Jacques Grande Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Jacques Grande. Here they are! All 45 of them:

What uniform can I wear to hide my heavy heart? It is too heavy. It will always show. Jacques felt himself growing gloomy again. He was well aware that to live on earth a man must follow its fashions, and hearts were no longer worn.
Jean Cocteau (Le Grand Ecart / Thomas L'Imposteur / Les Enfants Terribles / Le fantome de (Oeuvres Completes de Jean Cocteau, volume 1))
L'adversité sans doute est un grand maître, mais il fait payer cher ses leçons, et souvent le profit qu'on en retire ne vaut pas le prix qu'elles ont coûté.
Jean-Jacques Rousseau (rêveries du promeneur solitaire, Les (French Edition))
Nous ne savons pas encore que nous sommes une force, une seule force: tous les habitants, tous les nègres des plaines et des mornes réunis. Un jour, quand nous aurons compris cette vérité, nous nous lèverons d'un point à l'autre du pays et nous ferons l'assemblée générale des gouverneurs de la rosée, le grand coumbite des travailleurs de la terre pour défricher la misère et planter la vie nouvelle.
Jacques Roumain
Jacques' life was like the rooms of Montmartre women that are never cleaned because they get up at four o'clock and slip a coat over their nightgown to go downstairs and eat.
Jean Cocteau (Le Grand Écart)
Pero la indolencia, el descuido y las dilaciones en los pequeños deberes que tenía que llenar, me han hecho más daño que los grandes vicios.
Jean-Jacques Rousseau (LAS CONFESIONES)
Rien de vigoureux, rien de grand ne peut partir d’une plume toute vénale.
Jean-Jacques Rousseau (Les Confessions)
Si hubiese sabido desprenderme del yugo de la amistad, como del de la opinión, hubiera logrado completamente mi objeto, quizá el más grande, o a lo menos el más útil para la virtud, que jamás mortal alguno haya concebido;
Jean-Jacques Rousseau (LAS CONFESIONES)
- Monsieur me prépare le plus triste avenir; que deviendrai-je quand je n'aurai plus rien à dire? - Tu recommenceras. - Jacques, recommencer! Le contraire est écrit là-haut; et s'il m'arrivait de recommencer, je ne pourrais m'empêcher de m'écrier: "Ah! si ton grand-père t’entendait!..." et je regretterais le bâillon.
Denis Diderot (Jacques le Fataliste et son maître - Volume 1 of 2)
Votre Dieu n'est pas le nôtre, dirais-je à ses sectateurs. Celui qui commence par se choisir un seul peuple et proscrire le reste du genre humain, n'est pas le père commun des hommes ; celui qui destine au supplice éternel le plus grand nombre de ses créatures n'est pas le Dieu clément et bon que ma raison m'a montré.
Jean-Jacques Rousseau (Emile, or On Education)
Renowned curator Jacques Saunière staggered through the vaulted archway of the museum’s Grand Gallery. He lunged for the nearest painting he could see, a Caravaggio. Grabbing the gilded frame, the seventy-six-year-old man heaved the masterpiece toward himself until it tore from the wall and Saunière collapsed backward
Dan Brown (The da Vinci Code (Robert Langdon, #2))
La loi judaïque toujours subsistante, celle de l'enfant d'Ismaël qui depuis dix siècles régit la moitié du monde, annoncent encore aujourd'hui les grands hommes qui les ont dictées; et tandis que l'orgueilleuse philosophie ou l'aveugle esprit de parti ne voit en eux que d'heureux imposteurs, le vrai politique admire dans leurs institutions ce grand et puissant génie qui préside aux établissements durables.
Jean-Jacques Rousseau (The Social Contract)
Les hommes ne sont naturellement ni rois, ni grands, ni courtisans, ni riches ; tous sont nés nus et pauvres, tous sujets aux misères de la vie, aux chagrins, aux maux, aux besoins, aux douleurs de toute espèce ; enfin, tous sont condamnés à la mort. Voilà ce qui est vraiment de l'homme ; voilà de quoi nul mortel n'est exempt. Commencez donc par étudier de la nature humaine ce qui en est le plus inséparable, ce qui constitue le mieux l'humanité.
Jean-Jacques Rousseau (Emile, or On Education)
Voici le temps aussi de l'accoutumer peu à peu à donner une attention suivie au même objet : mais ce n'est jamais la contrainte, c'est toujours le plaisir ou le désir qui doit produire cette attention ; il faut avoir grand soin qu'elle ne l'accable point et n'aille pas jusqu'à l'ennui. Tenez donc toujours l'oeil au guet ; et, quoi qu'il arrive, quittez tout avant qu'il s'ennuie ; car il n'importe jamais autant qu'il apprenne, qu'il importe qu'il ne fasse rien malgré lui.
Jean-Jacques Rousseau (Emile, or On Education)
Nadie se atreve ya a parecer lo que es; y en esta coacción perpetua, los hombres que conforman el rebaño llamado sociedad, situados en las mismas circunstancias, harán todos lo mismo si no se lo impiden motivos de fuerza mayor. Por lo tanto, nunca sabremos muy bien con quién nos enfrentamos; para conocer a un amigo será necesario esperar las grandes ocasiones, es decir, esperar el momento en que ya sea tarde, puesto que para esas mismas ocasiones habría sido esencial conocerlo.
Jean-Jacques Rousseau (Discurso sobre las ciencias y las artes (Spanish Edition))
C’est ainsi qu’il dut venir un temps où les yeux du peuple furent fascinés à tel point que ses conducteurs n’avaient qu’à dire au plus petit des hommes, Sois grand, toi et toute ta race, aussitôt il paraissait grand à tout le monde ainsi qu’à ses propres yeux, et ses descendants s’élevaient encore à mesure qu’ils s’éloignaient de lui ; plus la cause était reculée et incertaine, plus l’effet augmentait ; plus on pouvait compter de fainéants dans une famille, et plus elle devenait illustre.
Jean-Jacques Rousseau (Discourse on the Origin of Inequality (Dover Thrift Editions: Philosophy))
Mais oui, maîtresse... Tenez ! juste au-dessus de nous, voilà le Chemin de saint Jacques (la Voie lactée). Il va de France droit sur l’Espagne. C’est saint Jacques de Galice qui l’a tracé pour montrer sa route au brave Charlemagne lorsqu’il faisait la guerre aux Sarrasins. Plus loin, vous avez le Char des Ames (la Grande Ourse) avec ses quatre essieux resplendissants. Les trois étoiles qui vont devant sont les Trois Bêtes, et cette toute petite contre la troisième c’est le Charretier. Voyez-vous tout autour cette pluie d’étoiles qui tombent ? Ce sont les âmes dont le bon Dieu ne veut pas chez lui... Un peu plus bas, voici le Râteau ou les Trois Rois (Orion). C’est ce qui nous sert d’horloge, à nous autres. Rien qu’en les regardant, je sais maintenant qu’il est minuit passé. Un peu plus bas, toujours vers le midi, brille Jean de Milan, le flambeau des astres (Sirius). Sur cette étoile-là, voici ce que les bergers racontent. Il paraît qu’une nuit Jean de Milan, avec les Trois Rois et la Poussinière (la Pléiade), furent invités à la noce d’une étoile de leurs amies. Poussinière, plus pressée, partit, dit-on, la première, et prit le chemin haut. Regardez-la, là-haut, tout au fond du ciel. Les Trois Rois coupèrent plus bas et la rattrapèrent ; mais ce paresseux de Jean de Milan, qui avait dormi trop tard, resta tout à fait derrière, et furieux, pour les arrêter, leur jeta son bâton. C’est pourquoi les Trois Rois s’appellent aussi le Bâton de Jean de Milan... Mais la plus belle de toutes les étoiles, maîtresse, c’est la nôtre, c’est l’Etoile du Berger, qui nous éclaire à l’aube quand nous sortons le troupeau, et aussi le soir quand nous le rentrons. Nous la nommons encore Maguelonne, la belle Maguelonne qui court après Pierre de Provence (Saturne) et se marie avec lui tous les sept ans
Alphonse Daudet (Lettres de mon moulin)
  Trompe-la-Mort dînait chez les Grandlieu, se glissait dans le boudoir des grandes dames, aimait Esther par procuration. Enfin, il voyait en Lucien un Jacques Collin, beau, jeune, noble, arrivant au poste d'ambassadeur.   Trompe-la-Mort avait réalisé la superstition allemande DU DOUBLE par un phénomène de paternité morale que concevront les femmes qui, dans leur vie, ont aimé véritablement, qui ont senti leur âme passée dans celle de l'homme aimé, qui ont vécu de sa vie, noble ou infâme, heureuse ou malheureuse, obscure ou glorieuse, qui ont éprouvé, malgré les distances, du mal à leur jambe, s'il s'y faisait une blessure, qui ont senti qu'il se battait en duel, et qui, pour tout dire en un mot, n'ont pas eu besoin d'apprendre une infidélité pour la savoir.
Honoré de Balzac (Splendeurs et Misères des courtisanes)
Si, cuando el pueblo, suficientemente informado, delibera, no tuvieran los ciudadanos ninguna comunicación entre ellos, el gran número de pequeñas diferencias resultaría siempre la voluntad general, y la deliberación sería siempre buena. Pero cuando se forman facciones, asociaciones parciales a expensas de la grande, la voluntad de cada una de esas asociaciones resulta general en relación a sus miembros, y particular en relación al Estado. Entonces puede decirse que no hay tantos votantes como hombres, sino solamente tantos como asociaciones. Las diferencias se hacen menos numerosas y dan un resultado menos general. En fin, cuando una de estas asociaciones es tan grande que domina a todas las demás, ya no tenemos como resultado una suma de pequeñas diferencias, sino una diferencia única; entonces ya no hay voluntad general, y la opinión que prevalece no es más que una opinión particular. De modo que, para tener el verdadero enunciado de la voluntad general, importa que no haya sociedad particular dentro del Estado, y que cada ciudadano opine por si mismo.
Jean-Jacques Rousseau (The Social Contract)
La Religion est utile et même nécessaire aux Peuples. Cela n’est-il pas dit, soutenu, prouvé dans ce même Ecrit? Loin d’attaquer les vrais principes de la Religion, l’Auteur les pose, les affermit de tout son pouvoir; ce qu’il attaque, ce qu’il combat, ce qu’il doit combattre, c’est le fanatisme aveugle, la superstition cruelle, le stupide préjugé. Mais il faut, disent-ils, respecter tout cela. Mais pourquoi? Parce que c’est ainsi qu’on mene les Peuples. Oui, c’est ainsi qu’on les mene à leur perte. La superstition est le plus terrible fléau du genre humain; elle abbrutit les simples, elle persécute les sages, elle enchaîne les Nations, elle fait par tout cent maux effroyables: quel bien fait-elle? Aucun; si elle en fait, c’est aux Tyrans; elle est leur arme la plus terrible, et cela même est le plus grand mal qu’elle ait jamais fait.” “il importe que l’Etat ne soit pas sans Religion, et cela importe par des raisons graves, sur lesquelles j’ai par tout fortement insisté: mais il vaudroit mieux encore n’en point avoir, que d’en avoir une barbare et persécutante qui, tyrannisant les Loix mêmes, contrarieroit les devoirs du Citoyen
Jean-Jacques Rousseau (Le Contrat social, tome 3 et tome 4)
S'il est bon de savoir employer les hommes tels qu'ils sont, il vaut beaucoup mieux encore les rendre tels qu'on a besoin qu'ils soient; l'autorité la plus absolue est celle qui pénètre jusqu'à l'intérieur de l'homme, et ne s'exerce pas moins sur la volonté que sur les actions. [...] Formez donc des hommes si vous voulez commander à des hommes : si vous voulez qu'on obéisse aux lois, faites qu'on les aime, et que pour faire ce qu'on doit, il suffise de songer qu'on le doit faire. C'était là le grand art des gouvernements anciens, dans ces temps reculés où les philosophes donnaient des lois aux peuples, et n'employaient leur autorité qu'à les rendre sages et heureux. De là tant de lois somptuaires, tant de règlements sur les mœurs, tant de maximes publiques admises ou rejetées avec le plus grand soin. Les tyrans mêmes n'oubliaient pas cette importante partie de l'administration, et on les voyait attentifs à corrompre les mœurs de leurs esclaves avec autant de soin qu'en avaient les magistrats à corriger celles de leurs concitoyens. Mais nos gouvernements modernes qui croient avoir tout fait quand ils ont tiré de l'argent, n'imaginent pas même qu'il soit nécessaire ou possible d'aller jusque-là.
Jean-Jacques Rousseau (A Discourse on Political Economy)
Até hoje penso naquela pergunta de Jacques. A pergunta é banal, mas um dos grandes problemas da vida é que ela é muito banal. Todo mundo, no final das contas, caminha pela mesma estrada escura — e a estrada dá um jeito de ser particularmente escura e traiçoeira quando parece estar mais iluminada —, e de fato ninguém fica no jardim do Éden. O jardim de Jacques não era o mesmo que o de Giovanni, é claro. O jardim de Jacques tinha a ver com jogadores de futebol, e o de Giovanni tinha a ver com donzelas — mas pelo visto isso acabou não fazendo muita diferença. Talvez todo mundo tenha seu jardim do Éden, não sei; mas as pessoas mal têm tempo de vê-lo e já aparece a espada em chamas. Talvez a vida só ofereça as opções de lembrar-se do jardim ou esquecê-lo. Uma coisa ou outra: é preciso ter força para lembrar, e é preciso ter outro tipo de força para esquecer, e somente um herói é capaz de fazer as duas coisas. As pessoas que lembram correm o risco de enlouquecer de dor, a dor da morte de sua inocência, a recorrer eternamente; as que esquecem se arriscam a mergulhar em outra espécie de loucura, a loucura de negar a dor e odiar a inocência; e o mundo basicamente se divide entre loucos que lembram e loucos que esquecem. Os heróis são raros.
James Baldwin (Giovanni’s Room)
And there, until 1884, it was possible to gaze on the remains of a generally neglected monument, so-called Dagobert’s Tower, which included a ninth-century staircase set into the masonry, of which the thirty-foot handrail was fashioned out of the trunk of a gigantic oak tree. Here, according to tradition, lived a barber and a pastry-cook, who in the year 1335 plied their trade next door to each other. The reputation of the pastry-cook, whose products were among the most delicious that could be found, grew day by day. Members of the high-ranking clergy in particular were very fond of the extraordinary meat pies that, on the grounds of keeping to himself the secret of how the meats were seasoned, our man made all on his own, with the sole assistance of an apprentice who was responsible for the pastry. His neighbor the barber had won favor with the public through his honesty, his skilled hairdressing and shaving, and the steam baths he offered. Now, thanks to a dog that insistently scratched at the ground in a certain place, the ghastly origins of the meat used by the pastry-cook became known, for the animal unearthed some human bones! It was established that every Saturday before shutting up shop the barber would offer to shave a foreign student for free. He would put the unsuspecting young man in a tip-back seat and then cut his throat. The victim was immediately rushed down to the cellar, where the pastry-cook took delivery of him, cut him up, and added the requisite seasoning. For which the pies were famed, ‘especially as human flesh is more delicate because of the diet,’ old Dubreuil comments facetiously. The two wretched fellows were burned with their pies, the house was ordered to be demolished, and in its place was built a kind of expiatory pyramid, with the figure of the dog on one of its faces. The pyramid was there until 1861. But this is where the story takes another turn and joins the very best of black comedy. For the considerable number of ecclesiastics who had unwittingly consumed human flesh were not only guilty before God of the very venial sin of greed; they were automatically excommunicated! A grand council was held under the aegis of several bishops and it was decided to send to Avignon, where Pope Clement VI resided, a delegation of prelates with a view to securing the rescindment if not of the Christian interdiction against cannibalism then at least of the torments of hell that faced the inadvertent cannibals. The delegation set off, with a tidy sum of money, bare-footed, bearing candles and singing psalms. But the roads of that time were not very safe and doubtless strewn with temptation. Anyway, the fact is that Clement VI never saw any sign of the penitents, and with good reason.
Jacques Yonnet (Paris Noir: The Secret History of a City)
Cuando todo en mi derredor estaba en orden, cuando estaba contento con todo lo que me rodeaba y con la esfera en la que tenía que vivir, la llenaba con mis afectos. Mi alma expansiva se extendía sobre otros objetos, y atraída sin cesar lejos de mí por gustos de mil especies, por vínculos amables que sin cesar ocupaban mi corazón, me olvidaba en cierta manera de mí mismo, participaba por entero de lo que me era extraño y sentía en la continua agitación de mi corazón toda la vicisitud de las cosas humanas. Esta tortuosa vida no me dejaba ni paz en los adentros, ni reposo fuera. En apariencia dichoso, `no tenía un solo sentimiento que pudiera soportar la prueba de la reflexión y en el que pudiera deleitarme verdaderamente. Nunca estaba totalmente contento, ni de otro ni de mí mismo. El tumulto del mundo me aturdía, la soledad me hastiaba, tenía continuamente necesidad de cambiar de sitio y no esta bien en ninguna parte. Sin embargo, era agasajado, muy estimado, bien recibido, acariciado por doquier. No tenía un solo enemigo, ni malqueriente ni envidioso. Como no se buscaba sino complacerme, con frecuencia yo mismo tenía el placer de complacer a mucha gente, y sin bienes, sin empleo, sin fautores, sin grandes talentos bien desarrollados ni bien conocidos, gozaba de las ventajas añadidas a todo aquello y no veía a nadie en estado alguno cuya suerte pareciérame preferible a la mía. ¿Que me faltaba entonces para ser feliz? Lo ignoro; pero sé que no lo era.
Jean-Jacques Rousseau (Reveries of the Solitary Walker)
Il songea, une nouvelle fois, que, petit, un jour, il portait un lapin par les pattes de derrière. C'était en Sicile, les pattes étaient attachées avec de la ficelle, il marchait à côté de son père, son père trimbalait un panier de pommes de terre, et il sentait que le sang s'accumulait dans la petite tête du lapin, le lapin était juste dans la posture de Saint-Pierre le jour de sa mort, les yeux du lapin muet avait un vertige infini de souffrance et de terreur, il aurait suffi de mettre l'animal dans l'autre sens, la tête en haut, alors, au moins, avant la mort inévitable, il aurait cessé de souffrir, mais il n'osa pas. Par conséquent, lui, petit, déjà était pris dans l'omertà du monde, dans cette complicité générale qui nous fait, en gros, accepter des mers et des montagnes de souffrance et de terreur, les reconnaitre pour légitimes, nécessaires, bonnes, justes. Si l'on se mettait, par exemple, à souffrir pour un lapin, il faudrait, tout de suite, souffrir aussi pour les chevaux, les mouches, les rats, les vieillards. C'est pourquoi il avait continué à tenir l'animal à l'envers, par ses pattes ficelées, tout en sentant que le regret s'accumulait en lui, s'accumulait jusqu'à former un dépôt pesant dans la tête de l'animal, enflammant ses yeux de sang et de terreur, mais l'omertà, déjà, était la plus forte, la complicité taciturne des hommes entre eux, des êtres entre eux. Demandez à qui vous voudrez. Un lapin, pour un trajet donné, se porte la tête en bas, ficelé par les pattes de derrière, c'est la loi. Un bambin, sur un chemin, dans la grande île, dans la Sicile, il ne va pas, de lui-même, accomplir la révolution, tourner l'animal dans l'autre sens, dans le sens du pardon, du bien-être, au risque de troubler le pas de son père, son père portait les pommes de terre.
Jacques Audiberti (Le Maître De Milan)
I own a little book written by Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy (1793–1887), A Dictionary of Demonology, that has long beguiled me. It catalogs all sorts of spooky spirits, from a Neopolitan pig with the head of a man to Adram-melech, “grand chancellor of hell,” whom the Assyrians worshiped with infant sacrifices and who, learned rabbis said, took the shape of either a mule or a peacock, which runs a gamut of pretty versatile disguises. Amduscias, a grand duke of hell, is shaped like a unicorn—and gives concerts.
Leo Rosten (The New Joys of Yiddish: Completely Updated)
Anquetil won the Grand Prix de Lugano seven times, I think,’ says Brunel. ‘After he’d won it six times, the organiser said to him it would be better if he didn’t come back next year, as he was finding it difficult to get sponsors because Anquetil kept winning. Then, in the winter, he changed his mind and said he could come after all, as he was a star, an important rider, but if he were to let Baldini win, it wouldn’t be a bad thing. “I’ve not got anything against you. It’s for the good of cycling,” the organiser explained. Anquetil said, “OK, but you have to pay me at the start. I don’t want to wait around after to be paid and have to face the journalists. And it’s double the normal rate. If not, I won’t come.” It was all agreed, but when he arrived he went to see Baldini and said, “Listen, don’t say anything to the organisers, but if you want, I’ll let you win today, but you must give me your appearance money.” Baldini agreed and gave him the money up front, so he took all three fees, and he went and won the race. Just for a laugh. It was just a game for him. He got on really well with Baldini. They were very good friends. In fact, Baldini is still a good friend of Jeanine. It wasn’t about the money for Anquetil. It was about having fun. He just wanted to have fun.
Paul Howard (Sex, Lies and Handlebar Tape: The Remarkable Life of Jacques Anquetil, the First Five-Times Winner of the Tour de France)
Las razas son desiguales como los individuos. Cualquiera sea a razón — insuficiencia originaria o evolución posterior mal dirigida — el hecho es que ciertos conjuntos étnicos se muestran hoy en día incapaces de crear una civilización y hasta de asimilar la que se les suministra. ¿Podrán hacerlo en el porvenir? Lo ignoramos, y aun en este caso subsistiría su actual inferioridad : el niño no es el igual del adulto, y menos aún cuando se trata de un niño atrasado. Notemos, por otro lado, que ciertas razas llamadas primitivas son en realidad degeneradas, sin que el nivel de su época más brillante se haya jamás elevado muy alto. Pero ¿para qué insistir? Nadie pone en duda los hechos : la gran raza negra no ha producido ni ciencia, ni literatura, ni filosofía, ni teología; su arte no se puede comparar con los de Europa, Asia y América; su organización política ha quedado rudimentaria. Nadie discute tampoco el hecho de que los blancos, dondequiera que hayan aparecido, han constituido un poderoso factor de orden y progreso. ¿Entonces? Los pocos defensores de la igualdad de las razas explotan casos individuales que no significan absolutamente nada. Evidencie tal jefe de tribu africana más inteligencia que un campesino común de Europa y más valor moral que un delincuente chino, y haya sido el negro norteamericano Carver un gran químico y hasta un bienhechor de la humanidad, todo eso implica simplemente que los conjuntos étnicos no están globalmente superpuestos en la escala de los valores y que el primero de los negros no viene después del último de los amarillos o de los blancos. Pero, cuando consideramos una raza, es la comunidad que representa la que nos interesa, con su élite y sus imbéciles, mas en cuanto conjunto orgánico y no como suma de individuos. No vayamos a creer, sin embargo, que la comparación entre conjuntos étnicos sea siempre fácil de hacer y su resultado, siempre indiscutible. El concepto de superioridad es esencialmente relativo a la escala de valores que se acepta o se crea. Si se decreta que la resistencia al calor es criterio más importante que la inteligencia, se deberá admitir la superioridad de la gran raza negra sobre las demás y especialmente sobre la blanca... Rozamos aquí la paradoja. La dificultad, aunque cierta, no se manifiesta sino en casos límite. Cuando se ve, por el contrario, a lo largo de la historia, las grandes razas blanca y amarilla, y sobre todo la primera, dominar en todas partes por donde pasen, crear imperios, culturas y técnicas, no es fácil negarles la supremacía de conjunto, aun cuando su superioridad pueda ser discutida sobre tal o cual punto en particular.
Jacques de Mahieu (Fundamentos de biopolítica)
The two branches of Freemasonry—the Templars and the Rosicrucians (Sionists)—were to play a major part in the American and French revolutions. In the end, the Priory of Sion would prove itself dominant over the Templars. They seemed to be better entrenched in the European power matrix as well as being better funded. The Templars—Sion’s partners-in-crime, so to speak—were behind the American Revolution and with regard to the French Revolution, both the Templar and Rosicrucian factions combined forces to avenge the death, four centuries earlier, of Jacques de Molay the last Grand Master of the Knights Templar, who was burned at the stake by Philip IV of France in 1314. The French Bourbons were related to Philip so Louis XVI’s beheading, in 1792, was meant as penance for de Molay’s death. Chapter 10 - Sion's Army.
Jeff Wilkerson
Perché pensiamo all'oceano come a una semplice riserva di cibo, petrolio e minerali? Il mare non è un banco delle occasioni. Siamo accecati dalla cupidigia per le sue grandi ricchezze subacquee. La più grande risorsa dell'oceano non è materiale, ma è data dalla fonte illimitata d'ispirazione e di benessere che ne traiamo. Ma rischiamo di contaminarlo per sempre proprio quando stiamo imparando la sua scienza, la sua arte e la sua filosofia e come vivere nel suo grembo.
Jacques-Yves Cousteau
A Lodge inaugurated under the auspices of Rousseau, the fanatic of Geneva, became the center of the revolutionary movement in France, and a Prince of the blood-royal went thither to swear the destruction of the successors of Philippe le Bel on the tomb of Jacques de Molai. The registers of the Order of Templars attest that the Regent, the Duc d'Orleans, was Grand Master of that formidable Secret Society, and that his successors were the Duc de Maine, the Prince of Bourbon-Conde, and the Duc de Cosse-Briassac. The Templars comprotmitted the King; they saved him from the rage of the People, to exasperate that rage and bring on the catastrophe prepared for centuries; it was a scaffold that the vengeance of the Templars demanded. The secret movers of the French Revolution had sworn to overturn the Throne and the Altar upon the Tomb of Jacques de Molai. When Louis XVI. was executed, half the work was done; and thenceforward the Army of the Temple was to direct all its efforts against the Pope.
Albert Pike (Morals and Dogma (Illustrated))
The end of the drama is well known, and how Jacques de Molai and his fellows perished in the flames. But before his execution, the Chief of the doomed Order organized and instituted what afterward came to be called Occult, Hermetic, or Scottish Masonry. In the gloom of his prison, the Grand Master created four Metropolitan Lodges, at Naples for the East, at Edinburg for the West, at Stockholm for the NOrth, and at Paris for the South. [The initials of his name, J.'.B.'.M.'. found in the same order in the first three Degrees, are but one of the many internal and cogent profs that such was the origin of modern Free-Masonry. The legend of Osiris was revived and adopted, to symbolize the destruction of the Order, and the resurrection of Hyrim, slain in the body of the Temple, of Hyrim Abai, the Master, as the martyr of fidelity to obligation, of Truth and Conscience, prophesied the restoration to life of the buried association.]
Albert Pike (Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry)
Locust Flower (Acacia) Fritters YIELD: 6 SERVINGS, 12 TO 15 FRITTERS THIS IS A TASTE from my youth that we still enjoy a few times each early summer. Two large locust trees next to our garden supply more fragrant flowers than we can use during the few weeks a year that these blossoms are available. The tiny white flowers have the sweet flavor of honey and a powerful spicy and musky aroma. 4 cups locust flowers, stems removed 4 tablespoons Grand Marnier ¼ cup sugar 1½ cups all-purpose flour 1 can (12 ounces) beer 1 teaspoon pure vanilla extract 2 large egg whites 2½ cups canola oil, for cooking the fritters Confectioners’ sugar, to dust the finished fritters Mix the flowers, Grand Marnier, and sugar together in a bowl, cover, and refrigerate for 1 hour. When ready to cook the fritters, place the flour, about two thirds of the beer, and the vanilla in a bowl. Mix well with a whisk until the batter is smooth, then add the remainder of the beer, and mix well. In a separate bowl beat the egg whites until they form peaks but are not too firm. Using the whisk, combine them with the beer batter. Fold in the locust flower mixture. At serving time, preferably, put enough of the oil in a large saucepan so that it is about 1 inch deep in the pan. Heat to 375 degrees. Using a large spoon or a small measuring cup, pour about ⅓ cup of the batter into the hot oil. Repeat, cooking 4 or 5 fritters at a time in the oil. Cook the fritters for about 4 minutes on one side, then turn with tongs, and cook for 4 minutes on the other side. They should be crisp and nicely browned on both sides. Lift the fritters from the oil with a slotted spoon, and place them on a wire rack. Repeat, making additional fritters with the remaining batter. Dust with confectioners’ sugar before serving. NOTE: If cooking the fritters ahead, recrisp in a 425-degree oven for 5 to 6 minutes, or until crisp and hot, then dust with the confectioners’ sugar just before serving.
Jacques Pépin (The Apprentice: My Life in the Kitchen)
Y a la más grande a la más hermosa Esa que brota sobre el estiércol de la miseria Esa que se alza junto a los viejos resortes herrumbrados Junto a viejos perros vagabundos Junto a viejos colchones despanzurrados Junto a las casuchas de tablones donde viven los desnutridos A esa flor realmente viva Toda radiante toda amarilla Esa que los especialistas llaman heliantemo Tú la llamaste girasol …Girasol…
Jacques Prévert
Dios es un gran conejo que habita por encima de la tierra muy alto allá en los cielos en su grande y nubosa madriguera. El diablo es una gran liebre roja con un fusil todo gris para disparar en la sombra nocturna pero Dios es un gran conejo tiene el oído del mundo entiende de música cierta vez tuvo un gran hijo un jovial conejo y lo envió a la tierra para salvar a los conejos de abajo y su hijo fue rápidamente liquidado y ahora se le llama civet. Evidentemente pasó malos momentos pero después recobró sus fuerzas se puso los huesos en orden los riñones el lomo la cabeza y todo y dio un salto prodigioso y helo aquí hecho un rudo conejo brincando por los cielos a diestra y siniestra del gran conejo todopoderoso. Y el diablo dispara en la sombra y regresa farfullando cada noche nada en su morral nada para llenar las tripas y se agarra sus buenas rabietas
Jacques Prévert
La tierra gira gira con sus árboles… sus jardines… sus casas… gira con sus grandes charcos de sangre y todas las cosas vivas giran con ella y sangran… A la tierra todo eso le da igual gira y todas las cosas vivas lanzan alaridos le da igual gira no deja de girar y la sangre no deja de correr… A dónde va toda esa sangre derramada la sangre de los crímenes… la sangre de las guerras… la sangre de la miseria… y la sangre de los hombres torturados en las cárceles la sangre de los niños torturados tranquílamente por papá y mamá y la sangre de los hombres que sangran de la cabeza en las celdas de castigo… y la sangre del que coloca las tejas ... sangre cuajada como la leche como la leche cuando está cortada como la tierra que gira con su leche… con sus vacas… con sus vivos… con sus muertos…
Jacques Prévert
un eclesiástico un forúnculo una avispa un riñón flotante una caballeriza de hipódromo un hijo indigno dos frailes dominicos tres langostas un traspuntín dos rameras un tío Cipriano una Mater Dolorosa tres curas chochos dos cabras del señor ... un hombre de mundo dos cirujanos tres vegetarianos un caníbal ... una hormiga dos piedras de encendedor diecisiete elefantes un juez de instrucción en vacaciones sentado en una silla plegable un paisaje con mucha hierba verde dentro una vaca un toro dos bellos amores tres grandes órganos un ternero en pepitoria un sol de Austerlitz ... diez años de buenos y leales servicios siete pecados capitales dos dedos de la mano diez gotas antes de cada comida treinta días de prisión quince de ellos en calabozo cinco minutos de entreacto y...   muchas ratas de albañal.
Jacques Prévert
Homo erectus ne se réfugie plus dans les arbres, c’est un véritable chasseur qui parcourt de grandes distances en milieu découvert. Il est bien adapté à la chaleur des savanes et des steppes. Il est peut-être le premier à posséder une peau nue, capable de transpirer.
Jean-Jacques Hublin (Quand d'autres hommes peuplaient la Terre : nouveaux regards sur nos origines)
Si les Berbères, mes frères, devaient un jour se souvenir de moi au point de vouloir honorer mon nom, je leur demanderais instamment de lui associer celui de Jacques Bénet, car sans l’aide de ce grand ami des Berbères, mon action en faveur de notre identité n’aurait peut-être pas connu le succès qui est le sien. Ce serait donc faire preuve de justice que de dire : Mohand Arab-Jacques Bénet comme on dit Erckmann-Chatrian.
Mohand Aarav Bessaoud (Des Petites Gens pour une grande cause - L'histoire de l'Académie berbère)
Our fascination with the gothic peaks in times of anxiety, panic, and upheaval. The Victorian gothic revival of the 1890s was stoked by scientific, technological, and social change. Industrialization and urbanization sparked feelings of alienation. Darwin's theories of evolution and the changing roles of women fanned racist, misogynistic, homophobic, and colonialist fears of 'primitivism,' moral decay, and sexual depravity. In the nineteenth century, terror-inducing imagery had shifted away from crumbling castles to crime-infested cities, and fear of villains and ghosts was supplanted by a fear of madness and degeneration. In the twentieth century, we celebrated/mourned the death of authorship, of the grand narrative, of the self, 'going-one-better in eschatological eloquence,' as Jacques Derrida put it, 'the end of history...the end of subject, the end of man, the end of the West, the end of Oedipus, the end of the earth, Apocalypse Now.' A few years into the new millennium, we were zombie hordes, stalking social media for brains. The gothic is the fucked-either-way-and-freaking-the-fuck-out school of artistic interpretation, the hysterical framework of doom. And this tension between horror as morality tale and horror as decadent spectacle is, I believe, what fueled the pandemic of tabloid stories about wayward starlets that raged throughout 2006 and 2007. Celebrity train wreck stories begin, conservatively, as cautionary tales. A young woman, unprotected or legally emancipated, has moved alone from the relatively sheltered and secluded condition of parent-managed child stardom (because who, nowadays, is more cut off from the world than a child star?) into a corrupt and dangerous world, where her beauty, fame, youth, fortune, and sexual allure are regarded with a charged, ambivalent awe. She is instantly besieged with dangers, and preyed upon by unscrupulous adults. Until they can be contained again, by marriage or paternal protection, she exists in a constant state of uncertainty and peril. The peril is created, of course, by the 'author' - the media outlets that shape the train wreck's life, again and again, into thrilling, chilling tales of suspense.
Carina Chocano (You Play the Girl: On Playboy Bunnies, Stepford Wives, Train Wrecks, & Other Mixed Messages)
The final recorded act in the order’s history had been the burning of the last grand master, Jacques de Molay, in March 1314.
Michael Baigent (Holy Blood, Holy Grail: The Secret History of Christ. The Shocking Legacy of the Grail)
in March 1314, Jacques de Molay, the grand master, and Geoffroi de Charnay, preceptor of Normandy, were roasted to death over a slow fire.
Michael Baigent (Holy Blood, Holy Grail: The Secret History of Christ. The Shocking Legacy of the Grail)
Ma conversion aux Tifinagh ne s’est pas faite du jour au lendemain car, influencé par Mammeri, je pensais que notre langue ne s’épanouirait vraiment qu’à travers les caractères latins. A la veille donc de créer Imazighène, notre revue, je réunis Jacques Bénet, Augustin Ibazizen, Ait Hamou, inspecteur de l'enseignement, le sénateur Achour et Hanouz dans le but de choisir une transcription. Mais cette expérience fut pour moi décevante, car malgré la qualité des hommes sus-cités les problèmes linguistiques leurs échappaient complètement. Ce fut ainsi que je fus amené à choisir les Tifinagh, suivant en cela les conseils de Mahdjoubi-Aherdane et le chemin tracé depuis un bon moment déjà par un de nos plus ardents militants, je veux nommer Smaïl Bellache. Celui-ci, après avoir appris l'écriture ancestrale telle qu’elle était pratiquée par les Imouhars, me dit combien elle intéressait les gens du fait même qu’elle est à nous. Lui ayant fait remarquer un jour qu’elle était peu pratique en raison des nombreux points qui servent à la formation de certaines lettres, source de confusion, il se mit à la simplifier [...]
Mohand Aarav Bessaoud (Des Petites Gens pour une grande cause - L'histoire de l'Académie berbère)
Unlike Grand Hotel and Titanic, but like The Wild Party and Sweet Smell of Success, our last special show was a failure. However, the previous two titles at least ran a few months. Amour (2002) lasted two weeks. This is a historically instructive show even so in its return to first principles, as a modern version of what Jacques Offenbach was doing when he invented musical comedy in the 1850s and ’60s: not in his format but in his spirit.
Ethan Mordden (The Happiest Corpse I've Ever Seen: The Last Twenty-Five Years of the Broadway Musical (The History of the Broadway Musical Book 7))
Philip bullied the first Avignon Pope, Clement V, into authorizing the trials of the Templars, and with this authority put them to atrocious tortures to extract confessions. Medieval justice was scrupulous about holding proper trials and careful not to sentence without proof of guilt, but it achieved proof by confession rather than evidence, and confession was routinely obtained by torture. The Templars, many of them old men, were racked, thumbscrewed, starved, hung with weights until joints were dislocated, had teeth and fingernails pulled one by one, bones broken by the wedge, feet held over flames, always with pauses in between and the “question” put again each day until confession was wrung or the victim died. Thirty-six died under the treatment; some committed suicide. Broken by torture, the Grand Master, Jacques de Molay, and 122 others confessed to spitting on the cross or some other variation of crime put into their mouths by the Inquisitors. “And he would have confessed that he had slain God Himself if they had asked him that,” acknowledged a chronicler.
Barbara W. Tuchman (A Distant Mirror: The Calamitous 14th Century)
Was the Neolithic Revolution good or bad for humanity? In what American political scientist and anthropologist James Scott calls the “standard civilizational narrative”—which is advocated by everyone from Thomas Hobbes to Marx—the adoption of settled agriculture is assumed to be an “epoch-making leap in mankind’s well-being: more leisure, better nutrition, longer life expectancy, and, at long last, a settled life that promoted the household arts and the development of civilization.”[14] The alternative to the standard civilizational narrative sees prehistoric hunter-gatherers as the real-world equivalent of Adam and Eve in the Garden of Eden.[15] Humans lived in a milieu of happy abundance until we decided to take up farming. This may have had the benefit of allowing us to produce more food, but it also led to the emergence of despotism, inequality, poverty and back-breaking, mind-numbing work. Jean-Jacques Rousseau is perhaps the most notable champion of the “Fall of Man” theory, and more recently Jared Diamond argued that the adoption of settled agriculture was the “worst mistake in the history of the human race.”[16] Graeber and Wengrow argue that both of these grand theories oversimplify the argument. They assume that the adoption of settled agriculture—in particular cereal-farming and grain storage—led to the emergence of hierarchies and states. In the standard civilizational narrative this is the best thing that ever happened to our species; for Rousseau and Diamond it is the worst. But the link between farming and civilization is far from straightforward. The earliest examples of complex states don’t appear until six millennia after the Neolithic Revolution first began in the Middle East, and they didn’t develop at all in some places where farming emerged. “To say that cereal-farming was responsible for the rise of such states is a little like saying that the development of calculus in medieval Persia is responsible for the invention of the atom bomb.
Jonathan Kennedy (Pathogenesis: A History of the World in Eight Plagues)