Ady Endre Quotes

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Igen: élni, míg élünk, Igen: ez a szabály. De mit csináljunk az életünkkel, Ha fáj? Élni, míg élünk
Endre Ady
Andris kibotorkált a táblához, és unottan megállt előtte. – Radnóti Miklós – nézett rá Kardos. – Ady Endre – felelte Andris. – Tessék? – csodálkozott a tanár, Andris pedig összeráncolt szemöldökkel nézett rá. – Nem az a feladat, hogy a tanár úr mond egy költőt, és én is mondok egyet?
Laura Leiner (Kalauz (A Szent Johanna Gimi))
Igazságossággal kellene szolgálni sok-sok elnyomottnak, nyomorgónak, de az igazságosságtól félnek a kiváltságosok.
Endre Ady (Ady megmondja - Válogatás Ady Endre publicisztikai írásaiból)
Mille désirs gourds seront-ils Enfin une volonté forte ? Hongrois, Roumain, Slave ? Le deuil Reste le même deuil toujours. Notre infamie et notre peine Depuis mille et mille ans sont sœurs. Pourquoi ne pas hurler ensemble Aux barricades de l'idée ? Danube et Olt ont même voix, Même sourde rumeur de mort. Malheur, dans le pays d'Árpád À qui n'est seigneur et canaille ! Quand donc allons-nous nous unir, Quand parlerons-nous haut et fort, Nous, les opprimés, les brisés, Les Hongrois et les non-Hongrois ? (p. 99, extraits de "Chant des Jacobins hongrois")
Endre Ady (Poètes d'aujourd'hui, n°160 : ENDRE ADY)
Destin d'Arbre Hongrois Dans mon âme l'Arbre Hongrois Et ses frondaisons succombent, tombent : Il faut que de même façon Je sombre en frondaison, floraison. Holà, oh las, de la Sylvanie, D'un lieu de sylves j'ai surgi Frondaisons au lieu d'oraisons, Bien peu d'imploraisons. À flots j'ai versé les fleurs, Dans le bien, dans le mal je fus fleur : D'autres eurent fruitières saisons, Je n'eus que saisons de floraisons. Anciens sont mes jours, en païen Je reste toujours refus d'oraison : Ne soyez jusqu'à la mort que tombante saison Hongroise floraisons, frondaisons. (page 101, adaptation d'Armand Robin)
Endre Ady (Poètes d'aujourd'hui, n°160 : ENDRE ADY)
À la grande baleine O notre Dieu, farouche baleine Qu'adviendra-t-il des modes présents ? Ton large dos à la danse entraîne, Ne bouge pas, il est si glissant. Il est glissant, ce dos qui supporte Et nos esprits et tout l'univers. Pour seul présent, vois-tu, je t'apporte Ma pauvre danse et mon cœur amer. Mais cette peur qui me fend l'échine Prends-la, Seigneur, au prix de mes biens. En ta splendeur cruelle et divine Dis que tu n'est ni juif ni chrétien. Fais que ton dos me serve d'asile Pour que mon corps y trouve un étai Pour que mon corps ne batte fébrile Pour qu'en dormant me vienne la paix. Ou, pour toujours, fuis-moi qui t'exhortes Ne flotte plus narquois et léger. Voici déjà des étoiles mortes Et sur mon front leur douce clarté. (p. 98, adaptation de Paul Chaulot)
Endre Ady (Poètes d'aujourd'hui, n°160 : ENDRE ADY)
Sur les bords du Danube Venu du Gange où mon rêve module Midi, mirage au soleil qui rutile, Mon cœur s'entrouvre en grande campanule, Ma force tient en des frissons subtils. Puits à bascule, auberges et gourdins Pusztas, vacarme, ivrognes qui titubent ; Baisers grossiers, tueurs de rêves vains, Que fais-je ici sur les bords du Danube ? (p. 79, adaptation d'Anne-Marie de Backer)
Endre Ady (Poètes d'aujourd'hui, n°160 : ENDRE ADY)
Confidences Au pays des merveilles Il n'y a sa pareille. Son triste éclat de rire Ce que je lui fais dire, Oh ! Que j'aime son rire ! Elle a choisi pour naître La grandeur de mon être. Ses défauts je les aime Mieux que sa bonté même Oh ! Que sa bonté même, Oh ! Comme je les aime ! Cet amour me pénètre Des splendeurs de mon être Et d'une foi d'apôtre Dans quelqu'un, dans une autre Oh ! Comme j'aime l'autre ! (p. 161, adaptation de Guillevic)
Endre Ady (Poètes d'aujourd'hui, n°160 : ENDRE ADY)
Páris, hívj, sürgess, csalogass, Emlékeztess az esküimre, Melyeket szerelmes-hevülten Tettem csillagos éjszakádon. Utólszor még s csöndben megáldom, Hogy vagy és hogy nekem is voltál
Ady Endre
Páris, hívj, sürgess, csalogass, Emlékeztess az esküimre, Melyeket szerelmes-hevülten Tettem csillagos éjszakádon. Utólszor még s csöndben megáldom, Hogy vagy és hogy nekem is voltál
Endre Ady (Ki Látott Engem)
Már vénülő kezemmel Fogom meg a kezedet, Már vénülő szememmel Őrizem a szemedet. Nem tudom, miért, meddig Maradok meg még neked, De a kezedet fogom S őrizem a szemedet.
Endre Ady (Ady Endre válogatott versei)