Bats Si Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Bats Si. Here they are! All 27 of them:

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A: Oy! Oy! Oy ba't sumisingit 'yan ha?! Hoy! Mahilig ka ba sa singit? Hoy! B: Hwsht! Pabayaan mo na, tsong... Big time 'yan eh... 'Wag mo na anuhin. Nanay n'yan senador, erpat n'ya general, kapatid n'ya kongresman, kapitbahay nila meyo -- A: Pwes ako anak ng Diyos! Tatay ko Poong Maykapal at utol ko si Hesukristo!! Ano?! Ha?!
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Manix Abrera (Alab ng Puso sa Dibdib Mo'y Buhay! (Kikomachine Komix, #5))
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- [...] On ne doit pas douter de la beauté des choses, même sous un ciel tortionnaire. Si tu n'es pas étonné par le chant du coq ou par la lumière au-dessus des crêtes, si tu ne crois pas en la bonté de ton âme, alors tu ne te bats plus, et c'est comme si tu étais déjà mort. - Demain, le soleil se lèvera et on essaiera encore, a dit Prothé pour conclure.
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Gaël Faye (Petit pays)
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[I] threw open the door to find Rob sit­ting on the low stool in front of my book­case, sur­round­ed by card­board box­es. He was seal­ing the last one up with tape and string. There were eight box­es - eight box­es of my books bound up and ready for the base­ment! "He looked up and said, 'Hel­lo, dar­ling. Don't mind the mess, the care­tak­er said he'd help me car­ry these down to the base­ment.' He nod­ded to­wards my book­shelves and said, 'Don't they look won­der­ful?' "Well, there were no words! I was too ap­palled to speak. Sid­ney, ev­ery sin­gle shelf - where my books had stood - was filled with ath­let­ic tro­phies: sil­ver cups, gold cups, blue rosettes, red rib­bons. There were awards for ev­ery game that could pos­si­bly be played with a wood­en ob­ject: crick­et bats, squash rac­quets, ten­nis rac­quets, oars, golf clubs, ping-​pong bats, bows and ar­rows, snook­er cues, lacrosse sticks, hock­ey sticks and po­lo mal­lets. There were stat­ues for ev­ery­thing a man could jump over, ei­ther by him­self or on a horse. Next came the framed cer­tificates - for shoot­ing the most birds on such and such a date, for First Place in run­ning races, for Last Man Stand­ing in some filthy tug of war against Scot­land. "All I could do was scream, 'How dare you! What have you DONE?! Put my books back!' "Well, that's how it start­ed. Even­tu­al­ly, I said some­thing to the ef­fect that I could nev­er mar­ry a man whose idea of bliss was to strike out at lit­tle balls and lit­tle birds. Rob coun­tered with re­marks about damned blue­stock­ings and shrews. And it all de­gen­er­at­ed from there - the on­ly thought we prob­ably had in com­mon was, What the hell have we talked about for the last four months? What, in­deed? He huffed and puffed and snort­ed and left. And I un­packed my books.
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Annie Barrows (The Guernsey Literary and Potato Peel Pie Society)
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Toata ziua vezi o multime de oameni.Vorbesti cu ei,razi cu ei,ai chiar prieteni,iubesti cateodata,crezi sa te intelegi,ba si comuniezi si nu pot zice ca uneori nu reusesti s-o faci.Dar toate acestea nu te impiedica sa fii singura,ingrozitor de singura.Esti legata de solitudinea ta pentru todeauna,de todeauna.Sunt eu si numai eu si tot timpul gandesc,deci ma schimb tot timpul,deci nimeni nu ma poate cunoaste cu adevarat.Eu ma stiu,ma inteleg si nu ma stiu si nu ma inteleg decat pe mine,pe nimeni altul decat mine.Eu ma iubesc si ma dispretuiesc si uneori as vrea sa ma bat-atat de dezgustator de imperfecta ma simt.
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Jeni Acterian (Jurnalul unei fete greu de mulĹŁumit)
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I will be­lieve that the bat­tle of fem­i­nism is over, and that the fe­male has reached a po­si­tion of equal­ity with the male, when I hear that a coun­try has al­lowed it­self to be turned up­side-down and led to the brink of war by its pas­sion for a to­tally bald woman writer.
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Rebecca West (Black Lamb and Grey Falcon)
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Si daca ramuri bat în geam Si se cutremur plopii, E ca în minte sa te am Si-ncet sa te apropii. Si daca stele bat în lac Adâncu-i luminându-l, E ca durerea mea s-o-mpac Inseninându-mi gândul. Si daca norii desi se duc De iese-n luciu luna, E ca aminte sa-mi aduc De tine-ntotdeuna.
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Mihai Eminescu
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Ba't ba naghahalikan ang mga utaw? Para magpalitan ng laway? Magdikit ang mga dila? Bakit hindi mga ilong na gaya sa ibang bansa, o kaya ay mga balikat? Bakit maski sa pisngi lang siya nahalikan ni Homer ay parang ang kaluluwa niya ang tinamaan ng nguso nito? At andito na rin lang tayo sa subject ng paghahalikan, me pagkakaiba ba kapag lalaki o babae o kapwa lalaki o kapwa babae ang mga ngusong nagdidikit? Paano ang mga walang nguso?
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Ricky Lee (Si Amapola sa 65 na Kabanata)
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Omul ordinar este preocupat sa-si omoare timpul, omul de spirit va sti intotdeauna cum sa si-l intrebuinteze. De aceea, jocul de carti a ajuns ocupatia predilecta in orice societate. Neavind idei de schimbat, oamenii schimba cartea la masa si-si cistiga banii unii altora. Cei care nu stiu nici atit, sau sint de-a dreptul prosti, bat darabana cu degetele-n masa. Tigarea inlocuieste, de asemenea, gindirea, atunci cind nu are ce stimula.
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Arthur Schopenhauer
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Si tu n’es pas étonné par le chant du coq ou par la lumière au-dessus des crêtes, si tu ne crois pas en la bonté de ton âme, alors tu ne te bats plus, et c’est comme si tu étais déjà mort.
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Gaël Faye (Petit pays)
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Nu-mi zi ca sunt inger, ca te bat. Zi-mi adevarul, si o sa te sarut pentru asta.
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Gondos Ana-Maria
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Elle ferme les yeux, écoute la nuit, elle sent battre le coeur de la Terre, sous elle, celui des hommes, des arbres, des animaux, ce coeur nocturne qui bat depuis le commencement, qui battra après elle. Elle appartient à ce monde immense. Et son bras, peut-être, alors, est dérisoire." - Un si petit oiseau
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Marie Pavlenko
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Je suis encore un homme jeune, et pourtant, quand je songe à ma vie, c’est comme une bouteille dans laquelle on aurait voulu faire entrer plus qu’elle ne peut contenir. Est-ce le cas pour toute vie humaine, ou suis-je né dans une époque qui repousse toute limite et qui bat les existences comme les cartes d’un grand jeu de hasard ? Moi, je ne demandais pas grand-chose. J'aurais aimé ne jamais quitter le village. Les montagnes, les bois, nos rivières, tout cela m’aurait suffi. J’aurais aimé être tenu loin de la rumeur du monde, mais autour de moi bien des peuples se sont entretués. Bien des pays sont morts et ne sont plus que des noms dans les livres d’Histoire. Certains en ont dévoré d’autres, les ont éventrés, violés, souillés. Et ce qui est juste n’a pas toujours triomphé de ce qui est sale. Pourquoi ai-je dû, comme des milliers d’autres hommes, porter une croix que je n’avais pas choisie, endurer un calvaire qui n’était pas fait pour mes épaules et qui ne me concernait pas? Qui a donc décidé de venir fouiller mon obscure existence, de déterrer ma maigre tranquillité, mon anonymat gris, pour me lancer comme une boule folle et minuscule dans un immense jeu de quilles? Dieu? Mais alors, s’Il existe, s’Il existe vraiment, qu’Il se cache. Qu’Il pose Ses deux mains sur Sa tête, et qu’Il la courbe. Peut-être, comme nous l'apprenait jadis Peiper, que beaucoup d’hommes ne sont pas dignes de Lui, mais aujourd’hui je sais aussi qu’Il n'est pas digne de la plupart d’entre nous, et que si la créature a pu engendrer l’horreur c’est uniquement parce que son Créateur lui en a soufflé la recette.
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Philippe Claudel (Brodeck)
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Avez-vous remarqué, Sténio, qu'il y a des heures où nous sommes forcés d'aimer, des heures où la poésie nous inonde, où notre cœur bat plus vite, où notre âme s'élance hors de nous et brise tous les liens de la volonté poud aller chercher une autre âme où se répandre ? Combien de fois, à l'entrée de la nuit, au lever de la lune, aux premières clartés du jour, combien de fois, dans le silence de minuit et dans cet autre silence de midi si accablant, si inquiet, si dévorant, n'ai-je pas senti mon cœur se précipiter vers un but inconnu, vers un bonheur sans forme et sans nom, qui est au ciel, qui est dans l'air, qui est partout, comme un aimant invisible, comme l'amour !
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George Sand (LĂ©lia)
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-Les choses que tu veux. On peut les voir, les lire, et puis, même si je n'avais pas compris... C'est ton coeur qui me les a suggérées. -Je me demande bien ce qu'il t'a dit... Parfois il ment. -Avec moi, il a été sincère... Goûte, c'est délicieux. Tu m'embrasses ? - Niki, mais moi... - Chut... Qu'est-ce qu'il y a de plus simple qu'un baiser ? -Mais toi et moi... c'est compliqué. - Chut... Laisse parler ton coeur. Niki s'approche, pose sa main sur le coeur d'Alessandro. Puis son oreille. Elle l'écoute. Il bat fort, ce coeur ému. Niki sourit. - Écoute, je l'entends. Elle s'écarte de son torse et le regarde dans les yeux. Elle sourit dans la pénombre de la terasse. - Il a dit non... - Non quoi ? - Qu'entre toi et moi, ce n'est pas compliqué.
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Frederico Moccia
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On travaille mal au printemps, bien sûr, et pourquoi ? parce que l'on sent. Et parce qu'il faut être un imbécile pour croire que celui qui crée a le droit de sentir. Tout artiste véritable sourit de cette erreur de naïf et d'incapable; il sourit mélancoliquement peut-être, mais il sourit. Car ce que vous exprimez ne doit jamais être pour vous l'essentiel, mais seulement la matière indifférente en soi, dont il s'agit de composer, sans passion, en la dominant et comme en se jouant, une image esthétique. Si vous tenez trop à ce que vous avez à dire, si votre cœur bat trop vite pour votre sujet, vous pourrez être sûr d'un fiasco complet. Vous serez pathétique, vous serez sentimental, vous produirez une œuvre lourde, gauche, austère, dénuée de maîtrise, d'ironie et de sel, ennuyeuse, et le résultat final sera l'indifférence chez le public, et pour vous la déception et le chagrin.
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Thomas Mann (Tonio Kröger)
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Sélème : Engage le jeu que je le gagne ! Caracole : L'âme sûre ruse mal ! Sélème : L'âme sœur, elle, rue, ose mal... Erg immigré ! Erg en nègre ! Vos Sov ! Le traceur à la rue : cartel ! Caracole : En nos repères, n'insère personne ! Sélème : Le sert-on ici, notre sel ? Caracole : Tâte l'état ! C'est sec. Sélème : Léger regel ? Caracole : Saper ses repas... Sélème : Semi-auteur, ô male ! La morue tu aimes. Caracole : Euh... Hue ! Sélème : Eh, ça va la vache ? Caracole : Rat ! Avatar ! Sélème : C'est sec... Ta bête te bat ! Caracole : Et si l'arôme des bottes révèle madame, le verset t'obsède, moraliste ! Sélème : L'arôme moral ? Ému, ce destin rêve, il part natter ce secret tantra plié, vernissé d'écume. Caracole : Et tu te démêles, Sélème de lutte ? Sélème : Ici ? Non. Tu l'as, ressac, avalé ? Crac ! Car cela va casser... Salut ! Caracole : Sniff ! À l'affin S ! Sélème : Élu, aimé, jeté, ô poète ! Je miaule ! Caracole : Ah Élu, ça ! Je trace l'écart, éjacule, ha ! Sélème : Rupture de lien : un arc élève le reste et se relève à l'écran, une île de rut pur. Caracole : Mon nom... Sélème : Hola Caracole, va à vélo caracal, oh ! Caracole : Mon nom... Mon nom... Sélème : Ressasser, "Carac", ressasser ! Oh, cela te perd répéta l'écho !
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Alain Damasio (La Horde du Contrevent)
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Il trouva ce qu’il allait faire. Il se dirigea vers sa pile de disques et choisit L’Art de la fugue. « Si son génie ne me donne pas de courage, autant abandonner tout de suite. » Il resta assis, immobile, écoutant Bach construire un monde, le peupler, l’organiser et finalement le combattre et être détruit par lui. Lorsque la musique s’arrêta, comme l’homme s’était arrêté lorsque la mort était venue, Doc avait retrouvé son courage. « Bach s’est battu, dit-il, il n’a pas été vaincu. S’il avait vécu, il aurait continué à se battre. Donnez-moi un peu de temps ! Je veux réfléchir. Qu’avait donc Bach que je n’aie pas ? N’est-ce pas la vaillance ? Est-ce que la vaillance n’est pas la plus belle qualité de l’âme ? » Il s’arrêta et eut soudain l’impression qu’il allait fondre en larmes. « Pourquoi ne l’ai-je pas compris tout de suite ? Moi qui l’admire tant, je ne l’ai pas décelé quand je l’ai vue. Bach avait son talent, sa famille, ses amis. Chacun a quelque chose. Et Suzy, qu’a-t-elle ? Rien, sinon la vaillance. Elle se bat et elle gagnera. Si elle ne gagne pas, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Qu’est-ce que j’entends par gagner ? se demanda Doc. Je sais. Pour gagner, il suffit de ne pas être vaincu." Tendre Jeudi, John Steinbeck.
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John Steinbeck
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„Bat Parisul in lung si-n lat de jumatate de secol, astfel ca fiecare cartier imi evoca anumite lucruri, anumite intalniri, adesea ramase fara viitor. In memoria mea totul se amesteca: locurile si persoanele, amintirile intime, lecturile. Nu prefer anumite zone, ci pur si simplu uneori am ciudata senzatie ca as putea sa dau peste niste oameni pe care i-am vazut cu decenii in urma, impietriti si ramasi la varsta si infatisarea de atunci, asa cum se suprapun spatiile-timpuri in unele romane SF.
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Patrick Modiano
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Wrath bared his fangs. “John, as God is my fucking witness, I will cut you if you don’t—” “Easy, there, big guy,” V gritted out. “I’m going to translate. You want to hit the library where we can—” “No, I want to fucking know where my shellan is!” Wrath boomed. John started signing, and whereas most of the time people translated half sentences sequentially, V waited until he’d finished the whole report. A couple of the Brothers muttered in the background as they shook their heads. “In the library,” V ordered the King in a way John never could have. “You’re gonna wanna do this in the library.” Wrong thing to say. Wrath wheeled on the Brother and went for him with such speed and accuracy no one was prepared: One minute V was standing next to the King; the next he was defending himself against an attack that was as unprovoked as it was . . . well, vicious. And then things went shit-wild. Like Wrath knew he was on the thin edge of a bad ledge, he broke off from V, and went total wrecking ball on the billiards room. The first thing he ran into was the pool table Butch was chilling next to—and there was barely any time for the cop to get that ashtray up off the side rails: Wrath grabbed the gunnels and flipped the thing like it was nothing but a card table, the mahogany and slate-topped behemoth flying up so high, it wiped out the hanging light fixture above, its weight so great it splintered the marble floor beneath on landing. Without missing a breath, the King EF5’d into his next victim . . . the heavy leather sofa that Rhage had just leaped up off. Talk about your couch-icopters. The entire thing came at John at about five feet off the floor, the pair of ends trading places as it spun around and around, cushions flying in all directions. He didn’t take it personally—especially as its mate do-si-doed with the bar, smashing the top-shelf bottles, liquor splashing all over the walls, the floor, the fire that was crackling in the hearth. Wrath wasn’t finished. The King picked up a side table, hauled it overhead, and pitched it in the direction of the TV. It missed the plasma screen, but managed to shatter an old-fashioned mirror—although the Sony didn’t last. The coffee table that had been in between the two sofas did that deed, killing the muted image of the two Boston guys and the old man from Southie with the baseball bat shilling for DirectTV. The Brothers just let Wrath go. It wasn’t that they were afraid of getting hurt. Hell, Rhage stepped in and caught the first couch before it tore a hunk off of the archway’s molding. They just weren’t stupid. Wrath - Beth x Overnight = Psycho-hose Beast
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J.R. Ward (The King (Black Dagger Brotherhood, #12))
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Une odeur désagréable, qui me rappelle celle de l'hôpital, me chatouille les narines lorsque je reprends conscience. J'essaie d'ouvrir les yeux, mais je n'y arrive pas. J'entends alors la voix des infirmiers qui essaient de relancer mon cœur. Il bat pourtant, il bat si fort que je me demande comment ils peuvent le manquer. Les bruits et sons se mélangent bientôt et je t'entends plus que mes propres pulsations. Boom, boom… boom. J'ai très vite l'impression que leur fréquence ralentit.
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Iman Eyitayo (L'Antichambre des Souvenirs, Intégrale)
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Mentre t'escric se m'obre el cor com si hi tingués una porta, rebentés i es fes grandíssim, enorme, perquè hi puguis entrar de qualsevol manera. Una porta de bat a bat que t'espera. Boris, sempre. Per nosaltres. Per aquesta llengua que parlem, que és casa nostra. T'ofereixo aquest cor meu perquè hi entris, i hi instal·lis els teus mobles, i el facis teu: les seves parets carnoses són per a tu.
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Pol Guasch (Napalm al cor)
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Mon cœur bat la chamade lorsque je lève enfin les yeux vers les siens. Faut-il préciser que je les ai gardés rivés trois secondes sur son entrejambe ? Probablement pas. — Max. — Emy, s’esclaffe-t-il, l’air désabusé. C’est chaud. Très chaud. Il ne manque plus qu’un ascenseur pour que je me croie dans un remake breton de Cinquante nuances de Grey. Sans chambre rouge, si possible.
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Tiphaine Bleuvenn (Mes Amours Ă©ponymes 1)
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Pandara s'enrojola, treballa, s'extasia: si n'ha trobat més d'una, aixeca els ulls i riu. Pandara sempre ha vist el cel asserenat: ignora la gropada i el xiscle de les bruixes. És fe i és vida d'ella la llum de bat a bat. El món, en meravelles i jocs atrafegat, és petit i vermell i fresc com les maduixes.
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Josep Carner (Els fruits saborosos)
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Ah, si ho provéssiu! Ser lliure! Dir: «Tot és meu!» Dir: «No tinc parets que m'ofeguin, no tinc arrels ni afeccions; la vida és meva, sense destorbs ni barreres, ampla i oberta de bat a bat com la boca del meu mico!»
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Santiago Rusiñol (L'alegria que passa i altres obres)
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Au téléphone, un ami écrivain me parle d'exil. Apparemment, il ne pourra plus rien écrire 'ici'. Tout est fermé, bloqué, et les lecteurs restent inimaginables, à l'autre bout de son tunnel. Je ne sais trop quoi lui dire, car je suis sûr qu'il se trompe, ou plutôt qu'il est trompé par une souffrance que je connais bien, moi aussi, et qui nous a donné notre lot de poètes à la tête flambée. Je lui parle de ça, de la tentation épouvantable de partir, du leurre qu'est ce désir d'aller trouver ailleurs on ne sait quoi. Je regarde dehors pendant que je l'écoute se plaindre, avec une voix tremblante, pleine de cette émotion impérissable du poète déserté par le désir, et auquel il ne vient plus que des mots anciens, pour parler de l'éternelle misère de ne plus savoir comment faire. Je regarde dehors et aperçois le bouleau qui balance dans le vent. On oscille sans cesse, on hésite tous, toujours on bat la mesure d'une inaliénable incertitude. C'est comme ça. Je lui dis que j'aime ce qu'il est, ce qu'il fait, mais ce n'est pas assez, comme de raison. L'amour n'est pas assez quand on est seul et enfoncé si loin dans l'inquiétude. Je l'écoute et je regarde les arbres secoués par le vent et c'est pareil : nous sommes tous secoués, bardassés, perpétuellement ébranlés sur nos racines.
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Robert Lalonde (Le Monde sur le flanc de la truite)
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- Ce que vous appelez le mal peut se concevoir comme la privation du bien. Sans l'expérience du mal, vous n'auriez aucune conscience de ce qu'est le bien. Sur terre, tout est expérience. Certaines sont lumineuses, d'autres ténébreuses. Certaines dilatent le cœur, d'autres l'éprouvent. Certains consolent, d'autres terrifient. Lorsque tu est plongée dans la douleur, ne regarde pas ta vie uniquement à l'aune de la souffrance. Considère-là comme un tout invisible, avec ses hauts et ses bats, ses joies et ses tristesses, sa part d'ombre et de lumière, et rappelle-toi les moments heureux du passé. Alors, tu pourras continuer d'aimer la vie, malgré tout. Et lorsque tu passeras définitivement de l'autre côté du miroir – ce que vous appelez la mort - tu verras l'envers des choses et comprendras que toutes expériences que tu as traversées pouvaient te faire grandir en humanité, en conscience et en amour. Mais c'était à toi d'en décider. Car ton âme est libre. Non pas toujours du choix des évènements qui arrivent, mais de la manière dont elle va y réagir. Si tu comprends que toute expérience peut te faire grandir, alors tu sauras donner du sens à tout ce qui t'arrive et tu progresseras de plus en plus en joie, en sérénité en connaissance de toi-même et du monde, et surtout en amour, qui est l'énergie la plus forte et la plus élevée de tout ce qui est.
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Frédéric Lenoir (La Consolation de l'ange (French Edition))
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Poetii ar trebui sa fie fericiti cand n-au voie sa scrie. Pentru ca unii au scris chiar si din inchisoare, folosind doar bete de chibrit, fara pix, fara hartie. Cate un bat pentru fiecare vers, altfel aranjat pentru fiecare rima.
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Gondos Ana-Maria