c’est l’argent qui a affranchi l’écrivain de la dĂ©pendance Ă  l’égard des mĂ©cĂšnes aristocratiques et des pouvoirs publics et, contre les tenants d’une conception romantique de la vocation artistique, il appelle Ă  une perception rĂ©aliste des possibilitĂ©s que le rĂšgne de l’argent offre Ă  l’écrivain : « Il faut l’accepter sans regret ni enfantillage, il faut reconnaĂźtre la dignitĂ©, la puissance et la justice de l’argent, il faut s’abandonner Ă  l’esprit nouveau

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Pierre Bourdieu (Les RÚgles de l'art. GenÚse et structure du champ littéraire (LIBRE EXAMEN) (French Edition))