Violent Femmes Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Violent Femmes. Here they are! All 15 of them:

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I’ve grown quite weary of the spunky heroines, brave rape victims, soul-searching fashionistas that stock so many books. I particularly mourn the lack of female villains — good, potent female villains. Not ill-tempered women who scheme about landing good men and better shoes (as if we had nothing more interesting to war over), not chilly WASP mothers (emotionally distant isn’t necessarily evil), not soapy vixens (merely bitchy doesn’t qualify either). I’m talking violent, wicked women. Scary women. Don’t tell me you don’t know some. The point is, women have spent so many years girl-powering ourselves — to the point of almost parodic encouragement — we’ve left no room to acknowledge our dark side. Dark sides are important. They should be nurtured like nasty black orchids.
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Gillian Flynn
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Velva’s face glowed in the streetlight. “Sir Sun, don’t you see? I am your violent violet. And you are mine.
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Mav Skye (Wanted: Single Rose)
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Come, Paul!" she reiterated, her eye grazing me with its hard ray like a steel stylet. She pushed against her kinsman. I thought he receded; I thought he would go. Pierced deeper than I could endure, made now to feel what defied suppression, I cried - "My heart will break!" What I felt seemed literal heart-break; but the seal of another fountain yielded under the strain: one breath from M. Paul, the whisper, "Trust me!" lifted a load, opened an outlet. With many a deep sob, with thrilling, with icy shiver, with strong trembling, and yet with relief - I wept. "Leave her to me; it is a crisis: I will give her a cordial, and it will pass," said the calm Madame Beck. To be left to her and her cordial seemed to me something like being left to the poisoner and her bowl. When M. Paul answered deeply, harshly, and briefly - "Laissez-moi!" in the grim sound I felt a music strange, strong, but life-giving. "Laissez-moi!" he repeated, his nostrils opening, and his facial muscles all quivering as he spoke. "But this will never do," said Madame, with sternness. More sternly rejoined her kinsman - "Sortez d'ici!" "I will send for Père Silas: on the spot I will send for him," she threatened pertinaciously. "Femme!" cried the Professor, not now in his deep tones, but in his highest and most excited key, "Femme! sortez à l'instant!" He was roused, and I loved him in his wrath with a passion beyond what I had yet felt. "What you do is wrong," pursued Madame; "it is an act characteristic of men of your unreliable, imaginative temperament; a step impulsive, injudicious, inconsistent - a proceeding vexatious, and not estimable in the view of persons of steadier and more resolute character." "You know not what I have of steady and resolute in me," said he, "but you shall see; the event shall teach you. Modeste," he continued less fiercely, "be gentle, be pitying, be a woman; look at this poor face, and relent. You know I am your friend, and the friend of your friends; in spite of your taunts, you well and deeply know I may be trusted. Of sacrificing myself I made no difficulty but my heart is pained by what I see; it must have and give solace. Leave me!" This time, in the "leave me" there was an intonation so bitter and so imperative, I wondered that even Madame Beck herself could for one moment delay obedience; but she stood firm; she gazed upon him dauntless; she met his eye, forbidding and fixed as stone. She was opening her lips to retort; I saw over all M. Paul's face a quick rising light and fire; I can hardly tell how he managed the movement; it did not seem violent; it kept the form of courtesy; he gave his hand; it scarce touched her I thought; she ran, she whirled from the room; she was gone, and the door shut, in one second. The flash of passion was all over very soon. He smiled as he told me to wipe my eyes; he waited quietly till I was calm, dropping from time to time a stilling, solacing word. Ere long I sat beside him once more myself - re-assured, not desperate, nor yet desolate; not friendless, not hopeless, not sick of life, and seeking death. "It made you very sad then to lose your friend?" said he. "It kills me to be forgotten, Monsieur," I said.
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Charlotte Brontë (Villette)
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Ne devrait-on pas essayer une bonne fois, pour voir, de remplacer dans les grands modèles de la littérature universelle les hommes par les femmes? Achille, Hercule, Ulysse, Oedipe, Agamemnon, Jésus, le roi Lear, Faust, Julien Sorel, Wilhelm Meister. Des femmes agissantes, violentes, clairvoyantes? Elles passent à travers cette grille de la littérature. C'est ce qu'on appelle "réalisme". Toute l'existence de la femme jusqu'à nos jours était irréaliste.
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Christa Wolf (Cassandra)
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Il est possible qu'à des époques antérieures, où les ours étaient nombreux, la virilité ait pu jouer un rôle spécifique et irremplaçable; mais depuis quelques siècles, les hommes ne servaient visiblement à peu près plus à rien. Ils trompaient parfois leur ennui en faisant des parties de tennis, ce qui étaient un moindre mal; mais parfois aussi ils estimaient utile de faire avancer l'histoire, c'est-à-dire essentiellement de provoquer des révolutions et des guerres. Outre les souffrances absurdes qu'elles provoquaient, les révolutions et les guerres détruisaient le meilleurs du passé, obligeant à chaque fois à faire table rase pour rebâtir. Non inscrite dans le cours régulier d'une ascension progressive, l'évolution humaine acquérait ainsi un tour chaotique, déstructuré, irrégulier et violent. Tout cela les hommes (avec leur goût du risque et du jeu, leur vanité grotesque, leur irresponsabilité, leur violence foncière) en étaient directement et exclusivement responsables. Un monde composé de femmes serait à tous points de vue infiniment supérieur; il évoluerait plus lentement, mais avec régularité, sans retours en arriêre et sans remises en cause néfastes, vers un état de bonheur commun.
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Michel Houellebecq
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Qui vous le dit, qu’elle (la vie) ne vous attend pas ? Certes, elle continue, mais elle ne vous oblige pas à suivre le rythme. Vous pouvez bien vous mettre un peu entre parenthèses pour vivre ce deuil… accordez-vous le temps. *** Parce que ҫa me fait plaisir. Parce que je sais aussi que l’entourage peut se montrer très discret dans pareille situation, et que de se changer les idées de temps en temps fait du bien. Parce que je sais que vous aimez la montagne et que vous n’iriez pas toute seule. *** Oui. Si vous perdez une jambe, ҫa se voit, les gens sont conciliants. Et encore, pas tous. Mais quand c’est un morceau de votre cœur qui est arraché, ҫa ne se voit pas de l’extérieur, et c’est au moins aussi douloureux… Ce n’est pas de la faute des gens. Ils ne se fient qu’aux apparences. Il faut gratter pour voir ce qu’il y a au fond. Si vous jetez une grosse pierre dans une mare, elle va faire des remous à la surface. Des gros remous d'abord, qui vont gifler les rives, et puis des remous plus petits, qui vont finir par disparaître. Peu à peu, la surface redevient lisse et paisible. Mais la grosse pierre est quand même au fond. La grosse pierre est quand même au fond. *** La vie s’apparente à la mer. Il y a les bruit des vagues, quand elles s’abattent sur la plage, et puis le silence d’après, quand elles se retirent. Deux mouvement qui se croissent et s’entrecoupent sans discontinuer. L’un est rapide, violent, l’autre est doux et lent. Vous aimeriez vous retirer, dans le même silence des vagues, partir discrètement, vous faire oublier de la vie. Mais d’autres vague arrivent et arriveront encore et toujours. Parce que c’est ҫa la vie… C’est le mouvement, c’est le rythme, le fracas parfois, durant la tempête, et le doux clapotis quand tout est calme. Mais le clapotis quand même Un bord de mer n'est jamais silencieux, jamais. La vie non plus, ni la vôtre, ni la mienne. Il y a les grains de sables exposés aux remous et ceux protégés en haut de la plage. Lesquels envier? Ce n'est pas avec le sable d'en haut, sec et lisse, que l'on construit les châteaux de sable, c'est avec celui qui fraye avec les vagues car ses particules sont coalescentes. Vous arriverez à reconstruire votre château, vous le construirez avec des grains qui vous ressemblent, qui ont aussi connu les déferlantes de la vie, parce qu'avec eux, le ciment est solide.. *** « Tu ne sais jamais à quel point tu es fort jusqu’au jour où être fort reste la seule option. » C’est Bob Marley qui a dit ҫa. *** Manon ne referme pas violemment la carte du restaurant. Elle n’éprouve pas le besoin qu’il lui lise le menu pour qu’elle ne voie pas le prix, et elle trouvera égal que chaque bouchée vaille cinq euros. Manon profite de la vie. Elle accepte l’invitation avec simplicité. Elle défend la place des femmes sans être une féministe acharnée et cela ne lui viendrait même pas à l’idée de payer sa part. D’abord, parce qu’elle sait que Paul s’en offusquerait, ensuite, parce qu’elle aime ces petites marques de galanterie, qu’elle regrette de voir disparaître avec l’évolution d’une société en pertes de repères.
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Agnès Ledig (Juste avant le bonheur)
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Dans son ouvrage provocateur, War Before Civilisation : The Myth of the Peaceful Savage, Laurence Keeley, anthropologue à l’université de l’Illinois, a montré qu’il aurait fallu que l’armée allemande tue un million de civils en France lors de son offensive de mai 1940 pour atteindre le même taux de mortalité que lors de certains conflits intertribaux. Et dans un article paru en 2007 dans le Journal of Human Evolution, Kim Hill, anthropologue à l’université d’Arizona, et ses collaborateurs ont analysé la mortalité dans une population actuelle de chasseurs-cueilleurs de la forêt vénézuélienne, les Hiwi. 36 % des individus qui arrivent à l’âge adulte meurent à la guerre ou sont victimes d’un homicide, les femmes courant les mêmes risques de mort violente que les hommes.
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Jean-Jacques Hublin (Quand d'autres hommes peuplaient la Terre : nouveaux regards sur nos origines)
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« Les femmes aussi sont violentes, au moins psychologiquement » ; tel est l'argument classiquement utilisé pour nier la dimension de genre des violences au sein du couple. Il suggère que les victimes chercheraient les coups en maltraitant émotionnellement leur compagnon, en visant là où ça fait mal, au point de le faire sortir de ses gonds. Or il existe d'autres situations où les hommes peuvent subir des brimades et des humiliations, à commencer par le travail. Pour autant, les coups infligés à un supérieur hiérarchique, un contremaître ou un patron ne sont pas un fléau social, et nous ne tenons pas un décompte d'homicides dont ceux-ci seraient régulièrement victimes. Pourquoi serait-il possible de réfréner ses pulsions dans le contexte professionnel, et pas face à une femme ? Et, plus largement, pourquoi les hommes seraient-ils les seuls à ne pas pouvoir se maîtriser quand ils subissent un affront ou une humiliation ? Ce préjugé empêche aussi de voir les nombreux cas où la violence physique est exercée de manière froide et réfléchie. Par ailleurs, cette image des femmes comme des créatures à la parole venimeuse, capables de faire du mal de façon sournoise, comme on jette un mauvais sort, me rappelle la défiance à l'égard de la parole féminine qui se manifestait à l'époque des chasses aux sorcières. Quoi qu'il en soit, évoquer l'oppression subie dans une très grande majorité des cas par des femmes au sein du couple n'implique pas qu'elles seraient pour leur part incapables de la moindre violence, physique ou psychique. Cependant, du fait qu'elles sont structurellement en position de faiblesse, que la société autorise et favorise la violence chez les hommes et la décourage chez elles, le plus probable est que ces actes ou ces paroles restent dérisoires, et essentiellement réactifs ou défensifs. (p. 106-107)
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Mona Chollet (Réinventer l'amour: Comment le patriarcat sabote les relations hétérosexuelles)
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All Dalit and Muslim women and femmes were considered prostitutes. They were seen as illiterate, uneducated sexual deviants at the mercy of their sexist, violent men, and so their writings, debates, books, and articles are virtually unknown from this period.
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TanaĂŻs (In Sensorium: Notes for My People)
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Dan had brought a Casio CZ series portable and an amp to play it through. Carla had a kobassa. “It’s the only hand percussion in the house,” she said ruefully. She gave it a quick slap-and-slide, rattle-and-hiss, across her hand. “I could have brought the snare, I guess, but that just makes me wish for the whole kit.” Eddi shook her head. “Violent Femmes used to use a washtub.” “I don’t have a washtub. Maybe I’ll bear on your head, instead.” “It’s a thought. I’m not using it for anything.” Carla looked curious, but Eddi turned quickly to unpack her guitar. Dan gave her an E to tune to. Now why did I say that? she wondered v I didn’t mean it. Did I? She remembered suddenly, unbidden, the phouka saying love made mortals stupid. Damn phouka.
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Emma Bull (War for the Oaks)
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par le mouvement désordonné des plumes noires, accentue l’énergie de ces sentiments violents.
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Octave Mirbeau (Le journal d'une femme de chambre)
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rien ne lui a jamais semblé plus violent, plus complexe, que de venir se placer à côté de cette femme afin qu'il creusent ensemble dans cette zone fragile du langage où se déclare la mort, pour qu'ils y avancent, synchrones
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Maylis de Kerangal
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Je sais si une femme m’appartient, non parce que je la prends, la caresse ou la violente, mais si, et seulement si, elle m’octroie la possibilité, le pouvoir et l’autorisation de le faire
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Gordon Brand
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She had taken her time getting ready for tonight: a long steamy bath with a glass of wine and a Violent Femmes CD.
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Liane Moriarty (The Hypnotist's Love Story)
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The violent chords and strident voices were so startlingly different from the chiming, bubbling relaxation tapes she played all day that it was like having a bucket of cold water thrown over her head. The Violent Femmes reminded her of the eighties, and being a teenager, and feeling supercharged with hormones and hope.
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Liane Moriarty (The Hypnotist's Love Story)