Le Cid Quotes

Ah! qu'avec peu d'effet on entend la raison, Quand le cœur est atteint d'un si charmant poison! Et lorsque le malade aime sa maladie, Qu'il a peine à souffrir que l'on y remédie!

A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.

Va, je ne te hais point.

Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes: Ils peuvent se tromper comme les autres hommes.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

لن يتسنى لنا أن نذوق غبطة ً غير مشوبة، ولا تتحقق أمانينا إلا وتخالطها الكآبة، فكلما واتتنا حوادث الدهر تخللها من الهموم ما يكدر علينا صفو مسراتنا.

Ma plus douce espérance est de perdre l'espoir.

Je mourrai trop heureux mourant d'un coup si beau.

Je suis jeune, il est vrai mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années

Père, maîtresse, honneur, amour, noble et dure contrainte, aimable tyrannie, tous mes plaisirs sons morts, ou ma gloire ternie. L'un me rend malhereux, l'autre indigne du jour. Cher et cruel espoir d'une âme généreuse, mais ensemble amoureuse, digne ennemi de mon plus grand bonheur. Fer qui causes ma peine, M'es-tu donné pour venger mon honneur? M'est-tu donné pour perdre ma Chimène?

Ніколи радості без горя не буває І щастя повного на цій землі немає; Де задоволення безжурне розцвіло — Турбота раз у раз підносить там чоло.

Le Comte : Es-tu si las de vivre ? Don Rodrigue : As-tu peur de mourir ?

Czując cudownie w sobie rozdwojoną duszę Raz nim gardzę, drugi raz wzdychać za nim muszę.

Le temps assez souvent a rendu légitime ce qui semblait d'abord ne se pouvoir sans crime.

Est-il dit que le choix d'une vertu si rare coûte à ma passion de si grands déplaisirs ?

Hélas ! Ton intérêt ici me désespère. Si quelque autre malheur m’avait ravi mon père, Mon âme aurait trouvé dans le bien de te voir L’unique allègement qu’elle eût pu recevoir ; Et contre ma douleur j’aurais senti des charmes, Quand une main si chère eût essuyé mes larmes. Mais il me faut te perdre après l’avoir perdu ; Cet effort sur ma flamme à mon honneur est dû ; Et cet affreux devoir, dont l’ordre m’assassine, Me force à travailler moi-même à ta ruine. Car enfin n’attends pas de mon affection De lâches sentiments pour ta punition. De quoi qu’en ta faveur notre amour m’entretienne, Ma générosité doit répondre à la tienne : Tu t’es, en m’offensant, montré digne de moi ; Je me dois, par ta mort, montrer digne de toi.

Va jusqu'en leur pays leur reporter la guerre, Commander mon armée, et ravager leur terre : A ce nom seul de Cid ils tremblerons d'effroi ; Ils t'ont nommé Seigneur, et te voudront pour roi. - Don Fernand à Don Rodrigue.

Va jusqu'en leur pays leur reporter la guerre, Commander mon armée, et ravager leur terre, A ce nom seul de Cid ils tremblerons d'effroi, Ils t'ont nommé Seigneur, et te voudront pour roi.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles.

Homero y Virgilio necesitaron inventar a Ulises y Eneas para engrandecer los orígenes de Grecia y Roma. Con don Pelayo, el Cid o los Reyes Católicos, España no necesitó mitología fundacional. Con héroes de carne y hueso que superan a los literarios, tampoco necesitan mitos los pueblos hispanoamericanos, y México menos que ninguno, pues Hernán Cortés es uno de los más grandes hombres que ha producido la Historia. Julio César, Alejandro o Napoleón fueron educados para hacer la guerra. Cortés estudió Leyes en Salamanca y pasó a Cuba como escribano y granjero. Cuando el gobernador de la Isla le puso al frente de la expedición a Yucatán, no tuvo en cuenta su escasa experiencia militar, sino su sagacidad diplomática, porque esa expedición no pretendía conquistas sino alianzas…

L'amour n'est qu'un plaisir, l'honneur est un devoir.

Punis-moi par vengeance, ou du moins par pitié. Ton malheureux amant aura bien moins de peine À mourir par ta main qu'à vivre avec ta haine.

Ô rage ! ô désespoir ! ô viellesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi

Dans le bonheur d'autrui je cherche mon bonheur