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Degas, lui, conseillait à ses confrères et aux jeunes artistes de ne jamais peindre d'après nature. Pour lui, l'œuvre d'art–en l'espèce, la peinture–était ou, du moins, devait être non point la copie servile d'une chose vue, mais un produit de l'imagination. Même s'il n'hésitait pas, partant en guerre avec sa passion coutumière contre les peintres de "plein-air", à déclarer qu'il fallait "coller ceux-ci au poteau" ou les empêcher officiellement de peindre à leur manière.
(p. 9)
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