Song Ci Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Song Ci. Here they are! All 24 of them:

One of the first examples of forensic science solving a murder appears in a book called The Washing Away of Wrongs, published in 1247 by Song Ci, a Chinese coroner and detective.
Michelle McNamara (I'll Be Gone in the Dark: One Woman's Obsessive Search for the Golden State Killer)
Siamo solamente esseri umani, Jon Snow, e gli dei ci hanno foggiato perché si possa amare. É la nostra gloria più grande, e anche la nostra tragedia più terribile.
George R.R. Martin (A Game of Thrones (A Song of Ice and Fire, #1))
One of the first examples of forensic science solving a murder appears in a book called The Washing Away of Wrongs, published in 1247 by Song Ci, a Chinese coroner and detective. The author relates a story about a peasant found brutally hacked to death with a hand sickle. The local magistrate, unable to make headway in the investigation, calls for all the village men to assemble outside with their sickles; they’re instructed to place their sickles on the ground and then take a few steps back. The hot sun beats down. A buzz is heard. Metallic green flies descend in a chaotic swarm and then, as if collectively alerted, land on one sickle, crawling all over it as the other sickles lie undisturbed. The magistrate knew traces of blood and human tissue attract blowflies. The owner of the fly-covered sickle hung his head in shame. The case was solved.
Michelle McNamara (I'll Be Gone in the Dark: One Woman's Obsessive Search for the Golden State Killer)
Vous etes comme tout le monde, vous prenez ces braves gens pour une tribu de syndics et de marchands, comptant leurs ecus avec leur cances de vie eternelle, et dont le seul lyrisme consiste a prendre parfois, couverts de larges chapeaux, des lecons d'anatomie? Vous vous trompez. Ils marchent pres de nous, il est vrai, et pourtant, voyez ou se trouvent leurs tetes: dans cette brume de neon, de genievre et de mente qui descend des enseignes rouges et vertes. La Hollande est un songe, monsieur, un songe d'or e te fumee, plus fumeux le jour, plus dore la nuit, et nuit et jour ce songe es peuple de Lohengrin comme ceux-ci, filant reveusement sur leurs noires bicyclettes a hauts guidons, cygnes funebres qui tournent sans treve, dans tout le pays, autour des mers, le long des canaux. Ils revent, la tete dans leur nuees cuivrees, ils roulent en rond, ils prient, somnambules, dans l'encens dore de la brume, ils ne sont plus la.
Albert Camus (The Fall)
Mais les signes de ce qui m'attendait réellement, je les ai tous négligés. Je travaille mon diplôme sur le surréalisme à la bibliothèque de Rouen, je sors, je traverse le square Verdrel, il fait doux, les cygnes du bassin ont reparu, et d'un seul coup j'ai conscience que je suis en train de vivre peut-être mes dernières semaines de fille seule, libre d'aller où je veux, de ne pas manger ce midi, de travailler dans ma chambre sans être dérangée. Je vais perdre définitivement la solitude. Peut-on s'isoler facilement dans un petit meublé, à deux. Et il voudra manger ses deux repas par jour. Toutes sortes d'images me traversent. Une vie pas drôle finalement. Mais je refoule, j'ai honte, ce sont des idées de fille unique, égocentrique, soucieuse de sa petite personne, mal élevée au fond. Un jour, il a du travail, il est fatigué, si on mangeait dans la chambre au lieu d'aller au restau. Six heures du soir cours Victor-Hugo, des femmes se précipitent aux Docks, en face du Montaigne, prennent ci et ça sans hésitation, comme si elles avaient dans la tête toute la programmation du repas de ce soir, de demain peut-être, pour quatre personnes ou plus aux goûts différents. Comment font-elles ? [...] Je n'y arriverai jamais. Je n'en veux pas de cette vie rythmée par les achats, la cuisine. Pourquoi n'est-il pas venu avec moi au supermarché. J'ai fini par acheter des quiches lorraines, du fromage, des poires. Il était en train d'écouter de la musique. Il a tout déballé avec un plaisir de gamin. Les poires étaient blettes au coeur, "tu t'es fait entuber". Je le hais. Je ne me marierai pas. Le lendemain, nous sommes retournés au restau universitaire, j'ai oublié. Toutes les craintes, les pressentiments, je les ai étouffés. Sublimés. D'accord, quand on vivra ensemble, je n'aurai plus autant de liberté, de loisirs, il y aura des courses, de la cuisine, du ménage, un peu. Et alors, tu renâcles petit cheval tu n'es pas courageuse, des tas de filles réussissent à tout "concilier", sourire aux lèvres, n'en font pas un drame comme toi. Au contraire, elles existent vraiment. Je me persuade qu'en me mariant je serai libérée de ce moi qui tourne en rond, se pose des questions, un moi inutile. Que j'atteindrai l'équilibre. L'homme, l'épaule solide, anti-métaphysique, dissipateur d'idées tourmentantes, qu'elle se marie donc ça la calmera, tes boutons même disparaîtront, je ris forcément, obscurément j'y crois. Mariage, "accomplissement", je marche. Quelquefois je songe qu'il est égoïste et qu'il ne s'intéresse guère à ce que je fais, moi je lis ses livres de sociologie, jamais il n'ouvre les miens, Breton ou Aragon. Alors la sagesse des femmes vient à mon secours : "Tous les hommes sont égoïstes." Mais aussi les principes moraux : "Accepter l'autre dans son altérité", tous les langages peuvent se rejoindre quand on veut.
Annie Ernaux (A Frozen Woman)
RÉPONSES INTERROGATIVES À UNE QUESTION DE MARTIN HEIDEGGER La poésie ne rythmera plus l'action. Elle sera en avant. RIMBAUD. Divers sens étroits pourraient être proposés, compte non tenu du sens qui se crée dans le mouvement même de toute poésie objective, toujours en chemin vers le point qui signe sa justification et clôt son existence, à l'écart, en avant de l'existence du mot Dieu : -La poésie entraînera à vue l'action, se plaçant en avant d'elle. L'en-avant suppose toutefois un alignement d'angle de la poésie sur l'action, comme un véhicule pilote aspire à courte distance par sa vitesse un second véhicule qui le suit. Il lui ouvre la voie, contient sa dispersion, le nourrit de sa lancée. -La poésie, sur-cerveau de l’action, telle la pensée qui commande au corps de l'univers, comme l'imagination visionnaire fournit l'image de ce qui sera à l'esprit forgeur qui la sollicite. De là, l'enavant. -La poésie sera « un chant de départ ». Poésie et action, vases obstinément communicants. La poésie, pointe de flèche supposant l'arc action, l'objet sujet étroitement dépendant, la flèche étant projetée au loin et ne retombant pas car l'arc qui la suit la ressaisira avant chute, les deux égaux bien qu'inégaux, dans un double et unique mouvement de rejonction. -L'action accompagnera la poésie par une admirable fatalité, la réfraction de la seconde dans le miroir brûlant et brouillé de la première produisant une contradiction et communiquant le signe plus (+) à la matière abrupte de l’action. -La poésie, du fait de la parole même, est toujours mise par la pensée en avant de l'agir dont elle emmène le contenu imparfait en une course perpétuelle vie-mort-vie. -L'action est aveugle, c'est la poésie qui voit. L'une est unie par un lien mère-fils à 1'autre, le fils en avant de la mère et la guidant par nécessité plus que par amour. -La libre détermination de la poésie semble lui conférer sa qualité conductrice. Elle serait un être action, en avant de Faction. -La poésie est la loi, l'action demeure le phénomène. L'éclair précède le tonnerre, illuminant de haut en bas son théâtre, lui donnant valeur instantanée. -La poésie est le mouvement pur ordonnant le mouvement général. Elle enseigne le pays en se décalant. -La poésie ne rythme plus l'action, elle se porte en avant pour lui indiquer le chemin mobile. C'est pourquoi la poésie touche la première. Elle songe l'action et, grâce à son matériau, construit la Maison, mais jamais une fois pour toutes. _ La poésie est le moi en avant de l'en soi, « le poète étant chargé de l'Humanité » (Rimbaud). - La poésie serait de « la pensée chantée ». Elle serait l'œuvre en avant de Faction, serait sa conséquence finale et détachée. -La poésie est une tête chercheuse. L'action est son corps. Accomplissant une révolution ils font, au terme de celle-ci, coïncider la fin et le commencement. Ainsi de suite selon le cercle. -Dans l'optique de Rimbaud et de la Commune, la poésie ne servira plus la bourgeoisie, ne la rythmera plus. Elle sera en avant, la bourgeoisie ici supposée action de conquête. La poésie sera alors sa propre maîtresse, étant maîtresse de sa révolution; le signal du départ donné, l'action en-vue-de se transformant sans cesse en action voyant.
René Char (Recherche de la base et du sommet)
He’s so fucked,” Tyler sounds through a chuckle. “I swear to God he was listening to K-Ci and JoJo last night when I popped into his room.” “It was on the radio, you dick!” I defend, stalking toward my bedroom. I may have found the song in my cloud and replayed it once or twice. “Doesn’t surprise me,” Sean coos up at me in taunt. “The meaner they are, the harder they fall.
Kate Stewart (One Last Rainy Day: The Legacy of a Prince (Ravenhood Legacy, #1))
He’s so fucked,” Tyler sounds through a chuckle. “I swear to God he was listening to K-Ci and JoJo last night when I popped into his room.” “It was on the radio, you dick!” I defend, stalking toward my bedroom. I may have found the song in my cloud and replayed it once or twice.
Kate Stewart (One Last Rainy Day: The Legacy of a Prince (Ravenhood Legacy, #1))
Quindi… come fai a sapere? ” “ Parli del futuro? Oh, Martin, sai come vanno le cose oggi. Ci sono spoiler da tutte le parti, è impossibile evitarli. La colpa è di Internet, per questo e per aver fatto credere ai gatti di dominare il mondo
Steve Lyons (Doctor Who - Le leggende di River Song (Italian Edition))
Luca leans forward, propping his elbows on the bar table, and I think he’s going to ask me something, maybe what some particularly nonsensical Coldplay lyrics mean: but instead he starts to speak in Italian, so smoothly, the words so soft and liquid, that I swiftly realize he’s quoting some lyrics. The words flow over me, winding around me like velvet: “‘Ci sono trenta modi per salvare il mondo, ma uno solo perche il mondo salvi me--che io voglia star con te, e tu voglia star con me.’” I gaze at him, and now I do feel hypnotized. I have no idea what he’s saying--he could be reading the phone book in Italian and I’d stare at him across the little bar table, unable to take my eyes from him. “That is from a song by Jovanotti. Shall I translate for you?” he asks gently. All at once, I panic. What if the words are so lovely I can’t bear them? It’s as if he’s casting a spell over me, and I need to break free before it settles so tightly around me that I’m completely in his power.
Lauren Henderson (Flirting in Italian (Flirting in Italian #1))
E' mia sorella." Gendry piazzo' una mano a tenaglia sulla spalla del vecchio e diede una stretta. "E tu la lasci in pace." L'uomo si giro', pronto alla rissa, ma quando vide la stazza di Gendry ci ripenso'. "Tua sorella, eh? E allora che razza di fratello sei? Io mia sorella non ce la porterei mai in un posto come la Pesca, proprio no." Si alzo' dalla panca e se ne ando' mugugnando, alla ricerca di un'altra piccola pesca. "Perche' hai detto cosi'?" Anche Arya balzo' in piedi. "Non sono tua sorella." "Difatti." rispose lui con rabbia. "Sono troppo fottutatamente plebeo per essere all'altezza della mia lady, vero?" Il furore che trapelava dalla sua voce colse Arya alla sprovvista. "Non e' questo che intendevo." "Si, invece." Gendry si lascio' cadere sulla panca, rigirando una coppa di vino tra le dita. "Va' via. Voglio bere in pace il mio vino. E dopo magari vado a cercare quella ragazza dai capelli neri, e suono la sua campana." "Ho detto va' via . Milady.
George R.R. Martin (A Storm of Swords (A Song of Ice and Fire, #3))
Ma continua, principe, ti prego: adoro le belle storie." "Quella che ti riguarda e' tra le migliori: si dicevi che tu avessi la coda. Una coda dura e ossuta, attorcigliata come quella di una scrofa. Il tuo cranio era mostruosamente grande, ci dissero, quanto meta' del tuo corpo. Eri nato coperto di una spessa peluria nera, ci dissero, con la barba, un occhio malefico e unghie simili ad artigli di leone. I tuoi denti erano talmente lunghi da non permetterti di chiudere la bocca, e tra le tue gambe c'erano non solo i genitali di un maschietto ma anche quelli di una femminuccia.
George R.R. Martin (A Storm of Swords (A Song of Ice and Fire, #3))
Probabilmente, non ti avremmo mai visto se non fosse stato per la tua dolce sorella" riprese il dorniano. "Non venivi mai portato al desco, ne' nella sale. Ma di notte, a volte, udivamo le grida di un neonato provenire dalle profondita' della rocca. Avevi una voce mostruosamente forte, questo te lo riconosco. Continuavi a urlare per ore, e nulla poteva acquietarti eccetto la tetta di una donna." [...] "Cersei arrivo' addiruttura a sciogliere i nodi dei tuoi pannolini per consentirci di vedere bene" continuo' il principe di Dorne. "In effetti, avevi un occhio malefico e la peluria nera sul capo. Forse la tua testa era piu' grande del normale... ma non c'era nessuna coda, nessuna barba, niente artigli ne' zanne, e niente tra le tue gambe tranne un piccolo cazzo rosa. Dopo tutti quei meravigliosi bisbigli, il Flagello di lord Tywin si era rivelato nient'altro che un orribile neonato, rosso e con le gambe leggermente tozze. Elia emise il tipico suono che le ragazze emettono di fronte a un infante, sono certo che sai di che cosa sto parlando. Quel verso che fanno anche davanti ai cuccioli di cane e ai gattini appena nati. Credo lei stessa, a dispetto della tua bruttezza, sia stata tentata di allattarti. Al mio commento che come creatura mostruosa tutto sommato valevi poco, tua sorella disse: 'Ha ucciso mia madre', dopo di che afferro' quel tuo piccolo cazzo e lo torse talmente forte da farmi temere che te lo avrebbe strappato via. Tu urlasti, ma Cersei abbandono' la presa solo dopo che tuo fratello Jaime disse: 'Lascialo stare, gli stai facendo male'. 'Tanto non importa" ci disse "lo sanno tutti che morira' presto. Non avrebbe neppure dovuto vivere cosi' a lungo.
George R.R. Martin (A Storm of Swords (A Song of Ice and Fire, #3))
Due cuori che battono come uno solo...' Passavano le notti avvolti nelle stesse pelli. Jon scivolava nel sonno con la testa di lei sul petto, i capelli rossi che gli solleticavano il mento. L'odore di Ygritte era diventato parte di lui. I suoi denti storti, il contatto del suo seno quando lui lo accarezzava, il sapore della suo bocca... tutto questo era la gioia e la disperazione di Jon Snow. Per molte e molte notti era rimasto a giacere con il corpo di Ygritte tra le braccia, a chiedersi se anche il lord suo padre era stato confuso quanto lo era lui in quel momento riguardo sua madre, chiunque lei fosse. 'Ygritte ha teso la trappola, e Mance Rayder mi ci ha spinto dritto dentro.
George R.R. Martin (A Storm of Swords (A Song of Ice and Fire, #3))
La vita, ora lo capiva, assomigliava a una canzone. Al principio c'è il mistero, al termine la conferma, ma nel mezzo ci sono le emozioni che arricchiscono l'intera esperienza.
Nicholas Sparks (The Last Song)
La scelta del re avrebbe potuto ricadere su uno dei suoi fratelli, o addirittura su Ditocorto... Che gli dei ci assistano. Datemi mille nemici onorevoli piuttosto che un solo nemico ambizioso, e dormirò sonni più tranquilli.
George R.R. Martin (A Game of Thrones (A Song of Ice and Fire, #1))
Io amo una donna sola, te lo giuro." Lysa Arryn tentò un sorriso tremulo. "Una donna sola? Oh, Petyr, me lo giuri? Una soltanto?" "Solo Catelyn." Petyr Baelish le diede uno spintone, forte, definitivo. Lysa Arryn barcollò all'indietro, i piedi scivolarono sul marmo bagnato, fino alla soglia. Oltre la soglia. E poi Lysa Arryn non ci fu più. Svanita. Inghiottita. Non aveva lanciato neppure un grido. Per un tempo lunghissimo l'unico suono fu l'ululare del vento.
George R.R. Martin (A Storm of Swords (A Song of Ice and Fire, #3))
Sam. Non era a tavola." "E non è da lui saltare il pasto" riconobbe Pyp con aria pensosa. "Credi che sia ammalato?" "Credo che sia spaventato. Lo stiamo lasciando solo." A Jon tornò alla memoria il giorno in cui se n'era andato da Grande Inverno. Quegli adii un po' dolci e un po' amari. Il piccolo Bran che giaceva nella torre, con il corpo spezzato. Robb con i capelli pieni di neve. Arya che lo copriva di baci dopo che lui le aveva dato Ago. "Nel momento in cui presteremo giuramento" riprese "ci aspetta il nostro dovere. Alcuni di noi verranno mandati al Forte orientale, altri alla Torre delle ombre. Sam rimarrà qui ad addestrarsi. Fin troppo vicino a tipi come Rast e Cuger, e ai ragazzi nuovi che stanno arrivando dalla strada del Re. Lo sanno gli dei che gente è quella, ma puoi scommettere che alla prima occasione ser Alliser glieli manderà tutti contro." L'espressione di Pyp si contrasse. "Tu hai fatto tutto quello che potevi, Jon." "Allora tutto quello che potevo non è stato sufficiente.
George R.R. Martin (A Game of Thrones (A Song of Ice and Fire, #1))
Nous avons tous besoin qu'on se fiche de nous, de-ci de-là, [...] ou nous ne tarderions guère à nous prendre trop au sérieux.
George R.R. Martin (A Game of Thrones (A Song of Ice and Fire, #1))
«Quale perverso scherzo gli dei ci hanno giocato, Robert.» L'espressione di Cersei era un'icona del disprezzo. «Perché non dai a me la cotta di maglia di ferro e tu ti metti la sottana?» Il re fece volare un manrovescio, un colpo duro, brutale, sul lato della testa. L'impatto scaraventò Cersei contro il tavolo, facendola inciampare e cadere con violenza. Eppure non emise un solo lamento. Con le dita affusolate si toccò la guancia colpita, dove la pelle cominciava già ad arrossarsi. L'indomani, il livido avrebbe coperto metà del suo viso. «Questo lo porterò come un simbolo d'onore» annunciò. «Portalo a bocca chiusa, se non vuoi che ti onori di nuovo» la minacciò Robert.
George R.R. Martin (A Game of Thrones (A Song of Ice and Fire, #1))
Ma una vocina dentro di lei disse: "Non ci sono eroi". Ricordò le parole che lord Petyr Baelish le aveva detto proprio in quella sala: «La vita non è una ballata, mia dolce fanciulla. Un giorno, potresti impararlo a tue spese». "Nella vita, sono i mostri a trionfare" si disse, e riudì la fredda voce metallica di Sandor Clegane: «Risparmiati altro dolore, ragazzina. Dagli quello che vuole»
George R.R. Martin (A Game of Thrones (A Song of Ice and Fire, #1))
«Gli dei ci aiutino, ragazzo. Perché tu non sei né cieco né stupido. Quando i morti vengono a camminare nel buio, credi davvero che abbia importanza chi siede sul Trono di Spade?»
George R.R. Martin (A Game of Thrones (A Song of Ice and Fire, #1))
Ma chi l’avrebbe detto che la vita/ ci travolgeva come hai fatto tu. Tu m’hai aperto come una ferita-sto sanguinando ma non ti lascio più,’” he quotes. “‘Who would have said that life--’” I start, but that’s as far as I get. “‘That life turns us upside down,’” Luca says, “‘like you did to me. You open me like a wound. I am bleeding, but I don’t leave you anymore.’” “Luca!” I exclaim in horror, and his body starts to shake with laughter. “You remember? I say Jovanotti’s songs, they are not always pretty,” he tells me. “But they are true.” “Still, a wound…
Lauren Henderson (Kissing in Italian (Flirting in Italian, #2))
So!” he says, much later. We’re sitting on the floor now. The windowsill is narrow and uncomfortable. We don’t care that we may be getting splinters in our bums from the floorboards. We’re curled up, me sitting between Luca’s legs, his arms wrapped around my waist, mine around his. His head is leaning on mine, and he’s kissing my hair. “You remember that song by Jovanotti I say to you, in the river?” he asks. “Yes!” I swivel a little to look at him. “I looked it up, but I couldn’t find it.” “‘La Valigia,’” he says. “The suitcase. The boy is a suitcase, he travels all around, but only one person, the girl, knows how to open the lucchetto.” “The lock,” I translate, suffused with happiness at this. “‘Ma chi l’avrebbe detto che la vita/ ci travolgeva come hai fatto tu. Tu m’hai aperto come una ferita-sto sanguinando ma non ti lascio più,’” he quotes. “‘Who would have said that life--’” I start, but that’s as far as I get. “‘That life turns us upside down,’” Luca says, “‘like you did to me. You open me like a wound. I am bleeding, but I don’t leave you anymore.’” “Luca!” I exclaim in horror, and his body starts to shake with laughter. “You remember? I say Jovanotti’s songs, they are not always pretty,” he tells me. “But they are true.” “Still, a wound…” “You are half Italian, Violetta,” he points out. “You must understand us. We are more…” He looks for the right word. “Dramatic,” he concludes. “Esagerati.
Lauren Henderson (Kissing in Italian (Flirting in Italian, #2))