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publics dans notre article du 20 Juillet qui n'a été publiéque le 25 ; ils se sont décidés cette fois à s'exécuter de bonne ou mauvaise grâce, ils l'ont fait dans l'intérêt de l'infaillibilité de la vaccination. Je ne pondrai ré- pas à ce qu'ily a d'impertinent dans l'articledu Dr. Larocque ; je vais relater les faits de l'enfant Leblanc,et chacun jugerade la valeur du raisonnement des vaccinateurs pubiloset de leurs amis.Mr. le Dr, A.B. Larocqueveut à tout prixsauver la vaccination en disant que les accusations portéescontre ce* te pratiquesont ,non seulement exagéréesmais ,encore faussesc'est ,là du moins le sens de son écrit. Il voudrait aussi sans doute que les mauvais effetsde la (jénisse municipale sur l'enfani de Mde.Vve. Leblanc soient dûs à une autre cause qu'à celle du virus animal. " Ce cas, dit-ilest ,Jugé d'une manière officielle par une commission de médecins. " Il est bien vrai que le Dr. Larocqueétait accompagné par pludes sieurs vaccinateurs publics; mais,quiavait autorité de quer convoune assemblée de médecins pour faire une investigation sur les faits qui se rapportent au cas de l'enfant de Mme. Leblanc ? Peret sonne, le Dr. Larocquesait parfaitementque si nous nous sommes ïcucontrés chez le Dr.Roy, ce n'était pas à la demande du Bureau de Santé : au contrairec'est , moi quiai proposédans la ruelle Rolaux land Drs.Ricard,Larocque,Desrosiers
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