Agricultural Biotechnology Quotes

We've searched our database for all the quotes and captions related to Agricultural Biotechnology. Here they are! All 7 of them:

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Organic agriculture = Seed Sovereignty + Biological Integrity + Food Security Whereas, Food biotechnology = Food security (at the cost of seed sovereignty and biological integrity) The choice is on us!
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Royal Raj S
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Everywhere I went in Africa it was the same story. Foreign-funded NGOs, supported mainly by donors in Europe, were delaying or blocking the development not just of biotechnology but of modern agriculture generally across the continent.
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Mark Lynas (Seeds of Science: Why We Got It So Wrong On GMOs)
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Low-cost fuels, high-performing vaccines, and ultrayield agriculture are just three of the reasons that the exponential growth of biotechnology is critical to creating a world of abundance.
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Peter H. Diamandis (Abundance: The Future is Better Than You Think)
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Even in purely economic terms, the opportunity costs of extinction are going to prove enormous. Research on jus small numbers of wild species has yielded major advances in the quality of human life -- an abundance of pharmaceuticals, new biotechnology, and advances in agriculture. If there were no fungi of the right kind, there would be no antibiotics. Without wild plants with edible stems, frukit and seeds available for selective breeding, there would be no cities, and no civilization. No wolves, no dogs. No wild fowl, no chickens. No horses and camelids, no overland journeys except by hand-pulled vehicles and backpacks. No forests to purify water and pay it out gradually, no agriculture except with less productive dryland crops. No wild vegetation and phytoplankton, not enough air to breathe. Without nature, finally, no people.
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Edward O. Wilson
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William Cline has projected that because of climate change the total agricultural capacity of Africa (excluding Egypt) will decline by roughly 19 percent between now and 2080 (Cline 2007). These projected climate change effects make the development of crops better able to tolerate drought an even more obvious imperative in Africa.
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Robert Paarlberg (Starved for Science: How Biotechnology Is Being Kept Out of Africa)
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Pour donner consistance à cette révolution du temps, il suffit de commencer à énumérer les domaines de production de biens et de services dont l'existence actuelle ne se soutient que de la logique de la société marchande, de la double nécessité d'accroître sans cesse la production-pour-le-profit et de reproduire l'organisation sociopolitique qui la rend possible. Osons donc trancher à la racine et mesurer l'ampleur des secteurs qui, dans une société non marchande, soucieuse de surcroît d'écarter toute séparation entre gouvernants et gouvernés, deviendraient parfaitement superflus. On peut éliminer sans hésiter tout le personnel militaire et policier, poursuivre avec les banques, le système financier et les assurances (ces dernières seules pèsent aujourd'hui 15 % du PIB mondial), sans se priver du plaisir d'ajouter la publicité et le marketing( qui absorbent 500 milliards de dépenses annuelles, soit près d'un tiers des budgets militaires mondiaux). Finalement, le principe d'un autogouvernement à tous les échelons, tel qu'on l'a suggéré dans le chapitre précédent, condamnerait l'ensemble des bureaucraties nationales et internationales à une complète inutilité. Dens pans considérables de l'appareil industriel seront abandonnés, à commencer par la production d'armes et d'équipements militaires. Les impératifs écologiques et l'affirmation de l'agriculture paysanne rendront caduque une grande partie de l'industrie chimique (notamment l'écrasant secteur agrochimique) comme des biotechnologies fortement contestées (OGM notamment). Le secteur agroalimentaire, exemple type d'une marchandisation perverse des formes de production, s'évanouira, au profit d'une valorisation de l'autoproduction et des circuits locaux de production/consommation. […] on voit que chaque abandon de production de biens et de services aura des effets démultiplicateurs importants, puisque les besoins en édifices (bureaux, installations industrielles), en matériaux et en énergie, en infrastructures et en transports, s'en trouveront diminués d'autant. Le secteur de la construction sera par conséquent ramené à une échelle bien plus raisonnable qu'aujourd'hui, ce qu'accentuerait encore la régénération des pratiques d'autoconstruction (ou du moins une participation directe des utilisateurs eux-mêmes, aux côtés d'artisans plus expérimentés). Chaque suppression dans la production de biens et de services éliminera à son tour toutes les productions nécessaires à son installation, à son fonctionnement, sans oublier la gestion des déchets engendrés par chacune de ces activités. Pour donner un exemple parmi tant d'autres, la suppression de la publicité (jointe à celle des bureaucraties et à d'autres changements technico-culturels) entraînera une diminution considérable de la consommation de papier, c'est-à-dire aussi de toute la chaîne industrielle qui lui est associée, dans laquelle il faut inclure exploitation forestière, produits chimiques, matériaux nécessaires aux installations industrielles, transport, etc. Sans nier la pertinence de maintenir des échanges à longue distance, le fait de privilégier, dans toute la mesure du possible, les activités locales et de supprimer les absurdes détours de production qui caractérisent l'économie capitaliste (lesquels mènent, par exemple, l'ail chinois jusqu'en Europe et de l'eau - oui, de l'eau ! - des Alpes jusqu'au Mexique) réduira à peu de chose la chaîne commerciale actuelle et restreindra encore les besoins en transport. Joint à l'abandon d'une logique de production et d'organisation centrée sur l'automobile et le fétichisme égolâtre qui la soutient, tout cela entraînera une forte contraction de la consommation énergétique, qui pourra être satisfaite grâce aux énergies renouvelables, produites, dans la mesure du possible, localement. En conséquence, tout ce qui fonde le poids écrasant du secteur énergétique dans l'économie mondiale actuelle s'évanouira pour l'essentiel. (p. 91-92)
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JĂ©rĂ´me Baschet (AdiĂłs al Capitalismo: AutonomĂ­a, sociedad del buen vivir y multiplicidad de mundos)
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Continuing to do research on genetic modification, and occasionally using successfully modified organisms for specific purposes such as the production of expensive drugs, make good sense. Helping developing countries to produce more food is a worthy aim, but it is sometimes used as an excuse for an alternative agenda, or as a convenient way to demonise opponents. There is little doubt that the technology needs better regulation: I find it bizarre that standard food safety tests are not required, on the grounds that the plants have not been changed in any significant way, but that the innovations are so great that they deserve patent protection, contrary to the long-standing view that naturally occurring objects and substances cannot be patented. Either it’s new, and needs testing like anything else, or it’s not, and should not be patentable. It is also disturbing, in an age when commercial sponsors blazon their logos across athletes’ shirts and television screens, that the biotechnology industry has fought a lengthy political campaign to prevent any mention of their product being placed on food. The reason is clear enough: to avoid any danger of a consumer boycott. But consumers are effectively being force-fed products that they may not want, and whose presence is being concealed. Our current understanding of genetics and ecology is inadequate when it comes to the widespread use of genetically modified organisms in the natural environment or agriculture. Why take the risk of distributing the material, when the likely gains for most of us – as opposed to short-term profits for biotechnology companies – are tiny or non-existent?
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Ian Stewart