Party Venue Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Party Venue. Here they are! All 33 of them:

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The sports arena Julie calls home is unaccountably large, perhaps one of those dual-event 'super venues' built for an era when the greatest quandary facing the world was where to put all the parties.
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Isaac Marion (Warm Bodies (Warm Bodies, #1))
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Why are you easily replaceable at one venue but not the other? Are you charming when you go on a date or meet a handsome guy at a party? But not at a meeting at work?
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Seth Godin (Linchpin: Are You Indispensable?)
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In the summer of 2002, Biden was pushing his RAVE Act, an absurdly broad law that would have made venue and club owners liable for running a drug operation if they merely sold the “paraphernalia” common to parties where people took Ecstasy—accessories like bottled water and glow sticks. After attempting to sneak the bill through Congress with various parliamentary maneuvers, Biden was finally able to get a slightly modified version folded into the bill that created the Amber Alert for missing children.
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Radley Balko (Rise of the Warrior Cop: The Militarization of America's Police Forces)
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Depuis ce jour, la beautĂ© de mademoiselle Grandet prit un nouveau caractĂšre. Les graves pensĂ©es d'amour par lesquelles son Ăąme Ă©tait lentement envahie, la dignitĂ© de la femme aimĂ©e donnĂšrent Ă  ses traits cette espĂšce d'Ă©clat que les peintres figurent par l'aurĂ©ole. Avant la venue de son cousin, EugĂ©nie pouvait ĂȘtre comparĂ©e Ă  la Vierge avant la conception; quand il fut parti elle ressemblait Ă  la Vierge mĂšre: elle avait conçu l'amour. Ces deux Maries, si diffĂ©rentes et si bien reprĂ©sentĂ©es par quelques peintres espagnols, constituent l'une des plus brillantes figures qui abondent dans le christianisme.
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Honoré de Balzac (Eugénie Grandet)
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Steph se rendait compte qu’elle avait eu beaucoup de chance jusqu’à prĂ©sent. Elle Ă©tait nĂ©e au bon endroit, Ă  une pĂ©riode plutĂŽt clĂ©mente de l’histoire du monde. De toute sa vie, elle n’avait eu Ă  craindre ni la faim ni le froid, pas la moindre violence. Elle avait fait partie des groupes souhaitables (famille bien lotie, potes Ă  la coule, Ă©lĂšves sans difficultĂ©s majeures, meufs assez bonasses) et les jours s’étaient succĂ©dĂ© avec leur lot de servitudes minimes et de plaisirs rĂ©itĂ©rĂ©s. Aussi avait-elle toujours envisagĂ© l’avenir avec une sorte de bonhomme indiffĂ©rence. Et voilĂ  qu’une fois Ă  dĂ©couvert, loin d’Heillange, elle se retrouvait totalement inapte, imprĂ©parĂ©e, avec pour tout bagage quelques idĂ©es naĂŻves venues de l’école primaire, de l’orgueil et la carapace trop fine d’une enfant gĂątĂ©e.
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Nicolas Mathieu (Leurs enfants aprĂšs eux)
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Il a beau ĂȘtre dĂ©cidĂ© Ă  distinguer, comme il dit, des visages. Il a beau dire : "les noms ! les noms ! damnĂ©s, j'Ă©cris vos noms !" Il sait que c'est le sien, de visage, que l'on verra le plus, Ă  l'arrivĂ©. Il sait que c'est le sien, de nom, qui sera en haut de la page du journal et, le moment venu, sur la couverture du livre qu'il tirera de tout cela. Il a beau ĂȘtre sincĂšre quand, au fond de sa barge, il se dit : "je suis lĂ  pour eux, seulement pour eux, je n'ai qu'un parti, celui des endeuillĂ©s", il connaĂźt trop la musique, il a trop l'habitude des ruses diaboliques de l'oubli de soi, pour se faire la moindre illusion sur ce qu'il y a de viciĂ©, et d'absurde, dans le systĂšme : quand le chroniqueur montre l'horreur, Paris regarde la plume ; quand il dit : "voyez ces vaincus" c'est lui qui sort vainqueur. (ch. 38 BH juge de BHL)
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Bernard-Henri LĂ©vy (War, Evil, and the End of History)
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La Grande Terreur ne fut ni la premiĂšre vague d’arrestations en Union soviĂ©tique, ni la plus grande : les prĂ©cĂ©dents accĂšs de terreur avaient Ă©tĂ© largement dirigĂ©s contre les paysants et les minoritĂ©s ethniques, notamment ceux qui vivaient Ă  proximitĂ© de la frontiĂšre soviĂ©tique. Mais elle fut la premiĂšre Ă  viser la haute direction du Parti, et suscita un profond malaise chez les communistes, au pays comme Ă  l’étranger. Le moment venu, la Grande Terreur aurait pu conduire Ă  une vĂ©ritable dĂ©sillusion. Mais, par un effet du hasard, la Seconde Guerre mondiale sauva le stalinisme – et Staline. MalgrĂ© le chaos et les erreurs, malgrĂ© les morts en masse et l’immensitĂ© des destructions, la victoire conforta la lĂ©gitimitĂ© du sytĂšme et de son dirigeant, en « prouvant » la valeur. Au lendemain de la victoire, le culte quasi religieux de Staline atteignit de nouveaux sommets. La propagande soviĂ©tique dĂ©crivit le leader soviĂ©tique comme « l’incarnation de leur hĂ©roĂŻsme, de leur patriotisme et de leur dĂ©vouement Ă  la Patrie socialiste »
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Anne Applebaum (Iron Curtain: The Crushing of Eastern Europe 1944-1956)
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Dans tout mon langage, dans tout mon langage avec toi, il y a eu dĂšs le dĂ©but ce noyau de silence. Je ne dis pas cela pour me charger ni pour dĂ©charger qui que ce soit. L’effort que me coĂ»te d’écrire ces mots me garantit une sorte de paix, au-delĂ  de tout jugement. C’est ainsi, ce noyau de silence Ă©tait en moi, il faisait partie de moi. Je l’ai, lui aussi, apportĂ© avec tout le reste dans notre histoire et comme je ne pouvais rien contre lui, il y a pris sa place, s’est installĂ© et s’est imposĂ©. Je faisais naturellement semblant de ne pas le voir mais il Ă©tait lĂ . Je le recouvrais de discours de protection, diversion, il Ă©tait toujours lĂ , parfois invisible, parfois tacitement oubliĂ©, mais toujours lĂ . Il ne trompait personne parmi les intĂ©ressĂ©s. Il ne te trompait pas, en tout cas malgrĂ© tous les efforts pour conclure avec lui et moi Ă  demi-mots, un pacte d’oubli. Au fond de tout tu l’as acceptĂ© avec moi, mais tu ne l’as jamais acceptĂ© ; tu ne pouvais pas. Tu as fait tout ton possible en ton pouvoir pour le rĂ©duire, puis pour l’oublier. Un moment est venu oĂč tu n’as plus pu rĂ©sister au silence que par le silence, par un second silence sans aucun rapport avec le premier mais un silence. Un silenzio l’unico modo di non tacere.
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Louis Althusser
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Au reste, l’artifice paraissait Ă  des Esseintes la marque distinctive du gĂ©nie de l’homme. Comme il le disait, la nature a fait son temps ; elle a dĂ©finitivement lassĂ©, par la dĂ©goĂ»tante uniformitĂ© de ses paysages et de ses ciels, l’attentive patience des raffinĂ©s. Au fond, quelle platitude de spĂ©cialiste confinĂ©e dans sa partie, quelle petitesse de boutiquiĂšre tenant tel article Ă  l’exclusion de tout autre, quel monotone magasin de prairies et d’arbres, quelle banale agence de montagnes et de mers ! Il n’est, d’ailleurs, aucune de ses inventions rĂ©putĂ©e si subtile ou si grandiose que le gĂ©nie humain ne puisse crĂ©er ; aucune forĂȘt de Fontainebleau, aucun clair de lune que des dĂ©cors inondĂ©s de jets Ă©lectriques ne produisent ; aucune cascade que l’hydraulique n’imite Ă  s’y mĂ©prendre ; aucun roc que le carton-pĂąte ne s’assimile ; aucune fleur que de spĂ©cieux taffetas et de dĂ©licats papiers peints n’égalent ! À n’en pas douter, cette sempiternelle radoteuse a maintenant usĂ© la dĂ©bonnaire admiration des vrais artistes, et le moment est venu oĂč il s’agit de la remplacer, autant que faire se pourra, par l’artifice. Et puis, Ă  bien discerner celle de ses Ɠuvres considĂ©rĂ©e comme la plus exquise, celle de ses crĂ©ations dont la beautĂ© est, de l’avis de tous, la plus originale et la plus parfaite : la femme ; est-ce que l’homme n’a pas, de son cĂŽtĂ©, fabriquĂ©, Ă  lui tout seul, un ĂȘtre animĂ© et factice qui la vaut amplement, au point de vue de la beautĂ© plastique ? est-ce qu’il existe, ici-bas, un ĂȘtre conçu dans les joies d’une fornication et sorti des douleurs d’une matrice dont le modĂšle, dont le type soit plus Ă©blouissant, plus splendide que celui de ces deux locomotives adoptĂ©es sur la ligne du chemin de fer du Nord ? L’une, la Crampton, une adorable blonde, Ă  la voix aiguĂ«, Ă  la grande taille frĂȘle, emprisonnĂ©e dans un Ă©tincelant corset de cuivre, au souple et nerveux allongement de chatte, une blonde pimpante et dorĂ©e, dont l’extraordinaire grĂące Ă©pouvante lorsque, raidissant ses muscles d’acier, activant la sueur de ses flancs tiĂšdes, elle met en branle l’immense rosace de sa fine roue et s’élance toute vivante, en tĂȘte des rapides et des marĂ©es ! L’autre, l’Engerth, une monumentale et sombre brune aux cris sourds et rauques, aux reins trapus, Ă©tranglĂ©s dans une cuirasse en fonte, une monstrueuse bĂȘte, Ă  la criniĂšre Ă©chevelĂ©e de fumĂ©e noire, aux six roues basses et accouplĂ©es ; quelle Ă©crasante puissance lorsque, faisant trembler la terre, elle remorque pesamment, lentement, la lourde queue de ses marchandises !
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Joris-Karl Huysmans
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Au reste, l’artifice paraissait Ă  des Esseintes la marque distinctive du gĂ©nie de l’homme. Comme il le disait, la nature a fait son temps ; elle a dĂ©finitivement lassĂ©, par la dĂ©goĂ»tante uniformitĂ© de ses paysages et de ses ciels, l’attentive patience des raffinĂ©s. Au fond, quelle platitude de spĂ©cialiste confinĂ©e dans sa partie, quelle petitesse de boutiquiĂšre tenant tel article Ă  l’exclusion de tout autre, quel monotone magasin de prairies et d’arbres, quelle banale agence de montagnes et de mers ! Il n’est, d’ailleurs, aucune de ses inventions rĂ©putĂ©e si subtile ou si grandiose que le gĂ©nie humain ne puisse crĂ©er ; aucune forĂȘt de Fontainebleau, aucun clair de lune que des dĂ©cors inondĂ©s de jets Ă©lectriques ne produisent ; aucune cascade que l’hydraulique n’imite Ă  s’y mĂ©prendre ; aucun roc que le carton-pĂąte ne s’assimile ; aucune fleur que de spĂ©cieux taffetas et de dĂ©licats papiers peints n’égalent ! À n’en pas douter, cette sempiternelle radoteuse a maintenant usĂ© la dĂ©bonnaire admiration des vrais artistes, et le moment est venu oĂč il s’agit de la remplacer, autant que faire se pourra, par l’artifice. Et puis, Ă  bien discerner celle de ses Ɠuvres considĂ©rĂ©e comme la plus exquise, celle de ses crĂ©ations dont la beautĂ© est, de l’avis de tous, la plus originale et la plus parfaite : la femme ; est-ce que l’homme n’a pas, de son cĂŽtĂ©, fabriquĂ©, Ă  lui tout seul, un ĂȘtre animĂ© et factice qui la vaut amplement, au point de vue de la beautĂ© plastique ? est-ce qu’il existe, ici-bas, un ĂȘtre conçu dans les joies d’une fornication et sorti des douleurs d’une matrice dont le modĂšle, dont le type soit plus Ă©blouissant, plus splendide que celui de ces deux locomotives adoptĂ©es sur la ligne du chemin de fer du Nord ? L’une, la Crampton, une adorable blonde, Ă  la voix aiguĂ«, Ă  la grande taille frĂȘle, emprisonnĂ©e dans un Ă©tincelant corset de cuivre, au souple et nerveux allongement de chatte, une blonde pimpante et dorĂ©e, dont l’extraordinaire grĂące Ă©pouvante lorsque, raidissant ses muscles d’acier, activant la sueur de ses flancs tiĂšdes, elle met en branle l’immense rosace de sa fine roue et s’élance toute vivante, en tĂȘte des rapides et des marĂ©es ! L’autre, l’Engerth, une monumentale et sombre brune aux cris sourds et rauques, aux reins trapus, Ă©tranglĂ©s dans une cuirasse en fonte, une monstrueuse bĂȘte, Ă  la criniĂšre Ă©chevelĂ©e de fumĂ©e noire, aux six roues basses et accouplĂ©es ; quelle Ă©crasante puissance lorsque, faisant trembler la terre, elle remorque pesamment, lentement, la lourde queue de ses marchandises ! Il n’est certainement pas, parmi les frĂȘles beautĂ©s blondes et les majestueuses beautĂ©s brunes, de pareils types de sveltesse dĂ©licate et de terrifiante force ; Ă  coup sĂ»r, on peut le dire : l’homme a fait, dans son genre, aussi bien que le Dieu auquel il croit.
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Joris-Karl Huysmans
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ROMÉO. — Elle parle : oh, parle encore, ange brillant ! car lĂ  oĂč tu es, au-dessus de ma tĂȘte, tu me parais aussi splendide au sein de cette nuit que l’est un messager ailĂ© du ciel aux-regards Ă©tonnĂ©s des mortels ; lorsque rejetant leurs tĂȘtes en arriĂšre, on ne voit plus que le blanc de leurs yeux, tant leurs prunelles sont dirigĂ©es-en haut pour le contempler, pendant qu’il chevauche sur les nuages Ă  la marche indolente et navigue sur le sein de l’air. JULIETTE. — Ô RomĂ©o, RomĂ©o ! pourquoi es-tu RomĂ©o ? Renie ton pĂšre, ou rejette ton nom ; ou si tu ne veux pas, lie-toi seulement par serment Ă  mon amour, et je ne serai pas plus longtemps une Capulet. ROMÉO, Ă  part. — En entendrai-je davantage, ou rĂ©pondrai-je Ă  ce qu’elle rient de dire JULIETTE. — C’est ton nom seul qui est mon ennemi. AprĂšs tout tu es toi-mĂȘme, et non un Montaigu. Qu’est-ce qu’un Montaigu ? Ce n’est ni une main, ni un pied, ni un bras, ni un, visage, ni toute autre partie du corps appartenant Ă  un homme. Oh ! porte un autre nom ! Qu’y a-t-il dans un nom ? La fleur que nous nommons la rose, sentirait tout aussi bon sous un autre nom ; ainsi RomĂ©o, quand bien mĂȘme il ne serait pas appelĂ© RomĂ©o, n’en garderait pas moins la prĂ©cieuse perfection : qu’il possĂšde. Renonce Ă  ton nom RomĂ©o, et en place de ce nom qui ne fait pas partie de toi, prends-moi toute entiĂšre. ROMÉO. — Je te prends au mot : appelle-moi seulement : ton amour, et je serai rebaptisĂ©, et dĂ©sormais je ne voudrai plus ĂȘtre RomĂ©o. JULIETTE. — Qui es-tu, toi qui, protĂ©gĂ© par la nuit, viens ainsi surprendre les secrets de mon Ăąme ? ROMÉO. — Je ne sais de quel nom me servir pour te dire qui je suis : mon nom, chĂšre sainte, m’est odieux Ă  moi-mĂȘme, parce qu’il t’est ennemi ; s’il Ă©tait Ă©crit, je dĂ©chirerais le mot qu’il forme. JULIETTE. — Mes oreilles n’ont pas encore bu cent paroles de cette voix, et cependant j’en reconnais le son n’es-tu pas RomĂ©o, et un Montaigu ? ROMÉO. — Ni l’un, ni l’autre, belle vierge, si l’un ou l’autre te dĂ©plaĂźt. JULIETTE. — Comment es-tu venu ici, dis-le-moi, et pourquoi ? Les murs du jardin sont Ă©levĂ©s et difficiles Ă  escalader, et considĂ©rant qui tu es, cette place est mortelle pour toi, si quelqu’un de mes parents t’y trouve. ROMÉO. — J’ai franchi ces murailles avec les ailes lĂ©gĂšres de l’amour, car des limites de pierre ne peuvent arrĂȘter l’essor de l’amour ; et quelle chose l’amour peut-il oser qu’il ne puisse aussi exĂ©cuter ? tes parents ne me, sont donc pas un obstacle. JULIETTE. — S’ils te voient, ils t’assassineront. ROMÉO. — HĂ©las ! il y a plus de pĂ©rils, dans tes yeux que dans vingt de leurs Ă©pĂ©es : veuille seulement abaisser un doux regard sĂ»r moi, et je suis cuirassĂ© contre leur inimitiĂ©. JULIETTE. — Je ne voudrais pas, pour le monde entier, qu’ils te vissent ici. ROMÉO. — J’ai le manteau de la nuit pour me dĂ©rober Ă  leur vue et d’ailleurs, Ă  moins que tu ne m’aimes, ils peuvent me trouver, s’ils veulent : mieux vaudrait que leur haine mĂźt fin Ă  ma vie, que si ma mort Ă©tait retardĂ©e, sans que j’eusse ton amour ; JULIETTE. — Quel est celui qui t’a enseignĂ© la direction de cette place ? ROMÉO. — C’est l’Amour, qui m’a excitĂ© Ă  la dĂ©couvrir ; il m’a prĂȘtĂ© ses conseils, et je lui ai prĂȘtĂ© mes yeux. Je ne suis pas pilote ; cependant fusses-tu aussi Ă©loignĂ©e que le vaste rivage baignĂ© par la plus lointaine nier, je m’aventurerais pour une marchandise telle que toi.
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William Shakespeare (Romeo and Juliet)
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Whatever happens, I must be back in Somerset by Dec 1 when Mrs Shirley Williams comes to address a rally of the Social Democratic party in Bridgwater. Suitably enough, this hellish woman has chosen the local Comprehensive School as her venue. Rotten eggs and cowpats can probably be acquired locally, but stink bombs and more sophisticated devices should be brought with you. Hoax bomb calls and maniacal threatening letters should be addressed to Bridgwater Police Headquarters. Tea and biscuits will be served at halftime.
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Auberon Waugh
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Entre ma paillasse et la planche du lit, j'avais trouvĂ©, en effet, un vieux morceau de journal presque collĂ© Ă  l'Ă©toffe, jauni et transparent. Il relatait un fait divers dont le dĂ©but manquait, mais qui avait dĂ» se passer en TchĂ©coslovaquie. Un homme Ă©tait parti d'un village tchĂšque pour faire fortune. Au bout de vingt-cinq ans, riche, il Ă©tait revenu avec une femme et un enfant. Sa mĂšre tenait un hĂŽtel avec sa sƓur dans son village natal. Pour les surprendre, il avait laissĂ© sa femme et son enfant dans un autre Ă©tablissement, Ă©tait allĂ© chez sa mĂšre qui ne l'avait pas reconnu quand il Ă©tait entrĂ©. Par plaisanterie, il avait eu l'idĂ©e de prendre une chambre. Il avait montrĂ© son argent. Dans la nuit, sa mĂšre et sa sƓur l'avaient assassinĂ© Ă  coups de marteau pour le voler et avaient jetĂ© son corps dans la riviĂšre. Le matin, la femme Ă©tait venue, avait rĂ©vĂ©lĂ© sans le savoir l'identitĂ© du voyageur. La mĂšre s'Ă©tait pendue. La sƓur s'Ă©tait jetĂ©e dans un puits. J'ai dĂ» lire cette histoire des milliers de fois. D'un cĂŽtĂ©, elle Ă©tait invraisemblable. D'un autre, elle Ă©tait naturelle. De toute façon, je trouvais que le voyageur l'avait un peu mĂ©ritĂ© et qu'il ne faut jamais jouer.
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Albert Camus (L'Étranger)
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We formalized our group as the Vantastix and sang at dinner parties and charity events. My favorite venue though, was the City of Hope, where we went room to room singing for kids battling cancer. In 50 plus years of show business, I never had a better audience. Most of those little kids were bald; a fair number could barely sit up in bed and there was a sad handful who could not even do that. We stopped at the bed of a very sick 15-year-old boy. We tiptoed into his room and quietly sang a song; he did not react. Thinking he was asleep, we began to file out but suddenly we hear a thin voice ask, "Could I hear another one, please?" We turned around and sang a whole bunch of songs. He barely opened his eyes. But after we finished Supercalifragilisticexpialidocious, I saw his mouth curl into a faint smile. As far as I'm concerned, applause does not get any louder.
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Dick Van Dyke (My Lucky Life in and Out of Show Business)
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Best Budget Travel Destinations Ever Are you looking for a cheap flight this year? Travel + Leisure received a list of the most affordable locations this year from one of the top travel search engines in the world, Kayak. Kayak then considered the top 100 locations with the most affordable average flight prices, excluding outliers due to things like travel restrictions and security issues. To save a lot of money, go against the grain. Mexico Unsurprisingly, Mexico is at the top of the list of the cheapest places to travel in 2022. The United States has long been seen as an accessible and affordable vacation destination; low-cost direct flights are common. San José del Cabo (in Baja California Sur), Puerto Vallarta, and Cancun are the three destinations within Mexico with the least expensive flights, with January being the most economical month to visit each. Fortunately, January is a glorious month in each of these beachside locales, with warm, balmy weather and an abundance of vibrant hues, textures, and flavors to chase away the winter blues. Looking for a city vacation rather than a beach vacation? Mexico City, which boasts a diverse collection of museums and a rich Aztec heritage, is another accessible option in the country. May is the cheapest month to travel there. Chicago, Illinois Who wants to go to Chicago in the winter? Once you learn about all the things to do in this Midwest winter wonderland and the savings you can get in January, you'll be convinced. At Maggie Daley Park, spend the afternoon ice skating before warming up with some deep-dish pizza. Colombia Colombia's fascinating history, vibrant culture, and mouthwatering cuisine make it a popular travel destination. It is also inexpensive compared to what many Americans are used to paying for items like a fresh arepa and a cup of Colombian coffee. The cheapest month of the year to fly to Bogotå, the capital city, is February. The Bogota Botanical Garden, founded in 1955 and home to almost 20,000 plants, is meticulously maintained, and despite the region's chilly climate, strolling through it is not difficult. The entrance fee is just over $1 USD. In January, travel to the port city of Cartagena on the country's Caribbean coast. The majority of visitors discover that exploring the charming streets on foot is sufficient to make their stay enjoyable. Tennessee's Music City There's a reason why bachelorette parties and reunions of all kinds are so popular in Music City: it's easy to have fun without spending a fortune. There is no fee to visit a mural, hot chicken costs only a few dollars, and Honky Tonk Highway is lined with free live music venues. The cheapest month to book is January. New York City, New York Even though New York City isn't known for being a cheap vacation destination, you'll find the best deals if you go in January. Even though the city never sleeps, the cold winter months are the best time for you to visit and take advantage of the lower demand for flights and hotel rooms. In addition, New York City offers a wide variety of free activities. Canada Not only does our neighbor Mexico provide excellent deals, but the majority of Americans can easily fly to Canada for an affordable getaway. In Montréal, Quebec, you must try the steamé, which is the city's interpretation of a hot dog and is served steamed in a side-loading bun (which is also steamed). It's the perfect meal to eat in the middle of February when travel costs are at their lowest. Best of all, hot dogs are inexpensive and delicious as well as filling. The most affordable month to visit Toronto, Ontario is February. Even though the weather may make you wary, the annual Toronto Light Festival, which is completely free, is held in February in the charming and historic Distillery District. Another excellent choice at this time is the $5 Bentway Skate Trail under the Gardiner Expressway overpass.
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Ovva
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What is presented as the “moderate” Left solution to any social problems—and radical left solutions are, almost everywhere now, ruled out tout court—has invariably come to be some nightmare fusion of the worst elements of bureaucracy and the worst elements of capitalism. It’s as if someone had consciously tried to create the least appealing possible political position. It is a testimony to the genuine lingering power of leftist ideals that anyone would even consider voting for a party that promoted this sort of thing—because surely, if they do, it’s not because they actually think these are good policies, but because these are the only policies anyone who identifies themselves as left-of-center is allowed to set forth. Is there any wonder, then, that every time there is a social crisis, it is the Right, rather than the Left, which becomes the venue for the expression of popular anger?The Right, at least, has a critique of bureaucracy. It’s not a very good one. But at least it exists. The Left has none. As a result, when those who identify with the Left do have anything negative to say about bureaucracy, they are usually forced to adopt a watered-down version of the right-wing critique.
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David Graeber (The Utopia of Rules: On Technology, Stupidity, and the Secret Joys of Bureaucracy)
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I had been to Jeddah on my previous trip, so I knew it well enough. There was only one thing to recommend it: say, you wanted to commit suicide and couldn’t quite find the courage, two days in Jeddah would do the trick. With no movie houses, music venues, bars, mixed-sex coffee shops or parties, there was little to do at night, and we drove down a highway that was almost deserted.
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Terry Hayes (I Am Pilgrim (Pilgrim, #1))
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Marquee hire for weddings, corporate events, parties and festivals throughout the Lake District, Cumbria and North Lancashire we provide tailor made solutions for your event. Whatever your requirements are, with over 20 years experience we can help. Contact us to discuss your event in more detail for a quote and arrange a site visit. Holding an event in a barn, village hall, sports hall etc We can help by lining your venue to your specification.
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Ash Fell Marquees
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Drew was murdered tonight. Her throat was slit and her body left behind the dumpsters at the party venue." My jaw dropped. "What?
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Tate James (Liar (Madison Kate, #2))
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Sometimes I’d Google a place just to see what I could before going. Figure out what I’d order, what the parking situation would be like. Or if there was a big dinner or a party I had to go to, I’d walk through the venue the day before, so when I got there, I’d feel more oriented and less stressed before having to deal with a large social commitment.
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Abby Jimenez (Yours Truly (Part of Your World, #2))
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The facial stills that Mario lap-dissolves between are of Johnny Gentle, Famous Crooner, founding standard-bearer of the seminal new ‘Clean U.S. Party,’ the strange-seeming but politically prescient annular agnation of ultra-right jingoist hunt-deer-with-automatic-weapons types and far-left macrobiotic Save-the-Ozone, -Rain-Forests, -Whales, -Spotted-Owl-and-High-pH-Waterways ponytailed granola-crunchers, a surreal union of both Rush L.– and Hillary R.C.–disillusioned fringes that drew mainstream-media guffaws at their first Convention (held in sterile venue), the seemingly LaRoucheishly marginal party whose first platform’s plank had been Let’s Shoot Our Wastes Into Space, 150 C.U.S.P. a kind of post-Perot national joke for three years, until—white-gloved finger on the pulse of an increasingly asthmatic and sunscreen-slathered and pissed-off American electorate—the C.U.S.P. suddenly swept to quadrennial victory in an angry reactionary voter-spasm that made the U.W.S.A. and LaRouchers and Libertarians chew their hands in envy as the Dems and G.O.P.s stood on either side watching dumbly, like doubles partners who each think the other’s surely got it, the two established mainstream parties split open along tired philosophical lines in a dark time when all landfills got full and all grapes were raisins and sometimes in some places the falling rain clunked instead of splatted, and also, recall, a post-Soviet and -Jihad era when—somehow even worse—there was no real Foreign Menace of any real unified potency to hate and fear, and the U.S. sort of turned on itself and its own philosophical fatigue and hideous redolent wastes with a spasm of panicked rage that in retrospect seems possible only in a time of geopolitical supremacy and consequent silence, the loss of any external Menace to hate and fear.
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David Foster Wallace (Infinite Jest)
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I just wanna party,” Amy said.
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T.J. Payne (The Venue)
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ARKA ART has perfect for space many things from art events to private parties, Conferences,Houston Corporate Event Venue and much more, let us know how we can help you.
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ARKA ART
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Iceberg wedges with a homemade Thousand Island dressing and bacon bits. Prime rib, slow roasted in a very forgiving technique I developed after years of trying to make it for weddings and parties where the timing of the meal can be drastically changed based on length of ceremony, or toasts, or how well the venue staff can change over a room. Twice-baked potatoes, creamed spinach. I have a stack of crepes already made, ready to be turned into crepes suzette with butter and brown sugar and orange zest and flambeed with Grand Marnier, because if you go all old school, something needs to be set on fire. With homemade vanilla bean gelato to cut the richness, of course!
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Stacey Ballis (Out to Lunch)
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Nul ne conteste l'appartenance de cette savane au BrĂ©sil et don droit d'en user comme bon lui semble. La querelle ne surgit que plus haut vers le nord. Une belle question de droit international: Ă  qui appartient une richesse essentielle Ă  la survie gĂ©nĂ©rale de l'humanitĂ© ? La forĂȘt amazonienne est la premiĂšre rĂ©serve de biodiversitĂ© de la planĂšte (le cinquiĂšme des espĂšces de plantes, le cinquiĂšme des espĂšces d'oiseaux, le dixiĂšme des espĂšces de mammifĂšres). Et, plus vaste foret du monde, elle freine les progrĂšs de l'effet de serre. Dans ces conditions, Ă  qui appartient la forĂȘt amazonienne? Pour obtenir le poste de directeur gĂ©nĂ©ral de l'organisation mondiale du commerce, le français Pascal Lamy Ă©tait venu faire compagne au brĂ©sil. Quelqu'un l'interroger sur l'Amazonie: Faut-il envisager pour elle un statut particulier? - la question pourrait ĂȘtre Ă©voquĂ©e, rĂ©pond le candidat. Il croyait s'ĂȘtre montrĂ© prudent. Il vient d'allumer un incendie qui mettra des semaines Ă  s'Ă©teindre. Qu'en se le dise, s'exclame la presse de SĂŁo Paolo et vocifĂšrent les politiques, jamais, au grand jamais le BrĂ©sil n'acceptera la moindre limitation de sa souverainetĂ© sur quelque partie que ce soit de son territoire! Combat des Titans: la plus grande ferme du monde face Ă  la plus grande foret du monde. Pour nourrir la planĂšte, faut-il l'asphyxier?? Et bataille de juristes: Amazonie, Antarctique: le plus chaud, le trĂšs froid; le trĂšs humide, le trĂšs glacĂ©. Comment prĂ©server ces deux espaces essentiels Ă  notre survie??
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Érik Orsenna (Voyage aux pays du coton: Petit prĂ©cis de mondialisation)
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Nul ne conteste l'appartenance de cette savane au BrĂ©sil et son droit d'en user comme bon lui semble. La querelle ne surgit que plus haut vers le nord. Une belle question de droit international: Ă  qui appartient une richesse essentielle Ă  la survie gĂ©nĂ©rale de l'humanitĂ© ? La forĂȘt amazonienne est la premiĂšre rĂ©serve de biodiversitĂ© de la planĂšte (le cinquiĂšme des espĂšces de plantes, le cinquiĂšme des espĂšces d'oiseaux, le dixiĂšme des espĂšces de mammifĂšres). Et, plus vaste foret du monde, elle freine les progrĂšs de l'effet de serre. Dans ces conditions, Ă  qui appartient la forĂȘt amazonienne? Pour obtenir le poste de directeur gĂ©nĂ©ral de l'organisation mondiale du commerce, le français Pascal Lamy Ă©tait venu faire compagne au brĂ©sil. Quelqu'un l'interroger sur l'Amazonie: Faut-il envisager pour elle un statut particulier? - la question pourrait ĂȘtre Ă©voquĂ©e, rĂ©pond le candidat. Il croyait s'ĂȘtre montrĂ© prudent. Il vient d'allumer un incendie qui mettra des semaines Ă  s'Ă©teindre. Qu'en se le dise, s'exclame la presse de SĂŁo Paolo et vocifĂšrent les politiques, jamais, au grand jamais le BrĂ©sil n'acceptera la moindre limitation de sa souverainetĂ© sur quelque partie que ce soit de son territoire! Combat des Titans: la plus grande ferme du monde face Ă  la plus grande foret du monde. Pour nourrir la planĂšte, faut-il l'asphyxier?? Et bataille de juristes: Amazonie, Antarctique: le plus chaud, le trĂšs froid ; le trĂšs humide, le trĂšs glacĂ©. Comment prĂ©server ces deux espaces essentiels Ă  notre survie??
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Érik Orsenna (Voyage aux pays du coton: Petit prĂ©cis de mondialisation)
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Inside the Washington bubble, Bernie had long been looked at as a revolutionary without much of a following. He’d had some success in writing amendments that brought the left and right wings of the two parties together, and the Senate had proved a much better venue for his brand of politics than the House had. But his list of real legislative accomplishments was short and relatively undistinguished. He didn’t slap backs or cut deals. Over the years, he’d railed against presidents of both parties, which had a tendency to limit his influence. And yet, as perhaps the most reliably liberal voice in Congress, he had built a following among progressives who caught clips of him on C-SPAN. The uncompromising and incorruptible style that made him a failure at the inside game of Washington was precisely the reason he was poised to take advantage of a populist renaissance in the electorate.
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Jonathan Allen (Shattered: Inside Hillary Clinton's Doomed Campaign)
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If you need a tent in Staten Island, look no further. Everything Entertainment is synonymous with tenting on the island. Weddings, Picnics, birthdays, store openings, corporate functions. Everything Entertainment has handled it all. Feel secure knowing you have the resources of our warehouse close by as we are based on the island. We have experience in most venues on the island, including the Alice Austen House, Snug Harbor, and Mt. Loretto amongst others.
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Party Rentals Staten Island
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At 2 Dads Bounce Houses, we've got the best birthday party goodies in Phoenix, Arizona. In fact, we can tell you from years of experience that Phoenix is the of the best places for any type of birthday party, mainly because it stays warm all year round. However, we also know that your party's venue makes a lot of difference, which is why we've got a large selection of items to warm up any party room. We are the perfect choice for parties, for youngsters starting ages 2 and up.
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Birthday Parties Phoenix
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#23 - Take Immediate Action Many people have difficulty taking action. Reasons vary. Some folks fear failure. Others are disinclined to try new things. Still others are saddled with indecision to the point that they become paralyzed when confronted with multiple options. But making decisions and acting on them quickly can benefit you in several ways. First, you become more committed to the path you choose for yourself. Second, you radiate confidence, an essential trait if you serve in a leadership role. Third, it improves communication; others will realize you’re disinclined to vacillate and respond in a similar manner. Fourth, you accomplish more. These advantages are tough to ignore. If you tend to dither when making decisions and forging ahead, consider developing this habit. It can literally change your life. If you’re unaccustomed to taking immediate action, here’s how I would build this habit
 How to start small: Compile a list of tasks you’ve put on the back burner. During Week 1, pick one task from the list each day. Regardless of the reason you put it off (procrastination, a fear of failure, etc.), commit to finishing it before the end of the day. Beginning in Week 2, continue to work through your list of postponed tasks, addressing one per day. In addition, spend 10 minutes per day cleaning up your email inbox. This is a common area of indecision for people. Train yourself to deal with each email decisively. Respond to it, delete it, or archive it. During Week 3, focus on making at least one decision quickly per day. When confronted with multiple options, choose one within 10 seconds. For example, let’s say your spouse asks you which restaurant you’d like to visit for dinner. Instead of spending five minutes considering every local venue, just choose one. Be decisive. Starting in Week 4, look for opportunities to make quick decisions and take immediate action. For example, if you’re presented with more than one set of driving directions, pick one and move on. If you’re at the grocery store and trying to decide between chocolate chip ice cream or Rocky road, choose one and put it in your shopping cart. If you’re trying to decide between two wines for a dinner party, make a fast decision. Give yourself 10 seconds.
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Damon Zahariades (Small Habits Revolution: 10 Steps To Transforming Your Life Through The Power Of Mini Habits! (Self-Help Books for Busy People Book 1))
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Even in countries where it was legally possible to pass laws outlawing Holocaust denial, I opposed such efforts. Those laws would render denial “forbidden fruit,” making it more—not less—alluring. In addition, I did not believe that courtrooms were the proper venue for historical inquiry. Deniers, I argued, should be stopped with reasoned inquiry, not with the blunt edge of the law. Courts, it seemed to me, dispensed justice by having parties present what they consider compelling evidence, such as physical proof and hard facts, to convince a jury or judge beyond a high standard of proof. Historians try to establish historical “truth” by objectively determining what happened.
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Deborah E. Lipstadt (Denial: Holocaust History on Trial)
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the world how to party. Construction went on around the clock as workers finished up the Olympic venues spread across the city. Corporate hospitality tents had gone up on the beaches and in the parks. The new subway line to the Olympic Park in Barra da Tijuca had opened the week before, to much fanfare. In Ipanema and Copacabana, hotels were fully booked for the upcoming sixteen-day event, and
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James Patterson (Private Rio (Private, #11))
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VenueLook offers marriage hall rental services, party lawn, corporate event halls, farm house, marriage hall, hotel service, marriage banquet hall booking services, conference hall booking services and corporate event conference hall booking services.
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VenueLook