Aussie Humour Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Aussie Humour. Here they are! All 16 of them:

“
C'est pas assez que tous tu dis c'est de la merde, François? Tu veux coucher dans la merde, aussi?
”
”
Jennifer Donnelly (A Northern Light)
“
You look great, he said. Oh, get fucked, she said, grinning.
”
”
Tim Winton (Eyrie)
“
Tu veux que je te dise ? Je ne me suis jamais sentie aussi bien avec un homme de toute ma vie. Je ne savais meme pas que l'on pouvait Ă©prouver ce genre de sentiment pour quelqu'un ! Je ne savais pas que la passion Ă©tait compatible avec l'admiration, l'humour et la tendresse....
”
”
La fille de papier - Guillaume Musso
“
The very essence of Australia is our lack of sophistication–our refusal to conform to pretension and superficiality. We ought to be upholding our ‘fair-dinkumness’ and all the qualities so well documented in our folklore, the non-conformity of the swagman in Waltzing Matilda whose down to earth motto would I’m sure, have been ‘I’d rather be ignorant and fair dinkum than sophisticated and false’. Of course life has been a fight against ignorance, but the danger has always been that gaining knowledge rarely occurs without an increase in sophistication or falseness.
”
”
Tim Macartney-Snape
“
Heureusement l'ennemi Ă©tait on ne peut moins entreprenant. Il y eut des nuits oĂč notre position eĂ»t pu ĂȘtre prise d'assaut par vingt boy-scouts armĂ©s de carabines Ă  air comprimĂ©, ou tout aussi bien par vingt girl-guides armĂ©es de raquettes.
”
”
George Orwell (Homage to Catalonia)
“
Patrice a vingt-quatre ans et, la premiĂšre fois que je l’ai vu, il Ă©tait dans son fauteuil inclinĂ© trĂšs en arriĂšre. Il a eu un accident vasculaire cĂ©rĂ©bral. Physiquement, il est incapable du moindre mouvement, des pieds jusqu’à la racine des cheveux. Comme on le dit souvent d’une maniĂšre trĂšs laide, il a l’aspect d’un lĂ©gume : bouche de travers, regard fixe. Tu peux lui parler, le toucher, il reste immobile, sans rĂ©action, comme s’il Ă©tait complĂštement coupĂ© du monde. On appelle ça le locked in syndrome.Quand tu le vois comme ça, tu ne peux qu’imaginer que l’ensemble de son cerveau est dans le mĂȘme Ă©tat. Pourtant il entend, voit et comprend parfaitement tout ce qui se passe autour de lui. On le sait, car il est capable de communiquer Ă  l’aide du seul muscle qui fonctionne encore chez lui : le muscle de la paupiĂšre. Il peut cligner de l’Ɠil. Pour l’aider Ă  s’exprimer, son interlocuteur lui propose oralement des lettres de l’alphabet et, quand la bonne lettre est prononcĂ©e, Patrice cligne de l’Ɠil.  Lorsque j’étais en rĂ©animation, que j’étais complĂštement paralysĂ© et que j’avais des tuyaux plein la bouche, je procĂ©dais de la mĂȘme maniĂšre avec mes proches pour pouvoir communiquer. Nous n’étions pas trĂšs au point et il nous fallait parfois un bon quart d’heure pour dicter trois pauvres mots. Au fil des mois, Patrice et son entourage ont perfectionnĂ© la technique. Une fois, il m’est arrivĂ© d’assister Ă  une discussion entre Patrice et sa mĂšre. C’est trĂšs impressionnant.La mĂšre demande d’abord : « Consonne ? » Patrice acquiesce d’un clignement de paupiĂšre. Elle lui propose diffĂ©rentes consonnes, pas forcĂ©ment dans l’ordre alphabĂ©tique, mais dans l’ordre des consonnes les plus utilisĂ©es. DĂšs qu’elle cite la lettre que veut Patrice, il cligne de l’Ɠil. La mĂšre poursuit avec une voyelle et ainsi de suite. Souvent, au bout de deux ou trois lettres trouvĂ©es, elle anticipe le mot pour gagner du temps. Elle se trompe rarement. Cinq ou six mots sont ainsi trouvĂ©s chaque minute.  C’est avec cette technique que Patrice a Ă©crit un texte, une sorte de longue lettre Ă  tous ceux qui sont amenĂ©s Ă  le croiser. J’ai eu la chance de lire ce texte oĂč il raconte ce qui lui est arrivĂ© et comment il se sent. À cette lecture, j’ai pris une Ă©norme gifle. C’est un texte brillant, Ă©crit dans un français subtil, lĂ©ger malgrĂ© la tragĂ©die du sujet, rempli d’humour et d’autodĂ©rision par rapport Ă  l’état de son auteur. Il explique qu’il y a de la vie autour de lui, mais qu’il y en a aussi en lui. C’est juste la jonction entre les deux mondes qui est un peu compliquĂ©e.Jamais je n’aurais imaginĂ© que ce texte si puissant ait Ă©tĂ© Ă©crit par ce garçon immobile, au regard entiĂšrement vide.  Avec l’expĂ©rience acquise ces derniers mois, je pensais ĂȘtre capable de diagnostiquer l’état des uns et des autres seulement en les croisant ; j’ai reçu une belle leçon grĂące Ă  Patrice.Une leçon de courage d’abord, Ă©tant donnĂ© la vitalitĂ© des propos que j’ai lus dans sa lettre, et, aussi, une leçon sur mes a priori. Plus jamais dorĂ©navant je ne jugerai une personne handicapĂ©e Ă  la vue seule de son physique. C’est jamais inintĂ©ressant de prendre une bonne claque sur ses propres idĂ©es reçues .
”
”
Grand corps malade (Patients)
“
Cela faisait un maintenant trente secondes qu'Arthur essayait, sans succĂšs de dire "OĂč avez-vous trouvĂ© ça ?" d'un ton brusque et lĂ©gĂšrement interloquĂ©. Finalement, l'instant se prĂ©senta mais il le rata d'une milliseconde. "OĂč avez-vous trouvez ça ?" dit Fenchurch d'un ton brusque et lĂ©gĂšrement interloquĂ©. Arthur jeta sur Fenchurch un regarde brusque et lĂ©gĂšrement interloquĂ© et lança "Quoi ? Tu as dĂ©jĂ  vu des trucs comme ça ? -Oui. J'en ai un. Ou plutĂŽt, j'en ai eu un. Russell me l'a piquĂ© pour y mettre ses balles de golf. Je ne sais pas d'oĂč il venait , ce que je sais, c'est que j'Ă©tais en rogne aprĂšs Russell pour me l'avoir piquĂ©. Pourquoi, tu en as un, toi aussi ? -Oui, il Ă©tait..." Ils se rendirent compte l'un et l'autre que le regard de Wonko le Sain passait brusquement de l'un Ă  l'autre, tout en essayant dans l'intervalle de paraĂźtre interloquĂ©. "Vous aussi, vous en avez un ?
”
”
Douglas Adams (So Long, and Thanks for All the Fish (The Hitchhiker's Guide to the Galaxy, #4))
“
Moi qui ai eu la chance, malgrĂ© quelques grosses sĂ©quelles, de me relever et de retrouver une autonomie totale, je pense souvent Ă  cette incroyable pĂ©riode de ma vie et surtout Ă  tous mes compagnons d’infortune. À part Samia, peut-ĂȘtre, je sais pertinemment que les autres sont toujours dans leurfauteuil, qu’ils sont contraints Ă  une assistance permanente, qu’ils ont toujours droit aux sondages urinaires, aux transferts, aux fauteuils-douches, aux sĂ©ances de verticalisation
 Ils sont pour toujours confrontĂ©s Ă  ces mots qui ont Ă©tĂ© mon quotidien, cette annĂ©e-lĂ  J’ai fait trois autres centres de rĂ©Ă©ducation par la suite, mais jamais je n’ai autant ressenti la violence de cette immersion dans le monde du handicap que lors de ces quelques mois. Jamais je n’ai retrouvĂ© autant de malheur et autant d’envie de vivre rĂ©unis en un mĂȘme lieu, jamais je n’ai croisĂ© autant de souffrance et d’énergie, autant d’horreur et d’humour. Et jamais plus je n’ai ressenti autant d’intensitĂ© dans le rapport des ĂȘtres humains Ă  l’incertitude de leur avenir .. Je ne connaissais rien de ce monde-lĂ  avant mon accident. Je me demande mĂȘme si j’y avais dĂ©jĂ  vraiment pensĂ©. Bien sĂ»r, cette expĂ©rience aussi difficile pour moi que pour mon entourage proche m’a beaucoup appris sur moi-mĂȘme, sur la fragilitĂ© de l’existence (et celle des vertĂšbres cervicales). Personne d’autre ne sait mieux que moi aujourd’hui qu’une catastrophe n’arrive pas qu’aux autres, que la vie distribue ses drames sans regarder qui les mĂ©rite le plus . Mais, au-delĂ  de ces lourds enseignements et de ces grandes considĂ©rations, ce qui me reste surtout de cette pĂ©riode, ce sont les visages et les regards que j’ai croisĂ©s dans ce centre. Ce sont les souvenirs de ces ĂȘtres qui, Ă  l’heure oĂč j’écris ces lignes, continuent chaque jour de mener un combat qu’ils n’ont jamais l’impression de gagner.Si cette Ă©preuve m’a fait grandir et progresser, c’est surtout grĂące aux rencontres qu’elle m’aura offertes.
”
”
Grand corps malade (Patients)
“
MalgrĂ© deux cents ans de paix avec l’Angleterre, boire du thĂ© Ă©tait toujours considĂ©rĂ© par les AmĂ©ricains comme un acte de haute trahison, Ă  tel point que le palais refusait d’en servir. On n’y trouvait que du cafĂ©, pourtant lui aussi importĂ©.
”
”
Katharine McGee (American Royals (American Royals, #1))
“
La carriĂšre roumaine du futur acadĂ©micien n'a pas Ă©tĂ© un Ă©chec. Le critique n'a pas Ă©tĂ© ignorĂ©, les contradictions de ses articles et de son livre ["Non"] ont Ă©tĂ© relevĂ©es, mais aussi l'intelligence, l'humour et le caractĂšre attachant du critique. "Le livre de cet enfant terrible qu'est Eugen Ionescu-notait un critique le 28 mai 1934 dans son Journal-est un livre Ă©crit avec clairvoyance, avec du nerf, de la verve et de l'audace, qui conviennent bien-sont mĂȘme Ă  dĂ©sirer-dans la pratique des jeunes." (Sașa Pană, "Născut Ăźn '02" [NĂ© en 1902], Bucarest, 1973, p. 469). (p. 128)
”
”
Ecaterina Cleynen-Serghiev (La jeunesse littéraire d'EugÚne Ionesco)
“
Quel roman que ma vie ! ' s'Ă©tait exclamĂ© NapolĂ©on ! Il avait eu tort. Son autobiographie, le MĂ©morial de Sainte-HĂ©lĂšne Ă©tait d'une lecture aussi fastidieuse que celle de n'importe quel employĂ© des postes, la vie rĂ©elle n'Ă©tait dĂ©cidĂ©ment pas au niveau. Des vies comme celle de NapolĂ©on avaient pu occasionnellement ĂȘtre intĂ©ressantes -on pouvait supposer par exemple qu'il s'Ă©tait bien Ă©clatĂ© Ă  Wagram ou Ă  Austerlitz ; mais de lĂ  Ă  en faire des stations de mĂ©tro, il ne fallait quand mĂȘme pas exagĂ©rer. AnĂ©antir 2022
”
”
Houellebecq
“
Adam passa la main dans ses cheveux ras. Il sentit qu'en faisant cela, il ressemblait Ă  un AmĂ©ricain. 'Vous savez quoi?' dit-il; 'vous savez quoi? Nous passons notre temps Ă  faire de la saloperie de cinĂ©ma. Du cinĂ©ma, oui. Du thĂ©Ăątre aussi, et du roman psychologique. Nous n’avons plus grand-chose de simple, nous sommes des cafards, des demi-portions. De vieilles loques. On dirait que nous sommes nĂ©s sous la plume d’un Ă©crivain des annĂ©es trente, prĂ©cieux, beaux, raffinĂ©s, pleins de culture, pleins de cette saloperie de culture. Ça me colle dans les dos comme un manteau mouillĂ©. Ça me colle partout.' 'Eh - qu'est-ce qui est simple, Ă  ce compte-lĂ ?' intervint, assez mal Ă  propos, l'Ă©tudiant Ă  lunettes. 'Comment, qu'est-ce qui est simple? Vous ne le savez pas? Vous ne vous en doutez donc pas quand mĂȘme un peu, vous?' Adam eut un geste vers sa poche pour prendre le paquet de cigarettes, mais, nerveusement, sa main s'arrĂȘta. 'Vous ne la voyez donc pas, cette vie, cette putain de vie, autour de vous? Vous ne voyez pas que les gens vivent, qu'ils vivent, qu'ils mangent, etc? Qu'ils sont heureux? Vous ne voyez pas que celui qui a Ă©crit, "la terre est bleue comme une orange" est un fou, ou un imbĂ©cile? - Mais non , vous vous dites, c'est un gĂ©nie, il a disloquĂ© la rĂ©alitĂ© en deux mots. Ça dĂ©colle de la rĂ©alitĂ©. C'est un charme infantile. Pas de maturitĂ©. Tout ce que vous voudrez. Mais moi, j'ai besoin de systĂšmes, ou alors je deviens fou. Ou bien la terre est orange, ou bien l'orange est bleue. Mais dans le systĂšme qui consiste Ă  se servir de la parole, la terre est bleu et les oranges sont orange. Je suis arrivĂ© Ă  un point oĂč je ne peux plus souffrir d'incartades. Vous comprenez, j'ai trop de mal Ă  trouver la rĂ©alitĂ©. Je manque d'humour? Parce que d'aprĂšs vous il faut de l'humour pour comprendre ça? Vous savez ce que je dis? Je manque si peu d'humour que je suis allĂ© beaucoup plus loin que vous. Et voilĂ . J'en reviens ruinĂ©. Mon humour, Ă  moi, il Ă©tait dans l'indicible. Il Ă©tait cachĂ© et je ne pouvais le dire. Et comme je ne pouvais le mettre en mots, il Ă©tait beaucoup plus Ă©norme que le vĂŽtre. Hein. En fait il n'avait pas de dimensions. Vous savez. Moi je fais tout comme ça. La terre est bleue comme une orange, mais le ciel est nu comme une pendule, l'eau rouge comme un grĂȘlon. Et mĂȘme mieux: le ciel colĂ©optĂšre inonde les bractĂ©es. Vouloir dormir. Cigarette cigare galvaude les Ăąmes. 11Ăš. 887. A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z. et Cie.' 'Attendez, attendez un moment, je -' commença la jeune fille. Adam continua: 'Je voudrais arrĂȘter ce jeu stupide. Si vous saviez comme je voudrais. Je suis Ă©crasĂ©, bientĂŽt presque Ă©crasĂ©..." dit-il, la voix non pas plus faible, mais plus impersonnelle.
”
”
J.M.G. Le Clézio (Le Proces-Verbal (Collection Folio) (French Edition) by Jean-Marie Gustave Le Clezio(1973-03-16))
“
The National Party's Barnaby Joyce has mocked Pastor Daniel for calling bottle shops 'Satan's stronghold'. It occurs to me that if Pastor Daniel's motivation is to suck up to white Australia, he wouldn't be denouncing beer. The pastor knows that the concept of Satan would be a laugh for the average Aussie, but he says he won't budge. 'I can't lie to be somebody. I have to be who I am. If they accept me, they accept me as a Christian. If not, tough luck.' (Later it strikes me the pastor has basically said, 'I will not assimilate.')
”
”
John Safran (Depends What You Mean By Extremist)
“
Un jour, au debut des annees soixante-dix, pendant l'occupation russe du pays, tous les deux chasses de nos emplois, tous les deux en mauvaise sante, ma femme et moi sommes alles voir, dans un hopital de la banlieue de Prague, un grand medicin, ami de tous les opposants, un vieux sage juif, comme nous l'appelions, le professeur Smahel. Nous y avons rencontre E., un journaliste, lui aussi chasse de partout, lui aussi en mauvaise sante, et tous les quatre nous sommes restes longtemps a bavarder, heureux de l'atmosphere de sympathie mutuelle. Pour le retour, E. nous a pris dans sa voiture et s'est mis a parler de Bohumil Hrabal, alors le plus grand ecrivain tcheque vivant; d'une fantaisie sans bornes, feru d'experiences plebeiennes (ses romans sont peuples des gens les plus ordinaires), il etait tres lu et tres aime (toute la vague de la jeune cinematographie tcheque l'a adore comme son saint patron). Il etait profondement apolitique. Ce qui, dans un regime pour lequel 'tout etait politique', n'etait pas innocent: son apolitisme se moquait du monde ou sevissaient les ideologies. C'est pour cela qu'il s'est trouve pendant longtemps dans une relative disgrace (inutilisable qu'il etait pour tous les engagements officiels), mais c'est pour ce meme apolitisme (il ne s'est jamais engage contre le regime non plus) que, pendant l'occupation russe, on l'a laisse en paix et qu'il a pu, comme ci, comme ca, publier quelques livres. E. l'injuriait avec fureur: Comment peut-il accepter qu'on edite ses livres tandis que ses collegues sont interdits de publication? Comment peut-il cautionner ainsi le regime? Sans un seul mot de protestation? Son comportement est detestable et Hrabal est un collabo. J'ai reagi avec le meme fureur: Quelle absurdite de parler de collaboration si l'esprit des livres de Hrabal, leur humour, leur imagination sont le contraire meme de la mentalite qui nous gouverne et veut nous etouffer dans sa camisole de force? Le monde ou l'on peut lire Hrabal est tout a fait different de celui ou sa voix ne serait pas audible. Un seul livre de Hrabal rend un plus grand service aux gens, a leur liberte d'esprit, que nous tous avec nos gestes et nos proclamations protestataires! La discussion dans la voiture s'est vite transformee en querrelle haineuse. En y repensant plus tard, etonne par cette haine (authentique et parfaitement reciproque), je me suis dit: notre entente chez le medicin etait passagere, due aux circonstances historiques particulieres qui faisaient de nous des persecutes; notre desaccord, en revanche, etait fondamental et independant des circonstances; c'etait le desaccord entre ceux pour qui la lutte politique est superieure a la vie concrete, a l'art, a la pensee, et ceux pour qui le sens de la politique est d'etre au service de la vie concrete, de l'art, de la pensee. Ces deux attitudes sont, peut-etre, l'une et l'autre legitimes, mais l'une avec l'autre irreconciliables.
”
”
Milan Kundera (Encounter)
“
Ensuite [Madeleine Castaing] avait engagĂ© comme comptable Paul de Saint-Sauveur, un comte dĂ©sargentĂ© contraint lui aussi de gagner sa vie. 'Il apparaĂźt dans la boutique en habits de chasse Ă  courre', note Jean Cocteau dans son journal en septembre 1951. [...] Un jour oĂč elle lui avait demandĂ© de faire une livraison chez une personnalitĂ© de la tĂ©lĂ©vision, le client remercia le comptable en lui donnant un gĂ©nĂ©reux pourboire. 'Un pourboire au comte de Saint-Sauveur? Comment a-t-il osĂ©!' Madeleine, qui manqua d'Ă©clater de rire, fit l'impossible pour calmer sa fureur et son orgeuil blessĂ©.
”
”
Jean-Noël Liaut (Madeleine Castaing MécÚne à Montparnasse, décoratrice à Saint-Germain)
“
Ce qui fait la grandeur mais aussi le bonheur de l’ĂȘtre humain, c’est qu’il peut, par sa raison, devenir vertueux, et, par une activitĂ© volontaire, cultiver les diffĂ©rentes vertus : courage, modĂ©ration, libĂ©ralitĂ©, magnanimitĂ©, douceur, humour, justice,
”
”
Frédéric Lenoir (Du bonheur : un voyage philosophique (Documents) (French Edition))