Baisa Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Baisa. Here they are! All 4 of them:

Un soir qu'ils étaient couchés l'un près de l'autre, comme elle lui demandait d'inventer un poème qui commencerait par je connais un beau pays, il s'exécuta sur-le-champ. Je connais un beau pays Il est de l'or et d'églantine Tout le monde s'y sourit Ah quelle aventure fine Les tigres y sont poltrons Les agneaux ont fière mine À tous les vieux vagabonds Ariane donne des tartines. Alors, elle lui baisa le la main, et il eut honte de cette admiration.
Albert Cohen (Belle du Seigneur)
C'est alors que Samilia descendit de cheval et s'avança vers Sango Kerim. Il était blême. Il ne pouvait croire qu'elle était là. Devant lui. - Ne souris pas en ton âme, Sango Kerim, lui dit-elle, car c'est le malheur qui se présente à toi. Si tu m'offres l'hospitalité de ton campement, il n'y aura plus de trêve. La guerre sera féroce. Et Kouame, comme un sanglier furieux, n'aura de cesse qu'il ne t'ouvre le ventre et ne fourrage tes viscères. Il me l'a dit. Et il faut le croire. Je me présente à toi et te demande l'hospitalité mais je ne serai pas ta femme. Pas avant que cette guerre ne s'achève. Je serai là. Je partagerai ces instants avec toi. Je veillerai sur toi, mais tu ne pourras jouir de moi avant que tout cela soit fini. Tu le vois, Sango Kerim, c'est le malheur qui se présente à toi et te demande l'hospitalité. Tu peux me chasser. Il n'y aurait pas de honte à cela. Cela serait même le geste d'un grand roi car tu sauverais ainsi la vie de milliers d'hommes. Sango Kerim s'agenouilla et baisa la terre qui était entre lui et Samilia. Puis, en regardant cette femme avec le désir de toutes ces années accumulées, il lui dit : - Ce campement est à toi. Tu y régneras comme ton père régnait sur Massaba. Je t'offre mon armée. Je t'offre mon corps. Et chacune de mes pensées. Et si tu t'appelles malheur, alors oui, je veux étreindre le malheur tout entier et ne vivre que de cela.
Laurent Gaudé (La Mort du roi Tsongor)
Šo ziņu tev atnesa tā pati kaija, uz kuru mēs skatījāmies naktī, - mazliet baisa šī kaija, parka laternu gaismā tā izskatījās melnbalta, un mēs sākām spriest, vai gluži tāpat neizskatās eņģeļi.
Nora Ikstena (Besa)
Cantinflas opaca y disminuye a los demás cómicos. Incluso a un actor tan dotado como Germán Valdés, Tin Tan, cuya carta de presentación es la obvia representación física y lingüística del fenómeno de la transculturación. El pachuco habla hispanglish, el pachuco usa tirantes y sombrero con pluma y masca chicle y degenera el idioma y dice “baisa” y “carnal”. La embestida purista se niega a reconocer en Tin Tan a un presentimiento apocalíptico y a un tranquilo dato cotidiano. Pronto, Tin Tan se desprende de su indumentaria tírili y, casi siempre dirigido por Gilberto Martínez Solares, impregna de vitalidad anarquista algunas cintas rescatables (El rey del barrio, Calabacitas tiernas) para dejarse consumir ya en los cincuentas por la prisa, el exceso y la repetición mecánica.
Daniel Cosío Villegas (Historia general de México. Version 2000 (Spanish Edition))