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[Judith] m’annonça avec, comme elle parlait, peut-être un léger, très léger amusement, que ma voisine, venait de leur téléphoner pour leur apprendre que le cousin Georges qui avait voulu en mon absence peut-être se préparer quelque boisson chaude, réchauffer, peut-être, le reste du diner, s’étant approché trop près du bruleur, avait laissé le feu prendre a sa cravate et avait, en quelques minutes, l’inconscient, brûlé vif, manquant incendier l’immeuble tout entier, endommageant gravement mes draps et mon matelas sur lequel le maladroit, voulant étouffer les flammes, s’était inutilement jeté
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