Roland Garros Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Roland Garros. Here they are! All 4 of them:

Yo pienso que es más fácil que un chaval gane Roland Garros si ha recibido una buena educación que si la ha recibido mala.
Toni Nadal Homar (Todo se puede entrenar (Alienta) (Spanish Edition))
Las mujeres quieren que te levantes del sofá y te pongas a limpiar. Que dejes de ver pornografía, que pareces tonto por cómo te tienen atrapado cuatro listos y negociantes; que dejes de dedicar tu vida al culebrón de la Liga, la Champions, la Vuelta ciclista y el Roland Garros, el MotoGP y los play-off. Que dejes de mirar y contemplar a hombres jugando a todo tipo de cosas y te dediques a ver lo que sucede a tu alrededor. Que no te empeñes en salvar el mundo mientras no haces nada por salvar a tus hijos. Que dejes de ser un egoísta absoluto en las relaciones sexuales y te apliques a dar placer y no a recibirlo como si fueras uno de esos lelos del porno. Que no se te ocurra engañar ni mentir a nadie que te quiera. Que dejes de hablar del niño que llevas dentro y seas el chico y el mayor que eres. Y que, venga, dejéis de echarle tanto morro colectivo a la vida y vamos a ponernos todos juntos a cambiar este sistema depredador. Las mujeres quieren que te levantes y te pongas en su lugar. En nuestro lugar.
Ana de Miguel (Ética para Celia)
Voilà à quoi je pensais, tandis que je marchais pour rentrer chez moi, légèrement ivre, après avoir quitté L. devant le bar où nous avions bu un troisième verre. Nous avions bien ri, elle et moi, au fond de la salle, car finalement la conversation avait dévié sur nos passions adolescentes, avant Barthes et toute la clique, à l’époque où nous accrochions des posters dans notre chambre. J'avais raconté à L. les deux années durant lesquelles, vers l'âge de seize ans, j'avais contracté puis developpé une cristallisation spectaculaire sur la personne d'Ivan Lendl, un joueur de tennis tchécoslovaque au physique ingrat dont je percevais la beauté obscure et saisissante, au point que je m'étais abonnée à Tennis Magazine (moi que je n'avais jamais touché une raquette de ma vie) et avais passé des heures devant les retransmissions televisées du tournoi de Roland Garros et Wimbledon au lieu de réviser mon bac. L. étais sidérée. Elle aussi l'avait adoré! C'était bien la première fois que je rencontrais quelqu'un qui avait aimé Ivan Lendl, l'un des joueurs les plus detestés de l'histoire du tennis, sans doute à cause de son visage austère que rien ne pouvait dérider, et de son jeu de fond de court, méthodique et rébarbatif. Selon toute vraisemblance, c'est d'ailleurs pour ces raisons, parce qu'il était si grand, maigre et incompris, que je l'ai tant aimé. À la même époque, oui, exactement, L. avait suivi tous les matchs d'Ivan Lendl, elle s'en souvenait parfaitement, notamment de cette fameuse finale de Roland Garros jouée contre John McEnroe, que Lendl avait gagné à l'issue d'un combat d'une rare intensité dramatique. Les images l'avaient alors montré victorieux, défiguré pour l'épuisement, et pour la première fois le monde entier avait découvert son sourire. L. était incollable, se souvenait de tous les détails de la vie et de la carrière d'Ivan Lendl que j'avais pour ma part oubliés. C'était incroyable, plus de vingt ans après, de nous imaginer toutes les deux hypnotisées devant nos postes de télevision, elle en banlieue parisienne et mois dans un village de Normandie, souhaitant l'une et l'autre avec la même ardeur le sacre de l'homme de l'Est. L. savait auusi ce qu’Ivan Lendl était devenu, elle avait suivi tout cela de très près, sa carrière comme sa vie privée. Ivan Lendl était marié et père de quatre enfants, vivait aux Ètats-Unis, entraînait de jeunes joueurs de tennis et s’était fait refaire les dents. L. déplorait ce dernier point, la disparition du sourire tchécoslovaque (dents rangées de manière inégale dont on devinait le chevauchement) au profit d’un sourire américain (dents fausses parfaitement alignées, d’un blanc éclatant), selon elle, il y avait perdu tout son charme, je n’avais qu’à vérifier sur Internet si je ne la croyais pas. C’était un drôle de coïncidence. Un point commun parmi d’autres, qui nous rapprochait.
Delphine de Vigan (D'après une histoire vraie)
It’s the same scene at Boodles, with the same crew braying about whatever it is today that they think they know better than anyone else. This time it’s the French tennis championships at the Roland Garros, and the way they talk about the players you’d think they were all ex-Wimbledon champions instead of desk-bound, money-bound public schoolboys who, if you put them in a car park in the Gorbals without a set of car keys, would be begging for mercy to the first bag lady who walked by. When you scratch the veneer you find there’s just more veneer underneath. ‘In this closed
Alex Dryden (Red To Black)