Ovid Amores Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Ovid Amores. Here they are! All 12 of them:

Every lover is a soldier.
Ovid (Amores)
I can live neither with you, nor without you.
Ovid (Amores)
amor crevit tempore
Ovid (The Metamorphoses of Ovid)
Dicere quae puduit, scribere jussit amor
Ovid
Errabat nudo per loca sola pede. She was wandering barefoot through lonely places.
Ovid
If a god said ‘Live, and set love aside’ I’d say ‘no’! Girls are such sweet misfortune.
Ovid (Amores & Metamorphoses: Selections)
Quid vos perdiderit, dicam? nescistis amare: Defuit ars vobis; arte perennat amor. Що вас згубило? Не вміли любить: бракувало мистецтва - Тільки мистецька любов може тривалою буть.
Ovid (Любовні елегії. Мистецтво кохання. Скорботні елегії)
We which were Ovids five books, now are three, For these before the rest preferreth he: If reading five thou plainst of tediousnesse, Two tane away, thy labor will be lesse: With Muse upreard I meant to sing of armes, Choosing a subject fit for feirse alarmes: Both verses were alike till Love (men say) Began to smile and tooke one foote away. Rash boy, who gave thee power to change a line? We are the Muses prophets, none of thine. What if thy Mother take Dianas bowe, Shall Dian fanne when love begins to glowe? In wooddie groves ist meete that Ceres Raigne, And quiver bearing Dian till the plaine: Who'le set the faire treste sunne in battell ray, While Mars doth take the Aonian harpe to play? Great are thy kingdomes, over strong and large, Ambitious Imp, why seekst thou further charge? Are all things thine? the Muses Tempe thine? Then scarse can Phoebus say, this harpe is mine. When in this workes first verse I trod aloft, Love slackt my Muse, and made my numbers soft. I have no mistris, nor no favorit, Being fittest matter for a wanton wit, Thus I complaind, but Love unlockt his quiver, Tooke out the shaft, ordaind my hart to shiver: And bent his sinewy bow upon his knee, Saying, Poet heers a worke beseeming thee. Oh woe is me, he never shootes but hits, I burne, love in my idle bosome sits. Let my first verse be sixe, my last five feete, Fare well sterne warre, for blunter Poets meete. Elegian Muse, that warblest amorous laies, Girt my shine browe with sea banke mirtle praise. -- P. Ovidii Nasonis Amorum Liber Primus ELEGIA 1 (Quemadmodum a Cupidine, pro bellis amores scribere coactus sit)
Christopher Marlowe (The Complete Poems and Translations (English Poets))
Aestus erat, mediamque dies exegerat horam; adposui medio membra levanda toro. pars adaperta fuit, pars altera clausa fenestrae; quale fere silvae lumen habere solent, qualia sublucent fugiente crepuscula Phoebo, aut ubi nox abiit, nec tamen orta dies. illa verecundis lux est praebenda puellis, qua timidus latebras speret habere pudor. ecce, Corinna venit, tunica velata recincta, candida dividua colla tegente coma— qualiter in thalamos famosa Semiramis isse dicitur, et multis Lais amata viris. Deripui tunicam—nec multum rara nocebat; pugnabat tunica sed tamen illa tegi. quae cum ita pugnaret, tamquam quae vincere nollet, victa est non aegre proditione sua. ut stetit ante oculos posito velamine nostros, in toto nusquam corpore menda fuit. quos umeros, quales vidi tetigique lacertos! forma papillarum quam fuit apta premi! quam castigato planus sub pectore venter! quantum et quale latus! quam iuvenale femur! Singula quid referam? nil non laudabile vidi et nudam pressi corpus ad usque meum. Cetera quis nescit? lassi requievimus ambo. proveniant medii sic mihi saepe dies!
Ovid (Amores, Ars Amatoria, Metamorphoses. (Lernmaterialien))
« L’extinction du désir ou le détachement — amor fati — ou le désir du bien absolu, c’est toujours la même chose : vider le désir, la finalité de tout contenu, désirer à vide, désirer sans souhait. Détacher notre désir de tous les biens et attendre. L’expérience prouve que cette attente est comblée. On touche alors le bien absolu. En tout, par-delà l’objet particulier quel qu’il soit, vouloir à vide, vouloir le vide. Car c’est un vide pour nous que ce bien que nous ne pouvons ni nous représenter ni définir. Mais ce vide est plus plein que tous les pleins. […] La réalité du monde est faite par nous de notre attachement. C’est la réalité du moi transportée par nous dans les choses. Ce n’est nullement la réalité extérieure. Celle-ci n’est perceptible que par le détachement total. Ne restât-il qu’un fil, il y a encore attachement. Le malheur qui contraint à porter l’attachement sur des objets misérables met à nu le caractère misérable de l’attachement. Par là, la nécessité du détachement devient plus claire. […] Toute douleur qui ne détache pas est de la douleur perdue. Rien de plus affreux, froid désert, âme recroquevillée. Ovide. Esclave de Plaute. »
Simone Weil
L’extinction du désir ou le détachement — amor fati — ou le désir du bien absolu, c’est toujours la même chose : vider le désir, la finalité de tout contenu, désirer à vide, désirer sans souhait. Détacher notre désir de tous les biens et attendre. L’expérience prouve que cette attente est comblée. On touche alors le bien absolu. En tout, par-delà l’objet particulier quel qu’il soit, vouloir à vide, vouloir le vide. Car c’est un vide pour nous que ce bien que nous ne pouvons ni nous représenter ni définir. Mais ce vide est plus plein que tous les pleins. […] La réalité du monde est faite par nous de notre attachement. C’est la réalité du moi transportée par nous dans les choses. Ce n’est nullement la réalité extérieure. Celle-ci n’est perceptible que par le détachement total. Ne restât-il qu’un fil, il y a encore attachement. Le malheur qui contraint à porter l’attachement sur des objets misérables met à nu le caractère misérable de l’attachement. Par là, la nécessité du détachement devient plus claire. […] Toute douleur qui ne détache pas est de la douleur perdue. Rien de plus affreux, froid désert, âme recroquevillée. Ovide. Esclave de Plaute.
Simone Weil
When fire has consumed the last of my flesh and bones, the greater part of me will continue to live.
Ovid