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De plaisir, elle aspira longuement tandis qu’au même moment un nommé Louis Bovard, ouvrier âgé de soixante-dix ans, dépourvu de piano et même de tapis persan, trop âgé pour trouver de l’embauche et seul au monde, se jetait dans le lac de Genève, sans même en admirer les teintes délicates et les subtiles harmonies. Car les pauvres sont vulgaires, ne s’intéressent pas à la beauté, à ce qui élève l’âme, bien différents en vérité de la reine Marie de Roumanie qui dans ses mémoires a béni la faculté que Dieu, paraît-il, lui a donné « de ressentir profondément la beauté des choses et de s’en réjouir ». Délicate attention de l’Éternel.
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