Lynch Dune Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Lynch Dune. Here they are! All 4 of them:

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I need not remind you that this was David Lynch's version of Dune, in which all of the characters were sexy and deformed at the same time. There was a character called the 3rd Stage Guild Navigator, which was a kind of giant floating fetus creature, that lived in a giant tank, with his orange mist of psychedelic spice swirling around him allowing him to bend space and time. He could never leave the tank or interact with the outside world. He had become, in his isolation, so deformed and so sexy that he had to talk through a kind of old-timey radio to the outside world and could never touch them.
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John Hodgman
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Herbert opined of Lucas’ possible plagiarism: I think there’s reason to believe he did. Whether it’s actionable, I’m not the one to judge. Larry Niven, Jerry Pournelle, Ted Sturgeon, Isaac Asimov, Barry Malzberg, and a few others of us who recognized elements of things we had done—or thought we did at least—in Star Wars are starting an organization that will be called, “We’re Too Big to Sue George Lucas.” This will only be viable if Lucas agrees to become an honorary member and picks up all the dinner tabs whenever we get together.
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Max Evry (A Masterpiece in Disarray: David Lynch’s Dune. An Oral History.)
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À trente ans, ce colosse au crâne rasé en a déjà passé dix en prison et, comme il le dit joliment, « vit entouré de crimes comme les habitants d’une forêt vivent entourés d’arbres ». Cela ne l’empêche pas d’être un homme paisible, d’humeur toujours joyeuse, en qui se mêlent les traits du fol en Christ russe et de l’ascète oriental. Été comme hiver, même quand le thermomètre dans la cellule descend au-dessous de zéro, il est en short et tongs, il ne mange pas de viande, il ne boit pas de thé mais de l’eau chaude et pratique d’impressionnants exercices de yoga. On l’ignore souvent, mais énormément de gens, en Russie, font du yoga : encore plus qu’en Californie, et cela dans tous les milieux. Pacha, très vite, repère en « Édouard Veniaminovitch » un homme sage. « Des gens comme vous, lui assure-t-il, on n’en fait plus, en tout cas je n’en ai pas rencontré. » Et il lui apprend à méditer. On s’en fait une montagne quand on n’a jamais essayé mais c’est extrêmement simple, en fait, et peut s’enseigner en cinq minutes. On s’assied en tailleur, on se tient le plus droit possible, on étire la colonne vertébrale du coccyx jusqu’à l’occiput, on ferme les yeux et on se concentre sur sa respiration. Inspiration, expiration. C’est tout. La difficulté est justement que ce soit tout. La difficulté est de s’en tenir à cela. Quand on débute, on fait du zèle, on essaie de chasser les pensées. On s’aperçoit vite qu’on ne les chasse pas comme ça mais on regarde leur manège tourner et, petit à petit, on est un peu moins emporté par le manège. Le souffle, petit à petit, ralentit. L’idée est de l’observer sans le modifier et c’est, là aussi, extrêmement difficile, presque impossible, mais en pratiquant on progresse un peu, et un peu, c’est énorme. On entrevoit une zone de calme. Si, pour une raison ou pour une autre, on n’est pas calme, si on a l’esprit agité, ce n’est pas grave : on observe son agitation, ou son ennui, ou son envie de bouger, et en les observant on les met à distance, on en est un peu moins prisonnier. Pour ma part, je pratique cet exercice depuis des années. J’évite d’en parler parce que je suis mal à l’aise avec le côté new age, soyez zen, toute cette soupe, mais c’est si efficace, si bienfaisant, que j’ai du mal à comprendre que tout le monde ne le fasse pas. Un ami plaisantait récemment, devant moi, au sujet de David Lynch, le cinéaste, en disant qu’il était devenu complètement zinzin parce qu’il ne parlait plus que de la méditation et voulait persuader les gouvernements de la mettre au programme dès l’école primaire. Je n’ai rien dit mais il me semblait évident que le zinzin, là-dedans, c’était mon ami, et que Lynch avait totalement raison.
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Emmanuel Carrère (Limonov)
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Gaffer’s torch powers on and then it is turned off again. It is then the sea is visible, the sound of the ocean woven with the racing breeze as they cross a road and follow a sandy path through dunes onto a beach and she knows the name of this beach, she has been here so many times before, and there is a man standing in a pale anorak with his hood pulled up texting into a phone and she sees two inflatable boats by the water’s edge and something inside her is flung when she sees the ocean dark and barren but for the rollers breaking whitely by the headland.
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Paul Lynch (Prophet Song)